La Fausta
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About this book

Nous sommes en 1573. Jean de Kervilliers, devenu monseigneur l'évêque prince Farnèse, fait arrêter Léonore, sa maîtresse, fille du baron de Montaigues, supplicié pendant la Saint Barthélémy. Alors que le bourreau lui passe la corde au coup, elle accouche d'une petite fille. Graciée par le Prévôt, elle est emmenée sans connaissance vers la prison. Devant les yeux du prince Farnèse torturé par la situation, le voilà père et cependant homme d'église, la petite Violette est emportée par maître Claude, le bourreau...

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Information

Chapitre 1 VIOLETTE

Le matin du 12 mai 1588, six gentilshommes, pareils à des oiseaux effarés qui fuient la tempête, montaient à fond de train les hauteurs de Chaillot. Sur le sommet, leur chef s’arrêta. Pâle de désespoir, il se retourna vers Paris qu’il contempla longuement.
D’étranges rumeurs, des bruits sourds d’arquebusades lui arrivèrent par bouffées, semblables au ressac lointain d’une mer démontée ou d’un peuple déchaîné. Un rauque sanglot déchira sa gorge. Ses deux poings se tendirent dans un geste de menace ; il se raidit, se haussa sur ses étriers comme pour mieux lancer un anathème, et hurla ces paroles qu’emporta le souffle du vent et que recueillit l’Histoire :
— Ville ingrate ! Ville déloyale ! Toi que j’ai aimée plus que ma propre femme ! Tremble, car je ne rentrerai dans tes murs que par la brèche !
À cet instant, deux cavaliers apparurent : l’un paraissant avoir dépassé la trentaine, admirable de vigueur, avec une de ces physionomies audacieuses et railleuses, étincelantes et mordantes, glaciales et géniales, qui laissent d’ineffaçables impressions ; l’autre, dix-huit ans, svelte, gracieux, merveilleux de beauté délicate et hardie.
Les cinq fidèles qui, tout blêmes, entouraient le fugitif, voyant s’arrêter ces deux inconnus, cherchèrent à l’entraîner. Mais lui, levant les bras au ciel, fit entendre un lugubre gémissement et cria :
— Malédiction sur moi ! Tout m’abandonne. Oh ! qui donc à présent voudra me prendre en pitié !
— Moi ! répondit une voix sonore.
Le fugitif vit le plus jeune des deux étrangers qui s’avançait… Alors une terreur subite, inexplicable, exorbita son regard affolé, ses mains frappèrent le vide comme pour repousser une affreuse vision et ses lèvres blanches bégayèrent :
— Toi ! Toi ! Charles ! Mon frère, es-tu donc sorti du tombeau pour m’accabler ?
— Vous vous trompez, répondit l’inconnu. Je ne suis pas celui qu’évoque votre remords, je ne suis pas Charles IX.
— Et qui donc es-tu alors ?…
— Je suis son fils. Je suis Charles, duc d’Angoulême.
— Ah ! gronda le fugitif, c’est toi l’enfant de Marie Touchet et de Charles ! C’est toi le bâtard d’Angoulême ! Eh ! bien, parle ! Que me veux-tu ? Que viens-tu demander à Henri III, roi de France ?
— Je vais vous le dire. J’ai quitté Orléans pour vous parler en face ! Il y a huit jours, Sire, j’ai atteint ma majorité. Ce jour-là, ma mère m’a conduit dans sa chambre et a découvert un portrait que j’avais toujours vu voilé d’un crêpe : j’ai reconnu Charles IX.
— Mon frère ! balbutia Henri III.
— Oui, votre frère !… Alors ma mère s’est agenouillée. Elle m’a raconté comment était mort l’homme qu’elle avait adoré. J’ai su l’effroyable agonie de mon père ! J’ai su que, désespéré, lamentable, poussé à la folie, chacun des soupirs de sa dernière heure fut une terrible accusation contre trois bourreaux, trois démons qu’elle me désigna… Et je suis parti pour dire au duc de Guise : Traître et rebelle, qu’as-tu fait de ton roi ?…
— Guise ! rugit Henri, tu le trouveras dans mon palais, sur mon trône, peut-être !
— Je suis parti pour crier à Catherine de Médicis : Mère infâme ! mère sans entrailles, qu’as-tu fait de ton fils ?
— La reine-mère ! sanglota Henri, tu la trouveras dans les prisons de Guise !
— Je suis parti pour trouver Henri de Valois, roi de France, et lui crier ce que durent crier jadis les enfants d’Abel à leur oncle… Caïn ! qu’as-tu fait de ton frère ?…
À cette dernière apostrophe, le roi, d’une violente saccade, fit reculer son cheval ; puis il s’affaissa sur lui-même, secoué d’un tremblement mortel, et sourdement répéta :
— Caïn !…
Une clameur alors éclata parmi les cinq gentilshommes qui vociférèrent :
— Le roi est toujours le roi ! Vive le roi ! À mort l’insulteur !
En même temps, ils dégainèrent… À cet instant, le compagnon du duc d’Angoulême bondit au milieu du groupe furieux, tira une longue rapière qui, au soleil levant, jeta un rapide éclair, et très calme :
— Messieurs, dit-il, ceci est une affaire intime. Laissez l’oncle et le neveu s’expliquer à la douce. Ou bien je croirai que vous êtes de la famille. Et dans ce cas, je serai forcé de croire que j’en suis aussi, moi !
Les cinq s’avancèrent, grinçants de fureur. Et les épées allaient s’entrechoquer, lorsque le roi fit un signe impérieux. Les gentilshommes s’arrêtèrent en grondant :
— On se retrouvera !… si toutefois monsieur ne cache pas son nom !
— Messieurs, dit froidement l’étranger sans relever cette insolence, mon épée et mon nom sont à votre disposition : je m’appelle le chevalier de Pardaillan !
Les cinq tressaillirent. Et ce nom jeté avec une glaciale simplicité leur apparut sans doute dans l’éclat fulgurant d’héroïques souvenirs, car ils répétèrent dans un murmure d’admiration et d’effroi :
— Le chevalier de Pardaillan !
Le chevalier ne parut pas avoir remarqué le prodigieux effet produit par son nom. Il se retira à l’écart, comme si cette scène violente eût cessé de l’intéresser. Et sifflotant entre les dents une fanfare de chasse du temps de Charles IX, il se mit à examiner une troupe de cavalerie qui, sortant de Paris, s’approchait de Chaillot — sans trop de hâte, d’ailleurs.
Le duc d’Angoulême n’avait pas bougé. Sombre comme une figure du remords, Henri III se tourna vers lui.
— Jeune homme, dit-il, il manquait à mon malheur de vous rencontrer sur le chemin de l’exil. Priez le ciel qu’au jour où je remonterai sur mon trône, je puisse oublier que vous avez insulté à ma misère !
— Ce jour-là, vous me verrez me dresser sur les marches de ce trône ! Je vous arracherai votre manteau royal ! Et quand je vous aurai mis à nu, je crierai encore : Voici Caïn qui tua son frère !
Henri III se mordit les poings et jeta dans l’espace un sourd gémissement.
— Jusque-là, continu Charles, je ne puis vous haïr ; vous n’avez droit qu’à ma pitié ! Paris vous chasse ; vous n’êtes plus qu’un fantôme de roi que hante le fantôme d’une victime. Allez donc, sire ! car voici qu’on se met à votre poursuite… Regardez !… Jusqu’à ce que vous soyez redevenu roi de France, le fils de Charles IX vous fait grâce !
Henri III, blême de rage, voulut balbutier quelques mots qui se perdirent dans un sanglot. Mais ses fidèles, apercevant le gros de cavaliers qui sortait de Paris, saisirent son cheval et l’entraînèrent. Bientôt leur troupe disparut comme un nuage de poussière que balaye l’orage.
Charles d’Angoulême demeura songeur, les yeux fixés sur Paris. Que se passait-il dans cette âme ! Pourquoi ce jeune homme ne suivait-il pas d’un dernier regard de haine le roi à qui il venait de jeter de tels défis ?
Oui ! Pourquoi ce regard qui eût dû lancer des éclairs était-il attiré vers la grande ville comme par un aimant de tendresse ?… Un nom avec une infinie douceur vint voltiger sur ses lèvres. Et ce nom c’était :
— Violetta !…
Peu à peu, par degrés, les derniers reflets des sentiments violents qui venaient de l’agiter s’éteignirent sur son visage qui s’éclaira alors d’un sourire très doux, comme l’apaisement du crépuscule remplace à l’horizon l’incendie du soleil couchant.
D’une voix d’extase, il murmura :
— Paris !… Oui, je viens y chercher la vengeance… mais je viens y chercher aussi l’amour ! Insensé ! Ose donc t’avouer à toi-même que, si Violetta était encore à Orléans, tu ne serais pas ici !… Paris ! C’est là que je vais te retrouver, chère inconnue qui emporta mon âme, Violetta… douce violette d’amour…
À ce moment, le chevalier de Pardaillan s’approcha de lui et le toucha à l’épaule. D’un geste large, il enveloppa Paris. Et regardant le fils de Charles IX dans les yeux, jusqu’au fond de l’âme, il prononça :
— Un trône à prendre, monseigneur !…
Charles d’Angoulême eut le tressaillement du rêveur qu’on arrache soudain au plus doux songe ; et il balbutia :
— Un trône !… Quoi ! Vous songeriez donc à vous emparer…
— Pas pour moi, monseigneur, dit le chevalier de sa voix paisible et mordante. J’ai autre chose à faire… deux mots à dire à un certain Maurevert que je cherche depuis une éternité… Et puis, il me faut des sièges solides à moi… Ce trône est trop lézardé… qui sait s’il ne s’effondrerait pas si l’idée me venait de m’y asseoir !
Peut-être le duc d’Angoulême, comme les gentilshommes d’Henri III, connaissait-il le formidable passé de cet homme : ses énormités lui semblèrent toutes naturelles venant de lui !
— Mais vous, reprenait le chevalier, vous pouvez, vous devez…
— Pardaillan ! Pardaillan ! que dites-vous ? murmura le jeune duc éperdu.
— Je dis simplement qu’Henri de Valois n’est plus roi de France, qu’Henri de Guise n’est encore que roi de Paris ; qu’Henri de Navarre jette par ici son regard de faucon qui cherche une proie, je dis que cela fait trois larrons pour la même couronne… et que cette couronne, il serait beau qu’elle puisse me servir, en la posant sur votre tête, à payer ma dette de reconnaissance à votre mère !
À ces mots, Pardaillan se lança sur un sentier qui courait autour de Paris et traversait les hameaux du Roule et de Monceaux pour aboutir au village de Montmartre.
— Violetta ! murmura le jeune homme, que n’ai-je en effet un trône à t’offrir…
Et palpitant, ébloui de ce qu’il entrevoyait dès lors, Charles d’Angoulême se jeta à la suite de son compagnon au moment où le gros de cavaliers qui était sorti de Paris montait les pentes de Chaillot. Celui qui marchait en tête de ces poursuivants était un homme de trente-huit ans, magnifique de costume et de taille, beau de visage, hautain de geste, sombre de physionomie, le front balafré par l’entaille d’une ancienne blessure, on ne sait quoi de majestueux, de rude et de violent dans l’attitude. C’était Henri de Lorraine, duc de Guise.
— Messieurs, dit-il en s’arrêtant, le roi est déjà loin. Il nous faut renoncer à l’espoir de le ramener à ses sujets…
— Dites un mot, fit un gentilhomme près de lui, à voix basse, donnez-moi dix bons chevaux, et je le ramène vif… ou mort !
— Maurevert, es-tu fou ! dit le duc sur le même ton. Laissons faire ! Laissons fuir ! Allons, Messieurs, ajouta-t-il tout haut, nous avons fait ce que nous avons pu… Holà, quelle est cette figure d’enfer ?
À ce moment, en effet, débouchait sur la hauteur, par un chemin de traverse, une longue et lourde voiture à demi détraquée, grinçante, geignante, déteinte par la pluie et le soleil, une façon de roulotte poussiéreuse traînée par un squelette de cheval…
Et près de la bête poussive marchait d’un pas de spectre une bohémienne masquée de rouge, portant avec une étrange noblesse son costume bariolé, enveloppée dans un manteau sur lequel retombaient ses cheveux d’un blond magnifique, une coulée d’or en lave. Avec son port de reine, sa démarche raidie, son masque rouge, son allure automatique, fantomale, sans un geste, c’était une apparition à donner le frisson.
— Qui es-tu ? demanda le duc de Guise en poussant vers elle son cheval ; sors-tu de chez Satan, ou bien retournes-tu à lui ?
La bohémienne s’arrêta. Mais elle ne dit pas un mot.
— Par le ciel ! s’écria le duc, je crois que cette gitane se moque…
Il n’acheva pas : à cette seconde, de l’intérieur de cette chose innommable qu’était la voiture s’échappait une mélodie : une voix d’une incomparable pureté chantait doucement. Et elle s’accompagnait d’une guitare dont les sonorités assourdies faisaient vibrer de profondes émotions.
Le duc de Guise, soudain pâli, frémissant, écoutait à demi penché, sous le charme :
— Oh ! cette voix ! C’est la sienne ! C’est elle !… Sorcière, qui chante là ? Parle ! Es-tu donc sourde, ou muette ?
Un homme, à cet instant, s’élança de la voiture et se courba en une pose de respect exorbitant et ironique.
— Le bohémien Belgodère ! murmura Henri de Guise, dont le front s’empourpra.
Et cherchant à cacher la violente émotion qui l’étreignait :
— Dis-moi, bohème : quelle est cette femme masquée, plus silencieuse que la nuit, plus mystérieuse que la tombe ?…
— Excusez-la, monseigneur ! C’est Saïzuma, une pauvre folle que j’ai recueillie un jour qu’elle sortait de prison… Sa folie c’est d’avoir le visage toujours couvert, afin, dit-elle, qu’on ne puisse voir sa honte… Elle vous dira pourtant la bonne aventure.
— Inutile ! Qui es-tu toi-même ? D’où viens-tu ? Où vas-tu ?…
Le bohémien se campa, se drapa :
— D’où je viens, monseigneur ? Du bout du monde ! Où je vais ? À Paris, centre du monde ! Qui je suis ? Belgodère premier et dernier du nom, bateleur jongleur, avaleur de sabres et bon à tout métier. Vous faut-il le spectacle ? Je vous montrerai…
— Il suffit, bohème !… Dis-moi, n’étais-tu pas à Orléans il y a trois mois ?
— J’y étais, monseigneur ! dit Belgodère qui dissimula un sourire. J’y étais avec toute ma troupe, y compris la merveille des merveilles, la chanteuse Violetta, qui charme jusqu’aux rochers, comme le sieur Orpheus[1] , jusqu’aux bêtes sauvages, que dis-je ! jusqu’aux princes ! Monseigneur va la voir ! Violetta ! Violetta mia ! Arrive, par l’enfer ! Ah ! la voilà !…
Une jeune fille de quinze ans apparut toute tremblante sur le devant de la voiture :
— Me voici, maître… me voici !…
Un murmure d’admiration parcourut les cinquante cavaliers rangés autour de Henri de Guise. Le duc demeura ébloui.
« Oui, c’est elle ! fit-il en lui-même. ...

Table of contents

  1. Titre
  2. Prologue
  3. Chapitre 1 - VIOLETTE
  4. Chapitre 2 - LA PLACE DE GRÈVE
  5. Chapitre 3 - PARDAILLAN
  6. Chapitre 4 - LE BOURREAU
  7. Chapitre 5 - LA MAISON DE LA CITÉ
  8. Chapitre 6 - LA BONNE HÔTESSE
  9. Chapitre 7 - L’ORGIE
  10. Chapitre 8 - DOUBLE CHASSE
  11. Chapitre 9 - L’ABSOLUTION
  12. Chapitre 10 - LE PÈRE
  13. Chapitre 11 - LE PACTE
  14. Chapitre 12 - LA FAUSTA
  15. Chapitre 13 - LA REINE MÈRE
  16. Chapitre 14 - SIXTE QUINT
  17. Chapitre 15 - SAÏZUMA
  18. Chapitre 16 - LA VISION DE JACQUES CLÉMENT
  19. Chapitre 17 - LA VISION DE JACQUES CLÉMENT (suite)
  20. Chapitre 18 - LE MOULIN DE LA BUTTE SAINT-ROCH
  21. Chapitre 19 - LE MEUNIER
  22. Chapitre 20 - L’ATTAQUE DU MOULIN
  23. Chapitre 21 - L’ABBAYE DE MONTMARTRE
  24. Chapitre 22 - LE CŒUR DE FAUSTA
  25. Chapitre 23 - LE SPECTRE
  26. Chapitre 24 - LA SŒUR PHILOMÈNE
  27. Chapitre 25 - L’ÉTÉ DE LA SAINT-MARTIN
  28. Chapitre 26 - L’ENCLOS DU COUVENT
  29. Chapitre 27 - LES AMANTS
  30. Chapitre 28 - CONSEIL DE GUERRE
  31. Chapitre 29 - LA VIERGE GUERRIÈRE
  32. Chapitre 30 - VIOLETTA
  33. Chapitre 31 - LES FOURCAUDES
  34. Chapitre 32 - LE SECRET DE BELGODÈRE
  35. Chapitre 33 - LA CHEVALIÈRE
  36. Chapitre 34 - LES DEUX PÈRES
  37. Chapitre 35 - L’ÉPOPÉE
  38. Chapitre 36 - BELGODÈRE
  39. Chapitre 37 - CLAUDE
  40. Chapitre 38 - LE TRIBUNAL SECRET
  41. Chapitre 39 - LE MARIAGE DE VIOLETTA
  42. Chapitre 40 - LE MARIAGE DE VIOLETTA (suite)
  43. Chapitre 41 - LE MARIAGE DE VIOLETTA (fin)
  44. Chapitre 42 - COMMENT L’HERCULE CROASSE ET LE CHIEN PIPEAU LIÈRENT CONNAISSANCE
  45. Chapitre 43 - HÉROÏSME DE PARDAILLAN
  46. Chapitre 44 - CONSEIL DE FAMILLE
  47. Chapitre 45 - LE TIGRE AMOUREUX
  48. Chapitre 46 - LA REVANCHE DE BUSSI-LECLERC
  49. Chapitre 47 - MONOLOGUE DE PARDAILLAN
  50. Chapitre 48 - LA BASTILLE
  51. Chapitre 49 - OÙ PARDAILLAN VISITE LA BASTILLE
  52. Chapitre 50 - L’AUBERGE DU PRESSOIR DE FER
  53. Chapitre 51 - OÙ PARDAILLAN DÉCOUVRE QUE L’HÔTESSE EST PLUS BELLE QU’ELLE N’EN A L’AIR
  54. Chapitre 52 - PIPEAU, CROASSE, PICOUIC ET CIE
  55. Chapitre 53 - LE PALAIS FAUSTA
  56. Notes de bas de page