Ensemble, l'éducation
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Ensemble, l'éducation

  1. 204 pages
  2. French
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  4. Disponible sur iOS et Android
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Ensemble, l'éducation

À propos de ce livre

Education: maître mot, vaste ambition, droit essentiel de chaque personne, qui ne se limite ni à la sphère parentale ni à l'école, même si ces deux lieux sont primordiaux. La France paraît manquer à sa mission: les résultats évalués dans des classements internationaux ne sont pas fameux, trop de jeunes sortent du système sans qualification, les inégalités sociales ne sont pas corrigées par le système éducatif, l'apprentissage de la fraternité citoyenne se fait mal. A qui la faute?Pour sortir de ce diagnostic inquiétant et de la recherche de "coupables", les Semaines sociales de France, dans leur session annuelle des 19 et 20 novembre 2016 à Paris, ont voulu proposer des pistes de réflexion et d'action. Avec deux convictions: l'éducation, c'est l'affaire de toute une vie; l'éducation, ça marche mieux quand les différents acteurs nouent des alliances et travaillent ensemble. En invitant groupes, associations, individus à proposer des solutions, les Semaines sociales ont ainsi élaboré, de façon collaborative, des propositions qui ont été présentées aux représentants de différents partis politiques.Parmi les intervenants, citons: Pascal Balmand, Jean-Louis Bianco, Julia Kristeva, François Moog, Edith Tartar Goddet, Nicolas Truelle et aussi les jeunes de plusieurs mouvements, un rugbyman, un patron, un auteur de littérature jeunesse... Tous à leur manière, en collaboration avec d'autres, aident les jeunes à développer leurs talents et à tenir leur place dans le monde qui se construit.Les travaux des Semaines sociales ont été accompagnés par une riche et longue enquête du quotidien la Croix dont nous reprenons ici de larges extraits.

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Informations

Sélection d’articles et d’entretiens parus dans le journal La Croix en novembre 2016

Durant trois semaines, en partenariat avec les Semaines sociales de France, La Croix a exploré le thème de l’éducation, avec la conviction que celle-ci doit être « l’affaire de tous ». Cette sélection a privilégié des articles de cette séquence « éducation ».

Pour les Français, la famille est l’acteur clé de l’éducation

Selon un sondage OpinionWay pour les Semaines sociales de France, les Apprentis d’Auteuil et La Croix, le rôle de l’école se limite, pour une majorité de Français, à la transmission des savoirs fondamentaux et à la préparation à la vie professionnelle.
On la dit parfois mal en point, tout en reconnaissant qu’elle constitue une valeur refuge dans un monde mouvant, fait d’incertitudes. La famille reste en tout cas le pilier de toute éducation, si l’on en croit un sondage OpinionWay réalisé pour les Semaines sociales de France et La Croix. Cette étude, dont nous révélons ici les résultats, dessine une répartition plutôt « traditionnelle » des rôles éducatifs.
Alors qu’en réaction aux attentats les pouvoirs publics ont jugé utile de renforcer son action en faveur des principes républicains et du vivre-ensemble, l’école est avant tout, estiment 77 % des Français, « un lieu pour apprendre les savoirs fondamentaux ». Seules 9 % des personnes interrogées lui donnent pour mission première d’enseigner les règles de vie en société.
On peut bien sûr se dire que cette dimension sociale et citoyenne ne peut pleinement s’exercer que si l’on maîtrise la lecture, l’écriture, le calcul. Il n’empêche, même lorsque l’on invite les sondés à donner deux réponses, près d’un sur deux (48 %) ne retient pas cet aspect de la scolarité et préfère évoquer la découverte « de nouvelles choses » ou encore la préparation à un métier. Seuls les plus de 50 ans accordent – peut-être en raison de leur propre expérience d’élèves – davantage d’importance à cette fonction de l’école (deux tiers d’entre eux la citent).
Faut-il y voir un manque de confiance envers l’école ? Une majorité de sondés considère qu’il est davantage du rôle de la famille de préparer à la citoyenneté (61 % pensent ainsi), d’apprendre les usages et les règles de la vie en société (80 %) et encore plus de transmettre une bonne hygiène de vie (95 %).
C’est en revanche vers l’école que l’on se tourne en premier lieu pour accompagner le jeune dans son orientation scolaire (65 %), pour le préparer à son intégration dans le monde professionnel (61 %) et dans une moindre mesure pour l’aider à choisir son futur métier (52 %). À noter que pour ces deux derniers items, tournés vers la vie active, une proportion non négligeable (8 %) des personnes interrogées estime que les mieux à même d’aider les enfants et adolescents se trouvent hors des sphères scolaire et familiale (on pense par exemple aux acteurs de l’entreprise).
De même, lorsqu’on leur demande qui ils sollicitent ou solliciteraient en cas de difficultés, 43 % des parents évoquent – entre autres réponses, avant même les amis (21 %) ou les enseignants (16 %) – la piste des professionnels (psychologues, services sociaux, éducateurs, etc.). « Cela est vrai pour la moitié des parents dont les enfants sont déjà adultes mais vaut aussi pour un tiers de ceux qui ont des enfants âgés de moins de dix ans », souligne Steeve Flanet, directeur adjoint du département Corporate & Management chez OpinionWay. Cela dit, là encore, la famille apparaît comme le premier des recours pour une large majorité des parents sondés (62 %).
Un résultat à mettre en correspondance avec la réponse obtenue quand on demande aux Français de désigner la personne qui a exercé sur eux la plus forte influence éducative : les trois premières figures citées appartiennent ainsi au cercle familial. Sur ce podium, le bronze revient aux grands-parents (8 %) et l’argent aux pères (22 %) mais bien loin derrière les mères (53 %). Comme si, dans l’esprit des Français, l’éducation restait encore et avant tout, en ce début du XXIe siècle, une affaire de mamans.
Alors que les pères ont eu tendance, ces dernières décennies, à s’investir davantage dans ce domaine, y compris dès la naissance de leurs enfants, il est frappant de constater que les moins de 25 ans sont les plus nombreux (68 %) à désigner leur mère comme principale figure éducative. Un phénomène peut-être lié pour partie à la multiplication des divorces, les mères se voyant confier plus fréquemment la garde des enfants.
Ce qui est sûr, c’est que 92 % des Français se déclarent – plutôt ou tout à fait – satisfaits de leur éducation. Une réponse qui ne varie quasiment pas suivant le sexe, l’âge ou la catégorie socioprofessionnelle. Sans doute se prononcent-ils ici surtout sur l’éducation reçue au sein de leur famille plutôt que sur leur scolarité, dans un contexte où l’école française – diverses études le montrent – renforce plus qu’elle ne corrige l’inégalité des origines sociales et culturelles. « Sans doute aussi les résultats auraient-ils été bien différents si on avait demandé aux sondés de livrer leur opinion sur l’éducation en général », glisse Steeve Flanet, en référence à d’autres sondages qui révèlent chez les Français un pessimisme collectif doublé d’un relatif bonheur individuel.
Denis Peiron
La Croix du 7 novembre 2016

« Emmener chacun le plus loin possible »

Parole, aujourd’hui, à Alexis Jenni. Prix Goncourt 2011 pour L’Art français de la guerre58, celui qui a été longtemps enseignant plaide pour une éducation qui s’adresse à la personne tout entière.
– Vous comparez l’apprentissage de la langue, l’un des enjeux majeurs de l’éducation, à un Himalaya. Pourquoi ?
ALEXIS JENNI : Parce qu’enfant j’étais bègue. J’avais une fascination pour les bons orateurs. Et je ressens aujourd’hui un plaisir physique à prendre la parole. Les mots appellent la pensée. Le langage s’assemble de lui-même et les idées viennent. C’est ce qu’il y a de beau dans la littérature, qui n’est jamais qu’un prolongement du langage oral : on écrit sans savoir précisément ce que sera la suite. À l’inverse, avoir une maîtrise approximative du langage est un handicap. Même dans le lycée jésuite de Lyon, plutôt favorisé, où j’enseignais les sciences de la vie et de la terre, certains élèves comprenaient intuitivement les phénomènes étudiés mais, se heurtant à des capacités d’expression limitées, ne pouvaient accéder à une analyse fine.
– Qu’est-ce qu’un bon éducateur ?
A. J. : Je reprendrai la formule d’un collègue : éduquer, c’est « donner l’occasion de » mettre les élèves en condition d’acquérir un savoir, en variant les méthodes pour s’adresser aux différents types d’intelligence et en faisant le pari d’un plaisir contagieux. J’ai essayé de partager, en classe, le bonheur d’observer le monde à toutes ses échelles, celui de voir et de comprendre, un tant soit peu, comment il fonctionne. Il faut trouver un équilibre entre ce plaisir et la nécessité d’un cadre. Un peu comme pour un gamin passionné de foot, qui dans son club va devoir se plier aux entraînements et coopérer avec les autres joueurs.
– Avez-vous été séduit par la pédagogie jésuite ?
A. J. : Qu’il faille « éduquer tout l’homme », comme le veut la formule jésuite, me semble aller de soi. Il s’agit d’emmener chacun le plus loin possible, plus loin parfois que la personne elle-même – par manque de confiance ou par flemme – pense pouvoir aller. Ce n’est pas là de l’élitisme, mais une exigence individuelle. Cette pédagogie mise aussi beaucoup, avec pertinence, sur le discernement : elle invite à regarder les autres tels qu’ils sont et à faire au mieux avec le monde tel qu’il est.
– Diriez-vous qu’une bonne éducation abolit les frontières entre humanités et sciences ?
A. J. : Les humanités permettent de penser le rapport à soi et à l’autre. Les sciences, elles, interrogent le rapport au monde. Il serait donc utile de donner aux littéraires un minimum de formation scientifique afin qu’ils dépassent dans ce domaine une inculture parfois surprenante. C’est ce que j’essayais de faire, enseignant, en expliquant simplement à des lycéens de série littéraire des choses aussi compliquées que les régulations hormonales ou la tectonique des plaques. Un défi très plaisant. Diamétralement, il serait bon que les scientifiques se départissent d’un certain mépris pour ce qu’ils considèrent comme des objets « flous ». Abolir ces frontières aiderait à penser la technologie de manière plus humaine. Et permettrait aux penseurs d’être davantage en prise avec la réalité.
– Cette exigence est-elle plus forte aujourd’hui que par le passé ?
A. J. : Oui, notamment parce que, avec les développements de la médecine qui ont rendu plus ou moins nette la frontière de la mort, sciences dures et sciences humaines sont de plus en plus imbriquées. Quand on parle de gènes ou de médecine prédictive, il faut distinguer ce qui est de l’ordre de la réalité de ce qui relève de l’utopie, voire de la propagande (car les chercheurs ont souvent besoin d’affirmer qu’ils ont trouvé pour continuer à recevoir les moyens de chercher). Avant même de parler de choix éthiques, il faut aider les adultes d’aujourd’hui et de demain à comprendre de quoi il retourne vraiment.
– Il y a quelques années, vous avez emmené un groupe d’élèves de terminale en retraite spirituelle. Qu’en ont-ils retenu ?
A. J. : Le but de ce séjour dans un couvent de Mazille, en Saône-et-Loire, était à la fois d’étudier ensemble des textes bibliques et de partager la vie de ces carmélites, d’échanger avec elles, de les aider dans leurs travaux agricoles. Nos jeunes n’avaient jamais vu de telles femmes, relativement jeunes et qui ne ressemblaient en rien aux caricatures qu’ils pouvaient avoir en tête. Tous ont été surpris, voire émerveillés, de découvrir cet autre monde tout près de chez eux, ce rapport au silence, le choix fait par ces sœurs de vivre en un seul endroit, alors qu’eux ne rêvent que de communiquer et de voyager. Ce projet a offert à nos élèves une prise de conscience : si une autre vie est possible, cela signifie que la leur, qui leur semble si « normale », n’est qu’un choix parmi d’autres.
– L’histoire et la mémoire occupent une place essentielle dans votre œuvre. Doit-on les placer au cœur de l’éducation ?
A. J. : Il ne s’agit pas d’entretenir un culte de la mémoire, ni même d’insister sur le respect des anciens. Mais il faut amener les jeunes à saisir que l’on vit dans une certaine épaisseur de temps. Comprendre ce qu’ont vécu nos parents et grands-parents est très éclairant. Cela permet de se former dans notre propre singularité.
– Votre expérience du scoutisme, dont on trouve des échos dans L’Art français de la guerre, a-t-elle été fondatrice ?
A. J. : Grâce aux éclaireurs, j’ai découvert de nombreuses activités (la voile, le kayak, l’escalade, etc.) et éprouvé le plaisir de faire ensemble, dans un esprit de débrouillardise. J’ai le souvenir de boîtes de raviolis que l’on ouvrait avec une tarière parce qu’on avait oublié l’ouvre-boîte ! Il y avait comme un embryon de vie sauvage, une communion avec la nature, quand on dormait à la belle étoile. Nous prenions des risques mesurés, en nous responsabilisant et en tournant notre énergie un peu enfantine vers des réalisations pratiques et collectives. J’en ai gardé un goût du jeu et une capacité à m’enthousiasmer.
Recueilli par Denis Peiron
La Croix du 7 novembre 2016
Dossier : Je te fais confiance, tu me fais confiance…

Je te fais confiance, tu me fais confiance…

La confiance est un chemin sinueux, un apprentissage mutuel, jalonné d’étapes, parfois d’embûches. Mais il ouvre une voie éducative positive et simplifie les relations familiales.
« Tu ne me fais pas confiance ! » Le reproche de l’adolescent tombe comme un couperet. Le parent « suffisamment bon », comme disait le pédiatre Donald Winnicott, s’interroge : « Ai-je du mal à accepter que mon enfant grandisse ? », « Est-ce que je lui donne les moyens de gagner ma confiance ? », « Lui fais-je porter mes propres inquiétudes ? » Certains parents s’inscrivent comme « amis » sur le compte Facebook de leurs ados pour mieux les surveiller. À l’opposé, d’autres parents considèrent trop tôt leurs enfants comme des êtres autonomes, les laissant seuls au retour du collège, livrés à eux-mêmes. Dans le premier cas, la confiance est absente, dans le second, elle est aveugle. Entre ces deux excès à éviter, il s’agit de construire la confiance, pas à pas, de la nourrir dans une sorte d’échange réciproque, où l’on s’ajuste l’un à l’autre, selon le degré de maturité de l’enfant et les capacités du parent.
Mais, d’abord, que signifie la confiance ? Selon Laurence Cornu, directrice du département de sciences de l’éducation à l’université de Tours, coordinatrice d’un dossier sur la confiance paru dans le dernier numéro de la Revue internationale d’éducation , il existe plusieurs définitions : « Être en confiance signifie un sentiment de fiabilité ou de sécurité. Faire confiance relève d’une décision : c’est un pari sur la conduite de l’autre. Pour établir cette relation, il faut lutter contre les défiances, les méfiances. » Pour Fabien Éon, médiateur professionnel, la confiance est un choix : « Le choix d’un modèle d’éducation qui vise à construire un adulte qui réfléchit plutôt qu’un adulte qui obéit. »
Selon le pédopsychiatre Charles-Édouard Rengade, auteur du livre Parent confiant, enfant heureux, « la confiance est le reflet de la fiabilité du lien ». Croire en l’autre, c’est expérimenter cette fiabilité. Et parfois, les parents ont du mal à lâcher du lest. Dans la relation éducative, « il faut admettre que l’enfant n’est pas soi », préconise Charles-Édouard Rengade. L’enfant est une entité distincte, susceptible de faire d’autres choix que ceux voulus par ses parents, au risque de se tromper. Force est de reconnaître aussi que « son enfant a des ressources pour se relever de ses erreurs ». Croire en ses capacités est une première étape qui va aider l’enfant à s’autonomiser. Cela dit, les parents doivent être très explicites sur leurs attentes, qui seront réalistes. Rentrer dans tel créneau horaire, appeler en arrivant, etc.
Autre recommandation : abandonner le contrôle. « Plus les parents ...

Table des matières

  1. Indication
  2. Sommaire
  3. Ouverture
  4. Quelles finalités pour l’éducation d’aujourd’hui ?
  5. Les défis actuels de l’éducation
  6. Conversations avec
  7. La réalité des alliances éducatives
  8. Éducation et cinéma, toute une histoire
  9. Dialogue avec le monde politique
  10. Quel avenir pour l’éducation ? De quoi rêvez-vous ?
  11. Renouveler le pacte éducatif
  12. Synthèse
  13. Lettre du Vatican
  14. Livre ouvert de l’éducation : les propositions
  15. Sélection d’articles et d’entretiens parus dans le journal La Croix en novembre 2016
  16. Index des intervenants
  17. Liste des « Conversations avec »
  18. Liste des associations impliquées dans les « Conversations avec » et les ateliers
  19. L’histoire, les hommes, l’activité des Semaines sociales
  20. Les sessions des Semaines sociales de France
  21. Page de Copyright