Les Louves de Machecoul - Tome I
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Les Louves de Machecoul - Tome I

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Les Louves de Machecoul - Tome I

About this book

Apres une rapide évocation des guerres civiles de Vendée de 1793-94, l'intrigue se déroule entre 1831 et 1832. Filles jumelles et bùtardes d'un ancien combattant royaliste de 1793, le marquis de Souday, Mary et Bertha, auxquelles on prete, bien a tort, une sulfureuse réputation, sont cruellement surnommées «les louves de Machecoul». Loin de ces médisances, elles vivent sereinement leur solitude jusqu'au jour ou le sort place sur le chemin deux nouveaux personnages: le baron Michel de la Logerie, fils d'un bourgeois enrichi par l'Empire, et Marie-Caroline de Bourbon, duchesse de Berry, qui veut offrir le trÎne de France a son fils en réveillant l'esprit royaliste vendéen. Des leur premiere rencontre, les jeunes filles s'éprennent de Michel qui, pour sa part, tombe sous le charme de la douce Mary et s'engage, par amour pour elle, aux cÎtés de la duchesse...
Roman méconnu de Dumas, Les louves de Machecoul s'avere pourtant une oeuvre riche, dense et palpitante, empreint d'une vie étourdissante et d'un puissant souffle romanesque.

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Information

XXXIX – OĂč Petit-Pierre fait le meilleur repas qu’il ait fait de sa vie

Petit-Pierre, restĂ© seul, s’appuya contre un arbre, et, muet, immobile, les yeux fixes, l’oreille tendue, il attendit, essayant de saisir au passage le plus petit bruit.
Pendant cinq minutes, Ă  part l’espĂšce de bourdonnement qui semblait venir du mĂȘme cĂŽtĂ© que la lueur, il n’entendit rien.
Tout Ă  coup, le hennissement d’un cheval retentit dans la forĂȘt et fit tressaillir Petit-Pierre.
Presque au mĂȘme moment, il entendit un lĂ©ger bruit dans les broussailles et une ombre se dressa devant lui : c’était Bonneville.
Bonneville, qui ne voyait pas Petit-Pierre, collĂ© au tronc de l’arbre, l’appela deux fois.
Petit-Pierre bondit vers lui.
– Alerte ! alerte ! dit Bonneville en entraünant Petit-Pierre.
– Qu’y a-t-il ?
– Pas un instant à perdre ! Venez ! venez !
Puis, tout en courant :
– Un bivouac de chasseurs. S’il n’y avait eu que des hommes, j’aurais pu me chauffer au mĂȘme feu qu’eux, sans qu’ils me vissent ou qu’ils m’entendissent ; mais un cheval m’a Ă©ventĂ© et a henni.
– Je l’ai entendu.
– Alors, vous comprenez
 Pas un mot ! des jambes, voilà tout.
Et, en effet, sans prononcer une parole, Bonneville et Petit-Pierre firent à peu prÚs cinq cents pas dans un layon, que, par bonheur, ils avaient rencontré sur le chemin.
Puis, il tira Petit-Pierre dans la lisiĂšre et, s’arrĂȘtant :
– Maintenant, dit-il, respirez.
Pendant que Petit-Pierre respirait, Bonneville essaya de s’orienter.
– Sommes-nous perdus ? demanda Petit-Pierre inquiet.
– Oh ! il n’y a pas de danger ! dit Bonneville ; seulement, je cherche s’il n’y a pas un moyen d’éviter ce maudit marais.
– S’il doit nous mener plus directement à notre but, prenons-le, dit Petit-Pierre.
– Il le faudra bien, rĂ©pondit Bonneville ; je ne vois pas d’autre chemin.
– Alors, en route ! dit Petit-Pierre ; seulement, guidez-moi.
Bonneville ne rĂ©pondit rien ; mais, comme preuve d’urgence il se mit immĂ©diatement en marche, et, au lieu de suivre la ligne dans laquelle ils s’étaient engagĂ©s, il tourna Ă  droite, et se remit Ă  marcher dans le taillis.
Au bout de dix minutes, les buissons devinrent plus rares, l’obscuritĂ© devint moins profonde ; ils Ă©taient Ă  la lisiĂšre de la forĂȘt, et ils entendaient devant eux le murmure des roseaux entrechoquĂ©s par le vent.
– Ah ! ah ! fit Petit-Pierre, qui reconnaissait ce bruit, il paraüt que nous y sommes.
– Oui, rĂ©pondit Bonneville, et je ne vous cacherai point que voilĂ  le moment le plus critique de notre nuit.
Et, Ă  ces mots, le jeune homme sortit de sa poche un couteau, qui, Ă  la rigueur, pouvait passer pour un poignard, et coupa un petit arbre qu’il Ă©brancha et dont il eut soin de cacher les Ă©mondes.
– Maintenant, dit-il, mon pauvre Petit-Pierre, il faut vous rĂ©signer et reprendre votre siĂšge sur mes Ă©paules.
Petit-Pierre fit Ă  l’instant mĂȘme ce que lui demandait son guide, et celui-ci s’avança vers le marais.
La marche de Bonneville, alourdie par le poids qu’il portait, embarrassĂ©e par la longue gaule qu’il tenait Ă  la main et avec laquelle il sondait le terrain Ă  chaque pas qu’il faisait, Ă©tait horriblement difficile.
Souvent, il enfonçait dans la vase, jusqu’au-dessus du genou, et ce terrain, qui semblait mou et peu compact lorsqu’il s’agissait d’y entrer, offrait une vĂ©ritable rĂ©sistance lorsqu’il s’agissait d’en sortir ; ce n’était alors qu’avec la plus grande peine que Bonneville parvenait Ă  en arracher ses jambes ; on eĂ»t dit que le gouffre ouvert sous leurs pieds ne pouvait se dĂ©cider Ă  lĂącher sa proie.
– Laissez-moi vous donner un avis, mon cher comte, dit Petit-Pierre.
Bonneville s’arrĂȘta et s’essuya le front.
– Si, au lieu de patauger dans cette vase, vous marchiez sur ces touffes de jonc qu’il me semble entrevoir çà et là, je crois que vous y trouveriez un terrain plus solide.
– Oui, dit Bonneville, sans doute ; mais aussi nous y laisserions une trace plus visible.
Mais, aprĂšs un instant :
– N’importe ! dit-il, vous avez raison, cela vaut encore mieux.
Et, changeant de direction, Bonneville gagna les touffes de jonc.
En effet, la racine chevelue des roseaux avait formĂ© çà et lĂ  des espĂšces d’ülots d’un pied de largeur, qui prĂ©sentaient sur ce terrain bourbeux des surfaces d’une certaine soliditĂ© : le jeune homme les reconnaissait Ă  l’aide de sa perche et s’élançait de l’un sur l’autre.
Mais, de temps en temps, alourdi par le poids de Petit-Pierre, il prenait mal sa mesure, glissait, et ne se retenait qu’avec la plus grande peine ; et ce manĂšge eut bientĂŽt si complĂštement Ă©puisĂ© ses forces, qu’il dut prier Petit-Pierre de descendre et de s’asseoir pour le laisser reprendre haleine.
– Vous voilĂ  Ă©puisĂ©, mon pauvre Bonneville, dit Petit-Pierre. Est-ce encore bien long, votre marais ?
– Nous avons encore deux ou trois cents pas Ă  parcourir, aprĂšs quoi, nous rentrerons en forĂȘt, jusqu’à la ligne de Benaste, qui nous conduira directement Ă  notre mĂ©tairie.
– Pourrez-vous aller jusque-là ?
– Je l’espùre.
– Oh ! mon Dieu, mon Dieu, que je voudrais donc pouvoir vous porter à mon tour ou tout au moins marcher prùs de vous !
Ces mots rendirent au comte toute sa force ; et, renonçant Ă  sa seconde façon d’avancer, il entra rĂ©solĂ»ment dans la boue.
Mais plus il avançait, plus le sol devenait mouvant et bourbeux.
Tout Ă  coup, Bonneville, qui, entraĂźnĂ© par un faux pas, venait de poser son pied dans un endroit qu’il n’avait pas eu le temps de sonder, se sentit enfoncer rapidement et sembla prĂšs de disparaĂźtre.
– Si j’enfonce tout à fait, dit-il, jetez-vous à droite ou à gauche ; le passage dangereux n’est jamais large.
Petit-Pierre sauta, en effet, de cĂŽtĂ©, non pas pour chercher Ă  se sauver, mais pour ne pas alourdir Bonneville d’un poids Ă©tranger.
– Oh ! mon ami, s’écria-t-il le cƓur serrĂ©, les yeux mouillĂ©s de larmes, Ă  ce cri sublime de dĂ©vouement et d’abnĂ©gation, songez Ă  vous, je vous l’ordonne !
Le jeune comte Ă©tait dĂ©jĂ  enfoncĂ© jusqu’à la ceinture ; par bonheur, il avait eu le temps de mettre sa perche en travers, et, comme elle reposait sur deux touffes de jonc qui prĂ©sentaient un appui suffisant, il put, grĂące Ă  la rĂ©sistance qu’elle lui offrait et aidĂ© de Petit-Pierre, qui le retenait par le collet de son habit, parvenir Ă  se tirer de ce mauvais pas.
BientĂŽt le terrain devint plus solide ; la ligne noire de bois qui avait toujours marquĂ© l’horizon se rapprocha et grandit ; les deux fugitifs touchaient Ă  l’extrĂ©mitĂ© du marĂ©cage.
– Enfin ! dit Bonneville.
– Ouf ! fit Petit-Pierre en se laissant glisser Ă  terre, aussitĂŽt qu’il sentit le sol rĂ©sister sous les pieds de son compagnon ; ouf ! vous devez ĂȘtre brisĂ©, mon cher comte.
– Non, rĂ©pondit Bonneville, je suis essoufflĂ©, voilĂ  tout.
– Oh ! mon Dieu ! dit Petit-Pierre, et n’avoir rien pour vous rendre vos forces, pas mĂȘme la gourde du soldat ou du pĂšlerin, pas mĂȘme le morceau de pain du mendiant !
– Bah ! dit le comte, mes forces, ce n’est point de l’estomac que je les tire.
– Alors, dites-moi d’oĂč vous les tirez, mon cher comte : je tĂącherai de faire comme vous.
– Auriez-vous faim ?
– J’avoue que je mangerais bien quelque chose.
– HĂ©las ! dit le comte, voilĂ  que vous me faites regretter Ă  mon tour ce dont je me souciais si peu tout Ă  l’heure.
Petit-Pierre se mit Ă  rire, et, plaisantant pour rendre le courage Ă  son compagnon :
– Bonneville, dit-il, appelez l’huissier, faites avertir le chambellan de service, afin qu’il prĂ©vienne les officiers de bouche de m’apporter mon en-cas. Je goĂ»terais volontiers de ces bĂ©cassines que j’ai tout Ă  l’heure entendues crier en partant sous nos pieds.
– Son Altesse royale est servie, dit le comte en mettant un genou en terre et en offrant, sur la forme de son chapeau, un objet que Petit-Pierre saisit avec empressement.
– Du pain ! s’écria-t-il.
– Du pain noir, fit Bonneville.
– Bon ! la nuit, on ne voit pas de quelle couleur il est.
– Du pain sec, deux fois sec !
– C’est toujours du pain.
Et Petit-Pierre mordit à belles dents dans le croûton, qui, depuis deux jours, séchait dans la poche du comte.
– Et quand je pense, dit Petit-Pierre, que c’est le gĂ©nĂ©ral Dermoncourt qui, Ă  cette heure, mange mon souper Ă  Souday, n’est-ce pas enrageant ?
Puis, tout Ă  coup :
– Oh ! pardon, mon cher guide, continua Petit-Pierre ; mais l’estomac chez moi l’a si bien emportĂ© sur le cƓur, que j’ai oubliĂ© de vous offrir la moitiĂ© de mon souper.
– Merci, rĂ©pondit Bonneville ; mon appĂ©tit ne va pas encore jusqu’à croquer des cailloux ; mais, en Ă©change de votre offre si gracieuse, je vais vous montrer comment il faut faire pour rendre votre pauvre souper moins coriace.
Bonneville prit le pain, le rompit en petits morceaux, non sans peine, alla les plonger dans une source qui coulait Ă  deux pas de lĂ , appela Petit-Pierre, s’assit d’un cĂŽtĂ© de la source, et Petit-Pierre de l’autre, et, retirant une Ă  une les croĂ»tes dĂ©trempĂ©es et amollies, il les prĂ©senta Ă  son compagnon affamĂ©.
– Ma foi, dit celui-ci lorsqu’il fut au dernier lopin, il y a vingt ans que je n’ai si bien soupĂ© ! Bonneville, je vous nomme mon majordome.
– Et moi, dit le comte, je redeviens votre guide. Assez de dĂ©lices comme cela, continuons notre chemin.
– Je suis prĂȘt, dit Petit-Pierre en se dressant gaiement sur ses pieds.
On se remit en marche à travers bois, et, une demi-heure aprùs, on se retrouva au bord d’une riviùre qu’il fallait traverser.
Bonneville essaya de son procĂ©dĂ© ordinaire ; mais, au premier pas qu’il fit dans le lit du ruisseau, l’eau lui monta jusqu’à la ceinture ; au second, il en avait jusqu’au cou, et les jambes de Petit-Pierre trempaient dans la riviĂšre.
Bonneville, qui se sentait entraĂźnĂ© par le courant, attrapa une branche d’arbre et regagna le bord.
Il fallait chercher un passage.
Au bout de trois cents pas, Bonneville crut l’avoir trouvĂ©.
Ce passage, c’était le tronc d’un arbre renversĂ© par le vent en travers du ruisseau et encore tout garni de ses branches.
– Croyez-vous pouvoir marcher là-dessus ? demanda-t-il à Petit-Pierre.
– Si vous y marchez, j’y marcherai, rĂ©pondit celui-ci.
– Tenez-vous aux branches, n’y mettez pas d’amour-propre ; ne levez un pied que quand vous serez bien sĂ»r que l’autre est d’aplomb, dit Bonneville en grimpant sur le tronc de l’arbre.
– Je vous suis, n’est-ce pas ?
– Attendez, je vais vous donner la main.
– M’y voilà ! Mon Dieu, qu’il faut donc savoir de choses pour courir les champs ! je n’aurais jamais cru cela.
– Ne parlez pas, pour Dieu ! faites attention Ă  vos pieds
 Un instant ! n’avancez pas : voici une branche qui vous gĂȘnerait ; je vais la couper.
Au moment oĂč le jeune comte se baissait pour exĂ©cuter ce qu’il venait de dire, il entendit derriĂšre lui un cri Ă©touffĂ©, puis le bruit d’un corps qui tombait Ă  l’eau.
Il se retourna : Petit-Pierre avait disparu.
Sans perdre une seconde, Bonneville se laissa tomber Ă  la mĂȘme place, et le hasard le servit si bien, qu’en allant au fond de la riviĂšre, qui, dans cet endroit, n’avait pas moins de sept ou huit pieds de pro...

Table of contents

  1. Titre
  2. I – L’aide de camp de Charette
  3. II – La reconnaissance des rois
  4. III – Les deux jumelles
  5. IV – Comment, en venant pour une heure chez le marquis de Souday, Jean Oullier y serait encore, si le marquis et lui ne fussent pas morts depuis dix ans
  6. V – Une portĂ©e de louvarts
  7. VI – Un liĂšvre blessĂ©
  8. VII – M. Michel
  9. VIII – La baronne de la Logerie
  10. IX – Galon-d’or et AllĂ©gro
  11. X – OĂč les choses ne se passent pas tout Ă  fait comme les avait rĂȘvĂ©es le baron Michel
  12. XI – Le pùre nourricier
  13. XII – Noblesse oblige
  14. XIII – La cousine de cinquante lieues
  15. XIV – Petit-Pierre
  16. XV – Heure indue
  17. XVI – La diplomatie de Courtin
  18. XVII – Le cabaret d’Aubin Courte-Joie
  19. XVIII – L’homme de la Logerie
  20. XIX – La foire de Montaigu
  21. XX – L’émeute
  22. XXI – Les ressources de Jean Oullier
  23. XXII – Apporte, Pataud ! Apporte
  24. XXIII – À qui appartenait la chaumiùre
  25. XXIV – Comment Marianne Picaut pleura son mari
  26. XXV – OĂč l’amour prĂȘte des opinions politiques Ă  ceux qui n’en ont pas
  27. XXVI – Le saut de BaugĂ©
  28. XXVII – Les hîtes de Souday
  29. XXVIII – OĂč le marquis de Souday regrette amĂšrement que Petit-Pierre ne soit pas gentilhomme
  30. XXIX – Les VendĂ©ens de 1832
  31. XXX – L’alarme
  32. XXXI – Mon compùre Loriot
  33. XXXII – OĂč le gĂ©nĂ©ral mange un dĂźner qui n’avait pas Ă©tĂ© prĂ©parĂ© pour lui
  34. XXXIII – OĂč la curiositĂ© de maĂźtre Loriot n’est pas prĂ©cisĂ©ment satisfaite
  35. XXXIV – La chambre de la tourelle
  36. XXXV – Qui finit tout autrement que ne s’y attendait Mary
  37. XXXVI – Bleu et blanc.
  38. XXXVII – Qui prouve que ce n’est point pour les mouches seules que les toiles d’araignĂ©e sont perfides
  39. XXXVIII – OĂč le pied le plus mignon de France et de Navarre trouve que les pantoufles de Cendrillon le chausseraient moins bien que des bottes de sept lieues
  40. XXXIX – OĂč Petit-Pierre fait le meilleur repas qu’il ait fait de sa vie
  41. XL – L’égalitĂ© devant les morts
  42. XLI – La perquisition
  43. XLII – OĂč Jean Oullier dit ce qu’il pense du jeune baron Michel
  44. XLIII – OĂč le jeune baron Michel devient l’aide de camp de Bertha
  45. XLIV – Les lapins de maütre Jacques
  46. XLV – Du danger qu’il peut y avoir à se trouver dans les bois en mauvaise compagnie
  47. À propos de cette Ă©dition Ă©lectronique
  48. Notes de bas de page