
- 446 pages
- French
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- Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub
À propos de ce livre
pubOne.info present you this new edition. Que j'ai de regret de ne pouvoir te dire adieu! Tu vois combien j'ai de chagrin de te quitter. Adieu pense a moi, et sois sure que je ne t'oublierai point.
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Informations
Sujet
LittératureSujet
ClassiquesAURORE[1].
[1] Mademoiselle Aurore Dupin avait
alors onze ans.
III
A.M. CARON, A PARIS
Nohant, 21 novembre 1823.
J'ai reçu votre envoi, mon petit Caron, et je vous
remercie de votre extrême obligeance. Toutes mes commissions sont
faites le mieux du monde, et vous êtes gentil comme le père
Latreille[1].
Vous m'avez envoyé assez de guimauve pour faire
pousser deux millions de dents; comme j'espère que mon
héritier[2] n'en aura pas tout à fait autant, j'ai
fait deux bouteilles de sirop dont vous vous lécherez les barbes si
vous vous dépêchez de venir à Nohant; car mon petit n'est pas
disposer à vous en laisser beaucoup. Au reste, votre envoi a fait
bon effet, puisque nous avons deux grandes dents. Vous seriez
amoureux de lui maintenant: il est beau comme vous, et leste comme
son père. J'aimerais autant tenir une grenouille, elle ne sauterait
pas mieux.
Adieu, mon petit père. Nous vous embrassons et
sommes vos bons amis.
LES DEUX CASIMIRS[3].
[1] Vieil ami et correspondant de la
famille. [2] Maurice, son fils, qui avait alors
quatre mois. [3] Nom de François-Casimir Dudevant,
son mari.
IV
A MADAME MAURICE DUPIN, A PARIS
Je ne sais pas la date. Nous sommes le deuxième
dimanche de carême[1].
Je suis enchantée d'apprendre que vous vous portiez
mieux, chère petite maman, et j'espère bien qu'à l'heure où
j'écris, vous êtes tout à fait guérie; du moins je le désire de
tout mon coeur, et, si je le pouvais, je vous rendrais vos quinze
ans, chose qui vous, ferait grand plaisir, ainsi qu'à bien
d'autres.
C'est un grand embarras que vous avez pris de sevrer
un gros garçon comme Oscar[2], et vous avez rendu à
Caroline[3] un vrai service de mère. Le mien n'a
plus besoin de nourrice, il est sevré. C'est peut-être un peu tôt;
mais il préfère la soupe et l'eau et le vin à tout, et, comme il ne
cherche pas à teter, mon lait a diminué, sans que ni lui ni moi
nous en apercevions.
Il est superbe de graisse et de fraîcheur il a des
couleurs très vives, l'air très décidé, et le caractère
idem. Il n'a toujours que six dents; mais il s'en sert bien
pour manger du pain, des oeufs, de la galette, de la viande, enfin
tout ce qu'il peut attraper. Il mord, comme un petit chien, les
mains qui, l'ennuient en voulant le coiffer, etc. Il pose très bien
ses pieds pour marcher, mais il est encore trop jeune pour courir
après Oscar: dans un an ou deux, ils se battront pour leurs
joujoux.
J'espère, ma chère maman, que le désir que vous me
témoignez de nous revoir, et que nous partageons, sera bientôt
rempli. Nous espérons faire une petite fugue vers Pâques, pour
présenter M. Maurice à son grand-papa, qui ne le connaît pas encore
et qui désire bien le voir, comme vous pensez. Je veux lui faire
une surprise. Je ne lui parlerai de rien dans mes lettres et je lui
enverrai Maurice sans dire qui il est. Nous, nous serons derrière
la porte pour jouir de son erreur. Mais j'ai tort de vous dire
cela, car je veux vous en faire autant. Ainsi n'attendez pas que je
vous prévienne de mon arrivée.
Adieu, ma chère maman; donnez-moi encore de vos
nouvelles. Je vous embrasse de tout mon coeur, Casimir en fait
autant; pour Maurice, quand on veut l'embrasser, il tourne la tête
et présente son derrière; j'espère que vous le corrigerez de cette
mauvaise habitude.
[1] C'était le 17 mars 1824.
[2] Oscar Cazamajou, neveu de George Sand.
[3] Madame Cazamajou, soeur aînée de George
Sand.
V
A LA MÊME
Nohant, 29 juin 1825.
Vous devez me trouver bien paresseuse, ma chère
petite maman, et je le suis en effet. Je mène une vie si active,
que je ne me sens le courage de rien, le soir en rentrant, et que
je m'endors aussitôt que je reste un instant en place.
Ce sont là de bien mauvaises raisons, j'en conviens;
mais, du moment que nous sommes tous bien portants, quelles
nouvelles à vous donner de notre tranquille pays, où nous vivons en
gens plus tranquilles encore; voyant pen de personnes et nous
occupant de soins champêtres, dont la description ne vous amuserait
guère? J'ai reçu des nouvelles de Clotilde[1], qui
m'a dit que vous vous portiez bien; c'est ce qui me rassurait sur
votre compte et contribuait à mon silence puisque j'étais sans
inquiétude.
Si vous eussiez effectué le projet de venir à
Nohant, nous aurions dans ce moment le chagrin de vous quitter. Je
pars dans huit jours pour les Pyrénées. J'ai eu le bonheur d'avoir
ici pendant quelques jours, deux aimables soeurs, mes amies intimes
de couvent, qui se rendent aux mêmes eaux, avec leur père, et un
vieil ami fort gai et fort aimable. En quittant Chateauroux, elles
n'ont pu se dispenser de venir passer quelques jours à Nohant, qui
était devenu pour moi un lieu de délices par la présence de ces
bonnes amies. Je les ai reconduites un bout de chemin et ne les ai
quittées qu'avec la promesse de les rejoindre bientôt.
Nous allons donc entreprendre un petit voyage de
cent quarante lieues d'une traite. C'est peu pour vous qui faites
le voyage d'Espagne comme celui de Vincennes; mais c'est beaucoup
pour Maurice, qui aura demain deux ans. J'espère néanmoins qu'il ne
s'en apercevra pas, à en juger par celui de Nohant, qu'il trouve
trop court à son gré. D'ailleurs, nous ne voyagerons que le jour et
en poste. Nous sommes donc dans l'horreur des paquets. Nous
emmenons Fanchou[2], et Vincent[3],
qui est fou de joie de voyager sur le siège de la voiture. Pour
moi, je suis enchantée de revoir les Pyrénées, dont je ne me
souviens guère, mais dont on me fait de si belles descriptions. Ne
manquez pas de nous donner de vos nouvelles: car il semble qu'on
soit plus inquiet quand on est plus éloigné.
Adieu, ma chère maman, je vous embrasse tendrement
et vous désire une bonne santé et du plaisir surtout; car, chez
vous comme chez moi, l'un ne va guère sans l'autre. Maurice est
grand comme père et mère et beau, comme un Amour. Casimir vous
embrasse de tout son coeur. Pour moi, je me porte très bien, sauf
un reste de toux et de crachement de sang qui passeront, j'espère,
avec les eaux.
Nous resterons deux mois au plus aux eaux; de là,
nous irons à Nérac chez le papa[4], où nous
demeurerons tout l'hiver. Au mois de mars ou d'avril, nous serons à
Nohant, où nous vous attendrons avec ma tante et Clotilde.
[1] Clotilde Daché, née Maréchal,
cousine de George Sand.
[2] Femme de chambre.
[3] Cocher
[4] Le baron Dudevant, beau-pére de
George Sand.
VI
A LA MÊME
Bagnères, 28 août 1825.
Ma chère petite maman,
J'ai reçu votre aimable lettre à Cauterets, et je n'ai pu y répondre tout de suite pour mille raisons. La première, c'est que Maurice venait d'être sérieusement malade, ce qui m'avait donné beaucoup d'inquiétude et d'embarras.
Il est parfaitement guéri depuis quelques jours que nous sommes ici et que nous avons retrouvé le soleil et la chaleur. Il a repris tout à fait appétit, sommeil, gaieté et embonpoint. Aussitôt qu'il a été hors de danger, j'ai profité de sa convalescence pour courir les montagnes de Cauterets et de Saint-Sauveur, que je n'avais pas eu le temps de voir. Je n'ai donc pas eu une journée à moi pour écrire à qui que ce soit; tout le monde m'en veut et je m'en veux à moi-même. Mais, après avoir fait, presque tous les jours, des courses de huit, dix, douze et quatorze lieues à cheval, j'étais tellement fatiguée, que je ne songeais qu'à dormir, encore quand Maurice me le permettait. Aussi j'ai été fort souffrante de la poitrine, et j'ai eu des toux épouvantables; mais je ne me suis point arrêtée à ces misères, et, en continuant des exercices violents, j'ai retrouvé ma santé et un appétit qui effraye nos compagnons de voyage les plus voraces.
Je suis dans un tel enthousiasme des Pyrénées, que je ne vais plus rêver et parler, toute ma vie, que montagnes, torrents, grottes et précipices. Vous connaissez ce beau pays, mais pas si bien que moi, j'en suis sûre; car beaucoup des merveilles que j'ai vues, sont enfouies dans des chaînes de montagnes où les voitures et même les chevaux n'ont jamais pu pénétrer. Il faut marcher à pic des heures entières dans des gravats qui s'écroulent à tout instant, et sur des roches aiguës où on laisse ses souliers et partie de ses pieds.
À Cauterets, on a une manière de gravir les rochers fort commode. Deux hommes vous portent sur une chaise attachée à un brancard, et sautent ainsi de roche en roche au-dessus de précipices sans fond, avec une adresse, un aplomb et une promptitude qui vous rassurent pleinement et vous font braver tous les dangers; mais, comme ils sentent le bouc d'une lieue et que très souvent on meurt de froid après une ou deux heures de l'après-midi, surtout au haut dés montagnes, j'aimais mieux marcher. Je sautais comme eux d'une pierre à l'autre, tombant souvent et me meurtrissant les jambes, riant quand même de mes désastres et de ma maladresse.
Au reste, je ne suis pas la seule femme qui fasse des actes de courage. Il semble que le séjour des Pyrénées inspire dé l'audace aux plus timides, car les compagnes de mes expéditions en faisaient autant. Nous avons été à la fameuse cascade de Gavarnie, qui est la merveille des Pyrénées. Elle tombe d'un rocher de douze cents toises de haut, taillé à pic comme une muraille. Près de la cascade, on voit un pont de neige, qu'à moins de toucher, on ne peut croire l'ouvrage de la nature; l'arche, qui a dix ou douze pieds de haut, est parfaitement faite et on croit voir des coups de truelle sur du plâtre.
Plusieurs des personnes qui étaient avec nous, (car on est toujours fort nombreux dans ces excursions) s'en sont, retournées, convaincues qu'elles, venaient de voir un ouvrage de maçonnerie. Pour arriver à ce prodige, et pour en revenir, nous avons fait douze lieues à cheval sur un sentier de trois pieds de large, au bord d'un précipice qu'en certains endroits on appelle l'échelle, et dont on ne voit, pas le fond. Ce n'est pourtant pas là ce qu'il y a de plus dangereux; car les chevaux y sont accoutumés et passent à une ligne du bord, sans broncher. Ce qui m'étonne bien davantage dans ces chevaux de montagne, c'est leur aplomb sur des escaliers de rochers qui ne présentent à leurs pieds que des pointes tranchantes et polies.
J'en avais un fort laid, comme ils le sont tous, mais à qui j'ai fait faire des choses qu'on n'exigerait que d'une chèvre: galopant toujours dans les endroits les plus effrayants, sans glisser, ni faire un seul faux pas, et sautant de roche en roche en descendant. J'avoue que je ne supposais pas que cela fût possible et que je ne me serais jamais cru le courage de me fier à lui avant que j'eusse éprouvé ses moyens.
Nous avons été hier à six lieues d'ici à cheval, pour visiter les grottes de Lourdes. Nous sommes entrés à plat ventre dans celle du Loup. Quand on s'est bien fatigué pour arriver à un trou d'un pied de haut, qui ressemble à la retraite d'un blaireau, j'avoue; que l'on se sent un peu découragé. J'étais avec mon mari et deux autres jeunes gens avec qui nous nous étions liées à Cauterets et que nous avons retrouvés à Bagnères, ainsi qu'une grande partie de notre aimable et nombreuse société bordelaise. Nous avons eu le courage de nous enfoncer dans cette tanière, et, au bout d'une minute, nous nous sommes trouvés dans un endroit beaucoup plus spacieux, c'est-à-dire que nous pouvions nous tenir debout sans chapeau et que nos épaules n'étaient qu'un peu froissées à droite et à gauche.
Après avoir fait cent cinquante pas dans cette agréable position, tenant chacun une lumière et ôtant bottes et souliers, pour ne pas glisser sur le marbre mouillé et raboteux, nous sommes arrivés au puits naturel, que nous n'avons pas vu, malgré tous nos flambeaux, parce que le roc disparaît tout à coup sous les pieds, et l'on ne trouve plus qu'une grotte si obscure et si élevée, qu'on ne distingue ni le haut ni le fond.
Nos guides arrachèrent des roches avec beaucoup d'effort et les lancèrent dans l'obscurité; c'est alors que nous jugeâmes de la profondeur du gouffre: le bruit de la pierre frappant le roc fut comme un coup de canon, et, retombant dans l'eau comme un coup de tonnerre, y causa, une agitation épouvantable. Nous entendîmes pendant quatre minutes l'énorme masse d'eau ébranlée, frapper le roc avec une fureur et un bruit effrayant qu'on aurait pu prendre tantôt pour le travail de faux monnayeurs, tantôt pour les voix rauques et bruyantes des brigands. Ce bruit, qui part des entrailles de la terre, joint à l'obscurité et à tout ce que l'intérieur d'une caverne a de sinistre, aurait pu glacer des coeurs moins aguerris que les nôtres.
Mais nous avions joué à Gavarnie avec les crânes des templiers, nous avions passé sur le pont de neige quand nos guides nous criaient qu'il allait s'écrouler. La grotte du Loup n'était qu'un jeu d'enfant. Nous y passâmes près d'une heure, et nous revînmes chargés de fragments des pierres que nous avions lancées dans le gouffre. Ces pierres, que je vous montrerai, sont toutes remplies de parcelles de fer et de plomb qui brillent comme des paillettes.
En sortant de la grotte du Loup, nous entrâmes dans las Espeluches. Notre savant cousin, M. Defos[1], vous dira que ce nom patois vient du latin.
Nous trouvâmes l'entrée de ces grottes admirable; j'étais seule en avant, je fus ravie de me trouver dans une salle magnifique soutenue par d'énormes masses de rochers qu'on aurait pris pour des piliers d'architecture gothique, le plus beau pays du monde, le torrent d'un bleu d'azur, les prairies d'un vert éclatant, un premier cercle de montagnes couvertes de bois épais, et un second, à l'horizon, d'un bleu tendre qui se confondait avec le ciel, toute cette belle nature éclairée par le soleil couchant, vue du haut d'une montagne, au travers de ces noires arcades de rochers, derrière moi la sombre ouverture des grottes: j'étais transportée.
Je parcourus ainsi deux ou trois de ces péristyles, communiquant les uns aux autres par des portiques cent fois plus imposants et plus majestueux que tout ce que feront les efforts des hommes.
Nos compagnons arrivèrent et nous nous enfonçâmes encore dans les détours d'un labyrinthe étroit et humide, nous aperçûmes au-dessus de nos têtes une salle magnifique, où notre guide ne se souciait guère de nous conduire. Nous le forçâmes de nous mener à ce second étage. Ces messieurs se déchaussèrent et grimpèrent assez adroitement; pour moi, j'entrepris l'escalade.
Je passai sans frayeur sur le taillant d'un marbre glissant, au-dessous duquel était une profonde excavation. Mais quand il fallut enjamber sur un trou que l'obscurité rendait très effrayant, n'ayant aucun appui ni pour mes pieds, ni pour mes mains, glissant de tous côtés, je sentis mon courage chanceler. Je riais, mais j'avoue que j'avais peur. Mon mari m'attacha deux ou trois foulards autour du corps et me soutint ainsi pendant que ...
Table des matières
- CORRESPONDANCE DE GEORGE SAND
- II
- AURORE[1].
- III
- LES DEUX CASIMIRS[3].
- IV
- V
- VI
- VII
- VIII
- AURORE D.
- IX
- X
- AURORE.
- XI
- XII
- XIII
- XIV
- XV
- XVI
- XVII
- AURORE.
- XVIII
- XIX
- XX
- AURORE.
- XXI
- XII
- AURORE.
- XXIII
- AURORE.
- AURORE
- XXV
- XXVI
- AURORE
- XXVII
- AURORE.
- XXVIII
- XXIX
- XXX
- AURORE DÙDEVANT.
- XXXI
- XXXII
- AURORE DUDEVANT.
- XXXIII
- AURORE DUDEVANT
- XXXIV
- XXXV
- XXXVI
- XXXVII
- XXXVIII
- XXXIX
- XL
- XLI
- XLII
- XLIII
- XLIV
- XLV
- AURORE D.
- XLVI
- XLVII
- XLVIII
- XLIX
- L
- LI
- LII
- LIV
- LV
- LVI
- LVII
- LVIII
- LIX
- LX
- LXI
- LXII
- LXIII
- LXIV
- LXV
- LXVI
- LXVII
- LXVIII
- LXIX
- LXX
- LXXI
- LXXII
- LXXIII
- LXXIV
- LXXV
- LXXVI
- LXXVII
- LXXVIII
- LXXIX
- LXXX
- LXXXI
- LXXXII
- LXXXIII
- LXXXIV
- AURORE.
- LXXXV
- LXXXVI
- LXXXVII
- LXXXVIII
- LXXXIX
- GEORGE.
- XCI
- GEORGE.
- XCII
- XCIII
- XCIV
- XCV
- XCVI
- XCVII
- XCVIII
- XCIX
- C
- GEORGE.
- CII
- CIII
- GEORGE SAND.
- CIV
- CV
- G.S.
- AURORE.
- GEORGE.
- CVIII
- AURORE.
- CX
- AURORE D.
- CXII
- G.S.
- CXIII
- GEORGE S.
- CXIV
- CXV
- CXVI
- CXVII
- CXVIII
- CXIX
- CXX
- CXXI
- CXXII
- CXXIII
- GEORGE.
- GEORGE.
- CXXV
- GEORGE.
- CXXVI
- GEORGE SAND.
- CXXVII
- CXXVIII
- GEORGE.
- CXXX
- GEORGE.
- CXXXI
- G.S.
- GEORGE SAND.
- CXXXIV
- CXXXV
- CXXXVI
- CXXXVII
- GEORGE.
- GEORGE SAND.
- CXXXIX
- CXL
- GEORGE SAND.
- GEORGE SAND.
- CXLII
- GEORGE.
- CXLIII
- GEORGE.
- CXLV
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