La San-Felice - Tome II
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La San-Felice - Tome II

About this book

Septembre 1798. Suite a son retour d'Aboukir ou il a vaincu Bonaparte, lord Nelson, accompagné de la flotte britannique, est reçu en triomphateur par la cour de Naples. L'ambassadeur français Garat fait irruption dans cette manifestation d'hostilité anti-française et promet la guerre au Royaume de Naples. Trop vite cependant: le soir meme, Salvato Palmieri, agent envoyé de Rome par le général Championnet, et qui devait l'informer de la situation des Français et l'inviter a gagner du temps, est attaqué par les sbires de la reine Marie-Caroline de Naples. Laissé pour mort, il est recueilli par Luisa San Felice, jeune Napolitaine épouse du chevalier San Felice, vieil homme de lumieres et bibliothécaire a la cour. Confié par le sort a ses soins, Salvato s'éprend de Luisa - et réciproquement. Marie-Caroline convainc le roi Ferdinand de la nécessité d'entrer sans retard en guerre contre les Français maßtres de Rome, en faisant valoir l'appui des Anglais que l'irrésistible Lady Hamilton a pu obtenir de Nelson. C'est bientÎt chose faite. Les Français sont repoussés, le général Mack s'empare de Rome, Ferdinand y triomphe, mais, contre toute attente, la riposte française est fulgurante et sans appel: ils reprennent la ville, l'armée napolitaine est déconfite, et le roi rentre piteusement chez lui. C'est la porte ouverte aux soldats de la République, qui marchent sur Naples. La cour fuit vers Palerme, en Sicile...

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Information

LVI – LE RETOUR

Mack avait eu raison de craindre la rapiditĂ© des mouvements de l’armĂ©e française : dĂ©jĂ , dans la nuit qui avait suivi la bataille, les deux avant-gardes, guidĂ©es, l’une par Salvato Palmieri, l’autre par Hector Caraffa, avaient pris la route de Civita-Ducale, dans l’espĂ©rance d’arriver, l’une Ă  Sora par Tagliacozzo et Capistrello, et l’autre Ă  Ceprano par Tivoli, Palestrina, Valmontone et Ferentina, et de fermer ainsi aux Napolitains le dĂ©filĂ© des Abruzzes.
Quant Ă  Championnet, ses affaires une fois finies Ă  Rome, il devait prendre la route de Velletri et de Terracina par les marais Pontins.
Au point du jour, aprĂšs avoir fait donner Ă  Lemoine et Ă  Casabianca des nouvelles de la victoire de la veille, et leur avoir ordonnĂ© de marcher sur Civita-Ducale pour se rĂ©unir au corps d’armĂ©e de Macdonald et de Duhesme et prendre avec eux la route de Naples, il partit avec six mille hommes pour rentrer Ă  Rome, fit vingt-cinq milles dans sa journĂ©e, campa Ă  la Storta, et, le lendemain, Ă  huit heures du matin, se prĂ©senta Ă  la porte du Peuple, rentra dans Rome au bruit des salves de joie que tirait le chĂąteau Saint-Ange, prit la rive gauche du Tibre et regagna le palais Corsini, oĂč, comme le lui avait promis le baron de Riescach, il retrouva chaque chose Ă  la place oĂč il l’avait laissĂ©e.
Le mĂȘme jour, il fit afficher cette proclamation :
« Romains !
» Je vous avais promis d’ĂȘtre de retour Ă  Rome avant vingt jours ; je vous tiens parole, j’y rentre le dix-septiĂšme.
» L’armĂ©e du despote napolitain a osĂ© prĂ©senter le combat Ă  l’armĂ©e française.
» Une seule bataille a suffi pour l’anĂ©antir, et, du haut de vos remparts, vous pouvez voir fuir ses dĂ©bris vers Naples, oĂč les prĂ©cĂ©deront nos lĂ©gions victorieuses.
» Trois mille morts et cinq mille blessĂ©s Ă©taient couchĂ©s hier sur le champ de bataille de Civita-Castellana ; les morts auront la sĂ©pulture honorable du soldat tuĂ© sur le champ de bataille, c’est-Ă -dire le champ de bataille lui-mĂȘme ; les blessĂ©s seront traitĂ©s comme des frĂšres ; tous les hommes ne le sont-ils pas aux yeux de l’Éternel qui les a créés !
» Les trophĂ©es de notre victoire sont cinq mille prisonniers, huit drapeaux, quarante-deux piĂšces de canon, huit mille fusils, toutes les munitions, tous les bagages, tous les effets de campement et enfin le trĂ©sor de l’armĂ©e napolitaine.
» Le roi de Naples est en fuite pour regagner sa capitale, oĂč il rentrera honteusement, accompagnĂ© des malĂ©dictions de son peuple et du mĂ©pris du monde.
» Encore une fois, le Dieu des armĂ©es a bĂ©ni notre cause. – Vive la RĂ©publique !
» CHAMPIONNET. »
Le mĂȘme jour, le gouvernement rĂ©publicain Ă©tait rĂ©tabli Ă  Rome ; les deux consuls Mattei et Zaccalone, si miraculeusement Ă©chappĂ©s Ă  la mort, avaient repris leur poste, et, sur l’emplacement du tombeau de Duphot, dĂ©truit, Ă  la honte de l’humanitĂ©, par la population romaine, on Ă©leva un sarcophage oĂč, Ă  dĂ©faut de ses nobles restes jetĂ©s aux chiens, on inscrivit son glorieux nom.
Ainsi que l’avait dit Championnet, le roi de Naples avait fui ; mais, comme certaines parties de ce caractĂšre Ă©trange resteraient inconnues Ă  nos lecteurs, si nous nous contentions, comme Championnet dans sa proclamation, d’indiquer le fait, nous leur demanderons la permission de l’accompagner dans sa fuite.
À la porte du théùtre Argentina, Ferdinand avait trouvĂ© sa voiture et s’était Ă©lancĂ© dedans avec Mack, en criant Ă  d’Ascoli d’y monter aprĂšs eux.
Mack s’était respectueusement placĂ© sur le siĂšge de devant.
– Mettez-vous au fond, gĂ©nĂ©ral, lui dit le roi ne pouvant pas renoncer Ă  ses habitudes de raillerie, et ne songeant pas qu’il se raillait lui-mĂȘme ; il me paraĂźt que vous allez avoir assez de chemin Ă  faire Ă  reculons, sans commencer avant que la chose soit absolument nĂ©cessaire.
Mack poussa un soupir et s’assit prùs du roi.
Le duc d’Ascoli prit place sur le devant.
On toucha au palais FarnĂšse ; un courrier Ă©tait arrivĂ© de Vienne apportant une dĂ©pĂȘche de l’empereur d’Autriche ; le roi l’ouvrit prĂ©cipitamment et lut :
« Mon trÚs-cher frÚre, cousin, oncle, beau-pÚre, allié et confédéré,
» Laissez-moi vous fĂ©liciter bien sincĂšrement sur le succĂšs de vos armes et sur votre entrĂ©e triomphale Ă  Rome
 »
Le roi n’alla pas plus loin.
– Ah ! bon ! dit-il, en voilà une qui arrive à propos.
Et il remit la dĂ©pĂȘche dans sa poche.
Puis, regardant autour de lui :
– OĂč est le courrier qui a apportĂ© cette lettre ? demanda-t-il.
– Me voici, sire, fit le courrier en s’approchant.
– Ah ! c’est toi, mon ami ? Tiens voilà pour ta peine, dit le roi en lui donnant sa bourse.
– Votre MajestĂ© me fera-t-elle l’honneur de me donner une rĂ©ponse pour mon auguste souverain.
– Certainement ; seulement, je te la donnerai verbale, n’ayant pas le temps d’écrire. N’est-ce pas, Mack, que je n’ai pas le temps ?
Mack baissa la tĂȘte.
– Peu importe, dit le courrier ; je peux rĂ©pondre Ă  Votre MajestĂ© que j’ai bonne mĂ©moire.
– De sorte que tu es sĂ»r de rapporter Ă  ton auguste souverain ce que je vais te dire ?
– Sans y changer une syllabe.
– Eh bien, dis-lui de ma part, entends-tu bien ? de ma part

– J’entends, sire.
– Dis-lui que son frĂšre et cousin, oncle et beau-pĂšre, alliĂ© et confĂ©dĂ©rĂ© le roi Ferdinand est un Ăąne.
Le courrier recula effrayé.
– N’y change pas une syllabe, reprit le roi, et tu auras dit la plus grande vĂ©ritĂ© qui soit jamais sortie de ta bouche.
Le courrier se retira stupéfié.
– Et maintenant, dit le roi, comme j’ai dit Ă  Sa MajestĂ© l’empereur d’Autriche tout ce que j’avais Ă  lui dire, partons.
– J’oserai faire observer Ă  Votre MajestĂ©, dit Mack, qu’il n’est pas prudent de traverser la plaine de Rome en voiture.
– Et comment voulez–vous que je la traverse ? À pied ?
– Non, mais à cheval.
– À cheval ! Et pourquoi cela, à cheval ?
– Parce qu’en voiture, Votre MajestĂ© est obligĂ©e de suivre les routes, tandis qu’à cheval, au besoin, Votre MajestĂ© peut prendre Ă  travers les terres ; excellent cavalier comme est Votre MajestĂ©, et montĂ©e sur un bon cheval, elle n’aura point Ă  craindre les mauvaises rencontres.
– Ah ! malora ! s’écria le roi, on peut donc en faire ?
– Ce n’est pas probable ; mais je dois faire observer Ă  Votre MajestĂ© que ces infĂąmes jacobins ont osĂ© dire que, si le roi tombait entre leurs mains

– Eh bien ?
– Ils le pendraient au premier rĂ©verbĂšre venu si c’était dans la ville, au premier arbre rencontrĂ© si c’était en plein champ.
– Fuimmo, d’Ascoli ! fuimmo !
 Que faites-vous donc lĂ -bas, vous autres fainĂ©ants ? Deux chevaux ! deux chevaux ! les meilleurs ! C’est qu’ils le feraient comme ils le disent, les brigands ! Cependant, nous ne pouvons pas aller jusqu’à Naples Ă  cheval ?
– Non, sire, rĂ©pondit Mack ; mais, Ă  Albano, vous prendrez la premiĂšre voiture de poste venue.
– Vous avez raison. Une paire de bottes ! Je ne peux pas courir la poste en bas de soie. Une paire de bottes ! Entends-tu, drîle ?
Un valet de pied se précipita par les escaliers et revint avec une paire de longues bottes.
Ferdinand mit ses bottes dans la voiture, sans plus s’inquiĂ©ter de son ami d’Ascoli que s’il n’existait pas.
Au moment oĂč il achevait de mettre sa seconde botte, on amena les deux chevaux.
– À cheval, d’Ascoli ! à cheval ! dit Ferdinand. Que diable fais-tu donc dans le coin de la voiture ? Je crois, Dieu me pardonne, que tu dors !
– Dix hommes d’escorte, cria Mack, et un manteau pour Sa MajestĂ© !
– Oui, dit le roi montant à cheval, dix hommes d’escorte et un manteau pour moi.
On lui apporta un manteau de couleur sombre dans lequel il s’enveloppa.
Mack monta lui-mĂȘme Ă  cheval.
– Comme je ne serai rassurĂ© que quand je verrai Votre MajestĂ© hors des murs de la ville, je demande Ă  Votre MajestĂ© la permission de l’accompagner jusqu’à la porte San-Giovanni.
– Est-ce que vous croyez que j’ai quelque chose Ă  craindre dans la ville, gĂ©nĂ©ral ?
– Supposons
 ce qui n’est pas supposable

– Diable ! fit le roi ; n’importe, supposons toujours.
– Supposons que Championnet ait eu le temps de faire prĂ©venir le commandant du chĂąteau Saint-Ange, et que les jacobins gardent les portes.
– C’est possible, cria le roi, c’est possible ; partons.
– Partons, dit Mack.
– Eh bien, oĂč allez-vous, gĂ©nĂ©ral ?
– Je vous conduis, sire, Ă  la seule porte de la ville par laquelle on ne supposera jamais que vous sortiez, attendu qu’elle est justement Ă  l’opposĂ© de la porte de Naples ; je vous conduis Ă  la porte du Peuple, et, d’ailleurs, c’est la plus proche d’ici ; ce qui nous importe, c’est de sortir de Rome le plus promptement possible ; une fois hors de Rome, nous faisons le tour des remparts, et, en un quart d’heure, nous sommes Ă  la porte San-Giovanni.
– Il faut que ces coquins de Français soient de bien rusĂ©s dĂ©mons, gĂ©nĂ©ral, pour avoir battu un gaillard aussi fin que vous.
On avait fait du chemin pendant ce dialogue, et l’on Ă©tait arrivĂ© Ă  l’extrĂ©mitĂ© de Ripetta.
Le roi arrĂȘta le cheval de Mack par la bride.
– HolĂ  ! gĂ©nĂ©ral, dit-il, qu’est-ce que c’est que tous ces gens-lĂ  qui rentrent par la porte du Peuple ?
– S’ils avaient eu le temps matĂ©riel de faire trente milles en cinq heures, je dirais que ce sont les soldats de Votre MajestĂ© qui fuient.
– Ce sont eux, gĂ©nĂ©ral ! ce sont eux ! Ah ! vous ne les connaissez pas, ces gaillards-lĂ  ; quand il s’agit de se sauver, ils ont des ailes aux talons.
Le roi ne s’était pas trompĂ©, c’était la tĂȘte des fuyards qui avaient fait un peu plus de deux lieues Ă  l’heure, et qui commençaient Ă  rentrer dans Rome. Le roi mit son manteau sur ses yeux et passa au milieu d’eux sans ĂȘtre reconnu.
Une fois hors de la ville, la petite troupe se jeta Ă  droite, suivit l’enceinte d’AurĂ©lien, dĂ©passa la porte San-Lorenzo, puis la porte Maggiore, et enfin arriva Ă  cette fameuse porte San-Giovanni, oĂč le roi, seize jours auparavant, avait en si grande pompe reçu les clefs de la ville.
– Et maintenant, dit Mack, voici la route, sire ; dans une heure, vous serez Ă  Albano ; Ă  Albano, vous ĂȘtes hors de tout danger.
– Vous me quittez, gĂ©nĂ©ral ?
– Sire, mon devoir Ă©tait de penser au roi avant tout ; mon devoir est maintenant de penser Ă  l’armĂ©e.
– Allez, et faites de votre mieux ; seulement, quoi qu’il arrive, je dĂ©sire que vous vous rappeliez que ce n’est pas moi qui ai voulu la guerre et qui vous ai dĂ©rangĂ© de vos affaires, si vous en aviez Ă  Vienne, pour vous faire venir Ă  Naples.
– HĂ©las ! c’est bien vrai, sire, et je suis prĂȘt Ă  rendre tĂ©moignage que c’est la reine qui a tout fait. Et maintenant, que Dieu garde Votre MajestĂ© !
Mack salua le roi et mit son cheval au galop, reprenant la route par laquelle il était venu.
– Et toi, murmura le roi en enfonçant les Ă©perons dans le ventre de son cheval et en le lançant Ă  fond de train sur la route d’Albano, et toi, que le diable t’emporte, imbĂ©cile !
On voit que, depuis le jour du conseil d...

Table of contents

  1. Titre
  2. XXXVII – GIOVANNINA
  3. XXXVIII – ANDRÉ BACKER
  4. XXXIX – LES KANGOUROUS
  5. XL – L’HOMME PROPOSE
  6. XLI – L’ACROSTICHE
  7. XLII – LES VERS SAPHIQUES
  8. XLIII – DIEU DISPOSE
  9. XLIV – LA CRÈCHE DU ROI FERDINAND.
  10. XLV – PONCE PILATE
  11. XLVI – LES INQUISITEURS D’ÉTAT
  12. XLVII – LE DÉPART
  13. XLVIII – QUELQUES PAGES D’HISTOIRE
  14. XLIX – LA DIPLOMATIE DU GÉNÉRAL CHAMPIONNET
  15. L – FERDINAND À ROME
  16. LI – LE FORT SAINT-ANGE PARLE
  17. LII – OÙ NANNO REPARAÎT
  18. LIII – ACHILLE CHEZ DÉIDAMIE
  19. LIV – LA BATAILLE
  20. LV – LA VICTOIRE
  21. LVI – LE RETOUR
  22. LVII – LES INQUIÉTUDES DE NELSON
  23. LVIII – TOUT EST PERDU, VOIRE L’HONNEUR
  24. LIX – OÙ SA MAJESTÉ COMMENCE PAR NE RIEN COMPRENDRE ET FINIT PAR N’AVOIR RIEN COMPRIS.
  25. LX – OÙ VANNI TOUCHE ENFIN AU BUT QU’IL AMBITIONNAIT DEPUIS SI LONGTEMPS.
  26. LXI – ULYSSE ET CIRCÉ
  27. LXII – L’INTERROGATOIRE DE NICOLINO.
  28. LXIII – L’ABBÉ PRONIO
  29. LXIV – UN DISCIPLE DE MACHIAVEL
  30. LXV – OÙ MICHELE LE FOU EST NOMMÉ CAPITAINE, EN ATTENDANT QU’IL SOIT NOMMÉ COLONEL.
  31. LXVI – AMANTE. – ÉPOUSE.
  32. LXVII – LES DEUX AMIRAUX.
  33. LXVIII – OÙ EST EXPLIQUÉE LA DIFFÉRENCE QU’IL Y A ENTRE LES PEUPLES LIBRES ET LES PEUPLES INDÉPENDANTS.
  34. LXIX – LES BRIGANDS.
  35. LXX – LE SOUTERRAIN.
  36. LXXI – LA LÉGENDE DU MONT CASSIN.
  37. LXXII – LE FRÈRE JOSEPH.
  38. LXXIII – LE PÈRE ET LE FILS.
  39. LXXIV – LA RÉPONSE DE L’EMPEREUR.
  40. LXXV – LA FUITE.
  41. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique
  42. Notes de bas de page