
- 318 pages
- French
- ePUB (adapté aux mobiles)
- Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub
Oliver Twist
À propos de ce livre
Oliver Twist est un orphelin qui grandit dans la misère d'un hospice de l'Angleterre victorienne. Il se lie d'amitié avec un jeune voleur qui l'introduit dans le monde des pickpockets. Arrêté, puis innocenté par le tribunal, Oliver se retrouve à dix ans livré à lui-même dans les bas-fonds de Londres où règne la loi du plus fort et du plus méchant. Oliver est recueilli par Mr Brownlow qui le traite comme un humain. Mais la bande de jeunes voleurs le retrouve...Ce chef-d'oeuvre de Charles Dickens est à l'origine d'une prise de conscience de la condition des enfants lors de la grande révolution industrielle du XIXe siècle, une prise de conscience qui reste, hélas, toujours d'actualité dans le monde.
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Informations
Chapitre XXVI
Un personnage mystérieux paraît sur la scène. – Détails importants étroitement liés à la suite de cette histoire.
Le vieillard avait gagné le coin de la rue avant de se remettre de l’émotion que lui avaient causée les nouvelles apportées par Tobie Crackit. Non seulement il n’avait pas ralenti son allure ordinaire ; mais il hâtait le pas encore plus que d’habitude, de l’air d’un homme effaré et en proie à une violente agitation ; une voiture lancée au galop faillit le renverser, et les cris des passants, à la vue du danger qu’il courait, lui firent gagner le trottoir. Après avoir évité autant que possible les grandes rues, et cheminé par des ruelles ou des passages obscurs, il atteignit enfin Snow-Hill. Là il se mit à marcher encore plus vite qu’auparavant, et ne ralentit sa course qu’après s’être engagé dans une cour, où, comme s’il se trouvait enfin dans son élément, il reprit son pas ordinaire et parut respirer plus à l’aise.
Au point de jonction entre Snow-Hill et Holborn-Hill, à main droite en sortant de la Cité, se trouve un passage étroit et sale qui mène à Saffron-Hill. Là, dans de misérables échoppes, vous pouvez voir d’énormes paquets de foulards d’occasion, de toute grandeur et de toute nuance. C’est là qu’habitent les receleurs qui les achètent des voleurs. Des centaines de ces foulards, fixés à des chevilles, pendent aux fenêtres ou au-dessus des portes ; à l’intérieur il y en a d’empilés par centaines sur des tablettes. Ce passage, ou plutôt cette colonie commerciale, a une existence qui lui est propre, son barbier, son café, sa taverne, sa boutique de friture. C’est pour tous les filous de bas étage un véritable marché, visité de grand matin ou le soir, entre chien et loup, par des marchands silencieux, qui traitent leurs affaires dans d’obscures arrière-boutiques, et s’en vont à la dérobée comme ils sont venus. Là le marchand d’habits, le rapiéceur de savates, le marchand de chiffons, étalent leur marchandise comme une enseigne pour le filou, et des tas d’os et de ferrailles, des lambeaux d’étoffes de laine ou de toile, pourrissent ou se rouillent dans des caves humides et noires.
C’était dans ce passage que le juif venait d’entrer ; il était bien connu des sales habitants du lieu, car tous ceux qui étaient en vedette sur le pas de la porte, vendeurs ou acheteurs, le saluaient familièrement d’un signe de tête quand il passait. Il répondit de la même manière à leur salut, mais ne s’arrêta qu’au bout du passage, pour adresser la parole à un brocanteur de petite stature, assis, autant du moins qu’il pouvait y entrer, dans un fauteuil d’enfant, et fumant sa pipe devant sa boutique.
« En vérité, monsieur Fagin, rien que de vous voir il y a de quoi guérir d’une ophtalmie, répondit le respectable négociant au juif qui lui demandait des nouvelles de sa santé.
– Le voisinage était un peu trop chaud, Lively, dit Fagin en relevant ses sourcils et en se croisant les bras.
– C’est vrai ! j’ai déjà entendu des gens s’en plaindre à plusieurs reprises, répondit le brocanteur, mais cela se refroidit bien vite ; ne trouvez-vous pas ? »
Fagin fit un signe de tête affirmatif, et étendant la main dans la direction de Saffron-Hill :
« Y a-t-il quelqu’un là-bas ce soir ? demanda-t-il.
– Aux Trois-Boîteux ? » demanda l’homme.
Le juif fit signe que oui.
« Attendez, poursuivit le marchand en cherchant dans sa tête ; ils sont bien une demi-douzaine, à ma connaissance ; je ne crois pas que votre ami soit du nombre.
– Sikes n’y est pas, je suppose ? demanda le juif d’un air désappointé.
– Non est ventus, il n’est pas venu, comme disent les gens de loi, répondit le petit homme en secouant la tête et en prenant un air singulièrement rusé. Avez-vous quelque chose ce soir qui puisse faire mon affaire ?
– Rien ce soir, dit le juif en s’éloignant.
– Allez-vous aux Trois-Boîteux, Fagin ? dit le petit homme en le rappelant ; attendez, j’ai envie d’aller y faire un tour avec vous ! »
Le juif tourna la tête et lui fit signe de la main qu’il préférait être seul ; et d’ailleurs, comme le petit homme ne pouvait pas aisément sortir de sa chaise, l’enseigne des Trois-Boîteux fut pour cette fois privée de l’avantage de la présence de M. Lively ; dans le temps qu’il lui fallut pour se lever, le juif avait disparu. M. Lively, après s’être dressé inutilement sur la pointe des pieds dans l’espoir de l’apercevoir encore, s’enfonça de nouveau dans sa petite chaise, et après avoir échangé avec une dame, dans la boutique en face, un signe de tête qui exprimait le doute et la défiance, il reprit sa pipe et se remit gravement à fumer.
Les Trois-Boîteux, ou plutôt les Boiteux, enseigne bien connue de tous les habitués du lieu, était cette même taverne où M. Sikes et son chien ont déjà figuré. Fagin fit un signe rapide à un homme assis au comptoir, monta l’escalier, ouvrit une porte, se glissa doucement dans la salle, et jeta un regard inquiet autour de lui, en mettant sa main au-dessus de ses yeux, comme s’il cherchait quelqu’un.
La salle était éclairée par deux becs de gaz dont la lueur ne pouvait être aperçue du dehors, grâce aux volets bien fermés et aux rideaux d’un rouge passé soigneusement tirés devant la fenêtre. Le plafond était noirci, pour que la fumée des lampes n’en altérât pas la couleur.
La salle était pleine d’un nuage de tabac si épais, qu’en entrant on ne pouvait presque rien distinguer ; par degrés cependant, quand la porte, en s’ouvrant, laissait échapper un peu de fumée, on découvrait un bizarre assemblage de têtes, aussi confus que les sons qui venaient frapper l’oreille ; l’œil s’accoutumait peu à peu à ce spectacle, et finissait par distinguer une nombreuse société d’hommes et de femmes, entassés autour d’une longue table, à l’extrémité de laquelle siégeait un président, tenant à la main un marteau, insigne de ses fonctions. Dans un coin, devant un méchant piano, était assis une espèce d’artiste, au nez violet, et dont la figure était soigneusement empaquetée à cause d’une fluxion.
Au moment où Fagin se glissait doucement dans la salle, l’artiste, promenant ses doigts sur le clavier en manière de prélude, occasionna une rumeur générale. Tout le monde demandait une chanson ; quand le vacarme fut apaisé, une jeune femme vint divertir le public en chantant une ballade en quatre couplets, entre chacun desquels l’accompagnateur reprenait le refrain en jouant de toute sa force. Quand ce fut fini, le président fit un signe d’approbation ; puis des artistes, placés à sa droite et à sa gauche, entamèrent un duo qu’ils chantèrent aux grands applaudissements de la compagnie.
Il était curieux d’observer quelques-unes des figures qui se détachaient de ce groupe. Il y avait d’abord le président, qui n’était autre que le maître de céans, homme à mine rébarbative et de formes athlétiques, qui, tandis qu’on chantait, roulait ses yeux en tous sens, et qui, tout en ayant l’air de se laisser aller au plaisir de la musique, avait l’œil sur tout ce qu’on faisait, et prêtait l’oreille à tout ce qui se disait, et, en vérité, il avait l’œil perçant et l’oreille fine. Près de lui étaient les chanteurs, recevant avec indifférence les compliments qu’on leur adressait, et avalant successivement une douzaine de grogs, que leur passaient leurs plus véhéments admirateurs. Dans l’assistance, les figures portaient l’empreinte des vices les plus abjects, et attiraient l’attention à force d’être repoussantes. La ruse, la férocité, l’ivresse à tous les degrés, s’y montraient sous l’aspect le plus hideux. Des femmes, des jeunes filles à la fleur de l’âge, mais flétries par le vice, souillées de débauches et de crimes, formaient la partie la plus triste et la plus sombre de cet affreux tableau.
Fagin, que rien de tout cela ne pouvait émouvoir, passait rapidement en revue toutes les figures, mais, à ce qu’il paraît, sans rencontrer celle qu’il cherchait. Il parvint enfin à attirer sur lui l’œil de l’individu qui présidait, lui fit de la main un léger signe, et sortit de la salle à pas de loup comme il y était entré.
« Qu’est-ce que vous voulez, monsieur Fagin ? demanda l’homme, qui était sorti sur-le-champ derrière le juif. Ne voulez-vous pas nous tenir compagnie ? Tout le monde en serait ravi, bien sûr. »
Le juif secoua la tête d’un air d’impatience et dit à voix basse :
« Est-il ici ?
– Non, répondit l’homme.
– Et pas de nouvelles de Barney ? demanda Fagin.
– Aucune, répondit le maître du cabaret des Trois-Boîteux, car c’était lui-même. Il ne bougera pas jusqu’à ce que tout soit apaisé. Soyez sûr qu’on est sur leur piste, et que, s’il se montrait, il serait coffré bien vite. Tout va bien pour Barney ; autrement j’aurais entendu parler de lui : je jurerais que Barney est en train de se tirer d’affaire le mieux du monde. Il n’est pas gêné, allez.
– Viendra-t-il ce soir ? demanda le juif en insistant tout particulièrement sur le mot il.
– Monks, n’est-ce pas ? demanda le cabaretier avec hésitation.
– Chut ! fit le juif. Oui.
– Sans doute, répondit l’homme en tirant une montre d’or de son gousset. Je croyais même qu’il viendrait plus tôt ; si vous voulez attendre dix minutes, il sera...
– Non, non, se hâta de dire le juif, comme si, malgré son désir de voir la personne en question, il éprouvait quelque soulagement à ne pas la rencontrer. Dites-lui que je suis venu pour le voir, et qu’il vienne chez moi ce soir. Non, plutôt demain : puisqu’il n’est pas ici, il sera bien temps demain.
– C’est bien ! dit l’homme ; il n’y a rien de plus à dire ?
– Pas un mot pour l’instant, dit le juif en descendant l’escalier.
– À propos, dit l’autre à voix basse, en se penchant sur la rampe, quel bon moment ce serait pour faire une vente ! Philippe Barker est là, et tellement ivre qu’un enfant pourrait le mettre dedans.
– Ah ! ah ! dit le juif en levant la tête, mais ce n’est pas le moment d’en finir avec Barker ; il a encore quelque chose à faire avant que nous lui réglions son compte ; ainsi allez rejoindre la compagnie, mon cher, et dites-leur de mener joyeuse vie, tandis qu’ils sont en vie ; ha ! ha ! »
Le cabaretier se mit aussi à rire, et alla rejoindre ses hôtes. Le juif ne fut pas plus tôt seul que sa physionomie reprit son expression inquiète et agitée. Après un instant de réflexion, il prit un cabriolet et se fit conduire du côté de Bethnal-Green. Il descendit à un quart de mille environ de la demeure de M. Sikes, et fit à pied le reste du trajet.
« Maintenant, murmura-t-il en frappant à la porte, à nous deux, ma fille, et, si l’on trame ici quelque complot ténébreux, je saurai bien vous faire jaser, toute futée que vous êtes. »
On dit à Fagin que Nancy était dans sa chambre ; il gravit sans bruit l’escalier et entra sans frapper ; la jeune fille était seule, la tête appuyée sur la table, les cheveux épars.
« Elle a bu, pensa le juif, ou peut-être a-t-elle du chagrin. »
Tout en faisant cette réflexion, le vieux juif se retourna pour fermer la porte, et le bruit réveilla la jeune fille. Elle le regarda dans le blanc des yeux, lui demanda s’il y avait du nouveau, et écouta le récit qu’il lui fit des aventures de Tobie Crackit ; quand il eut fini, elle reprit sa première attitude, la tête sur la table, et ne dit pas un mot. Elle poussa le chandelier avec impatience, et une fois ou deux, en changeant de position avec un mouvement saccadé et nerveux, elle frotta ses pieds sur le plancher ; mais ce fut tout.
Pendant ce silence, le juif promenait autour de la chambre des regards inquiets, comme pour s’assurer que Sikes n’était pas revenu en cachette ; satisfait sans doute de son examen, il toussa deux ou trois fois et essaya à plusieurs reprises d’engager la conversation ; mais la jeune fille ne fit pas plus attention à lui que s’il n’y était pas. Il finit par faire une dernière tentative, et, se frottant les mains, il lui dit du ton le plus caressant :
« Où penses-tu que Guillaume puisse être maintenant, ma chère ? »
La jeune fille murmura d’une voix plaintive et à peine intelligible qu’elle n’en savait rien ; elle avait l’air de sangloter.
« Et l’enfant ? dit le juif, fixant les yeux sur elle pour lire dans l’expression de son visage. Pauvre petit être ! abandonné dans un fossé ! Nancy ! qu’est-ce que tu dis de ça ?
– L’enfant ! dit-elle en levant vivement la tête, l’enfant est mieux où il est que parmi nous ; et, pourvu qu’il n’en résulte rien de fâcheux pour Guillaume, je souhaite qu’il soit mort dans le fossé, et que ses pauvres os y blanchissent.
– Comment ! s’écria le juif stupéfait.
– Oui, c’est comme cela, reprit la jeune fille en le regardant fixement. Je serais heureuse de ne plus le voir et de savoir que ses épreuves sont terminées. Je ne puis supporter de l’avoir autour de moi ; sa vue seule me fait prendre en haine et moi-même, et vous tous.
– Fi ! dit le juif avec dédain ; tu es ivre, ma fille.
– Moi ! dit-elle avec amertume ; ce n’est pas votre faute si je ne le suis pas ; vous ne demanderiez pas mieux que de me voir toujours en cet état, excepté peut-être en ce moment. Il paraît que l’humeur où vous me trouvez n’est pas de votre goût, n’est-ce pas ?
– Non ! répliqua le juif avec colère ; elle n’est pas de mon goût du tout.
– Eh bien ! que voulez-vous y faire ? répondit la jeune fille en riant.
– Ce que je veux y faire ! s’écria le juif, exaspéré de l’obstination inattendue de son interlocutrice, et des désagréments de la soirée ; tu vas voir ce que je veux y faire ; écoute-moi, carogne ! Écoute-moi bien, moi qui n’ai que trois mots à dire pour étrangler Sikes aussi sûrement que si je tenais en ce moment son cou de taureau entre mes mains. S’il revient, et qu’il ne ramène pas l’enfant, s’il l’a laissé échapper, s’il ne me le rend pas mort ou vif, assassine-le toi-même si tu veux lui épargner la potence, et cela dès...
Table des matières
- Pages de titre
- Chapitre premier
- Chapitre II
- Chapitre III
- Chapitre IV
- Chapitre V
- Chapitre VI
- Chapitre VII
- Chapitre VIII
- Chapitre IX
- Chapitre X
- Chapitre XI
- Chapitre XII
- Chapitre XIII
- Chapitre XIV
- Chapitre XV
- Chapitre XVI
- Chapitre XVII
- Chapitre XVIII
- Chapitre XIX
- Chapitre XX
- Chapitre XXI
- Chapitre XXII
- Chapitre XXIII
- Chapitre XXIV
- Chapitre XXV
- Chapitre XXVI
- Chapitre XXVII
- Chapitre XXVIII
- Chapitre XXIX
- Table
- Page de copyright