La Dame de Monsoreau - Tome II
eBook - ePub

La Dame de Monsoreau - Tome II

  1. English
  2. ePUB (mobile friendly)
  3. Available on iOS & Android
eBook - ePub

La Dame de Monsoreau - Tome II

About this book

La suite de «La reine Margot». Située entre le 9 février 1578 et le 19 aout 1579, l'action s'ouvre sur le mariage de Saint-Luc, ex-amant de la reine Margot et favori d'Henri III, rappelé de Pologne pour succéder a Charles IX. Chicot, personnage central de la trilogie, déjoue avec maestria les conspirations contre le roi qui se succedent. Sur ce fond d'intrigues, se déroule l'histoire des amours de Diane de Méridor, dame de Montsoreau, et du beau Bussy d'Amboise...

Frequently asked questions

Yes, you can cancel anytime from the Subscription tab in your account settings on the Perlego website. Your subscription will stay active until the end of your current billing period. Learn how to cancel your subscription.
At the moment all of our mobile-responsive ePub books are available to download via the app. Most of our PDFs are also available to download and we're working on making the final remaining ones downloadable now. Learn more here.
Perlego offers two plans: Essential and Complete
  • Essential is ideal for learners and professionals who enjoy exploring a wide range of subjects. Access the Essential Library with 800,000+ trusted titles and best-sellers across business, personal growth, and the humanities. Includes unlimited reading time and Standard Read Aloud voice.
  • Complete: Perfect for advanced learners and researchers needing full, unrestricted access. Unlock 1.4M+ books across hundreds of subjects, including academic and specialized titles. The Complete Plan also includes advanced features like Premium Read Aloud and Research Assistant.
Both plans are available with monthly, semester, or annual billing cycles.
We are an online textbook subscription service, where you can get access to an entire online library for less than the price of a single book per month. With over 1 million books across 1000+ topics, we’ve got you covered! Learn more here.
Look out for the read-aloud symbol on your next book to see if you can listen to it. The read-aloud tool reads text aloud for you, highlighting the text as it is being read. You can pause it, speed it up and slow it down. Learn more here.
Yes! You can use the Perlego app on both iOS or Android devices to read anytime, anywhere — even offline. Perfect for commutes or when you’re on the go.
Please note we cannot support devices running on iOS 13 and Android 7 or earlier. Learn more about using the app.
Yes, you can access La Dame de Monsoreau - Tome II by Alexandre Dumas in PDF and/or ePUB format, as well as other popular books in Literature & Historical Fiction. We have over one million books available in our catalogue for you to explore.

Information

Chapitre 1 Comment frĂšre Gorenflot se rĂ©veilla, et de l’accueil qui lui fut fait a son couvent.

Nous avons laissĂ© notre ami Chicot en extase devant le sommeil non interrompu et devant le ronflement splendide de frĂšre Gorenflot ; il fit signe Ă  l’aubergiste de se retirer et d’emporter la lumiĂšre, aprĂšs lui avoir recommandĂ© sur toutes choses de ne pas dire un mot au digne frĂšre de la sortie qu’il avait faite Ă  dix heures du soir, et de la rentrĂ©e qu’il venait de faire Ă  trois heures du matin.
Comme maĂźtre Bonhomet avait remarquĂ© une chose, c’est que dans les relations qui existaient entre le fou et le moine, c’était toujours le fou qui payait, il tenait le fou en grande considĂ©ration, tandis qu’il n’avait au contraire qu’une vĂ©nĂ©ration fort mĂ©diocre pour le moine. Il promit en consĂ©quence Ă  Chicot de n’ouvrir en aucun cas la bouche sur les Ă©vĂ©nements de la nuit, et se retira, laissant les deux amis dans l’obscuritĂ©, ainsi que la chose venait de lui ĂȘtre recommandĂ©e.
BientĂŽt Chicot s’aperçut d’une chose qui excita son admiration, c’est que frĂšre Gorenflot ronflait et parlait en mĂȘme temps. Ce qui indiquait, non pas, comme on pourrait le croire, une conscience bourrelĂ©e de remords, mais un estomac surchargĂ© de nourriture.
Les paroles que prononçait Gorenflot dans son sommeil formaient, recousues les unes aux autres, un affreux mĂ©lange d’éloquence sacrĂ©e et de maximes bachiques.
Cependant Chicot s’aperçut que, s’il restait dans une obscuritĂ© complĂšte, il aurait grand’peine Ă  accomplir la restitution qui lui restait Ă  faire pour que Gorenflot, Ă  son rĂ©veil, ne se doutĂąt de rien ; en effet, il pouvait, dans les tĂ©nĂšbres, marcher imprudemment sur quelques-uns des quatre membres du moine, dont il ignorait les diffĂ©rentes directions, et, par la douleur, le tirer de sa lĂ©thargie.
Chicot souffla donc sur les charbons du brasier pour éclairer un peu la scÚne.
Au bruit de ce souffle, Gorenflot cessa de ronfler et murmura :
– Mes frĂšres ! voici un vent fĂ©roce : c’est le souffle du Seigneur, c’est son haleine qui m’inspire.
– Et il se remit à ronfler.
Chicot attendit un instant que le sommeil eût bien repris toute son influence, et commença de démailloter le moine.
– Brrrrou ! fit Gorenflot. Quel froid ! Cela empĂȘchera le raisin de mĂ»rir.
Chicot s’arrĂȘta au milieu de son opĂ©ration, qu’il reprit un instant aprĂšs.
– Vous connaissez mon zùle, mes frùres, continua le moine, tout pour l’Église et pour monseigneur le duc de Guise.
– Canaille ! dit Chicot.
– Voilà mon opinion, reprit Gorenflot ; mais il est certain

– Qu’est-ce qui est certain ? demanda Chicot en soulevant le moine pour lui passer sa robe.
– Il est certain que l’homme est plus fort que le vin ; frĂšre Gorenflot a combattu contre le vin, comme Jacob contre l’ange, et frĂšre Gorenflot a domptĂ© le vin.
Chicot haussa les épaules.
Ce mouvement intempestif fit ouvrir un Ɠil au moine, et, au-dessus de lui, il vit le sourire de Chicot, qui semblait livide et sinistrĂ© Ă  cette douteuse lueur.
– Ah ! pas de fantĂŽmes, voyons, pas de farfadets, dit le moine, comme s’il se plaignait Ă  quelque dĂ©mon familier, oublieux des conventions qu’il avait faites avec lui.
– Il est ivre mort, dit Chicot en achevant de rouler Gorenflot dans sa robe et en ramenant son capuchon sur sa tĂȘte.
– À la bonne heure, grommela le moine, le sacristain a fermĂ© la porte du chƓur, et le vent ne vient plus.
– RĂ©veille-toi maintenant si tu veux, dit Chicot, cela m’est bien Ă©gal.
– Le Seigneur a entendu ma priĂšre, murmura le moine, et l’aquilon qu’il avait envoyĂ© pour geler les vignes s’est changĂ© en doux zĂ©phyr.
– Amen ! dit Chicot.
Et, se faisant un oreiller des serviettes et un drap de la nappe, aprĂšs avoir le plus vraisemblablement possible disposĂ© les bouteilles vides et les assiettes salies, il s’endormit cĂŽte Ă  cĂŽte avec son compagnon.
Le grand jour qui lui donnait sur les yeux, et la voix aigre de l’hĂŽte grondant ses marmitons, qui retentissait dans la cuisine, rĂ©ussirent Ă  percer l’épaisse vapeur qui assoupissait les idĂ©es de Gorenflot.
Il se souleva, et parvint, Ă  l’aide de ses deux mains, Ă  s’établir sur la partie que la nature prĂ©voyante a donnĂ©e Ă  l’homme pour ĂȘtre son principal centre de gravitĂ©.
Cet effort accompli, non sans difficultĂ©. Gorenflot se mit Ă  considĂ©rer le pĂȘle-mĂȘle significatif de la vaisselle ; puis Chicot, qui, disposĂ©, grĂące Ă  la circonflexion gracieuse de l’un de ses bras, de maniĂšre Ă  tout voir, ne perdait pas un seul mouvement du moine, Chicot faisait semblant de ronfler, et cela avec un naturel qui faisait honneur Ă  ce fameux talent d’imitation dont nous avons dĂ©jĂ  parlĂ©.
– Grand jour ! s’écria le moine ; corbleu ! grand jour ! il paraĂźt que j’ai passĂ© la nuit ici.
Puis, rassemblant ses idées :
– Et l’abbaye ! dit-il ; oh ! oh !
Il se mit à resserrer le cordon de sa robe, soin que Chicot n’avait pas cru devoir prendre.
– C’est Ă©gal, dit-il, j’ai fait un Ă©trange rĂȘve : il me semblait ĂȘtre mort et enveloppĂ© dans un linceul tachĂ© de sang.
Gorenflot ne se trompait pas tout Ă  fait ; il avait pris, en se rĂ©veillant Ă  moitiĂ©, la nappe qui l’enveloppait pour un linceul, et les taches de vin pour des gouttes de sang.
– Heureusement que c’était un rĂȘve, dit Gorenflot en regardant de nouveau autour de lui.
Dans cet examen, ses yeux s’arrĂȘtĂšrent sur Chicot, qui, sentant que le moine le regardait, ronfla de double force.
– Que c’est beau, un ivrogne ! dit Gorenflot contemplant Chicot avec admiration.
– Est-il heureux, ajouta-t-il, de dormir ainsi ! Ah ! c’est qu’il n’est pas dans ma position, lui.
Et il poussa un soupir qui monta Ă  l’unisson du ronflement de Chicot, de sorte que le soupir eĂ»t probablement rĂ©veillĂ© le Gascon, si le Gascon eĂ»t dormi vĂ©ritablement.
– Si je le rĂ©veillais pour lui demander avis ? il est homme de bon conseil.
Chicot tripla la dose, et le ronflement, qui avait atteint le diapason de l’orgue, passa à l’imitation du tonnerre.
– Non, reprit Gorenflot, cela lui donnerait trop d’avantages sur moi. Je trouverai bien un bon mensonge sans lui.
Mais, quel que soit ce mensonge, continua le moine, j’aurai bien de la peine Ă  Ă©viter le cachot. Ce n’est pas encore prĂ©cisĂ©ment le cachot, c’est le pain et l’eau qui en sont la consĂ©quence. Si j’avais du moins quelque argent pour sĂ©duire le frĂšre geĂŽlier !
Ce qu’entendant Chicot, il tira subtilement de sa poche une bourse assez ronde qu’il cacha sous son ventre.
Ce n’était pas une prĂ©caution inutile ; plus contrit que jamais, Gorenflot s’approcha de son ami et murmura ces paroles mĂ©lancoliques :
– S’il Ă©tait Ă©veillĂ©, il ne me refuserait pas un Ă©cu ; mais son sommeil m’est sacré  et je vais le prendre.
À ces mots, frĂšre Gorenflot, qui, aprĂšs ĂȘtre demeurĂ© un certain temps assis, venait de s’agenouiller, se pencha Ă  son tour vers Chicot et fouilla dĂ©licatement dans la poche du dormeur.
Chicot ne jugea point Ă  propos, malgrĂ© l’exemple donnĂ© par son compagnon, de faire appel Ă  son dĂ©mon familier, et le laissa fouiller Ă  son aise dans l’une et l’autre poche de son pourpoint.
– C’est singulier, dit le moine, rien dans les poches. Ah ! dans le chapeau peut-ĂȘtre.
Tandis que le moine se mettait en quĂȘte, Chicot vidait sa bourse dans sa main, et la remettait vide et plate dans la poche de son haut-de-chausses.
– Rien dans le chapeau, dit le moine, cela m’étonne. Mon ami Chicot, qui est un fou plein de raison, ne sort cependant jamais sans argent. Ah ! vieux Gaulois, ajouta-t-il avec un sourire qui fendait sa bouche jusqu’aux oreilles, j’oubliais tes braies.
Et, glissant sa main dans les chausses de Chicot, il en retira la bourse vide.
– JĂ©sus ! murmura-t-il, et l’écot, qui le payera ?
Cette pensĂ©e produisit sur le moine une profonde impression, car il se mit aussitĂŽt sur ses jambes, et, d’un pas encore un peu avinĂ©, mais cependant rapide, il se dirigea vers la porte, traversa la cuisine sans lier conversation avec l’hĂŽte, malgrĂ© les avances que celui-ci lui faisait, et s’enfuit.
Alors Chicot remit son argent dans sa bourse, sa bourse dans sa poche, et, s’accoudant contre la fenĂȘtre, que mordait dĂ©jĂ  un rayon de soleil, il oublia Gorenflot dans une mĂ©ditation profonde.
Cependant le frĂšre quĂȘteur, sa besace sur l’épaule, poursuivait son chemin avec une mine composĂ©e qui pouvait paraĂźtre aux passants du recueillement, et qui n’était que de la prĂ©occupation, car Gorenflot cherchait un de ces magnifiques mensonges de moine en goguette ou de soldat attardĂ©, mensonge dont le fond est toujours le mĂȘme, tandis que la trame se brode capricieusement selon l’imagination du menteur.
Du plus loin que frÚre Gorenflot aperçut les portes du couvent, elles lui parurent plus sombres encore que de coutume, et il tira de fùcheux indices de la présence de plusieurs moines conversant sur le seuil et regardant tour à tour avec inquiétude vers les quatre points cardinaux.
Mais, Ă  peine eut-il dĂ©bouchĂ© de la rue Saint-Jacques, qu’un grand mouvement opĂ©rĂ© par les frĂšres au moment mĂȘme oĂč ils l’aperçurent lui donna une des plus horribles frayeurs qu’il eĂ»t Ă©prouvĂ©es de sa vie.
– C’est de moi qu’ils parlent, dit-il ; ils me dĂ©signent, ils m’attendent ; on m’a cherchĂ© cette nuit ; mon absence a fait scandale ; je suis perdu !
Et la tĂȘte lui tourna ; une folle idĂ©e de fuir lui vint Ă  l’esprit ; mais plusieurs religieux venaient dĂ©jĂ  Ă  sa rencontre ; on le poursuivrait indubitablement. FrĂšre Gorenflot se rendait justice, il n’était pas taillĂ© pour la course ; il serait rejoint, garrottĂ©, traĂźnĂ© au couvent ; il prĂ©fĂ©ra la rĂ©signation.
Il s’avança donc, l’oreille basse, vers ses compagnons, qui semblaient hĂ©siter Ă  venir lui parler.
– HĂ©las ! dit Gorenflot, ils font semblant de ne plus me connaĂźtre, je suis une pierre d’achoppement.
Enfin l’un d’eux se hasarda, et, allant à Gorenflot :
– Pauvre cher frùre ! dit-il.
Gorenflot poussa un soupir et leva les yeux au ciel.
– Vous savez que le prieur vous attend, dit un autre.
– Ah ! mon Dieu !
– Oh ! mon Dieu, oui, ajouta un troisiĂšme, il a dit qu’aussitĂŽt rentrĂ© au couvent on vous conduisĂźt prĂšs de lui.
– Voilà ce que je craignais, dit Gorenflot. Et, plus mort que vif, il entra dans le couvent, dont la porte se referma sur lui.
– Ah ! c’est vous ! s’écria le frĂšre portier, venez vite, vite, le rĂ©vĂ©rend prieur Joseph Foulon vous demande.
Et le frĂšre portier, prenant Gorenflot par la main, le conduisit ou plutĂŽt le traĂźna jusque dans la chambre du prieur.
LĂ  aussi les portes se refermĂšrent.
Gorenflot baissa les yeux, craignant de rencontrer le regard courroucĂ© de l’abbĂ© ; il se sentait seul, abandonnĂ© de tout le monde, en tĂȘte-Ă -tĂȘte avec un supĂ©rieur qui devait ĂȘtre irritĂ©, et irritĂ© justement.
– Ah ! c’est vous enfin ! dit l’abbĂ©.
– Mon rĂ©vĂ©rend
 balbutia le moine.
– Que d’inquiĂ©tudes vous nous avez donnĂ©es ! dit le prieur.
– C’est trop de bontĂ©s, mon pĂšre, reprit Gorenflot, qui ne comprenait rien Ă  ce ton indulgent auquel il ne s’attendait pas.
– Vous avez craint de rentrer aprùs la scùne de cette nuit, n’est-ce pas ?
– J’avoue que je n’ai point osĂ© rentrer, dit le moine, dont le front distillait une sueur glacĂ©e.
– Ah ! cher frĂšre, cher frĂšre, dit l’abbĂ©, c’est bien jeune et bien imprudent ce que vous avez fait lĂ .
– Laissez-moi vous expliquer, mon pùre
.
– Et qu’avez-vous besoin de m’expliquer ? Votre sortie
.
– Je n’ai pas besoin de vous expliquer, dit Gorenflot, tant mieux, car j’étais embarrassĂ© de le faire.
– Je le comprends Ă  merveille. Un moment d’exaltation, l’enthousiasme vous a entraĂźnĂ© ; l’exaltation est une vertu sainte ; l’enthousiasme est un sentiment sacrĂ© ; mais les vertus outrĂ©es deviennent presque vices, les sentiments les plus honorables, exagĂ©rĂ©s,...

Table of contents

  1. Titre
  2. Chapitre 1 - Comment frĂšre Gorenflot se rĂ©veilla, et de l’accueil qui lui fut fait a son couvent.
  3. Chapitre 2 - Comment frĂšre Gorenflot demeura convaincu qu’il Ă©tait somnambule, et dĂ©plora amĂšrement cette infirmitĂ©.
  4. Chapitre 3 - Comment frĂšre Gorenflot voyagea sur un Ăąne nommĂ© Panurge, et apprit dans son voyage beaucoup de choses qu’il ne savait pas.
  5. Chapitre 4 - Comment frĂšre Gorenflot troqua son Ăąne contre une mule, et sa mule contre un cheval.
  6. Chapitre 5 - Comment Chicot et son compagnon s’installùrent à l’hîtellerie du Cygne de la Croix, et comment ils y furent reçus par l’hîte.
  7. Chapitre 6 - Comment le moine confessa l’avocat, et comment l’avocat confessa le moine.
  8. Chapitre 7 - Comment Chicot, aprÚs avoir fait un trou avec une vrille, en fit un avec son épée.
  9. Chapitre 8 - Comment le duc d’Anjou apprit que Diane de MĂ©ridor n’était point morte.
  10. Chapitre 9 - Comment Chicot revint au Louvre et fut reçu par le roi Henri III.
  11. Chapitre 10 - Ce qui s’était passĂ© entre monseigneur le duc d’Anjou et le grand veneur.
  12. Chapitre 11 - Comment se tint le conseil du roi.
  13. Chapitre 12 - Ce que venait faire M. de Guise au Louvre.
  14. Chapitre 13 - Castor et Pollux.
  15. Chapitre 14 - Comment il est prouvĂ© qu’écouter est le meilleur moyen pour entendre.
  16. Chapitre 15 - La soirée de la Ligue.
  17. Chapitre 16 - La rue de la Ferronnerie.
  18. Chapitre 17 - Le prince et l’ami.
  19. Chapitre 18 - Étymologie de la rue de la Jussienne.
  20. Chapitre 19 - Comment d’Épernon eut son pourpoint dĂ©chirĂ©, et comment Schomberg fut teint en bleu.
  21. Chapitre 20 - Chicot est de plus en plus roi de france.
  22. Chapitre 21 - Comment Chicot fit une visite à Bussy, et de ce qui s’ensuivit.
  23. Chapitre 22 - Les échecs de Chicot, le bilboquet de Quélus et la sarbacane de Schomberg.
  24. Chapitre 23 - Comment le roi nomma un chef à la Ligue, et comment ce ne fut ni son altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise.
  25. Chapitre 24 - Comment le roi nomma un chef qui n’était ni son altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise.
  26. Chapitre 25 - ÉtĂ©ocle et Polynice.
  27. Chapitre 26 - Comment on ne perd pas toujours son temps en fouillant dans les armoires vides.
  28. Chapitre 27 - Ventre-saint-gris.
  29. Chapitre 28 - Les amis.
  30. Chapitre 29 - Les amants.
  31. Chapitre 30 - Comment Bussy trouva trois cents pistoles de son cheval et les donna pour rien.
  32. Chapitre 31 - Diplomatie de M. le duc d’Anjou.
  33. Chapitre 32 - Diplomatie de M. de Saint-Luc.
  34. Chapitre 33 - Une volĂ©e d’angevins.
  35. Chapitre 34 - Roland.
  36. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique