Le Comte de Monte-Cristo - Tome IV
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Le Comte de Monte-Cristo - Tome IV

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Le Comte de Monte-Cristo - Tome IV

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Un des romans les plus connus de Dumas: Edmond DantÚs, envoyé en prison suite à une machination, va revenir aprÚs de longues années d'incarcération au chùteau d'If, pour se venger de ceux qui ont monté ce complot contre lui...

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Information

CVI. – Le partage.

Dans cet hĂŽtel de la rue Saint-Germain-des-PrĂ©s qu’avait choisi pour sa mĂšre et pour lui Albert de Morcerf, le premier Ă©tage, composĂ© d’un petit appartement complet, Ă©tait louĂ© Ă  un personnage fort mystĂ©rieux.
Ce personnage Ă©tait un homme dont jamais le concierge lui-mĂȘme n’avait pu voir la figure, soit qu’il entrĂąt ou qu’il sortĂźt ; car l’hiver il s’enfonçait le menton dans une de ces cravates rouges comme en ont les cochers de bonne maison qui attendent leurs maĂźtres Ă  la sortie des spectacles, et l’étĂ© il se mouchait toujours prĂ©cisĂ©ment au moment oĂč il eĂ»t pu ĂȘtre aperçu en passant devant la loge. Il faut dire que, contrairement Ă  tous les usages reçus, cet habitant de l’hĂŽtel n’était Ă©piĂ© par personne, et que le bruit qui courait que son incognito cachait un individu trĂšs haut placĂ©, et ayant le bras long, avait fait respecter ses mystĂ©rieuses apparitions.
Ses visites Ă©taient ordinairement fixes, quoique parfois elles fussent avancĂ©es ou retardĂ©es ; mais presque toujours, hiver ou Ă©tĂ©, c’était vers quatre heures qu’il prenait possession de son appartement, dans lequel il ne passait jamais la nuit.
À trois heures et demie, l’hiver, le feu Ă©tait allumĂ© par la servante discrĂšte qui avait l’intendance du petit appartement ; Ă  trois heures et demie, l’étĂ©, des glaces Ă©taient montĂ©es par la mĂȘme servante.
À quatre heures, comme nous l’avons dit, le personnage mystĂ©rieux arrivait.
Vingt minutes aprĂšs lui, une voiture s’arrĂȘtait devant l’hĂŽtel ; une femme vĂȘtue de noir ou de bleu foncĂ©, mais toujours enveloppĂ©e d’un grand voile, en descendait, passait comme une ombre devant la loge, montait l’escalier sans que l’on entendĂźt craquer une seule marche sous son pied lĂ©ger.
Jamais il ne lui Ă©tait arrivĂ© qu’on lui demandĂąt oĂč elle allait.
Son visage, comme celui de l’inconnu, Ă©tait donc parfaitement Ă©tranger aux deux gardiens de la porte, ces concierges modĂšles, les seuls peut-ĂȘtre, dans l’immense confrĂ©rie des portiers de la capitale capables d’une pareille discrĂ©tion.
Il va sans dire qu’elle ne montait pas plus haut que le premier. Elle grattait Ă  une porte d’une façon particuliĂšre ; la porte s’ouvrait, puis se refermait hermĂ©tiquement, et tout Ă©tait dit.
Pour quitter l’hĂŽtel, mĂȘme manƓuvre que pour y entrer.
L’inconnue sortait la premiĂšre, toujours voilĂ©e, et remontait dans sa voiture, qui tantĂŽt disparaissait par un bout de la rue, tantĂŽt par l’autre ; puis, vingt minutes aprĂšs, l’inconnu sortait Ă  son tour, enfoncĂ© dans sa cravate ou cachĂ© par son mouchoir, et disparaissait Ă©galement.
Le lendemain du jour oĂč le comte de Monte-Cristo avait Ă©tĂ© rendre visite Ă  Danglars, jour de l’enterrement de Valentine, l’habitant mystĂ©rieux entra vers dix heures du matin, au lieu d’entrer comme d’habitude, vers quatre heures de l’aprĂšs-midi.
Presque aussitĂŽt, et sans garder l’intervalle ordinaire, une voiture de place arriva, et la dame voilĂ©e monta rapidement l’escalier.
La porte s’ouvrit et se referma.
Mais, avant mĂȘme que la porte fĂ»t refermĂ©e, la dame s’était Ă©criĂ©e :
« Ô Lucien ! ĂŽ mon ami ! »
De sorte que le concierge, qui, sans le vouloir, avait entendu cette exclamation, sut alors pour la premiĂšre fois que son locataire s’appelait Lucien ; mais comme c’était un portier modĂšle, il se promit de ne pas mĂȘme le dire Ă  sa femme.
« Eh bien, qu’y a-t-il, chĂšre amie ? demanda celui dont le trouble ou l’empressement de la dame voilĂ©e avait rĂ©vĂ©lĂ© le nom ; parlez, dites.
– Mon ami, puis-je compter sur vous ?
– Certainement, et vous le savez bien.
« Mais qu’y a-t-il ?
« Votre billet de ce matin m’a jetĂ© dans une perplexitĂ© terrible.
« Cette précipitation, ce désordre dans votre écriture ; voyons, rassurez-moi ou effrayez-moi tout à fait !
– Lucien, un grand Ă©vĂ©nement ! dit la dame en attachant sur Lucien un regard interrogateur : M. Danglars est parti cette nuit.
– Parti ! M. Danglars parti !
« Et oĂč est-il allĂ© ?
– Je l’ignore.
– Comment ! vous l’ignorez ? Il est donc parti pour ne plus revenir ?
– Sans doute !
« À dix heures du soir, ses chevaux l’ont conduit Ă  la barriĂšre de Charenton ; lĂ , il a trouvĂ© une berline de poste tout attelĂ©e ; il est montĂ© dedans avec son valet de chambre, en disant Ă  son cocher qu’il allait Ă  Fontainebleau.
– Eh bien, que disiez-vous donc ?
– Attendez, mon ami. Il m’avait laissĂ© une lettre.
– Une lettre ?
– Oui ; lisez. »
Et la baronne tira de sa poche une lettre dĂ©cachetĂ©e qu’elle prĂ©senta Ă  Debray.
Debray, avant de la lire, hĂ©sita un instant, comme s’il eĂ»t cherchĂ© Ă  deviner ce qu’elle contenait, ou plutĂŽt comme si, quelque chose qu’elle contĂźnt, il Ă©tait dĂ©cidĂ© Ă  prendre d’avance un parti.
Au bout de quelques secondes ses idĂ©es Ă©taient sans doute arrĂȘtĂ©es, car il lut.
Voici ce que contenait ce billet qui avait jetĂ© un si grand trouble dans le cƓur de Mme Danglars :
« Madame et trÚs fidÚle épouse. »
Sans y songer, Debray s’arrĂȘta et regarda la baronne, qui rougit jusqu’aux yeux.
« Lisez », dit-elle.
Debray continua :
« Quand vous recevrez cette lettre vous n’aurez plus de mari ! Oh ! ne prenez pas trop chaudement l’alarme, vous n’aurez plus de mari comme vous n’aurez plus de fille, c’est-Ă -dire que je serai sur une des trente ou quarante routes qui conduisent hors de France.
« Je vous dois des explications, et comme vous ĂȘtes femme Ă  les comprendre parfaitement, je vous les donnerai.
« Écoutez donc :
« Un remboursement de cinq millions m’est survenu ce matin, je l’ai opĂ©rĂ© ; un autre de mĂȘme somme l’a suivi presque immĂ©diatement ; je l’ajourne Ă  demain : aujourd’hui je pars pour Ă©viter ce demain qui me serait trop dĂ©sagrĂ©able Ă  supporter.
« Vous comprenez cela, n’est-ce pas, madame et trĂšs prĂ©cieuse Ă©pouse ?
« Je dis :
« Vous comprenez, parce que vous savez aussi bien que moi mes affaires ; vous les savez mĂȘme mieux que moi, attendu que s’il s’agissait de dire oĂč a passĂ© une bonne moitiĂ© de ma fortune, naguĂšre encore assez belle, j’en serais incapable ; tandis que vous, au contraire, j’en suis certain, vous vous en acquitteriez parfaitement.
« Car les femmes ont des instincts d’une sĂ»retĂ© infaillible, elles expliquent par une algĂšbre qu’elles ont inventĂ©e le merveilleux lui-mĂȘme. Moi qui ne connaissais que mes chiffres, je n’ai plus rien su du jour oĂč mes chiffres m’ont trompĂ©.
« Avez-vous quelquefois admiré la rapidité de ma chute, madame ?
« Avez-vous été un peu éblouie de cette incandescente fusion de mes lingots ?
« Moi, je l’avoue, je n’y ai vu que du feu ; espĂ©rons que vous avez retrouvĂ© un peu d’or dans les cendres.
« C’est avec ce consolant espoir que je m’éloigne, madame et trĂšs prudente Ă©pouse, sans que ma conscience me reproche le moins du monde de vous abandonner ; il vous reste des amis, les cendres en question, et, pour comble de bonheur, la libertĂ© que je m’empresse de vous rendre.
« Cependant, madame, le moment est arrivĂ© de placer dans ce paragraphe un mot d’explication intime. Tant que j’ai espĂ©rĂ© que vous travailliez au bien-ĂȘtre de notre maison, Ă  la fortune de notre fille, j’ai philosophiquement fermĂ© les yeux ; mais comme vous avez fait de la maison une vaste ruine, je ne veux pas servir de fondation Ă  la fortune d’autrui.
« Je vous ai prise riche, mais peu honorée.
« Pardonnez-moi de vous parler avec cette franchise ; mais comme je ne parle que pour nous deux probablement, je ne vois pas pourquoi je farderais mes paroles.
« J’ai augmentĂ© notre fortune, qui pendant plus de quinze ans a Ă©tĂ© croissant, jusqu’au moment oĂč des catastrophes inconnues et inintelligibles encore pour moi sont venues la prendre corps Ă  corps et la renverser, sans que, je puis le dire, il y ait aucunement de ma faute.
« Vous, madame, vous avez travaillĂ© seulement Ă  accroĂźtre la vĂŽtre, chose Ă  laquelle vous avez rĂ©ussi, j’en suis moralement convaincu.
« Je vous laisse donc comme je vous ai prise, riche, mais peu honorable.
« Adieu.
« Moi aussi, je vais, Ă  partir d’aujourd’hui, travailler pour mon compte.
« Croyez Ă  toute ma reconnaissance pour l’exemple que vous m’avez donnĂ© et que je vais suivre.
« Votre mari bien dévoué,
« BARON DANGLARS. »
La baronne avait suivi des yeux Debray pendant cette longue et pĂ©nible lecture ; elle avait vu, malgrĂ© sa puissance bien connue sur lui-mĂȘme, le jeune homme changer de couleur une ou deux fois.
Lorsqu’il eut fini, il ferma lentement le papier dans ses plis, et reprit son attitude pensive.
« Eh bien ? demanda Mme Danglars avec une anxiété facile à comprendre.
– Eh bien, madame ? rĂ©pĂ©ta machinalement Debray.
– Quelle idĂ©e vous inspire cette lettre ?
– C’est bien simple, madame ; elle m’inspire l’idĂ©e que M. Danglars est parti avec des soupçons.
– Sans doute ; mais est-ce tout ce que vous avez à me dire ?
– Je ne comprends pas, dit Debray avec un froid glacial.
– Il est parti ! parti tout à fait ! parti pour ne plus revenir.
– Oh ! fit Debray, ne croyez pas cela, baronne.
– Non, vous dis-je, il ne reviendra pas ; je le connais, c’est un homme inĂ©branlable dans toutes les rĂ©solutions qui Ă©manent de son intĂ©rĂȘt.
« S’il m’eĂ»t jugĂ©e utile Ă  quelque chose, il m’eĂ»t emmenĂ©e. Il me laisse Ă  Paris, c’est que notre sĂ©paration peut servir ses projets : elle est donc irrĂ©vocable et je suis libre Ă  jamais », ajouta Mme Danglars avec la mĂȘme expression de priĂšre.
Mais Debray, au lieu de répondre, la laissa dans cette anxieuse interrogation du regard et de la pensée.
« Quoi ! dit-elle enfin, vous ne me répondez pas, monsieur ?
– Mais je n’ai qu’une question à vous faire : que comptez-vous devenir ?
– J’allais vous le demander, rĂ©pondit la baronne le cƓur palpitant.
– Ah ! fit Debray, c’est donc un conseil que vous me demandez ?
– Oui, c’est un conseil que je vous demande, dit la baronne le cƓur serrĂ©.
– Alors, si c’est un conseil que vous me demandez, rĂ©pondit froidement le jeune homme, je vous conseille de voyager.
– De voyager ! murmura madame Danglars.
– Certainement. Comme l’a dit M. Danglars, vous ĂȘtes riche et parfaitement libre. Une absence de Paris sera nĂ©cessaire absolument, Ă  ce que je crois du moins, aprĂšs le double Ă©clat du mariage rompu de Mlle EugĂ©nie et de la disparition de M. Danglars.
« Il importe seulement que tout le monde vous sache abandonnée et vous croie pauvre ; car on ne pardonnerait pas à la femme du banqueroutier son opulence et son grand état de maison.
« Pour le premier cas, il suffit que vous restiez seulement quinze jours Ă  Paris, rĂ©pĂ©tant Ă  tout le monde que vous ĂȘtes abandonnĂ©e et racontant Ă  vos meilleures amies, qui iront le rĂ©pĂ©ter dans le monde, comment cet abandon a eu lieu. Puis vous quitterez votre hĂŽtel, vous y laisserez vos bijoux, vous abandonnez votre douaire, et chacun vantera votre dĂ©sintĂ©ressement et chantera vos louanges.
« Alors on vous saura abandonnĂ©e, et l’on vous croira pauvre ; car moi seul connais votre situation financiĂšre et suis prĂȘt Ă  vous rendre mes comptes en loyal associĂ©. »
La baronne, pĂąle, atterrĂ©e, avait Ă©coutĂ© ce discours avec autant d’épouvante et de dĂ©sespoir que Debray avait mis de calme et d’indiffĂ©rence Ă  le prononcer.
« AbandonnĂ©e ! rĂ©pĂ©ta-t-elle, oh ! bien abandonnĂ©e
 Oui, vous avez raison, monsieur, et personne ne doutera de mon abandon. »
Ce furent les seules paroles que cette femme, si fiÚre et si violemment éprise, put répondre à Debray.
« Mais riche, trĂšs riche mĂȘme », poursuivit Debray en tirant de son portefeuille et en Ă©talant sur la table quelques papiers qu’il renfermait.
Mme Danglars le laissa faire, tout occupĂ©e d’étouffer les battements de son cƓur et de retenir les larmes qu’elle sentait poindre au bord de ses paupiĂšres. Mais enfin le sentiment de la dignitĂ© l’emporta chez la baronne ; et si elle ne rĂ©ussit point Ă  comprimer son cƓur, elle parvint du moins Ă  ne pas verser une larme.
« Madame, dit Debray, il y a six mois à peu prÚs que nous sommes associés.
« Vous avez fourni une mise de fonds de cent mille francs.
« C’est au mois d’avril de cette annĂ©e qu’a eu lieu notre association.
« En mai, nos opérations ont commencé.
« En mai, nous avons gagné quatre cent cinquante mille francs.
« En juin, le bénéfice a monté à neuf cent mille.
« En juillet, nous y avons ajoutĂ© dix-sept cent mille francs ; c’est, vous le savez, le mois des bons d’Espagne.
« En août, nous perdßmes, au commencement du m...

Table of contents

  1. Titre
  2. LXXXV. – Le voyage.
  3. LXXXVI. – Le jugement.
  4. LXXXVII. – La provocation.
  5. LXXXVIII. – L’insulte.
  6. LXXXIX. – La nuit.
  7. LXC. – La rencontre.
  8. LXCI. – La mùre et le fils.
  9. LXCII. – Le suicide.
  10. LXCIII. – Valentine.
  11. LXCIV. – L’aveu.
  12. LXCV. – Le pùre et la fille.
  13. LXCVI. – Le contrat.
  14. LXCVII. – La route de Belgique.
  15. LXCVIII. – L’auberge de la Cloche et de la Bouteille.
  16. LXCIX. – La loi.
  17. C. – L’apparition.
  18. CI. – Locuste.
  19. CII. – Valentine.
  20. CIII. – Maximilien.
  21. CIV. – La signature Danglars.
  22. CV. – Le cimetiùre du Pùre-Lachaise.
  23. CVI. – Le partage.
  24. CVII. – La Fosse-aux-Lions.
  25. CVIII. – Le juge.
  26. CIX. – Les assises.
  27. CX. – L’acte d’accusation.
  28. CXI. – Expiation.
  29. CXII. – Le dĂ©part.
  30. CXIII. – Le passĂ©.
  31. CXIV. – Peppino.
  32. CXV. – La carte de Luigi Vampa.
  33. CXVI. – Le pardon.
  34. CXVII. – Le 5 octobre.
  35. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique