Fausta Vaincue
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Fausta Vaincue

About this book

Fausta vaincue est la suite de La Fausta, la subdivision en deux tomes ayant été faite lors de la publication en volume, en 1908. Nous sommes donc toujours en 1588, sous le règne d'Henri III, en lutte contre le duc de Guise et la Sainte ligue, le premier soutenu par Pardaillan, et le second par Fausta... Sans vous dévoiler les péripéties multiples et passionnantes de cette histoire, nous pouvons vous dire que le duc de Guise et Henri III mourront tous deux (Zévaco, malgré son imagination, ne peut changer l'Histoire...), et que Pardaillan vaincra Fausta...

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Information

Chapitre 1 LA FLAGELLATION DE JÉSUS

Une foule immense était rassemblée sur la Grève, non plus cette fois pour y voir un beau spectacle de pendaison, une jolie estrapade[1] ou une intéressante grillade d’hérétiques, mais simplement pour assister au départ de la grande procession organisée pour porter au roi Henri III les doléances de la bonne ville de Paris.
Pour la grande majorité des Parisiens, il s’agissait de réconcilier le roi avec sa capitale, en obtenant bien entendu un certain nombre d’avantages parmi lesquels on plaçait au premier rang le renvoi du duc d’Épernon et du Seigneur d’O qui avaient quelque peu abusé du droit de pressurer les bourgeois.
Pour une autre catégorie moins nombreuse et initiée à certains projets de Mgr de Guise, il s’agissait d’imposer à Henri III une terreur salutaire et d’obtenir de lui, moyennant la soumission de Paris et son repentir de la journée des Barricades, une guerre à outrance contre les huguenots, c’est-à-dire leur extermination.
Pour une troisième catégorie, moins nombreuse encore et initiée plus avant dans les projets des chefs de la Ligue, il s’agissait de s’emparer du roi, de l’enfermer en quelque bon couvent, et de le déposer après l’avoir préalablement tondu.
Enfin, pour une quatrième catégorie réduite à une douzaine d’initiés, il s’agissait de tuer Henri III.
Tout le monde était donc content.
Non seulement la Grève était noire de monde, mais encore les rues avoisinantes regorgeaient de bourgeois qui, la salade[2] en tête, la pertuisane d’une main, un cierge de l’autre et le chapelet autour du cou, se disposaient à processionner jusqu’à Chartres. Ajoutons qu’en dehors des ligueurs qui, pour une des raisons énumérées plus haut, voulaient pénétrer dans la ville où s’était réfugié Valois, en dehors de ces étranges processionneurs armés jusqu’aux dents, un nombre considérable de mendiants s’étaient mis de la partie.
En effet, le voyage à Chartres, en tenant compte des lenteurs d’un pareil exode, devait durer quatre jours. Le duc de Guise avait fait crier qu’il avait disposé trois gîtes d’étapes le long du chemin, et qu’à chacun de ces gîtes on tuerait cinquante bœufs et deux cents moutons pour nourrir le peuple en marche. Tout ce qu’il y avait de mendiant à Paris avait donc vu dans cette procession une rare occasion à ripaille et franche lippée.
Ce jour-là, donc, vers huit heures du matin, les cloches des innombrables paroisses de Paris se mirent à carillonner. Sur la place de Grève vinrent se ranger successivement les délégués de l’Hôtel de Ville, les représentants des diverses églises, curés ou vicaires, puis les confréries, les théories de moines tels que Feuillants, Capucins, et enfin les Pénitents blancs qu’on remarquait spécialement. En effet, c’était Henri III lui-même qui un lendemain de débauche avait fondé la confrérie des Pénitents blancs.
Enfin, vers huit heures, le Te Deum ayant été chanté à Notre-Dame en présence du lieutenant général de la Ligue, c’est-à-dire d’Henri le Saint, la procession s’ébranla parmi d’immenses acclamations, des cris frénétiques de « Vive la Ligue ! Vive le Grand Henri ! » et dans le tumulte des bombardes éclatant sur les remparts.
Parmi les files interminables de cierges et d’arquebuses, on vit dans cette procession des choses magnifiques. D’abord les douze apôtres en personne, revêtus d’habillements tels qu’on en portait du temps de Jésus-Christ. Seulement ces dignes apôtres, sous leurs tuniques à la romaine, laissaient voir la cuirasse, et ils ne s’étaient pas gênés pour se coiffer de casques à panaches, ce qui les faisait paraître bien plus beaux.
Après les apôtres venaient quelques soldats romains portant les instruments de supplice de Jésus-Christ. L’un agitait une lance ; un autre tenait une perche au bout de laquelle était fixée une éponge ; un troisième portait un seau. Mais le plus beau venait ensuite.
En effet, Jésus-Christ lui-même était représenté par un personnage qui traînait une immense croix. Ce personnage n’était autre qu’Henri de Bouchage, duc de Joyeuse, lequel, comme on sait, avait pris l’habit de capucin sous le nom de frère Ange, et devait plus tard rejeter le froc pour guerroyer, puis rentrer encore en religion.
Le duc de Joyeuse, donc, ou frère Ange, comme on voudra, portait sur ses épaules une croix qui par bonheur était en carton : sur sa tête, une couronne d’épines également en carton peint, et autour du cou, par un bizarre anachronisme, le chapelet des ligueurs. Il avait la figure barbouillée de rouge pour figurer le sang. Près de lui marchaient deux jeunes capucins dont l’un représentait Madeleine et l’autre la Vierge.
Derrière Joyeuse déguisé en Christ, venaient deux grands gaillards qui le fouettaient ou faisaient semblant de le fouetter, ce qui soulevait dans la foule des cris d’indignation. Et cette indignation, vraie ou feinte comme le reste, prenait des proportions de rage lorsque, par un anachronisme plus bizarre encore (mais on n’y regardait pas de si près), les deux flagellants, tous les quinze ou vingt pas, s’écriaient :
– C’est ainsi que les huguenots ont traité Notre Seigneur Jésus !
– Mort aux parpaillots ! reprenait la foule, de très bon cœur cette fois.
Moines, prêtres, ligueurs, cierges, arquebuses, flagellants, apôtres et Jésus, tout ce monde sortit de Paris et prit la route d’Orléans, c’est-à-dire la route de Chartres, parmi les cantiques et les cris de guerre.
À une vingtaine de pas derrière Jésus, ou frère Ange, ou duc de Joyeuse, marchaient côte à côte quatre pénitents qui, se tenant par le bras, tête baissée, capuchon sur le visage, se faisaient remarquer par leurs énormes chapelets et par leur piété extraordinaire. Peu à peu le désordre s’étant mis dans les rangs de la procession, ces quatre pénitents finirent par se trouver derrière Jésus au moment où celui-ci, d’une voix retentissante, criait :
– Mes frères, mort aux huguenots maudits qui m’ont flagellé !…
Une acclamation salua ces paroles du Christ qui, ayant essuyé la sueur qui coulait de son front, continua :
– Puisque nous allons voir Hérode…
– Le roi ! interrompit une voix impérieuse. Dites : le roi, messire, puisque Paris se réconcilie avec Sa Majesté !
– C’est juste, sire de Bussi-Leclerc ! reprit Jésus-Christ. Donc, mes frères, puisque nous allons voir le roi, nous devons avant tout obtenir qu’il renvoie ses Ordinaires !… Mort aux Ordinaires !
– Très juste, dit Bussi-Leclerc. Mort aux Quarante-Cinq !
– À mort ! À mort ! reprit la foule des pénitents.
– En route, donc, dit Jésus.
Et la procession, dont la marche s’était trouvée interrompue, reprit son cours. Elle s’étendait sur une longueur d’une bonne lieue. Et quelques heures après avoir quitté Paris, tout se monde marchait à sa convenance, sans ordre arrêté.
Bien en avant de ce troupeau, Guise, Mayenne et leur frère, à cheval, entourés d’une cinquantaine de gentilshommes bien armés, s’entretenaient à voix basse de choses mystérieuses.
Quant aux quatre pénitents que nous avons signalés, ils causaient entre eux sans précautions ; en effet, tels étaient les cris, les chants de guerre et les cantiques qu’il leur était difficile de s’entendre.
– Dis donc, Chalabre, disait l’un, as-tu entendu frère Ange ?
– Par les cornes du beau duc, je crois bien, Sainte-Maline !
– J’ai envie de frotter un peu les côtes de messire Jésus ! dit un troisième pénitent.
– Calme-toi, Montsery, reprit Chalabre, Joyeuse nous payera son discours plus cher qu’il ne pense !
– Messieurs, dit le quatrième, jouons bien notre rôle jusqu’à ce soir, et puis nous verrons.
– Es-tu bien rétabli, mon cher Loignes ?… Ta blessure ?
– Eh ! le coup fut bien appliqué. Le cher duc n’y va pas de main morte quand il frappe. J’ai cru que j’étais mort. Et sans ce digne astrologue… n’importe ! je veux que Guise reçoive de ma main le même coup qu’il m’a porté…
– Tu es ingrat, Loignes ! dit Montsery. Comment serions-nous sortis de Paris s’il n’avait eu l’idée d’aller en procession voir notre sire ?…
– Oui, fit sourdement Loignes. Il va à Chartres. Mais du diable s’il en revient !
– Il y va pour demander nos têtes au roi ! ricana Chalabre.
– Et les offrir ensuite à Bussi-Leclerc et à Joyeuse ! continua Sainte-Maline.
– Messieurs, dit Loignes, Joyeuse a crié tout à l’heure : « Mort aux Ordinaires ! » Bussi-Leclerc a crié : « Mort aux Quarante-Cinq ! »… Joyeuse est un misérable fou et ne vaut pas son coup de poignard. Quant à Leclerc, il n’arrivera pas à Chartres. Est-ce dit ?…
– C’est dit ! reprirent les trois autres.
Laissant les quatre spadassins – quatre des Ordinaires d’Henri III – à leurs projets de vengeance et de meurtre, nous laisserons s’éloigner la fantastique procession en marche sur Chartres et nous rejoindrons une litière fermée qui vient à quelques centaines de toises derrière la colonne.
Cette litière était entourée par une douzaine de cavaliers qui jetaient sur quiconque approchait un regard si menaçant que les plus curieux ou les plus audacieux s’écartaient à l’instant même. Dans cette litière se trouvaient deux femmes : Fausta et Marie de Montpensier.
– L’homme ? demanda Fausta au moment où nous rejoignons la litière.
– Confondu dans la foule des pénitents, il chemine en silence, débattant sans doute avec lui-même comment il parviendra jusqu’à Hérodes.
– Vous êtes bien sûre que ce moine se trouve dans la procession ? insistait Fausta.
– Je l’ai vu, répondit la duchesse, vu de mes yeux.
Fausta soupira et murmura :
– Pardaillan m’avait dit vrai. Jacques Clément, libre, marche à sa destinée. Allons ! Valois est condamné. Rien ne peut le sauver maintenant…
– Que dites-vous, ma belle souveraine ? Il me semble que vous avez prononcé un nom… celui du sire de Pardaillan…
– Oui ! dit Fausta en regardant fixement la duchesse.
– C’est que ce nom, mon frère et ses gentilshommes le prononcent bien souvent depuis trois ou quatre jours…
– Eh bien ! si vous voulez que votre frère ne prononce plus ce nom…
– Moi ? Cela m’est égal, je vous jure !… fit Marie en riant.
Elle était très gaie, la jolie duchesse. Elle gazouillait, fredonnait, jouait avec ses ciseaux d’or et, somme toute, marchait à l’assassinat d’Henri III comme à une fête. En revanche, Fausta, dont le visage ne témoignait d’ordinaire d’aucune agitation, paraissait bien sombre.
– Oui, reprit-elle, cela vous est égal, à vous. Mais il est nécessaire que le duc de Guise ait l’esprit libre pour ce qui va être entrepris. Et pour qu’il ait l’esprit libre, il faut qu’il n’ait plus ce nom de Pardaillan sur les lèvres. Et pour qu’il ne le prononce plus…
– Eh bien ? demanda Marie.
– Dites-lui, faites-lui savoir, dès que nous serons entrés dans Chartres, que Pardaillan est mort !… Et afin qu’il n’ait point de doute, dites-lui que c’est moi qui l’ai tué…
Ayant ainsi parlé, Fausta baissa la tête et ferma les yeux comme pour indiquer qu’elle voulait se renfermer dans ses pensées. Et ces pensées devaient être funèbres, car son visage, dans son immobilité, semblait refléter la mort…
Nos personnages sont donc ainsi disposés : en tête de ce long serpent de foule qui se déroule sur la route, un groupe de cavaliers : Guise, ses frères, ses gentilshommes. Près de lui, Maineville insoucieux et Maurevert inquiet, le regard sans cesse en alarme. Quant à Bussi-Leclerc, il s’intéresse à la procession, sans doute, car il en parcourt les rangs, et on le voit tantôt sur un point, tantôt sur un autre.
Puis, derrière cette bande de seigneurs, à une certaine distance, commence la procession, la théorie des moines et des prêtres escortés de ligueurs, flanqués de mendiants.
Puis viennent les apôtres et Joyeuse qui continue à crier que les huguenots le meurtrissent. Puis, presque sur les talons de Jésus, marchent Loignes, Sainte-Maline, Chalabre et Montsery, déguisés en pénitents.
Puis, presque à la queue de la colonne, un moine marche seul, le capuchon sur la figure, et ses mains croisées serrent avec ferveur contre sa poitrine une dague solide : c’est Jacques Clément.
Enfin, très en arrière, c’était la litière de Fausta.
De ce peuple en marche montait une sourde rumeur composée de prières, de cris, d’éclats de rire, de chants bachiques et de cantiques religieux. Et cette rumeur attirait les gens des hameaux et des villages. De toutes parts, les manants accouraient pour voir ce spectacle extraordinaire.
Nous ne suivrons pas la procession sur tout le chemin qu’elle parcourut dans ces quatre journées de marche ; disons seulement que le quatrième jour, vers onze heures du matin, elle apparut devant la porte Guillaume après avoir contourné une partie des murailles de Chartres. Mais avant de l’y rejoindre, signalons un événement qui se passa la veille.
Le troisième jour, la procession se reposa dans le village de Latrape l’un des gîtes d’étape organisés par le sieur Crucé, promu au rang de maréchal des logis de cet exode. Les pénitents y étaient arrivés vers quatre heures, et aussitôt s’étaient mis à table, c’est-à-dire qu’ils avaient envahi une immense prairie où ils s’étaient assis dans l’herbe.
Naturellement, Guise et sa suite avaient pris leurs logis dans les meilleures maisons du village.
Dans la prairie, les gens de Latrape allaient et venaient, empressés à faire bon accueil aux pénitents. Ces braves gens avaient fait cuire d’innombrables fournées de pain, avaient mis en perce une trentaine de tonneaux de cidre ou de vin, et avaient allumé de grands feux dans la prairie. Devant ces feux rôtissaient des moutons entiers, des quartiers de bœuf suspendus à des cordes, des cochons qui, accrochés à des perches en faisceau, tournoyaient lentement au-dessus des flammes, et enfin un régiment de dindons et de poules.
Après cette énorme ripaille que nous regrettons de n’avoir pas le temps de décrire, chacun s’enveloppa de son manteau et chercha un coin pour dormir. La nuit était venue en effet, et c’était à la lueur des torches qu’on avait vidé les derniers brocs, poussé les derniers cris de : « Mort aux huguenots ! À bas d’Épernon ! Sus aux Ordinaires d’Hérode… » Puis les dernières torches s’éteignirent. Dix heures sonnèrent au petit clocher du village.
À ce moment, dans l’avant-dernière maison en allant vers Chartres, deux hommes...

Table of contents

  1. Titre
  2. Chapitre 1 - LA FLAGELLATION DE JÉSUS
  3. Chapitre 2 - HENRI III
  4. Chapitre 3 - HENRI III (suite)
  5. Chapitre 4 - PARDAILLAN ET FAUSTA.
  6. Chapitre 5 - L’AUBERGE DU CHANT DU COQ
  7. Chapitre 6 - LA VIE DE COCAGNE
  8. Chapitre 7 - MARIE DE MONTPENSIER
  9. Chapitre 8 - LE CALVAIRE DE MONTMARTRE
  10. Chapitre 9 - LA PAROLE DE MAUREVERT
  11. Chapitre 10 - LE CARDINAL
  12. Chapitre 11 - LA MÈRE
  13. Chapitre 12 - LA FILLE
  14. Chapitre 13 - FIN DE LA VIE DE COCAGNE
  15. Chapitre 14 - MONSIEUR PERETTI
  16. Chapitre 15 - LE 21 OCTOBRE 1588
  17. Chapitre 16 - DEVANT L’ABBAYE
  18. Chapitre 17 - LA RECONNAISSANCE DE FAUSTA
  19. Chapitre 18 - MAUREVERT
  20. Chapitre 19 - L’ÉCHAUFFOURÉE DE LA CITÉ
  21. Chapitre 20 - OÙ FAUSTA SE CONTENTE D’UNE COURONNE
  22. Chapitre 21 - LA LETTRE
  23. Chapitre 22 - LA ROUTE DE DUNKERQUE
  24. Chapitre 23 - BLOIS
  25. Chapitre 24 - RÉCONCILIATION
  26. Chapitre 25 - LA LETTRE
  27. Chapitre 26 - PARDAILLAN AU COUVENT
  28. Chapitre 27 - MOURIR OU TUER ?
  29. Chapitre 28 - LES FOSSÉS DU CHÂTEAU
  30. Chapitre 29 - LES CLEFS DU CHÂTEAU
  31. Chapitre 30 - AUX APPROCHES DE NOËL
  32. Chapitre 31 - AUX APPROCHES DE NOËL (suite)
  33. Chapitre 32 - AUX APPROCHES DE NOËL (fin)
  34. Chapitre 33 - DUCHESSE DE GUISE
  35. Chapitre 34 - L’EFFONDREMENT
  36. Chapitre 35 - LE DERNIER GESTE DE FAUSTA
  37. Chapitre 36 - LA POURSUITE
  38. Chapitre 37 - LA FORÊT DE MARCHENOIR
  39. Chapitre 38 - UN SPECTRE QUI S’ÉVANOUIT
  40. Chapitre 39 - LES FRAIS DE ROUTE DE PARDAILLAN
  41. Chapitre 40 - LE PALAIS-RIANT
  42. Chapitre 41 - FIN DU PALAIS-RIANT
  43. Chapitre 42 - VENTRE-SAINT-GRIS !…
  44. Chapitre 43 - DEUX DYNASTIES EN PRÉSENCE
  45. Chapitre 44 - JACQUES CLÉMENT
  46. Chapitre 45 - LA BONNE HÔTESSE
  47. Chapitre 46
  48. Notes de bas de page