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Information

le FMI en 1996/97

Chapitre 4. Aspects de la surveillance

Le FMI a pour mandat, aux termes de ses Statuts, d’exercer une surveillance ferme sur les politiques de change des pays membres afin de veiller sur le systĂšme monĂ©taire international et d’en assurer le bon fonctionnement. À cette fin, le FMI dĂ©termine si la politique financiĂšre et Ă©conomique de chaque pays membre est adaptĂ©e Ă  la rĂ©alisation d’une croissance ordonnĂ©e avec une stabilitĂ© raisonnable des prix, Ă  l’établissement d’une situation Ă©conomique et financiĂšre stable, au maintien d’un systĂšme monĂ©taire qui ne produit pas de perturbations imprĂ©visibles et Ă  l’application de politiques de change compatibles avec ces objectifs. La surveillance allie ainsi l’analyse des politiques Ă©conomiques intĂ©rieures des pays et l’examen de leurs consĂ©quences pour le systĂšme Ă©conomique mondial.
Les deux principaux instruments de la surveillance sont les consultations annuelles, dites consultations au titre de l’article IV, que le FMI tient avec chacun de ses membres, et, deux fois par an, les discussions relatives aux Perspectives de l’économie mondiale, au cours desquelles diverses questions et politiques sont examinĂ©es dans une perspective globale. Ces consultations et examens sont complĂ©tĂ©s par d’autres discussions, telles que celles relatives Ă  l’évolution des marchĂ©s internationaux des capitaux, ainsi que par les dĂ©libĂ©rations que le Conseil consacre rĂ©guliĂšrement aux problĂšmes importants propres Ă  certains pays ainsi qu’à l’évolution des marchĂ©s et de l’économie mondiale. Les travaux du Conseil bĂ©nĂ©ficient de la participation du Directeur gĂ©nĂ©ral Ă  d’autres forums, tels que les discussions de politique Ă©conomique du Groupe des sept pays les plus industrialisĂ©s. Le Directeur gĂ©nĂ©ral fait connaĂźtre aux pays participants le point de vue du FMI sur les consĂ©quences internationales de leurs politiques Ă©conomiques.
La surveillance exercĂ©e au moyen des consultations au titre de l’article IV est la voie principale du dialogue qui prĂ©side Ă  la collaboration entre le FMI et ses membres (chapitre 5). Les accords financiers formels autorisant le recours immĂ©diat aux ressources du FMI constituent un cadre de coopĂ©ration plus intensive pour les pays membres qui connaissent des difficultĂ©s de balance des paiements (chapitre 9). En outre, certains pays membres trouvent avantage Ă  collaborer Ă©troitement avec le FMI et ses services de diverses autres maniĂšres: accords financiers de prĂ©caution, programmes non formalisĂ©s, dont les services du FMI assurent le suivi, ou surveillance renforcĂ©e. Dans certains cas, ce suivi plus intensif sert de prĂ©lude Ă  un programme appuyĂ© par le FMI, car il permet en particulier de vĂ©rifier que le pays Ă©tablit, ou rĂ©tablit, des antĂ©cĂ©dents satisfaisants dans l’application des politiques. Dans d’autres cas, le suivi procure aux autoritĂ©s un cadre de rĂ©fĂ©rence qui leur permet de rassurer des tiers intĂ©ressĂ©s, tels que les donateurs, les crĂ©anciers ou les marchĂ©s financiers.
‱ La formule des accords de prĂ©caution permet aux pays membres intĂ©ressĂ©s de convenir avec le FMI d’un accord de confirmation ou d’un accord Ă©largi, mais sans faire usage des ressources engagĂ©es Ă  ce titre. Les accords de prĂ©caution sont utiles aux pays membres qui souhaitent cadrer leur politique financiĂšre, mettre en relief l’appui qu’accorde le FMI Ă  leur politique Ă©conomique et renforcer la confiance du public Ă  cet Ă©gard.
‱ Les programmes non formalisĂ©s, dont les services du FMI assurent le suivi, permettent aux pays membres d’entretenir avec ces derniers un dialogue plus intensif que lors des consultations au titre de l’article IV, mais ils ne signifient pas pour autant que le FMI souscrit de façon formelle aux politiques appliquĂ©es.
‱ La surveillance renforcĂ©e, qui n’entraĂźne pas non plus l’approbation formelle du FMI, consiste surtout en un suivi formel Ă©troit du programme Ă©conomique du pays membre par le FMI. Cette procĂ©dure a Ă©tĂ© Ă©tablie en 1985 pour faciliter les accords de rééchelonnement de dettes avec les banques commerciales, mais sert occasionnellement Ă  d’autres fins.

Examen des pratiques actuelles

En 1996/97, le Conseil a examiné à la fois les stratégies appliquées par les pays membres pour soutenir lacroissance mondiale, et les progrÚs récents dans le renforcement de la surveillance du FMI.

Politiques des pays membres dans le contexte de la surveillance

Déclaration du Comité intérimaire

Lors de sa rĂ©union Ă  Madrid en octobre 1994, le ComitĂ© intĂ©rimaire a publiĂ© une DĂ©claration sur la coopĂ©ration en vue de renforcer l’expansion mondiale (Rapport annuel 1995, p. 227). Cette dĂ©claration, tout en saluant l’amĂ©lioration des perspectives de croissance de l’économie mondiale, rappelait que les gouvernements du monde entier restaient confrontĂ©s Ă  des tĂąches ardues: soutenir la croissance, rĂ©duire le chĂŽmage et Ă©viter une rĂ©surgence de l’inflation dans les pays industrialisĂ©s; maintenir et renforcer la croissance dans les pays en dĂ©veloppement par des programmes Ă©nergiques d’ajustement et de rĂ©formes structurelles; et intĂ©grer les pays en transition dans l’économie internationale en les plaçant fermement sur un sentier de croissance durable. Afin de relever ces dĂ©fis, la DĂ©claration traçait les grandes lignes de la stratĂ©gie adoptĂ©e par le ComitĂ©. Cette stratĂ©gie mettait l’accent sur des politiques intĂ©rieures bien conçues, la coopĂ©ration internationale, et l’intĂ©gration mondiale.
Par la suite, dans le communiquĂ© publiĂ© Ă  l’issue de sa rĂ©union d’avril 1996, le ComitĂ© a demandĂ© au Conseil de passer en revue les progrĂšs accomplis vers le but Ă©noncĂ© dans la DĂ©claration, et si nĂ©cessaire de rĂ©viser et d’amĂ©liorer celle-ci. Le Conseil a procĂ©dĂ© Ă  cet examen en septembre 1996, et est convenu que la stratĂ©gie de coopĂ©ration mondiale Ă  moyen terme mise au point pour soutenir et renforcer la croissance demeurait valable. Il a observĂ© que les rĂ©sultats favorables obtenus par de nombreux pays, qu’ils soient industrialisĂ©s, en dĂ©veloppement ou en transition, devaient beaucoup Ă  l’application de politiques conformes Ă  cette stratĂ©gie. À la lumiĂšre toutefois des mutations en cours dans l’environnement mondial, le Conseil a recommandĂ© au ComitĂ© intĂ©rimaire de rĂ©viser et d’élargir la portĂ©e de la DĂ©claration et de renforcer sa mise en oeuvre dans un esprit de partenariat renouvelĂ©.
Lors de sa rĂ©union de septembre 1996, le ComitĂ© intĂ©rimaire a pris en compte les dĂ©libĂ©rations du Conseil et a adoptĂ© une DĂ©claration appelant Ă  un Partenariat pour une expansion durable de l’économie mondiale (encadrĂ© 3). À l’issue de sa rĂ©union suivante, en avril 1997, le ComitĂ© a rĂ©affirmĂ© que l’application par tous les pays membres des principes Ă©noncĂ©s dans cette nouvelle DĂ©claration Ă©tait essentielle pour permettre Ă  tous de bĂ©nĂ©ficier de la prospĂ©ritĂ© croissante de l’économie mondiale. Il a soulignĂ© en particulier l’importance de politiques macroĂ©conomiques bien conçues, de rĂ©formes axĂ©es sur le jeu du marchĂ©, de systĂšmes bancaires solides, de la libĂ©ralisation du commerce et des investissements, et d’une gestion saine et transparente des affaires publiques (appendice VI).

Examen semi-annuel par le Conseil

ConsĂ©quemment Ă  la dĂ©claration de Madrid d’octobre 1994, le Conseil procĂšde Ă©galement tous les six mois depuis 1995, dans le cadre de la surveillance, Ă  l’examen des politiques appliquĂ©es par les pays membres. Ces examens avaient Ă©tĂ© conçus Ă  l’origine dans le but de passer en revue les politiques mises en oeuvre par les pays membres dans le cadre de la dĂ©claration de Madrid mais ont par la suite Ă©tĂ© Ă©tendus Ă  l’analyse de leurs rĂ©sultats d’ensemble prĂ©vue au titre de l’article IV. Ils ont lieu au printemps et Ă  l’automne, avant la rĂ©union du ComitĂ© intĂ©rimaire, et fournissent l’occasion au Conseil d’examiner les questions dont l’importance est apparue Ă  l’occasion des consultations au titre de l’article IV avec les pays membres. Le Directeur gĂ©nĂ©ral transmet pour examen au ComitĂ© intĂ©rimaire un rapport Ă©tabli sur la base des dĂ©libĂ©rations du Conseil, assurant ainsi une passerelle entre les activitĂ©s bilatĂ©rales de surveillance du Conseil et les questions de portĂ©e plus gĂ©nĂ©rale traitĂ©es par le ComitĂ© intĂ©rimaire.
La derniĂšre sĂ©rie d’examens semi-annuels au titre de la surveillance des politiques appliquĂ©es par les pays membres a eu lieu en septembre 1996 (l’examen semiannuel n’a pas eu lieu en avril 1997 en raison de la biennale de la surveillance qui se tenait Ă  ce moment-là—voir infra). En septembre 1996, les dĂ©libĂ©rations du Conseil se sont concentrĂ©es sur trois problĂšmes qui Ă©taient revenus assez frĂ©quemment dans les entretiens de surveillance menĂ©s avec les pays membres: la composition de l’assainissement budgĂ©taire, la dĂ©sinflation dans les pays connaissant une inflation persistante Ă  des niveaux modĂ©rĂ©ment Ă©levĂ©s, et la politique commerciale des Ă©conomies en transition. Un rapport rĂ©capitulant la teneur des dĂ©libĂ©rations du Conseil a Ă©tĂ© transmis pour examen au ComitĂ© intĂ©rimaire lors de sa rĂ©union de septembre 1996.
Au cours de leurs entretiens, les administrateurs ont soulignĂ© que pour de nombreux membres l’objectif le plus pressant est l’ajustement budgĂ©taire, observant que celui-ci apporte des bienfaits systĂ©miques au niveau global en relevant l’épargne mondiale et en contribuant Ă  la stabilitĂ© de marchĂ©s financiers de plus en plus intĂ©grĂ©s. Toutefois la composition de l’ajustement a aussi son importance, puisqu’elle influe sur la qualitĂ© et la durabilitĂ© de l’assainissement des finances publiques. Les administrateurs ont insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© d’adapter les conseils du FMI aux conditions particuliĂšres Ă  chaque pays et Ă  l’éventail souvent limitĂ© des options envisageables. De ce point de vue, ils considĂšrent la taille du secteur public comme un facteur important pour l’élaboration des recommandations d’ajustement budgĂ©taire formulĂ©es par le FMI. Dans de nombreux pays industrialisĂ©s dotĂ©s de secteurs publics importants, l’ajustement budgĂ©taire, inĂ©vitablement, devra davantage chercher Ă  rĂ©duire les dĂ©penses qu’à augmenter les recettes. Pour certains autres pays, en particulier les pays en dĂ©veloppement oĂč les besoins en biens publics comme la santĂ©, l’éducation et l’infrastructure sont importants, ainsi que dans ceux des pays industrialisĂ©s oĂč le ratio des recettes budgĂ©taires par rapport au PIB est relativement faible, l’opinion gĂ©nĂ©rale Ă©tait que le rééquilibrage budgĂ©taire Ă  moyen terme peut se fonder plutĂŽt sur la mobilisation de recettes supplĂ©mentaires.
EncadrĂ© 3 DĂ©claration du ComitĂ© intĂ©rimaire—Partenariat pour une expansion durable de l’économie mondiale
La dĂ©claration suivante sur un Partenariat pour une expansion durable de l’économie mondiale a Ă©tĂ© adoptĂ©e Ă  la conclusion des travaux de la quaranteseptiĂšme rĂ©union du ComitĂ© intĂ©rimaire du Conseil des gouverneurs du FMI, le 29 septembre 1996.
Le ComitĂ© intĂ©rimaire a rĂ©examinĂ© la DĂ©claration sur la coopĂ©ration en vue de renforcer l’expansion mondiale, qu’il avait adoptĂ©e voici deux ans Ă  Madrid. Il note que la stratĂ©gie Ă©noncĂ©e dans la DĂ©claration, dont les trois grands axes Ă©taient la poursuite de politiques Ă©conomiques intĂ©rieures saines, la coopĂ©ration internationale et l’intĂ©gration mondiale, demeure valable. Il reste fidĂšle Ă  l’objectif d’encourager tous les pays, y compris les pays Ă  faible revenu, Ă  s’intĂ©grer pleinement Ă  l’économie mondiale. Les Ă©volutions et perspectives favorables qui s’ouvrent Ă  de nombreux pays, qu’ils soient industrialisĂ©s, en dĂ©veloppement ou en transition, doivent beaucoup aux politiques Ă©quilibrĂ©es et conformes Ă  la stratĂ©gie commune Ă  moyen terme qu’ils ont mises en oeuvre.
Le ComitĂ© intĂ©rimaire juge utile, compte tenu des nouveaux dĂ©fis que pose un environnement mondial en constante mutation, d’actualiser cette DĂ©claration, d’en Ă©largir la portĂ©e et de redoubler d’efforts pour lui donner des suites concrĂštes, dans un esprit de partenariat empreint d’une nouvelle vigueur. Il lui paraĂźt d’une importance particuliĂšre de:
‱ Souligner que les politiques monĂ©taire, budgĂ©taire et structurelles saines sont complĂ©mentaires et se renforcent mutuellement: il faut donc poursuivre avec persĂ©vĂ©rance des politiques cohĂ©rentes sur le moyen terme pour asseoir les bases d’une croissance soutenue et non inflationniste et de la crĂ©ation d’emplois, conditions cruciales du maintien de la cohĂ©sion sociale.
‱ Appliquer des politiques macroĂ©conomiques saines et Ă©viter l’apparition de dĂ©sĂ©quilibres importants comme condition essentielle de la stabilitĂ© financiĂšre et de la stabilitĂ© des changes, et moyen d’éviter des Ă©carts marquĂ©s dans la valeur relative des monnaies.
‱ CrĂ©er un environnement favorable Ă  la formation de l’épargne privĂ©e.
‱ Consolider les succĂšs obtenus dans la maĂźtrise de l’inflation et renforcer la crĂ©dibilitĂ© chĂšrement acquise de la politique monĂ©taire.
‱ Maintenir l’élan donnĂ© Ă  la libĂ©ralisation du commerce mondial, rĂ©sister aux pressions protectionnistes et prĂ©server le systĂšme de commerce multilatĂ©ral.
‱ Encourager la convertibilitĂ© des monnaies au titre des transactions courantes, ainsi que des progrĂšs prudents vers une plus grande libertĂ© de circulation des capitaux au moyen d’efforts visant Ă  promouvoir la stabilitĂ© et la soliditĂ© des systĂšmes financiers.
‱ Assurer l’équilibre budgĂ©taire et renforcer la discipline en matiĂšre de finances publiques dans un cadre pluriannuel. Les dĂ©sĂ©quilibres budgĂ©taires persistants et l’endettement public excessif, et les pressions qu’ils exercent globalement sur les taux d’intĂ©rĂȘt rĂ©els, menacent la stabilitĂ© financiĂšre et les chances d’une croissance durable. Il est indispensable d’amĂ©liorer la transparence de la gestion des finances publiques en poursuivant l’effort de rĂ©duction des opĂ©rations hors budget et des dĂ©ficits quasi budgĂ©taires.
‱ AmĂ©liorer la qualitĂ© et la composition des ajustements budgĂ©taires, en rĂ©duisant les dĂ©penses improductives tout en prĂ©servant les investissements essentiels en infrastructures. La croissance Ă©conomique, pour ĂȘtre durable, doit reposer sur la valorisation des ressources humaines. Aussi est-il crucial d’amĂ©liorer l’éducation et la formation, d’assainir les systĂšmes publics de retraites et de santĂ© pour en garantir la viabilitĂ© Ă  long terme et assurer aux populations des services de soins adĂ©quats, et de lutter contre la pauvretĂ© en mettant en place des dispositifs de protection sociale correctement ciblĂ©s et que les pay...

Table of contents

  1. Cover Page
  2. Title Page
  3. Copyright Page
  4. Contents
  5. Conseil d’administration et direction
  6. Lettre de présentation
  7. Vue d’ensemble
  8. Sur fond de mondialisation croissante de l’économie, le FMI rĂ©examine ses activitĂ©s de surveillance, envisage d’inscrire la libĂ©ralisation des mouvements de capitaux parmi ses objectifs et s’attaque aux difficultĂ©s des pays trĂšs endettĂ©s
  9. PremiĂšre partie. L’économie mondiale
  10. DeuxiĂšme partie. Le FMI en 1996/97
  11. Appendices
  12. Encadrés
  13. Abréviations
  14. Footnotes