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Regional Economic Outlook, October 2018, Sub-Saharan Africa : Capital Flows and The Future of Work
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Regional Economic Outlook, October 2018, Sub-Saharan Africa : Capital Flows and The Future of Work
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Information
Publisher
INTERNATIONAL MONETARY FUNDYear
2018eBook ISBN
97814843768741. Reprise et risques croissants
Les rĂ©sultats macroĂ©conomiques en Afrique subsaharienne continuent de sâamĂ©liorer grĂące aux ajustements opĂ©rĂ©s au niveau national et Ă un contexte extĂ©rieur favorable, marquĂ©, entre autres, par le maintien dâune croissance rĂ©guliĂšre de lâĂ©conomie mondiale, lâaugmentation des prix des produits de base et des conditions financiĂšres extĂ©rieures accommodantes. La croissance devrait passer de 2,7 % en 2017 Ă 3,1 % en 2018, lâinflation recule, et les dĂ©sĂ©quilibres budgĂ©taires sont maĂźtrisĂ©s dans de nombreux pays.
Cette amĂ©lioration est bienvenue, mais du fait de la nature des ajustements, il reste Ă sâattaquer rĂ©solument aux vulnĂ©rabilitĂ©s sous-jacentes, que ce soit Ă court ou Ă moyen terme, afin de protĂ©ger la reprise contre les risques liĂ©s Ă des chocs intĂ©rieurs ou extĂ©rieurs. Il convient de progresser dans la mobilisation des recettes intĂ©rieures afin dâassurer la viabilitĂ© de la dette et de crĂ©er un espace budgĂ©taire pour les investissements et dĂ©penses de dĂ©veloppement qui sâimposent. Par ailleurs, la croissance potentielle sur le moyen terme reste trop faible pour crĂ©er le nombre dâemplois nĂ©cessaire Ă lâabsorption des nouveaux arrivants qui sont attendus sur les marchĂ©s du travail.
JusquâĂ prĂ©sent, le rééquilibrage budgĂ©taire sâexplique largement par le rebond des prix du pĂ©trole pour les pays exportateurs de pĂ©trole, ainsi que les fortes rĂ©ductions des dĂ©penses dâĂ©quipement dans plusieurs pays. Ă quelques exceptions prĂšs, les progrĂšs dans la mobilisation des recettes intĂ©rieures ont Ă©tĂ© relativement modestes. En effet, dans certains pays exportateurs de pĂ©trole (Angola, Gabon, GuinĂ©e Ă©quatoriale, RĂ©publique du Congo), les recettes hors produits de base ont dĂ©clinĂ© en termes rĂ©els en 2017, mĂȘme si dâautres pays riches en ressources naturelles ont pu augmenter leurs recettes hors ressources naturelles. De nombreux pays ont pris du retard dans lâajustement des prix intĂ©rieurs des carburants en rĂ©action Ă la rĂ©cente augmentation des prix du pĂ©trole, dâoĂč la rĂ©surgence de subventions Ă©nergĂ©tiques peu rentables. Par ailleurs, les arriĂ©rĂ©s intĂ©rieurs demeurent Ă©levĂ©s, leur encours avoisinant 5 % du PIB en moyenne fin 2017. Au-delĂ de lâadministration centrale, les entreprises publiques deviennent un risque budgĂ©taire majeur dans certains pays, qui consacrent des ressources budgĂ©taires Ă lâassistance dâentreprises publiques inefficientes.
Ces rĂ©sultats budgĂ©taires restreignent la capacitĂ© de rĂ©ponse du secteur privĂ© et accentuent les pressions sur les systĂšmes financiers. La persistance des arriĂ©rĂ©s intĂ©rieurs, gĂ©nĂ©ralement envers des fournisseurs, a Ă©galement contribuĂ© Ă lâaccumulation de prĂȘts improductifs dans de nombreux pays (Angola, Ghana, GuinĂ©e Ă©quatoriale, Mozambique, Tchad), ce qui a pesĂ© sur lâoctroi de crĂ©dit au secteur privĂ© et accentuĂ© la vulnĂ©rabilitĂ© du secteur financier.
Le secteur financier est trĂšs vulnĂ©rable dans certains pays oĂč les prĂȘts improductifs sont Ă©levĂ©s, les banques peu rentables et les ratios de fonds propres largement insuffisants. Dans dâautres pays, les rendements attractifs des titres publics ont soutenu la rentabilitĂ© des banques.
Sâagissant du secteur extĂ©rieur, les soldes des transactions courantes nâont que peu Ă©voluĂ©. Toutefois, les entrĂ©es de capitaux ont Ă©tĂ© robustes, les Ă©missions dâeuro-obligations ayant atteint des niveaux records au cours du premier semestre 2018. Les turbulences engendrĂ©es dans les pays Ă©mergents par la normalisation de la politique monĂ©taire dans les pays avancĂ©s ont entraĂźnĂ© un Ă©largissement des Ă©carts de taux dâintĂ©rĂȘt. Toutefois, les pays de la rĂ©gion nâont gĂ©nĂ©ralement pas mis Ă profit le contexte favorable pour reconstituer leurs rĂ©serves, la moitiĂ© dâentre eux pointant audessous des niveaux considĂ©rĂ©s comme adĂ©quats.
DerriĂšre ce panorama dâensemble se cache une grande disparitĂ© entre pays. Le rĂ©cent traitĂ© de paix signĂ© au Soudan du Sud, lâavancement du processus de paix au Mozambique ainsi que lâamĂ©lioration des relations entre lâĂrythrĂ©e et lâĂthiopie constituent autant dâopportunitĂ©s dâaller de lâavant dans ces pays. LâAngola a pris des mesures importantes pour remĂ©dier Ă ses problĂšmes de gouvernance persistants et pour sâattaquer aux profonds dĂ©sĂ©quilibres macroĂ©conomiques qui ont freinĂ© sa croissance au cours des derniĂšres annĂ©es.
Pour ce qui est des perspectives, lâĂ©conomie mondiale entre dans une pĂ©riode dâincertitude anormalement Ă©levĂ©e, avec des risques de rĂ©vision Ă la baisse considĂ©rables qui pourraient avoir des rĂ©percussions nĂ©gatives dans de nombreux pays de la rĂ©gion. La croissance est dĂ©jĂ en train de se tasser dans la plupart des pays avancĂ©s et pourrait ralentir davantage si les tensions commerciales sâaccentuaient. La combinaison de la hausse des taux dâintĂ©rĂȘt liĂ©e au resserrement des Ă©carts de production dans les pays avancĂ©s et de la robustesse prolongĂ©e du dollar va alourdir le fardeau du service de la dette, faire augmenter le coĂ»t des nouveaux emprunts et accentuer les pressions sur la compĂ©titivitĂ© des pays dont les monnaies sont, de façon officielle ou informelle, rattachĂ©es Ă des devises qui sâapprĂ©cient.
Pour mieux se positionner face à ces difficultés, les pays devraient :
- Mettre en Ćuvre des stratĂ©gies budgĂ©taires destinĂ©es Ă rĂ©duire la vulnĂ©rabilitĂ© liĂ©e Ă la dette, dans le cadre dâun rééquilibrage budgĂ©taire constant. La plupart des pays ont Ă©laborĂ© ce genre de stratĂ©gies, mais pour quâelles portent leurs fruits, elles doivent ĂȘtre suivies, y compris durant les pĂ©riodes de poussĂ©es temporaires des prix des produits de base ou Ă lâapproche dâĂ©lections, qui sont programmĂ©es au cours de lâannĂ©e prochaine dans bon nombre de grands pays du continent, parmi lesquels lâAfrique du Sud, le NigĂ©ria et le SĂ©nĂ©gal.
- Mobiliser davantage de recettes. Les recettes fiscales Ă©tant en moyenne infĂ©rieures de 3 % Ă 5 % du PIB Ă leur potentiel estimĂ©, les pays disposent dâune marge considĂ©rable pour accroĂźtre leur base de recettes et dĂ©gager un espace budgĂ©taire pour se consacrer Ă leurs prioritĂ©s de dĂ©veloppement. Parmi les Ă©lĂ©ments communs dâune mobilisation efficace des recettes dans la rĂ©gion figure la prioritĂ© accordĂ©e aux institutions de base accompagnĂ©e dâune politique et dâune administration fiscales efficaces et modernes. Des mesures sont Ă©galement nĂ©cessaires pour Ă©largir lâassiette de lâimpĂŽt, simplifier le systĂšme fiscal et diminuer les exonĂ©rations et les incitations. Il convient de noter que les rĂ©formes efficaces ne correspondent pas Ă un modĂšle préétabli, mais ont plutĂŽt Ă©tĂ© adaptĂ©es en fonction du contexte de chaque pays (FMI, 2018a).
- AccroĂźtre lâefficience des dĂ©penses, notamment pour lutter contre la rĂ©apparition des subventions Ă lâĂ©nergie, que lâon sait inefficientes, en mettant en place des mĂ©canismes de fixation automatique des prix des carburants (comme lâont fait le Ghana et le Mozambique avec succĂšs), tout en instaurant des mesures de compensation pour les populations pauvres.
- Autoriser une plus grande flexibilité des taux de change lorsque les dispositifs institutionnels le permettent, sauf en cas de vulnérabilité des bilans.
- Intervenir Ă temps pour remĂ©dier aux faiblesses croissantes du secteur financier. En repoussant lâaction jusquâĂ ce quâun effondrement se produise, les pays se retrouvent contraints de procĂ©der Ă un ajustement brutal qui augmente les coĂ»ts budgĂ©taires et accentue le ralentissement de la croissance. Certains pays ont avancĂ© rĂ©cemment dans la diminution des prĂȘts improductifs (GuinĂ©e Bissau, GuinĂ©e Ă©quatoriale), lâaugmentation des fonds propres (Angola, Ghana, Mozambique) et lâadoption de nouvelles rĂ©glementations prudentielles (CommunautĂ© Ă©conomique et monĂ©taire de lâAfrique centrale (CEMAC), Union Ă©conomique et monĂ©taire ouest-africaine (UEMOA)). Cependant, les pays doivent adopter des stratĂ©gies de rĂ©duction des prĂȘts improductifs exhaustives sâils veulent vraiment sâattaquer aux prĂȘts improductifs persistants.
- Mener des politiques visant Ă stimuler lâinvestissement privĂ© et libĂ©rer le potentiel de croissance, notamment en sâouvrant au commerce (en particulier dans le cadre de la Zone de libre-Ă©change continentale), en promouvant la connectivitĂ© numĂ©rique et un systĂšme Ă©ducatif flexible, en supprimant les distorsions du marchĂ©, en encourageant lâexpansion des circuits financiers, en mettant en place un climat des affaires sain, en affectant mieux les dĂ©penses publiques et en assurant une fourniture adĂ©quate des biens publics (avec une infrastructure bien dĂ©veloppĂ©e, entre autres).
Dans ce contexte, le chapitre 2 offre une analyse dĂ©taillĂ©e des tendances et de la dynamique des flux de capitaux vers les pays dâAfrique subsaharienne en mettant lâaccent sur trois grandes questions : 1) quelle a Ă©tĂ© lâĂ©volution des flux financiers non officiels (classĂ©s par catĂ©gories dâactifs ou en fonction du lieu de rĂ©sidence des investisseurs) ? 2) quels facteurs ont dĂ©terminĂ© les flux de capitaux vers la rĂ©gion ? et 3) quelles sont les implications macroĂ©conomiques intĂ©rieures (en termes de taux de change, de production et de stabilitĂ© financiĂšre) des diffĂ©rents types dâentrĂ©es de capitaux Ă©trangers ?
Enfin, le chapitre 3 examine comment lâAfrique subsaharienne peut crĂ©er des emplois Ă lâĂ©preuve de lâavenir pour sa main-dâĆuvre en forte progression dans un contexte de rapide mutation technologique, en sâappuyant sur trois scĂ©narios reflĂ©tant diffĂ©rentes incertitudes Ă lâĂ©chelle mondiale qui pourraient façonner lâavenir de lâemploi dans la rĂ©gion, et liĂ©s au progrĂšs technologique, Ă la gĂ©opolitique et au changement climatique.
Ăvolution et Perspectives MacroĂ©conomiques
Un environnement extérieur moins favorable et une incertitude croissante
La croissance mondiale continue de sâaccĂ©lĂ©rer rĂ©guliĂšrement, mais lâaccentuation des tensions commerciales, la perspective de la normalisation des politiques monĂ©taires et la volatilitĂ© des marchĂ©s des actifs assombrissent les perspectives pour lâAfrique subsaharienne. La croissance mondiale devrait sâĂ©tablir Ă 3,7 % en 2018 et en 2019, soit au-dessous de la prĂ©vision de 3,9 % Ă©tablie dans les Perspectives de lâĂ©conomie mondiale (PEM) dâavril 2018. En outre, lâexpansion est devenue plus inĂ©gale et semble avoir culminĂ© dans certains grands pays (graphique 1.1), tandis que les tensions commerciales sâaccentuent : les droits de douane ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© relevĂ©s pour un certain nombre de produits, ce qui a affectĂ© le moral des secteurs concernĂ©s et affaibli dâautres indicateurs prospectifs, tout en augmentant la volatilitĂ© des marchĂ©s des produits de base et dâautres actifs. Sur le moyen terme, la croissance potentielle devrait rester infĂ©rieure aux moyennes dâavant la crise sur fond de vieillissement de la population et de tassement de la croissance de la productivitĂ©.
Graphique 1.1. Projections de croissance mondiale actuelles par rapport Ă avril 2018

Source : FMI, base de donnĂ©es des Perspectives de lâĂ©conomie mondiale.
Note : Les lignes continues reprĂ©sentent les projections actuelles, et celles en pointillĂ©s les projections dâavril 2018 (FMI, base de donnĂ©es des Perspectives de lâĂ©conomie mondiale).
MalgrĂ© une volatilitĂ© accrue sur les marchĂ©s des produits de base, les prix de lâĂ©nergie devraient ĂȘtre plus Ă©levĂ©s que prĂ©vu en avril dernier, mais les perspectives sont contrastĂ©es pour les mĂ©taux et les autres produits de base exportĂ©s par la rĂ©gion (graphique 1.2). Si les perspectives des prix de lâĂ©nergie apportent un certain soulagement aux pays producteurs de pĂ©trole, elles impliquent Ă©galement une dĂ©tĂ©rioration des termes de lâĂ©change pour les pays importateurs de pĂ©trole (Ă savoir trois quarts des pays de la rĂ©gion).
Graphique 1.2. Cours des principaux produits de base : moyenne des variations anticipĂ©es, 2019â20 par rapport Ă 2017

Sources : FMI, systĂšme des cours des produits de base ; hypothĂšses mondiales du FMI.
Note: PEM = Perspectives de lâĂ©conomie mondiale (FMI).
Les conditions financiĂšres mondiales restent accommodantes, mais elles se sont quelque peu resserrĂ©es depuis la mi-avril 2018, avec un Ă©largissement des Ă©carts de taux sur les obligations et des capitaux qui sortent de certains pays Ă©mergents et préémergents. Les investisseurs internationaux ont fait preuve dâappĂ©tit pour les titres de la rĂ©gion, les Ă©missions internationales dâobligations souveraines par les pays préémergents subsahariens ayant atteint 13,8 milliards de dollars sur le premier semestre 2018, ce qui constitue un record annuel, contre 7,6 milliards de dollars pour lâensemble de lâannĂ©e 2017 (graphique 1.3). Par exemple, le SĂ©nĂ©gal a Ă©mis 2,2 milliards de dollars dâeuro-obligations en mars 2018, cette Ă©mission Ă©tant sursouscrite cinq fois. En mai, lâAngola et le Ghana ont procĂ©dĂ© Ă des Ă©missions dâeuro-obligations pour 3 et 2 milliards de dollars respectivement, lesquelles ont Ă©tĂ© sursouscrites trois et quatre fois. En juillet, lâAngola a rouvert son Ă©mission dâeuro-obligations du mois de mai, levant ainsi 500 millions de dollars supplĂ©mentaires.
Graphique 1.3. Pays préémergents dâAfrique subsaharienne : Ă©missions dâobligations souveraines internationales, 2011â18

Source : Haver Analytics.
Note : données au mois de septembre 2018.
Poursuite dâune reprise timide, portĂ©e principalement par les exportateurs de pĂ©trole
La croissance moyenne de la rĂ©gion (pondĂ©rĂ©e par le PIB calculĂ© selon les paritĂ©s de pouvoir dâachat) devrait atteindre environ 3,1 % en 2018, contre 2,7 % en 2017 (graphique 1.4). La dynamique de croissance sâest amĂ©liorĂ©e surtout dans les pays exporta...
Table of contents
- Cover Page
- Title Page
- Copyright Page
- Content Page
- Sigles et acronymes
- Remerciements
- Résumé analytique
- 1. Reprise et risques croissants
- Ăvolution et perspectives macroĂ©conomiques
- Les bilans restent vulnérables
- Risques pesant sur les perspectives
- Mesures Ă prendre
- 2. Flux de capitaux vers lâAfrique subsaharienne : causes et consĂ©quences
- Ăvolution des mouvements de capitaux
- Moteurs des flux de capitaux
- Conséquences macroéconomiques des entrées de capitaux
- Conclusion
- 3. Lâavenir de lâemploi en Afrique subsaharienne
- Les conséquences du changement technologique : les machines remplaceront-elles les travailleurs ?
- Analyse de scĂ©narios : lâavenir de lâemploi en Afrique subsaharienne
- Quelles sont les politiques requises pour crĂ©er des emplois Ă lâĂ©preuve de lâavenir ?
- Conclusions
- Appendice Statistique
- Encadrés
- Footnotes