La Dame de Monsoreau - Tome I
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La Dame de Monsoreau - Tome I

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La Dame de Monsoreau - Tome I

About this book

La suite de «La reine Margot». Située entre le 9 février 1578 et le 19 aout 1579, l'action s'ouvre sur le mariage de Saint-Luc, ex-amant de la reine Margot et favori d'Henri III, rappelé de Pologne pour succéder a Charles IX. Chicot, personnage central de la trilogie, déjoue avec maestria les conspirations contre le roi qui se succedent. Sur ce fond d'intrigues, se déroule l'histoire des amours de Diane de Méridor, dame de Montsoreau, et du beau Bussy d'Amboise...

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Information

Chapitre 1 Les noces de Saint-Luc.

Le dimanche gras de l’annĂ©e 1578, aprĂšs la fĂȘte du populaire, et tandis que s’éteignaient dans les rues les rumeurs de la joyeuse journĂ©e, commençait une fĂȘte splendide dans le magnifique hĂŽtel que venait de se faire bĂątir, de l’autre cĂŽtĂ© de l’eau et presque en face du Louvre, cette illustre famille de Montmorency qui, alliĂ©e Ă  la royautĂ© de France, marchait l’égale des familles princiĂšres. Cette fĂȘte particuliĂšre, qui succĂ©dait Ă  la fĂȘte publique, avait pour but de cĂ©lĂ©brer les noces de François d’Épinay de Saint-Luc, grand ami du roi Henri III et l’un de ses favoris les plus intimes, avec Jeanne de CossĂ©-Brissac, fille du marĂ©chal de France de ce nom.
Le repas avait eu lieu au Louvre, et le roi, qui avait consenti Ă  grand’peine au mariage, avait paru au festin avec un visage sĂ©vĂšre qui n’avait rien d’appropriĂ© Ă  la circonstance. Son costume, en outre, paraissait en harmonie avec son visage : c’était ce costume marron foncĂ© sous lequel Clouet nous l’a montrĂ© assistant aux noces de Joyeuse, et cette espĂšce de spectre royal, sĂ©rieux jusqu’à la majestĂ©, avait glacĂ© d’effroi tout le monde, et surtout la jeune mariĂ©e, qu’il regardait fort de travers toutes les fois qu’il la regardait.
Cependant cette attitude sombre du roi, au milieu de la joie de cette fĂȘte, ne semblait Ă©trange Ă  personne ; car la cause en Ă©tait un de ces secrets de cƓur que tout le monde cĂŽtoie avec prĂ©caution, comme ces Ă©cueils Ă  fleur d’eau auxquels on est sĂ»r de se briser en les touchant.
À peine le repas terminĂ©, le roi s’était levĂ© brusquement, et force avait Ă©tĂ© aussitĂŽt Ă  tout le monde, mĂȘme Ă  ceux qui avouaient tout bas leur dĂ©sir de rester Ă  table, de suivre l’exemple du roi. Alors Saint-Luc avait jetĂ© un long regard sur sa femme, comme pour puiser du courage dans ses yeux, et, s’approchant du roi :
– Sire, lui dit-il, Votre MajestĂ© me fera-t-elle l’honneur d’accepter les violons que je veux lui donner Ă  l’hĂŽtel de Montmorency ce soir ?
Henri III s’était alors retournĂ© avec un mĂ©lange de colĂšre et de chagrin, et, comme Saint-Luc, courbĂ© devant lui, l’implorait avec une voix des plus douces et une mine des plus engageantes :
– Oui, monsieur, avait-il rĂ©pondu, nous irons, quoique vous ne mĂ©ritiez certainement pas cette preuve d’amitiĂ© de notre part.
Alors mademoiselle de Brissac, devenue madame de Saint-Luc, avait remercié humblement le roi. Mais Henri avait tourné le dos sans répondre à ses remercßments.
– Qu’a donc le roi contre vous, monsieur de Saint-Luc ? avait alors demandĂ© la jeune femme Ă  son mari.
– Belle amie, rĂ©pondit Saint-Luc, je vous raconterai cela plus tard, quand cette grande colĂšre sera dissipĂ©e.
– Et se dissipera-t-elle ? demanda Jeanne.
– Il le faudra bien, rĂ©pondit le jeune homme.
Mademoiselle de Brissac n’était point encore assez madame de Saint-Luc pour insister ; elle renfonça sa curiositĂ© au fond de son cƓur, se promettant de trouver, pour dicter ses conditions, un moment oĂč Saint-Luc serait bien obligĂ© de les accepter.
On attendait donc Henri III Ă  l’hĂŽtel de Montmorency au moment oĂč s’ouvre l’histoire que nous allons raconter Ă  nos lecteurs. Or il Ă©tait onze heures dĂ©jĂ , et le roi n’était pas encore arrivĂ©.
Saint-Luc avait conviĂ© Ă  ce bal tout ce que le roi et tout ce que lui-mĂȘme comptait d’amis ; il avait compris dans les invitations les princes et les favoris des princes, particuliĂšrement ceux de notre ancienne connaissance, le duc d’Alençon, devenu duc d’Anjou Ă  l’avĂšnement de Henri III au trĂŽne ; mais M. le duc d’Anjou, qui ne s’était pas trouvĂ© au festin du Louvre, semblait ne pas devoir se trouver davantage Ă  la fĂȘte de l’hĂŽtel Montmorency.
Quant au roi et Ă  la reine de Navarre, ils s’étaient, comme nous l’avons dit dans un ouvrage prĂ©cĂ©dent, sauvĂ©s dans le BĂ©arn, et faisaient de l’opposition ouverte en guerroyant Ă  la tĂȘte des huguenots.
M. le duc d’Anjou, selon son habitude, faisait aussi de l’opposition, mais de l’opposition sourde et tĂ©nĂ©breuse, dans laquelle il avait toujours soin de se tenir en arriĂšre, tout en poussant en avant ceux de ses amis que n’avait point guĂ©ris l’exemple de la Mole et de Coconnas, dont nos lecteurs, sans doute, n’ont point encore oubliĂ© la terrible mort.
Il va sans dire que ses gentilshommes et ceux du roi vivaient dans une mauvaise intelligence qui amenait au moins deux ou trois fois par mois des rencontres, dans lesquelles il Ă©tait bien rare que quelqu’un des combattants ne demeurĂąt point mort sur la place, ou tout au moins griĂšvement blessĂ©.
Quant Ă  Catherine, elle Ă©tait arrivĂ©e au comble de ses vƓux. Son fils bien-aimĂ© Ă©tait parvenu Ă  ce trĂŽne qu’elle ambitionnait tant pour lui, ou plutĂŽt pour elle ; et elle rĂ©gnait sous son nom, tout en ayant l’air de se dĂ©tacher des choses de ce monde et de n’avoir plus souci que de son salut.
Saint-Luc, tout inquiet de ne voir arriver aucune personne royale, cherchait Ă  rassurer son beau-pĂšre, fort Ă©mu de cette menaçante absence. Convaincu, comme tout le monde, de l’amitiĂ© que le roi Henri portait Ă  Saint-Luc, il avait cru s’allier Ă  une faveur, et voilĂ  que sa fille, au contraire, Ă©pousait quelque chose comme une disgrĂące. Saint-Luc se donnait mille peines pour lui inspirer une sĂ©curitĂ© que lui-mĂȘme n’avait pas, et ses amis Maugiron, Schomberg et QuĂ©lus, vĂȘtus de leurs plus magnifiques costumes, tout roides dans leurs pourpoints splendides, et dont les fraises Ă©normes semblaient des plats supportant leur tĂȘte, ajoutaient encore Ă  ses transes par leurs ironiques lamentations.
– Eh ! mon Dieu ! mon pauvre ami, disait Jacques de Levis, comte de QuĂ©lus, je crois, en vĂ©ritĂ©, que pour cette fois tu es perdu. Le roi t’en veut de ce que tu t’es moquĂ© de ses avis, et M. d’Anjou t’en veut de ce que tu t’es moquĂ© de son nez.[1]
– Mais non, rĂ©pondit Saint-Luc, tu te trompes, QuĂ©lus, le roi ne vient pas parce qu’il a Ă©tĂ© faire un pĂšlerinage aux Minimes du bois de Vincennes, et le duc d’Anjou est absent parce qu’il est amoureux de quelque femme que j’aurai oubliĂ© d’inviter.
– Allons donc, dit Maugiron, as-tu vu la mine que faisait le roi Ă  dĂźner ? Est-ce lĂ  la physionomie paterne d’un homme qui va prendre le bourdon pour faire un pĂšlerinage ? Et quant au duc d’Anjou, son absence personnelle, motivĂ©e par la cause que tu dis, empĂȘcherait-elle ses Angevins de venir ? En vois-tu un seul ici ? Regarde, Ă©clipse totale, pas mĂȘme ce tranche-montagne de Bussy.
– Heu ! messieurs, disait le duc de Brissac en secouant la tĂȘte d’une façon dĂ©sespĂ©rĂ©e, ceci me fait tout l’effet d’une disgrĂące complĂšte. En quoi donc, mon Dieu ! notre maison, toujours si dĂ©vouĂ©e Ă  la monarchie, a-t-elle pu dĂ©plaire Ă  Sa MajestĂ© ?
Et le vieux courtisan levait avec douleur ses deux bras au ciel.
Les jeunes gens regardaient Saint-Luc avec de grands éclats de rire, qui, bien loin de rassurer le maréchal, le désespéraient.
La jeune mariée, pensive et recueillie, se demandait, comme son pÚre, en quoi Saint-Luc avait pu déplaire au roi.
Saint-Luc le savait, lui, et, par suite de cette science, était le moins tranquille de tous.
Tout à coup, à l’une des deux portes par lesquelles on entrait dans la salle, on annonça le roi.
– Ah ! s’écria le marĂ©chal radieux, maintenant je ne crains plus rien, et, si j’entendais annoncer le duc d’Anjou, ma satisfaction serait complĂšte.
– Et moi, murmura Saint-Luc, j’ai encore plus peur du roi prĂ©sent que du roi absent, car il ne vient que pour me jouer quelque mauvais tour, comme c’est aussi pour me jouer quelque mauvais tour que le duc d’Anjou ne vient pas.
Mais, malgrĂ© cette triste rĂ©flexion, il ne s’en prĂ©cipita pas moins au-devant du roi, qui avait enfin quittĂ© son sombre costume marron, et qui s’avançait tout resplendissant de satin, de plumes et de pierreries.
Mais, au moment oĂč apparaissait Ă  l’une des portes le roi Henri III, un autre roi Henri III, exactement pareil au premier, vĂȘtu, chaussĂ©, coiffĂ©, fraisĂ© et goudronnĂ© de mĂȘme, apparaissait par la porte en face. De sorte que les courtisans, un instant emportĂ©s vers le premier, s’arrĂȘtĂšrent comme le flot Ă  la pile de l’arche, et refluĂšrent en tourbillonnant du premier au second roi.
Henri III remarqua le mouvement, et, ne voyant devant lui que des bouches ouvertes, des yeux effarés et des corps pirouettant sur une jambe :
– Çà, messieurs, qu’y a-t-il donc ? demanda-t-il.
Un long éclat de rire lui répondit.
Le roi, peu patient de son naturel, et en ce moment surtout peu disposĂ© Ă  la patience, commençait de froncer le sourcil, quand Saint-Luc, s’approchant de lui :
– Sire, dit-il, c’est Chicot, votre bouffon, qui s’est habillĂ© exactement comme Votre MajestĂ©, et qui donne sa main Ă  baiser aux dames.
Henri III se mit Ă  rire. Chicot jouissait Ă  la cour du dernier Valois d’une libertĂ© pareille Ă  celle dont jouissait, trente ans auparavant, Triboulet Ă  la cour du roi François 1er, et dont devait jouir, quarante ans plus tard, Langely Ă  la cour du roi Louis XIII.
C’est que Chicot n’était pas un fou ordinaire. Avant de s’appeler Chicot, il s’était appelĂ© DE Chicot. C’était un gentilhomme gascon qui, maltraitĂ©, Ă  ce qu’on assurait, par M. de Mayenne Ă  la suite d’une rivalitĂ© amoureuse dans laquelle, tout simple gentilhomme qu’il Ă©tait, il l’avait emportĂ© sur ce prince, s’était rĂ©fugiĂ© prĂšs de Henri III, et qui payait en vĂ©ritĂ©s quelquefois cruelles la protection que lui avait donnĂ©e le successeur de Charles IX.
– Eh ! maütre Chicot, dit Henri, deux rois ici, c’est beaucoup.
– En ce cas, continue Ă  me laisser jouer mon rĂŽle de roi Ă  ma guise, et joue le rĂŽle du duc d’Anjou Ă  la tienne ; peut-ĂȘtre qu’on te prendra pour lui, et qu’on te dira des choses qui t’apprendront, non pas ce qu’il pense, mais ce qu’il fait.
– En effet, dit le roi en regardant avec humeur autour de lui, mon frùre d’Anjou n’est pas venu.
– Raison de plus pour que tu le remplaces. C’est dit : je suis Henri et tu es François. Je vais trîner, tu vas danser ; je ferai pour toi toutes les singeries de la couronne, et toi, pendant ce temps, tu t’amuseras un peu, pauvre roi !
Le regard du roi s’arrĂȘta sur Saint-Luc.
– Tu as raison, Chicot, je veux danser, dit-il.
– DĂ©cidĂ©ment, pensa Brissac, je m’étais trompĂ© en croyant le roi irritĂ© contre nous. Tout au contraire, le roi est de charmante humeur.
Et il courut Ă  droite et Ă  gauche, fĂ©licitant chacun, et surtout se fĂ©licitant lui-mĂȘme d’avoir donnĂ© sa fille Ă  un homme jouissant d’une si grande faveur prĂšs de Sa MajestĂ©.
Cependant Saint-Luc s’était rapprochĂ© de sa femme. Mademoiselle de Brissac n’était pas une beautĂ©, mais elle avait de charmants yeux noirs, des dents blanches, une peau Ă©blouissante ; tout cela lui composait ce qu’on peut appeler une figure d’esprit.
– Monsieur, dit-elle Ă  son mari, toujours prĂ©occupĂ©e qu’elle Ă©tait par une seule pensĂ©e, que me disait-on, que le roi m’en voulait ? Depuis qu’il est arrivĂ©, il ne cesse de me sourire.
– Ce n’est pas ce que vous me disiez au retour du düner, chùre Jeanne, car son regard, alors, vous faisait peur.
– Sa MajestĂ© Ă©tait sans doute mal disposĂ©e alors, dit la jeune femme ; maintenant
.
– Maintenant, c’est bien pis, interrompit Saint-Luc, le roi rit les lĂšvres serrĂ©es. J’aimerais bien mieux qu’il me montrĂąt les dents ; Jeanne, ma pauvre amie, le roi nous mĂ©nage quelque traĂźtre surprise
 Oh ! ne me regardez pas si tendrement, je vous prie, et mĂȘme, tournez-moi le dos. Justement voici Maugiron qui vient Ă  nous ; retenez-le, accaparez-le, soyez aimable avec lui.
– Savez-vous, monsieur, dit Jeanne en souriant, que voilĂ  une Ă©trange recommandation, et que, si je la suivais Ă  la lettre, on pourrait croire
.
– Ah ! dit Saint-Luc avec un soupir, ce serait bien heureux qu’on le crĂ»t.
Et, tournant le dos Ă  sa femme, dont l’étonnement Ă©tait au comble, il s’en alla faire sa cour Ă  Chicot, qui jouait son rĂŽle de roi avec un entrain et une majestĂ© des plus risibles.
Cependant Henri, profitant du congé qui était donné à Sa Grandeur, dansait ; mais, tout en dansant, ne perdait pas de vue Saint-Luc.
TantĂŽt il l’appelait pour lui conter quelque remarque plaisante qui, drĂŽle ou non, avait le privilĂšge de faire rire Saint-Luc aux Ă©clats. TantĂŽt il lui offrait dans son drageoir des pralines et des fruits glacĂ©s que Saint-Luc trouvait dĂ©licieux. Enfin, si Saint-Luc disparaissait un instant de la salle oĂč Ă©tait le roi, pour faire les honneurs des autres salles, le roi l’envoyait chercher aussitĂŽt par un de ses parents ou de ses officiers, et Saint-Luc revenait sourire Ă  son maĂźtre, qui ne paraissait content que lorsqu’il le revoyait.
Tout Ă  coup, un bruit assez fort pour ĂȘtre remarquĂ© au milieu de ce tumulte frappa les or...

Table of contents

  1. Titre
  2. Chapitre 1 - Les noces de Saint-Luc.
  3. Chapitre 2 - Comment ce n’est pas toujours celui qui ouvre la porte qui entre dans la maison.
  4. Chapitre 3 - Comment il est difficile parfois de distinguer le rĂȘve de la rĂ©alitĂ©.
  5. Chapitre 4 - Comment Mademoiselle de Brissac, autrement dit Madame de Saint-Luc, avait passé sa nuit de noces.
  6. Chapitre 5 - Comment Mademoiselle de Brissac, autrement dit Madame de Saint-Luc, s’arrangea pour passer la seconde nuit de ses noces autrement qu’elle n’avait passĂ© la premiĂšre.
  7. Chapitre 6 - Comment se faisait le petit coucher du roi Henri III.
  8. Chapitre 7 - Comment, sans que personne sut la cause de cette conversion, le roi Henri se trouva converti du jour au lendemain.
  9. Chapitre 8 - Comment le roi eut peur d’avoir eu peur, et comment Chicot eut peur d’avoir peur.
  10. Chapitre 9 - Comment la voix du seigneur se trompa et parla Ă  Chicot, croyant parler au roi.
  11. Chapitre 10 - Comment Bussy se mit Ă  la recherche de son rĂȘve, de plus en plus convaincu que c’était une rĂ©alitĂ©.
  12. Chapitre 11 - Quel homme c’était que M. le grand veneur Bryan de Monsoreau.
  13. Chapitre 12 - Comment Bussy retrouva à la fois le portrait et l’original.
  14. Chapitre 13 - Ce qu’était Diane de MĂ©ridor.
  15. Chapitre 14 - Ce que c’était que Diane de MĂ©ridor. – Le traitĂ©.
  16. Chapitre 15 - Ce que c’était que Diane de MĂ©ridor. – Le consentement.
  17. Chapitre 16 - Ce que c’était que Diane de MĂ©ridor. – Le mariage.
  18. Chapitre 17 - Comment voyageait le roi Henri III, et quel temps il lui fallait pour aller de Paris Ă  Fontainebleau.
  19. Chapitre 18 - OĂč le lecteur aura le plaisir de faire connaissance avec frĂšre Gorenflot, dont il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© parlĂ© deux fois dans le cours de cette histoire.
  20. Chapitre 19 - Comment Chicot s’aperçut qu’il Ă©tait plus facile d’entrer dans l’abbaye Sainte-GeneviĂšve que d’en sortir.
  21. Chapitre 20 - Comment Chicot forcĂ© de rester dans l’église de l’abbaye, vit et entendit des choses qu’il Ă©tait fort dangereux de voir et d’entendre.
  22. Chapitre 21 - Comment Chicot, croyant faire un cours d’histoire, fit un cours de gĂ©nĂ©alogie.
  23. Chapitre 22 - Comment Monsieur et Madame de Saint-Luc voyageaient cĂŽte Ă  cĂŽte et furent rejoints par un compagnon de voyage.
  24. Chapitre 23 - Le vieillard orphelin.
  25. Chapitre 24 - Comment RĂ©mi le Haudouin s’était, en l’absence de Bussy, mĂ©nagĂ© des intelligences dans la maison de la rue Saint-Antoine.
  26. Chapitre 25 - Le pĂšre et la fille.
  27. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique
  28. Notes de bas de page