Baudelaire : l'intégrale des oeuvres
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Baudelaire : l'intégrale des oeuvres

Tout Baudelaire en 1 volume

  1. 3,366 pages
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Baudelaire : l'intégrale des oeuvres

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À propos de ce livre

RÉSUMÉ: "Baudelaire: l'intégrale des oeuvres" rassemble l'ensemble des écrits de Charles Baudelaire, offrant une immersion complète dans l'univers du poète. Ce volume unique permet de découvrir ou redécouvrir les textes qui ont marqué la littérature française, tels que "Les Fleurs du mal", recueil emblématique qui explore la beauté et la laideur, le sacré et le profane. À travers ses poèmes, Baudelaire exprime une sensibilité exacerbée face à la modernité naissante, oscillant entre spleen et idéal. Le lecteur est invité à parcourir les "Petits poèmes en prose", où la prose poétique de Baudelaire se déploie dans des tableaux urbains saisissants, révélant son regard critique sur la société de son temps. Les essais critiques, comme ceux sur l'art et la littérature, offrent une réflexion profonde sur le rôle de l'artiste et l'esthétique. Les traductions de l'oeuvre d'Edgar Allan Poe témoignent de l'admiration de Baudelaire pour l'écrivain américain, et de son influence sur sa propre écriture. Ce recueil complet permet d'apprécier la diversité et la richesse de l'oeuvre baudelairienne, de ses premiers écrits jusqu'à ses dernières pensées. À travers cette intégrale, Baudelaire apparaît comme un observateur acéré de son époque, dont les thèmes universels continuent de résonner avec force aujourd'hui. En explorant les tensions entre le beau et le mal, l'éphémère et l'éternel, Baudelaire interroge la condition humaine avec une profondeur inégalée.__________________________________________BIOGRAPHIE DE L'AUTEUR: Charles Baudelaire, né le 9 avril 1821 à Paris, est un poète, critique d'art et traducteur français, figure majeure du symbolisme. Issu d'une famille bourgeoise, il perd son père à l'âge de six ans, événement qui marque profondément sa jeunesse. Après des études au lycée Louis-le-Grand, il mène une vie bohème et se lie avec des artistes et écrivains de son temps. En 1845, il publie ses premiers poèmes, mais c'est en 1857 que son recueil "Les Fleurs du mal" provoque un scandale retentissant, en raison de son contenu jugé immoral. Baudelaire y explore des thèmes tels que la beauté, la mort, et la mélancolie, qui deviendront récurrents dans son oeuvre. En plus de sa poésie, Baudelaire est reconnu pour ses essais critiques, notamment "L'Art romantique", où il défend l'art pour l'art et s'oppose à l'académisme. Sa passion pour Edgar Allan Poe le pousse à traduire ses oeuvres, contribuant à faire connaître l'auteur américain en France.

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Informations

Année
2018
ISBN de l'eBook
9782322144587
Édition
1
Sujet
Poésie

La lettre volée


Nil sapientiæ odiosius acumine nimio.
Sénèque .

J’étais à Paris en 18… Après une sombre et orageuse soirée d’automne, je jouissais de la double volupté de la méditation et d’une pipe d’écume de mer, en compagnie de mon ami Dupin, dans sa petite bibliothèque ou cabinet d’étude, rue Dunot, n o33, au troisième, faubourg Saint-Germain. Pendant une bonne heure, nous avions gardé le silence ; chacun de nous, pour le premier observateur venu, aurait paru profondément et exclusivement occupé des tourbillons frisés de fumée qui chargeaient l’atmosphère de la chambre. Pour mon compte, je discutais en moi-même certains points, qui avaient été dans la première partie de la soirée l’objet de notre conversation ; je veux parler de l’affaire de la rue Morgue, et du mystère relatif à l’assassinat de Marie Roget [76] . Je rêvais donc à l’espèce d’analogie qui reliait ces deux affaires, quand la porte de notre appartement s’ouvrit et donna passage à notre vieille connaissance, à M. G…, le préfet de police de Paris.
Nous lui souhaitâmes cordialement la bienvenue ; car l’homme avait son côté charmant comme son côté méprisable, et nous ne l’avions pas vu depuis quelques années. Comme nous étions assis dans les ténèbres, Dupin se leva pour allumer une lampe ; mais il se rassit et n’en fit rien, en entendant G…… dire qu’il était venu pour nous consulter, ou plutôt pour demander l’opinion de mon ami relativement à une affaire qui lui avait causé une masse d’embarras.
Si c’est un cas qui demande de la réflexion, observa Dupin, s’abstenant d’allumer la mèche, nous l’examinerons plus convenablement dans les ténèbres.
Voilà encore une de vos idées bizarres, dit le préfet, qui avait la manie d’appeler bizarres toutes les choses situées au delà de sa compréhension, et qui vivait ainsi au milieu d’une immense légion de bizarreries.
C’est, ma foi, vrai ! dit Dupin en présentant une pipe à notre visiteur, et roulant vers lui un excellent fauteuil.
Et maintenant, quel est le cas embarrassant ? demandai-je ; j’espère bien que ce n’est pas encore dans le genre assassinat.
Oh ! non. Rien de pareil. Le fait est que l’affaire est vraiment très simple, et je ne doute pas que nous ne puissions nous en tirer fort bien nous-mêmes ; mais j’ai pensé que Dupin ne serait pas fâché d’apprendre les détails de cette affaire, parce qu’elle est excessivement bizarre .
Simple et bizarre, dit Dupin.
Mais oui ; et cette expression n’est pourtant pas exacte ; l’un ou l’autre, si vous aimez mieux. Le fait est que nous avons été tous là-bas fortement embarrassés par cette affaire ; car, toute simple qu’elle est, elle nous déroute complètement.
Peut-être est-ce la simplicité même de la chose qui vous induit en erreur, dit mon ami.
Quel non-sens nous dites-vous là ! répliqua le préfet, en riant de bon cœur.
Peut-être le mystère est-il un peu trop clair, dit Dupin.
Oh ! bonté du ciel ! qui a jamais ouï parler d’une idée pareille.
Un peu trop évident.
Ah ! ah ! ah ! ah ! oh ! oh ! criait notre hôte, qui se divertissait profondément. Oh ! Dupin, vous me ferez mourir de joie, voyez-vous.
Et enfin, demandai-je, quelle est la chose en question ?
Mais, je vous la dirai, répliqua le préfet, en lâchant une longue, solide et contemplative bouffée de fumée, et s’établissant dans son fauteuil. Je vous la dirai en peu de mots. Mais, avant de commencer, laissez-moi vous avertir que c’est une affaire qui demande le plus grand secret, et que je perdrais très probablement le poste que j’occupe, si l’on savait que je l’ai confiée à qui que ce soit.
Commencez, dis-je.
Ou ne commencez pas, dit Dupin.
C’est bien ; je commence. J’ai été informé personnellement, et en très haut lieu, qu’un certain document de la plus grande importance avait été soustrait dans les appartements royaux. On sait quel est l’individu qui l’a volé ; cela est hors de doute ; on l’a vu s’en emparer. On sait aussi que ce document est toujours en sa possession.
Comment sait-on cela ? demanda Dupin.
Cela est clairement déduit de la nature du document et de la non-apparition de certains résultats qui surgiraient immédiatement s’il sortait des mains du voleur ; en d’autres termes, s’il était employé en vue du but que celui-ci doit évidemment se proposer.
Veuillez être un peu plus clair, dis-je.
Eh bien, j’irai jusqu’à vous dire que ce papier confère à son détenteur un certain pouvoir dans un certain lieu où ce pouvoir est d’une valeur inappréciable. Le préfet raffolait du cant diplomatique.
Je continue à ne rien comprendre, dit Dupin.
Rien, vraiment ? Allons ! Ce document, révélé à un troisième personnage, dont je tairai le nom, mettrait en question l’honneur d’une personne du plus haut rang ; et voilà ce qui donne au détenteur du document un ascendant sur l’illustre personne dont l’honneur et la sécurité sont ainsi mis en péril.
Mais cet ascendant, interrompis-je, dépend de ceci : le voleur sait-il que la personne volée connaît son voleur ? Qui oserait… ?
Le voleur, dit G…, c’est D…, qui ose tout ce qui est indigne d’un homme, aussi bien que ce qui est digne de lui. Le procédé du vol a été aussi ingénieux que hardi. Le document en question, une lettre, pour être franc, a été reçu par la personne volée pendant qu’elle était seule dans le boudoir royal. Pendant qu’elle le lisait, elle fut soudainement interrompue par l’entrée de l’illustre personnage à qui elle désirait particulièrement le cacher. Après avoir essayé en vain de le jeter rapidement dans un tiroir, elle fut obligée de le déposer tout ouvert sur une table. La lettre, toutefois, était retournée, la suscription en dessus, et, le contenu étant ainsi caché, elle n’attira pas l’attention. Sur ces entrefaites arriva le ministre D… Son œil de lynx perçoit immédiatement le papier, reconnaît l’écriture de la suscription, remarque l’embarras de la personne à qui elle était adressée, et pénètre son secret.
Après avoir traité quelques affaires, expédiées tambour battant, à sa manière habituelle, il tire de sa poche une lettre à peu près semblable à la lettre en question, l’ouvre, fait semblant de la lire, et la place juste à côté de l’autre. Il se remet à causer, pendant un quart d’heure environ, des affaires publiques. À la longue, il prend congé, et met la main sur la lettre à laquelle il n’a aucun droit. La personne volée le vit, mais, naturellement, n’osa pas attirer l’attention sur ce fait, en présence du troisième personnage qui était à son côté. Le ministre décampa, laissant sur la table sa propre lettre, une lettre sans importance.
Ainsi, dit Dupin en se tournant à moitié vers moi, voilà précisément le cas demandé pour rendre l’ascendant complet : le voleur sait que la personne volée connaît son voleur.
Oui, répliqua le préfet, et, depuis quelques mois, il a été largement usé, dans un but politique, de l’empire conquis par ce stratagème, et jusqu’à un point fort dangereux. La personne volée est de jour en jour plus convaincue de la nécessité de retirer sa lettre. Mais, naturellement, cela ne peut pas se faire ouvertement. Enfin, poussée au désespoir, elle m’a chargé de la commission.
Il n’était pas possible, je suppose, dit Dupin dans une auréole de fumée, de choisir ou même d’imaginer un agent plus sagace.
Vous me flattez, répliqua le préfet ; mais il est bien possible qu’on ait conçu de moi quelque opinion de ce genre.
Il est clair, dis-je, comme vous l’avez remarqué, que la lettre est toujours entre les mains du ministre ; puisque c’est le fait de la possession et non l’usage de la lettre qui crée l’ascendant. Avec l’usage, l’ascendant s’évanouit.
C’est vrai, dit G…, et c’est d’après cette conviction que j’ai marché. Mon premier soin a été de faire une recherche minutieuse à l’hôtel du ministre ; et, là, mon principal embarras fut de chercher à son insu. Par-dessus tout, j’étais en garde contre le danger qu’il y aurait eu à lui donner un motif de soupçonner notre dessein.
Mais, dis-je, vous êtes tout à fait à votre affaire, dans ces espèces d’investigations. La police parisienne a pratiqué la chose plus d’une fois.
Oh ! sans doute ; — et c’est pourquoi j’avais bonne espérance. Les habitudes du ministre me donnaient d’ailleurs un grand avantage. Il est souvent absent de chez lui toute la nuit. Ses domestiques ne sont pas nombreux. Ils couchent à une certaine distance de l’appartement de leur maître, et, comme ils sont Napolitains avant tout, ils mettent de la bonne volonté à se laisser enivrer. J’ai, comme vous savez, des clefs avec lesquelles je puis ouvrir toutes les chambres et tous les cabinets de Paris. Pendant trois mois, il ne s’est pas passé une nuit dont je n’aie employé la plus grande partie à fouiller, en personne, l’hôtel D… Mon honneur y est intéressé, et, pour vous confier un grand secret, la récompense est énorme. Aussi je n’ai abandonné les recherches que lorsque j’ai été pleinement convaincu que le voleur était encore plus fin que moi. Je crois que j’ai scruté tous les coins et recoins de la maison dans lesquels il était possible de cacher un papier.
Mais ne serait-il pas possible, insinuai-je, que bien que la lettre fût au pouvoir du ministre, — elle y est indubitablement, — il l’eût cachée ailleurs que dans sa propre maison.
Cela n’est guère possible, dit Dupin. La situation particulière, actuelle, des affaires de la cour, spécialement la nature de l’intrigue dans laquelle D… a pénétré, comme on sait, font de l’efficacité immédiate du document, — de la possibilité de le produire à la minute, — un point d’une importance presque égale à sa possession.
La possibilité de le produire ? dis-je.
Ou, si vous aimez mieux, de l’annihiler, dit Dupin.
C’est vrai, remarquai-je. Le papier est donc évidemment dans l’hôtel. Quant au cas où il serait sur la personne même du ministre, nous le considérons comme tout à fait hors de la question.
Absolument, dit le préfet. Je l’ai fait arrêter deux fois par de faux voleurs, et sa personne a été scrupuleusement fouillée sous mes propres yeux.
Vous auriez pu vous épargner cette peine, dit Dupin. — D… n’est pas absolument fou, je présume, et dès lors il a dû prévoir ces guets-apens comme choses naturelles.
Pas absolument fou, c’est vrai, dit G…, — toutefois, c’est un poète, ce qui, je crois, n’en est pas fort éloigné.
C’est vrai, dit Dupin, après avoir longuement et pensivement poussé la fumée de sa pipe d’écume, bien que je me sois rendu moi-même coupable de certaine rapsodie.
Voyons, dis-je, racontez-nous les détails précis de votre recherche.
Le fait est que nous avons pris notre temps, et que nous avons cherché partout . J’ai une vieille expérience de ces sortes d’affaires. Nous avons entrepris la maison de chambre en chambre ; nous avons consacré à chacune les nuits de toute une semaine. Nous avons d’abord examiné les meubles de chaque appartement. Nous avons ouvert tous les tiroirs possibles ; et je présume que vous n’ignorez pas que, pour un agent de police bien dressé, un tiroir secret est une chose qui n’existe pas. Tout homme qui, dans une perquisition de cette nature, permet à un tiroir secret de lui échapper, est une brute. La besogne est si facile ! Il y a dans chaque pièce une certaine quantité de volumes et de surfaces dont on peut se rendre compte. Nous avons pour cela des règl...

Table des matières

  1. Baudelaire : l'intégrale des Oeuvres
  2. Table des matières
  3. Tout Baudelaire en un volume
  4. Table of Contents
  5. POÉSIES
  6. Table des matières
  7. Notice par Théophile Gautier
  8. Préface
  9. Partie I – spleen et idéal
  10. II – L’albatros
  11. III – Elévation
  12. IV – Correspondances
  13. V – J’aime le souvenir de ces époques nues
  14. VI – Les phares
  15. VII – La muse malade
  16. VIII – La muse vénale
  17. IX – Le mauvais moine
  18. X – L’ennemi
  19. XI – Le Guignon
  20. XII – La vie antérieure
  21. XIII – Bohémiens en voyage
  22. XIV – L’homme et la mer
  23. XV – Don Juan aux enfers
  24. XVI – À Théodore De Banville
  25. XVII – Châtiment de l’orgueil
  26. XVIII – La Beauté
  27. XIX – L’idéal
  28. XX – La géante
  29. XXI – Le masque
  30. XXII – Hymne à la beauté
  31. XXIII – Parfum exotique
  32. XXIV – La chevelure
  33. XXV – Je t’adore à l’égal de la voûte nocturne
  34. XXVI – Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle
  35. XXVII – Sed non satiata
  36. XXVIII – Avec ses vêtements ondoyants et nacrés
  37. XXIX – Le serpent qui danse
  38. XXX – Une charogne
  39. XXXI – De profundis clamavi
  40. XXXII – Le vampire
  41. XXXIII – Une nuit que j’étais près d’une affreuse Juive
  42. XXXIV – Remords posthume
  43. XXXV – Le chat
  44. XXXVI – Duellum
  45. XXXVII – Le balcon
  46. XXXVIII – Le possédé
  47. XXXIX – Un fantôme
  48. XL – Je te donne ces vers afin que si mon nom
  49. XLI – Semper eadem
  50. XLII – Tout entière
  51. XLIII – Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire
  52. XLIV – Le flambeau vivant
  53. XLV – Réversibilité
  54. XLVI – Confession
  55. XLVII – L’aube spirituelle
  56. XLVIII – Harmonie du soir
  57. XLIX – Le flacon
  58. L – Le poison
  59. LI – Ciel brouillé
  60. LII – Le chat
  61. LIII – Le beau navire
  62. LIV – L’invitation au voyage
  63. LV – L’irréparable
  64. LVI – Causerie
  65. LVII – Chant d’automne
  66. LVIII – À une Madone
  67. LIX – Chanson d’après-midi
  68. LX – Sisina
  69. LXI – Vers pour le portrait d’Honoré Daumier
  70. LXII – Franciscæ meæ laudes
  71. LXIII – À une dame créole
  72. LXIV – Mœsta et errabunda
  73. LXV – Le revenant
  74. LXVI – Sonnet d’automne
  75. LXVII – Tristesse de la lune
  76. LXVIII – Les chats
  77. LXIX – Les hiboux
  78. LXX – La pipe
  79. LXXI – La musique
  80. LXXII – Sépulture d’un poète maudit
  81. LXXIII – Une gravure fantastique
  82. LXXIV – Le mort joyeux
  83. LXXV – Le tonneau de la haine
  84. LXXVI – La cloche fêlée
  85. LXXVII – Spleen
  86. LXXVIII – Spleen
  87. LXXIX – Spleen
  88. LXXX – Spleen
  89. LXXXI – Obsession
  90. LXXXII – Le goût du néant
  91. LXXXIII – Alchimie de la douleur
  92. LXXXIV – Horreur sympathique
  93. LXXXV – Le calumet de paix
  94. LXXXVI – La prière d’un païen
  95. LXXXVII – Le couvercle
  96. LXXXVIII – L’imprévu
  97. LXXXIX – L’examen de minuit
  98. XC – Madrigal triste
  99. CXI – L’avertisseur
  100. XCII – À une Malabaraise
  101. XCIII – La voix
  102. XCIV – Hymne
  103. XCV – Le rebelle
  104. XCVI – Les yeux de Berthe
  105. XCVII – Le jet d’eau
  106. XCVIII – La rançon
  107. XCIX – Bien loin d’ici
  108. C – Le coucher du soleil romantique
  109. CI – Sur le tasse en prison
  110. CII – Le gouffre
  111. CIII – Les plaintes d’un Icare
  112. CIV – Recueillement
  113. CV – L’Héautontimorouménos
  114. CVI – L’irrémédiable
  115. CVII – L’horloge
  116. Partie II – Tableaux parisiens
  117. CIX – Le soleil
  118. CX – Lola de Valence
  119. CXI – La lune offensée
  120. CXII – À une mendiante rousse
  121. CXIII – Le cygne
  122. CXIV – Les sept vieillards
  123. CXV – Les petites vieilles
  124. CXVI – Les aveugles
  125. CXVII – À une passante
  126. CXVIII – Le squelette laboureur
  127. CXIX – Le crépuscule du soir
  128. CXX – Le jeu
  129. CXXI – Danse macabre
  130. CXXII – L’amour du mensonge
  131. CXXIII – Je n’ai pas oublié, voisine de la ville
  132. CXXIV – La servante au grand cœur dont vous étiez jalouse
  133. CXXV – Brumes et pluies
  134. CXXVI – Rêve parisien
  135. CXXVII – Le crépuscule du matin
  136. Partie III – Le vin
  137. CXXIX – Le vin des chiffonniers
  138. CXXX – Le vin de l’assassin
  139. CXXXI – Le vin du solitaire
  140. CXXXII – Le vin des amants
  141. Partie IV – Fleurs du mal
  142. CXXXIV – La destruction
  143. CXXXV – Une martyre
  144. CXXXVI – Femmes damnées
  145. CXXXVII – Les deux bonnes sœurs
  146. CXXXVIII – La fontaine de sang
  147. CXXXIX – Allégorie
  148. CXL – La Béatrice
  149. CXLI – Un voyage à Cythère
  150. CXLII – L’amour et le crâne
  151. Partie V – Révolte
  152. CXLIV – Abel et Caïn
  153. CXLV – Les litanies de Satan
  154. Partie VI – La mort
  155. CXLVII – La mort des pauvres
  156. CXLVIII – La mort des artistes
  157. CXLIX – La fin de la journée
  158. CL – Le rêve d’un curieux
  159. CLI – Le voyage
  160. Partie VII – Les épaves
  161. Pièces condamnées
  162. I – Lesbos[2]
  163. II – Femmes damnées
  164. III – Le Léthé
  165. IV – À celle qui est trop gaie
  166. V – Les bijoux
  167. VI – Les métamorphoses du vampire
  168. Bouffonneries
  169. VIII – À M. Eugène Fromentin
  170. IX – Un cabaret folâtre sur la route de Bruxelles à Uccle
  171. Appendice
  172. Article d’Édouard Thierry (Le Moniteur universel, 14 juillet 1857)
  173. Article de Frédéric Dulamon (Le Présent, 23 juillet 1857)
  174. Lettre et article de Barbey d’Aurevilly (24 juillet 1857)
  175. Article de Charles Asselineau (Destiné à la Revue française)
  176. Lettre de M. Sainte-Beuve
  177. Lettre de M. Émile Deschamps
  178. Sur les Fleurs du Mal de Émile Deschamps
  179. PETITS POÈMES EN PROSE (Le spleen de Paris)
  180. Table des matières
  181. I – L’étranger
  182. III – Le confiteor de l’artiste
  183. V – La chambre double
  184. VII – Le fou et la Vénus
  185. IX – Le mauvais vitrier
  186. XI – La femme sauvage et la petite-maîtresse
  187. XIII – Les veuves
  188. XV – Le gâteau
  189. XVII – Un hémisphère dans une chevelure
  190. XIX – Le joujou du pauvre
  191. XXI – Les tentations ou Éros, Plutus et la Gloire
  192. XXIII – La solitude
  193. XXV – La belle Dorothée
  194. XXVII – Une mort héroïque
  195. XXIX – Le joueur généreux
  196. XXXI – Les vocations
  197. XXXIII – Enivrez-vous
  198. XXXV – Les fenêtres
  199. XXXVII – Les bienfaits de la lune
  200. XXXIX – Un cheval de race
  201. XLI – Le port
  202. XLIII – Le galant tireur
  203. XLV – Le tir et le cimetière
  204. XLVII – Mademoiselle Bistouri
  205. XLIX – Assommons les pauvres !
  206. Épilogue
  207. Table des matières
  208. La Propreté des demoiselles Belges
  209. L’Amateur des Beaux-Arts en Belgique
  210. Les Belges et la lune
  211. La Nymphe de la Senne
  212. Un nom de bon augure
  213. L’Inviolabilité de la Belgique
  214. Épitaphe pour la Belgique
  215. I.
  216. Les Panégyriques du roi
  217. Au concert, à Bruxelles
  218. La Civilisation belge
  219. I.
  220. CRITIQUES
  221. Table des matières
  222. I – Salon de 1845
  223. I – Quelques mots d’introduction
  224. III – Portraits
  225. IV – Tableaux de genre
  226. V – Paysages
  227. VI – Dessins — gravures
  228. VII – Sculptures
  229. II – Salon de 1846
  230. Aux bourgeois
  231. II – Qu’est-ce que le romantisme ?
  232. IV – Eugène Delacroix
  233. V – Des sujets amoureux et de M. Tassaert
  234. VII – De l’idéal et du modèle
  235. VIII – De quelques dessinateurs
  236. X – Du chic et du poncif
  237. XII – De l’éclectisme et du doute
  238. XIV – De quelques douteurs
  239. XVI – Pourquoi la sculpture est ennuyeuse
  240. XVIII – De l’héroïsme de la vie moderne
  241. III – Le musée classique du bazar Bonne-Nouvelle
  242. IV – Exposition universelle 1855
  243. I – Méthode de critique — de l’idée moderne du progrès appliquée aux beaux-arts — déplacement de la vitalité
  244. III – Eugène Delacroix
  245. I – L’artiste moderne
  246. III – La reine des facultés
  247. V – Religion, histoire, fantaisie
  248. VII – Le portrait
  249. IX – Sculpture
  250. VI – De l’essence du rire
  251. I
  252. III
  253. V
  254. VII – Quelques caricaturistes français
  255. I
  256. VIII – Quelques caricaturistes étrangers
  257. I
  258. III
  259. Table des matières
  260. I – L’œuvre et la vie d’Eugène Delacroix
  261. I
  262. III
  263. V
  264. VII
  265. II – Peintures murales d’Eugène Delacroix à Saint-Sulpice
  266. I – Le beau, la mode et le bonheur
  267. III – L’artiste, homme du monde, homme des foules et enfant
  268. V – L’art mnémonique
  269. VII – Pompes et solennités
  270. IX – Le dandy
  271. XI – Éloge du maquillage
  272. XII – Les femmes et les filles
  273. IV – Peintres et aquafortistes
  274. VI – L’art philosophique[57]
  275. VII – Morale du joujou
  276. I
  277. III
  278. V
  279. IX – Pierre Dupont[59]
  280. I
  281. III
  282. IV
  283. XI – Philibert Rouvière
  284. I – Du bonheur et du guignon dans les débuts
  285. III – Des sympathies et des antipathies
  286. V – Des méthodes de composition
  287. VII – De la poésie
  288. IX – Des maîtresses
  289. XIV – L’école païenne
  290. I – Victor Hugo
  291. II – Auguste Barbier
  292. IV – Théophile Gautier
  293. VI – Hégésippe Moreau
  294. VIII – Pierre Dupont
  295. IX – Leconte De Lisle
  296. XVI – Critiques littéraires
  297. II – Madame Bovary par Gustave Flaubert
  298. III – La double vie par Charles Asselineau
  299. ESSAIS
  300. Table des matières
  301. Introduction
  302. Préface
  303. Partie I – Le poème du haschisch
  304. II – Qu’est-ce que le haschisch ?
  305. IV – L’homme-dieu
  306. Partie II – Un mangeur d’opium
  307. II – Confessions préliminaires
  308. IV – Tortures de l’opium
  309. VI – Le génie enfant
  310. VIII – Visions d’oxford
  311. IX – Conclusion
  312. I – Le vin
  313. III
  314. V
  315. VII
  316. TRADUCTIONS
  317. Table des matières
  318. Edgar Poe, sa vie et ses œuvres
  319. II
  320. IV
  321. La lettre volée
  322. Le canard au ballon
  323. Aventure sans pareille d’un certain Hans Pfaall
  324. Une descente dans le Maelstrom
  325. Révélation magnétique
  326. Morella
  327. Table des matières
  328. Notes nouvelles sur Edgar Poe
  329. II
  330. IV
  331. Le chat noir
  332. L’Homme des foules.
  333. Le cœur révélateur.
  334. La chute de la maison Usher.
  335. Le puits et le pendule.
  336. La barrique d’Amontillado
  337. Le roi peste
  338. Le diable dans le beffroi
  339. Quatre bêtes en une
  340. Petite discussion avec une momie
  341. Colloque entre Monos et Una
  342. Ombre
  343. L’île de la fée
  344. Table des matières
  345. I – Aventuriers précoces.
  346. III – Tigre enragé.
  347. V – La lettre de sang.
  348. VII – Plan de délivrance.
  349. IX – La pêche aux vivres.
  350. XI – La bouteille de Porto.
  351. XIII – Enfin !
  352. XV – Les îles introuvables.
  353. XVII – Terre !
  354. XIX – Klock-klock.
  355. XXI – Cataclysme artificiel.
  356. XXIII – Le labyrinthe.
  357. XXIV – L’évasion.
  358. XXVI – Conjectures.
  359. EUREKA OU ESSAI SUR L’UNIVERS MATÉRIEL ET SPIRITUEL
  360. Table des matières
  361. Extrait de la biographie d’Edgar Poe
  362. I
  363. III
  364. V
  365. VII
  366. IX
  367. XI
  368. XIII
  369. XV
  370. Note du traducteur
  371. Table des matières
  372. Le joueur d’échecs de Maelzel
  373. Éléonora[149]
  374. L’ange du bizarre
  375. Le système du docteur Goudron et du professeur Plume
  376. Le domaine d’Arnheim
  377. Le cottage Landor pour faire pendant au domaine d’Arnheim
  378. Philosophie de l’ameublement
  379. La genèse d’un poème
  380. Méthode de composition
  381. Table des matières
  382. Introduction
  383. Dédicace à Théophile Gautier
  384. Projets d’une préface
  385. Autres poésies publiées du vivant de l’auteur
  386. Sapho[173]
  387. À une indienne[174]
  388. Vers laissés chez un ami absent[176]
  389. Poésies publiées depuis la mort de l’auteur, ou inédites
  390. À M. H. Hignard[181].
  391. Je n’ai pas pour maîtresse
  392. Tous imberbes alors, sur les vieux bancs de chêne
  393. Élégie refusée aux jeux floraux[188].
  394. Quant à moi, si j’avais un beau parc planté d’ifs[190]
  395. Sonnet[192]
  396. Poésies apocryphes
  397. A l’amphithéâtre[195]
  398. Inconsciente[197]
  399. Sonnet[198]
  400. Journaux intimes
  401. Fusées[200]
  402. Mon cœur mis à nu[213]
  403. Théâtre
  404. Le marquis du 1er houzards[222]
  405. Liste de pièces projetées[225]
  406. Les contes normands et historiettes Baguenaudières
  407. Prométhée délivré
  408. Le siècle
  409. Les contes de Champfleury
  410. Notes analytiques et critiques – les liaisons dangereuses[229]
  411. Les travailleurs de la mer[234]
  412. Edgar Allan Poe, sa vie et ses ouvrages[235]
  413. Dédicace des histoires extraordinaires[243]
  414. Aventure sans pareille d’un certain Hans Pfaall[244]
  415. Révélation magnétique[245]
  416. Sur les beaux-arts
  417. Description analytique d’une estampe de Boilly
  418. Catalogue de la collection de M. Crabbe[249]
  419. Premier fragment.
  420. Deuxième fragment.
  421. Note détachée.
  422. Comment on paie ses dettes quand on a du génie[254]
  423. Une réforme à l’Académie[255]
  424. Lettre à Jules Janin[258]
  425. L’esprit et le style de M. Villemain[261]
  426. Lettres d’un atrabilaire[266]
  427. Choix de maximes consolantes sur l’amour[267]
  428. Biographie des excentriques[270]
  429. Le comédien Rouvière[272]
  430. Le salut public[276] – Ier numéro
  431. Le salut public – IIe numéro
  432. Le hibou philosophe[278]
  433. Projets et notes
  434. Fragments
  435. Page de copyright