Le Vicomte de Bragelonne - Tome IV
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Le Vicomte de Bragelonne - Tome IV

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Le Vicomte de Bragelonne - Tome IV

About this book

La fin de la trilogie des Mousquetaires, consacrée au début du regne de Louis XIV, qui voit Colbert combattre Fouquet, Aramis, devenu général des Jésuites, comploter, et d'Artagnan devenir maréchal de France, puis succomber.

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Information

Chapitre CCVII – Prisonnier

Depuis cette Ă©trange transformation d’Aramis en confesseur de l’ordre, Baisemeaux n’était plus le mĂȘme homme.
Jusque-là, Aramis avait été pour le digne gouverneur un prélat auquel il devait le respect, un ami auquel il devait la reconnaissance ; mais, à partir de la révélation qui venait de bouleverser toutes ses idées, il était inférieur et Aramis était un chef.
Il alluma lui-mĂȘme un falot, appela un porte-clefs, et, se retournant vers Aramis :
– Aux ordres de Monseigneur, dit-il.
Aramis se contenta de faire un signe de tĂȘte qui voulait dire : « C’est bien ! » et un signe de la main qui voulait dire : « Marchez devant ! » Baisemeaux se mit en route. Aramis le suivit.
Il faisait une belle nuit Ă©toilĂ©e ; les pas des trois hommes retentissaient sur la dalle des terrasses, et le cliquetis des clefs pendues Ă  la ceinture du guichetier montait jusqu’aux Ă©tages des tours, comme pour rappeler aux prisonniers que la libertĂ© Ă©tait hors de leur atteinte.
On eĂ»t dit que le changement qui s’était opĂ©rĂ© dans Baisemeaux s’était Ă©tendu jusqu’au porte-clefs. Ce porte-clefs, le mĂȘme qui, Ă  la premiĂšre visite d’Aramis, s’était montrĂ© si curieux et si questionneur, Ă©tait devenu non seulement muet, mais mĂȘme impassible. Il baissait la tĂȘte et semblait craindre d’ouvrir les oreilles.
On arriva ainsi au pied de la BertaudiÚre, dont les deux étages furent gravis silencieusement et avec une certaine lenteur ; car Baisemeaux, tout en obéissant, était loin de mettre un grand empressement à obéir.
Enfin, on arriva Ă  la porte ; le guichetier n’eut pas besoin de chercher la clef, il l’avait prĂ©parĂ©e. La porte s’ouvrit.
Baisemeaux se disposait Ă  entrer chez le prisonnier ; mais, l’arrĂȘtant sur le seuil :
– Il n’est pas Ă©crit, dit Aramis, que le gouverneur entendra la confession du prisonnier.
Baisemeaux s’inclina et laissa passer Aramis, qui prit le falot des mains du guichetier et entra ; puis d’un geste, il fit signe que l’on refermñt la porte derriùre lui.
Pendant un instant, il se tint debout, l’oreille tendue, Ă©coutant si Baisemeaux et le porte-clefs s’éloignaient ; puis, lorsqu’il se fut assurĂ©, par la dĂ©croissance du bruit, qu’ils avaient quittĂ© la tour, il posa le falot sur la table et regarda autour de lui.
Sur un lit de serge verte, en tout pareil aux autres lits de la Bastille, exceptĂ© qu’il Ă©tait plus neuf, sous des rideaux amples et fermĂ©s Ă  demi, reposait le jeune homme prĂšs duquel, une fois dĂ©jĂ , nous avons introduit Aramis.
Suivant l’usage de la prison, le captif Ă©tait sans lumiĂšre. À l’heure du couvre-feu, il avait dĂ» Ă©teindre sa bougie. On voit combien le prisonnier Ă©tait favorisĂ©, puisqu’il avait ce rare privilĂšge de garder de la lumiĂšre jusqu’au moment du couvre-feu.
PrĂšs de ce lit, un grand fauteuil de cuir, Ă  pieds tordus, supportait des habits d’une fraĂźcheur remarquable. Une petite table, sans plumes, sans livres, sans papiers, sans encre, Ă©tait abandonnĂ©e tristement prĂšs de la fenĂȘtre. Plusieurs assiettes, encore pleines attestaient que le prisonnier avait Ă  peine touchĂ© Ă  son dernier repas.
Aramis vit, sur le lit, le jeune homme étendu, le visage à demi caché sous ses deux bras.
L’arrivĂ©e du visiteur ne le fit point changer de posture ; il attendait ou dormait. Aramis alluma la bougie Ă  l’aide du falot, repoussa doucement le fauteuil et s’approcha du lit avec un mĂ©lange visible d’intĂ©rĂȘt et de respect.
Le jeune homme souleva la tĂȘte.
– Que me veut-on ? demanda-t-il.
– N’avez-vous pas dĂ©sirĂ© un confesseur ?
– Oui.
– Parce que vous ĂȘtes malade ?
– Oui.
– Bien malade ?
Le jeune homme attacha sur Aramis des yeux pénétrants, et dit :
– Je vous remercie.
Puis, aprĂšs un silence :
– Je vous ai dĂ©jĂ  vu, continua-t-il.
Aramis s’inclina. Sans doute, l’examen que le prisonnier venait de faire, cette rĂ©vĂ©lation d’un caractĂšre froid, rusĂ© et dominateur, empreint sur la physionomie de l’évĂȘque de Vannes, Ă©tait peu rassurant dans la situation du jeune homme ; car il ajouta :
– Je vais mieux.
– Alors ? demanda Aramis.
– Alors, allant mieux, je n’ai plus le mĂȘme besoin d’un confesseur, ce me semble.
– Pas mĂȘme du cilice que vous annonçait le billet que vous avez trouvĂ© dans votre pain ?
Le jeune homme tressaillit ; mais, avant qu’il eĂ»t rĂ©pondu ou niĂ© :
– Pas mĂȘme, continua Aramis, de cet ecclĂ©siastique de la bouche duquel vous avez une importante rĂ©vĂ©lation Ă  attendre ?
– S’il en est ainsi, dit le jeune homme en retombant sur son oreiller, c’est diffĂ©rent ; j’écoute.
Aramis alors le regarda plus attentivement et fut surpris de cet air de majestĂ© simple et aisĂ©e qu’on n’acquiert jamais, si Dieu ne l’a mis dans le sang ou dans le cƓur.
– Asseyez-vous, monsieur, dit le prisonnier.
Aramis obĂ©it en s’inclinant.
– Comment vous trouvez-vous Ă  la Bastille ? demanda l’évĂȘque.
– Trùs bien.
– Vous ne souffrez pas ?
– Non.
– Vous ne regrettez rien ?
– Rien.
– Pas mĂȘme la libertĂ© ?
– Qu’appelez-vous la libertĂ©, monsieur, demanda le prisonnier avec l’accent d’un homme qui se prĂ©pare Ă  une lutte.
– J’appelle la libertĂ©, les fleurs, l’air, le jour, les Ă©toiles, le bonheur de courir oĂč vous portent vos jambes nerveuses de vingt ans.
Le jeune homme sourit ; il eĂ»t Ă©tĂ© difficile de dire si c’était de rĂ©signation ou de dĂ©dain.
– Regardez, dit-il, j’ai lĂ , dans ce vase du Japon, deux roses, deux belles roses, cueillies hier au soir en boutons dans le jardin du gouverneur ; elles sont Ă©closes ce matin et ont ouvert sous mes yeux leur calice vermeil ; avec chaque pli de leurs feuilles, elles ouvraient le trĂ©sor de leur parfum ; ma chambre en est tout embaumĂ©e. Ces deux roses, voyez-les : elles sont belles parmi les roses ; et les roses sont les plus belles des fleurs. Pourquoi donc voulez-vous que je dĂ©sire d’autres fleurs, puisque j’ai les plus belles de toutes ?
Aramis regarda le jeune homme avec surprise.
– Si les fleurs sont la libertĂ©, reprit mĂ©lancoliquement le captif, j’ai donc la libertĂ©, puisque j’ai les fleurs.
– Oh ! mais l’air ! s’écria Aramis ; l’air si nĂ©cessaire Ă  la vie ?
– Eh bien ! monsieur, approchez-vous de la fenĂȘtre continua le prisonnier ; elle est ouverte. Entre le ciel et la terre, le vent roule ses tourbillons de glace, de feu, de tiĂšdes vapeurs ou de douces brises. L’air qui vient de lĂ  caresse mon visage, quand, montĂ© sur ce fauteuil, assis sur le dossier, le bras passĂ© autour du barreau qui me soutient, je me figure que je nage dans le vide.
Le front d’Aramis se rembrunissait à mesure que parlait le jeune homme.
– Le jour ? continua-t-il. J’ai mieux que le jour, j’ai le soleil, un ami qui vient tous les jours me visiter sans la permission du gouverneur, sans la compagnie du guichetier. Il entre par la fenĂȘtre, il trace dans ma chambre un grand carrĂ© long qui part de la fenĂȘtre mĂȘme et va mordre la tenture de mon lit jusqu’aux franges. Ce carrĂ© lumineux grandit de dix heures Ă  midi, et dĂ©croĂźt de une heure Ă  trois, lentement, comme si, ayant eu hĂąte de venir, il avait regret de me quitter. Quand son dernier rayon disparaĂźt, j’ai joui quatre heures de sa prĂ©sence. Est-ce que ça ne suffit pas ? on m’a dit qu’il y avait des malheureux qui creusaient des carriĂšres, des ouvriers qui travaillaient aux mines, et qui ne le voyaient jamais.
Aramis s’essuya le front.
– Quant aux Ă©toiles, qui sont douces Ă  voir, continua le jeune homme, elles se ressemblent toutes, sauf l’éclat et la grandeur. Moi, je suis favorisĂ© ; car, si vous n’eussiez allumĂ© cette bougie, vous eussiez pu voir la belle Ă©toile que je voyais de mon lit avant votre arrivĂ©e, et dont le rayonnement caressait mes yeux.
Aramis baissa la tĂȘte : il se sentait submergĂ©, sous le flot amer de cette sinistre philosophie qui est la religion de la captivitĂ©.
– VoilĂ  donc pour les fleurs, pour l’air, pour le jour et pour les Ă©toiles, dit le jeune homme avec la mĂȘme tranquillitĂ©. Reste la promenade. Est-ce que, toute la journĂ©e, je ne me promĂšne pas dans le jardin du gouverneur s’il fait beau, ici s’il pleut, au frais s’il fait chaud, au chaud s’il fait froid, grĂące Ă  ma cheminĂ©e pendant l’hiver ? Ah ! croyez-moi, monsieur, ajouta le prisonnier avec une expression qui n’était pas exempte d’une certaine amertume, les hommes ont fait pour moi tout ce que peut espĂ©rer, tout ce que peut dĂ©sirer un homme.
– Les hommes, soit ! dit Aramis en relevant la tĂȘte ; mais il me semble que vous oubliez Dieu.
– J’ai, en effet, oubliĂ© Dieu, rĂ©pondit le prisonnier sans s’émouvoir ; mais, pourquoi me dites-vous cela ? À quoi bon parler de Dieu aux prisonniers ?
Aramis regarda en face ce singulier jeune homme qui avait la rĂ©signation d’un martyr avec le sourire d’un athĂ©e.
– Est-ce que Dieu n’est pas dans toutes choses ? murmura-t-il d’un ton de reproche.
– Dites au bout de toute chose, rĂ©pondit le prisonnier fermement.
– Soit ! dit Aramis ; mais revenons au point d’oĂč nous sommes partis.
– Je ne demande pas mieux, fit le jeune homme.
– Je suis votre confesseur.
– Oui.
– Eh bien ! comme mon pĂ©nitent, vous me devez la vĂ©ritĂ©.
– Je ne demande pas mieux que de vous la dire.
– Tout prisonnier a commis le crime qui l’a fait mettre en prison. Quel crime avez-vous commis, vous ?
– Vous m’avez dĂ©jĂ  demandĂ© cela, la premiĂšre fois que vous m’avez vu, dit le prisonnier.
– Et vous avez Ă©ludĂ© ma rĂ©ponse, cette fois, comme aujourd’hui.
– Et pourquoi, aujourd’hui, pensez-vous que je vous rĂ©pondrai ?
– Parce que, aujourd’hui, je suis votre confesseur.
– Alors, si vous voulez que je vous dise quel crime j’ai commis, expliquez-moi ce que c’est qu’un crime. Or, comme je ne sais rien en moi qui me fasse des reproches, je dis que je ne suis pas criminel.
– On est criminel parfois aux yeux des grands de la terre, non seulement pour avoir commis des crimes, mais parce que l’on sait que des crimes ont Ă©tĂ© commis.
Le prisonnier prĂȘtait une attention extrĂȘme.
– Oui, dit-il aprùs un moment de silence, je comprends ; oui, vous avez raison, monsieur ; il se pourrait bien que, de cette façon, je fusse criminel aux yeux des grands.
– Ah ! vous savez donc quelque chose ? dit Aramis, qui crut avoir entrevu, non pas le dĂ©faut, mais la jointure de la cuirasse.
– Non, je ne sais rien, rĂ©pondit le jeune homme ; mais je pense quelquefois, et je me dis, Ă  ces moments là

– Que vous dites-vous ?
– Que, si je voulais penser plus, ou je deviendrais fou, ou je devinerais bien des choses.
– Eh bien ! alors ? demanda Aramis avec impatience.
– Alors, je m’arrĂȘte.
– Vous vous arrĂȘtez ?
– Oui, ma tĂȘte est lourde, mes idĂ©es deviennent tristes, je sens l’ennui qui me prend ; je dĂ©sire

– Quoi ?
– Je n’en sais rien, car je ne veux pas me laisser prendre au dĂ©sir de choses que je n’ai pas, moi qui suis si content de ce que j’ai.
– Vous craignez la mort ? dit Aramis avec une lĂ©gĂšre inquiĂ©tude.
– Oui, dit le jeune homme en souriant.
Aramis sentit le froid de ce sourire et frémit.
– Oh ! puisque vous avez peur de la mort, vous en savez plus que vous n’en dites, s’écria-t-il.
– Mais vous, rĂ©pondit le prisonnier, vous qui me faites dire de vous demander, vous qui, lorsque je vous ai demandĂ©, entrez ici en me promettant tout un monde de rĂ©vĂ©lations, d’oĂč vient que c’est vous maintenant qui vous taisez et moi qui parle ? Puisque nous portons chacun un masque, ou gardons-le tous deux, ou dĂ©posons-le ensemble.
Aramis sentit Ă  la fois la force et la justesse de ce raisonnement.
– Je n’ai point affaire Ă  un homme ordinaire, pensa-t-il. Voyons, avez-vous de l’ambition ? dit-il tout haut sans avoir prĂ©parĂ© le prisonnier Ă  la transition.
– Qu’est-ce que cela, de l’ambition ? demanda le jeune h...

Table of contents

  1. Titre
  2. Chapitre CXCVII – Roi et noblesse
  3. Chapitre CXCVIII – Suite d'orage
  4. Chapitre CXCIX – Heu ! miser !
  5. Chapitre CC – Blessures sur blessures
  6. Chapitre CCI – Ce qu'avait devinĂ© Raoul
  7. Chapitre CCII – Trois convives Ă©tonnĂ©s de souper ensemble
  8. Chapitre CCIII – Ce qui se passait au Louvre pendant le souper de la Bastille
  9. Chapitre CCIV – Rivaux politiques
  10. Chapitre CCV – OĂč Porthos est convaincu sans avoir compris
  11. Chapitre CCVI – La sociĂ©tĂ© de M. de Baisemeaux
  12. Chapitre CCVII – Prisonnier
  13. Chapitre CCVIII – Comment Mouston avait engraissĂ© sans en prĂ©venir Porthos,  et des dĂ©sagrĂ©ments qui en Ă©taient rĂ©sultĂ©s pour ce digne gentilhomme
  14. Chapitre CCIX – Ce que c'Ă©tait que messire Jean Percerin
  15. Chapitre CCX – Les Ă©chantillons
  16. Chapitre CCXI – OĂč MoliĂšre prit peut-ĂȘtre sa premiĂšre idĂ©e du Bourgeois gentilhomme
  17. Chapitre CCXII – La ruche,  les abeilles et le miel
  18. Chapitre CCXIII – Encore un souper à la Bastille
  19. Chapitre CCXIV – Le gĂ©nĂ©ral de l'ordre
  20. Chapitre CCXV – Le tentateur
  21. Chapitre CCXVI – Couronne et tiare
  22. Chapitre CCXVII – Le chñteau de Vaux-le-Vicomte
  23. Chapitre CCXVIII – Le vin de Melun
  24. Chapitre CCXIX – Nectar et ambroisie
  25. Chapitre CCXX – À Gascon,  Gascon et demi
  26. Chapitre CCXXI – Colbert
  27. Chapitre CCXXII – Jalousie
  28. Chapitre CCXXIII – LĂšse-majestĂ©
  29. Chapitre CCXXIV – Une nuit à la Bastille
  30. Chapitre CCXXV – L'ombre de M. Fouquet
  31. Chapitre CCXXVI – Le matin
  32. Chapitre CCXXVII – L'ami du roi
  33. Chapitre CCXXVIII – Comment la consigne Ă©tait respectĂ©e Ă  la Bastille
  34. Chapitre CCXXIX – La reconnaissance du roi
  35. Chapitre CCXXX – Le faux roi
  36. Chapitre CCXXXI – OĂč Porthos croit courir aprĂšs un duchĂ©
  37. Chapitre CCXXXII – Les derniers adieux
  38. Chapitre CCXXXIII – M. de Beaufort
  39. Chapitre CCXXXIV – PrĂ©paratifs de dĂ©part
  40. Chapitre CCXXXV – L'inventaire de Planchet
  41. Chapitre CCXXXVI – L'inventaire de M. de Beaufort
  42. Chapitre CCXXXVII – Le plat d'argent
  43. Chapitre CCXXXVIII – Captif et geîliers
  44. Chapitre CCXXXIX – Les promesses
  45. Chapitre CCXL – Entre femmes
  46. Chapitre CCXLI – La cùne
  47. Chapitre CCXLII – Dans le carrosse de M. Colbert
  48. Chapitre CCXLIII – Les deux gabares
  49. Chapitre CCXLIV – Conseils d'ami
  50. Chapitre CCXLV – Comment le roi Louis XIV joua son petit rîle
  51. Chapitre CCXLVI – Le cheval blanc et le cheval noir
  52. Chapitre CCXLVII – OĂč l'Ă©cureuil tombe,  oĂč la couleuvre vole
  53. Chapitre CCXLVIII – Belle-Île-en-Mer
  54. Chapitre CCXLIX – Les explications d'Aramis
  55. Chapitre CCL – Suite des idĂ©es du roi et des idĂ©es de M. d'Artagnan
  56. Chapitre CCLI – Les aïeux de Porthos
  57. Chapitre CCLII – Le fils de Biscarrat
  58. Chapitre CCLIII – La grotte de Locmaria
  59. Chapitre CCLIV – La grotte
  60. Chapitre CCLV – Un chant d'Homùre
  61. Chapitre CCLVI – La mort d'un titan
  62. Chapitre CCLVII – L'Ă©pitaphe de Porthos
  63. Chapitre CCLVIII – La ronde de M. de Gesvres
  64. Chapitre CCLIX – Le roi Louis XIV
  65. Chapitre CCLX – Les amis de M. Fouquet
  66. Chapitre CCLXI – Le testament de Porthos
  67. Chapitre CCLXII – La vieillesse d'Athos
  68. Chapitre CCLXIII – Vision d'Athos
  69. Chapitre CCLXIV – L'ange de la mort
  70. Chapitre CCLXV – Bulletin
  71. Chapitre CCLXVI – Le dernier chant du poùme
  72. Chapitre CCLXVII – Épilogue
  73. Chapitre CCLXVIII – La mort de M. d'Artagnan
  74. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique