Oeuvres complètes de  Balzac
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Oeuvres complètes de Balzac

partie 1

  1. 6,671 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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Oeuvres complètes de Balzac

partie 1

À propos de ce livre

Découvrez ou redécouvrez les oeuvres de Balzac dans cette édition intégrale. Vu l'imposante collections d'oeuvres laissées par Balzac, cette édition intégrale a été divisé en 2 tomes. Dans ce premier tome, retrouvez la comédie humaine: scènes de la vie privée, scènes de la vie de province et les scènes de la vie parisienne.

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Informations

Dédicace

MEMBRE DE L'ACADÉMIE ROYALE DE MÉDECINE.

Cher docteur, voici l'une des pierres les plus travaillées dans la seconde assise d'un édifice littéraire lentement et laborieusement construit ; j'y veux inscrire votre nom, autant pour remercier le savant qui me sauva jadis, que pour célébrer l'ami de tous les jours.

DE BALZAC.

Paris, Octobre 1835

Préface de l'édition de 1836

(Première édition)

Dans plusieurs fragments de son œuvre l'auteur a produit un personnage qui raconte en son nom. Pour arriver au vrai, les écrivains emploient celui des artifices littéraires qui leur semble propre à prêter le plus de vie à leurs figures. Ainsi le désir d'animer leurs créations a jeté les hommes les plus illustres du siècle dernier dans la prolixité du roman par lettres, seul système qui puisse rendre vraisemblable une histoire fictive.
Le je sonde le cœur humain aussi profondément que le style épistolaire et n'en a pas ses longueurs. A chaque œuvre sa forme : l’art du romancier consiste à bien matérialiser ses idées. Clarisse Harlowe voulait sa vaste correspondance ; Gil Blas voulait le moi. Mais le moi n'est pas sans danger pour l'auteur. Si la masse lisante s'est agrandie, la somme de l'intelligence publique n'a pas augmenté en proportion ; malgré l’autorité de la chose jugée, beaucoup de personnes se donnent encore aujourd'hui le ridicule de rendre un écrivain complice des sentiments qu'il attribua à ses personnages et s'il emploie le je, presque toutes sont tentées de le confondre avec le narrateur. LE LYS DANS LA VALLÉE étant l'ouvrage le plus considérable de ceux où l'auteur a pris le moi pour se diriger à travers les sinuosités d’une histoire plus ou moins vraie, il croit nécessaire de déclarer ici qu’il ne s’est nulle part mis en scène. Il a sur la promiscuité des sentiments personnels et des sentiments fictifs une opinion sévère et des principes arrêtés. Selon lui, le trafic honteux de la prostitution est mille fois moins infâme que ne l'est la vente avec annonce de certaines émotions qui ne nous appartiennent jamais en entier. Les sentiments bons ou mauvais dont l'âme fut agitée la colorent de je ne sais quelle essence et lui font exhaler des parfums qui en particularisent la pensée. Certes, le style des êtres souffrants ou foudroyés ne ressemble pas au style de ceux dont la vie s’est écoulée sans catastrophes, mais de celte physionomie sombre ou attendrissante, mondaine ou religieuse, joyeuse ou grave à la prostitution des plus chers trésors du cœur, il est un abîme que franchissent seuls les esprits impurs. Si quelque poète entreprend ainsi sur sa double vie, que ce soit par hasard et non par un parti pris comme chez J.-J. 
L'auteur qui admire l’écrivain dans les Confessions a horreur de l’homme. Comment ce Jean-Jacques si fier de ses sentiments a-t-il osé libeller la condamnation de Mme de Warens quand il savait si bien plaider pour lui-même? Entasser toutes les couronnes de la terre sur sa tête, les anges maudiront éternellement ce rhéteur qui put immoler sur le triste autel de la renommée une femme en qui s’étaient trouvés pour lui le cœur d'une mère et l'âme d’une maîtresse, le bienfait sous la grâce du premier amour.

L'Auteur.
Paris, juillet 1835.

Je ne m’attendais pas, après avoir écrit ces lignes sur la sainteté de la vie privée, que je serais obligé à dix mois de là, de raconter une partie douloureuse de mon existence et de comparaître en présence du public ainsi que je le fais dans un récit qui appartient essentiellement au Lys dans la Vallée, et que, par une volonté bien déterminée j’entends laisser en tête de mon œuvre tant qu’elle subsistera ; à moins qu’un arrêt ou mon propre vouloir ne l’en retire.

De Balzac.

Envoi à madame la comtesse Natalie de Manerville

« Je cède à ton désir. Le privilège de la femme que nous aimons plus qu'elle ne nous aime est de nous faire oublier à tout propos les règles du bon sens. Pour ne pas voir un pli se former sur vos fronts, pour dissiper la boudeuse expression de vos lèvres que le moindre refus attriste, nous franchissons miraculeusement les distances, nous donnons notre sang, nous dépensons l'avenir. Aujourd'hui tu veux mon passé, le voici. Seulement, sache-le bien, Natalie : en t'obéissant, j'ai dû fouler aux pieds des répugnances inviolées. Mais pourquoi suspecter les soudaines et longues rêveries qui me saisissent parfois en plein bonheur ? Pourquoi ta jolie colère de femme aimée, à propos d'un silence ? Ne pouvais-tu jouer avec les contrastes de mon caractère sans en demander les causes ? As-tu dans le cœur des secrets qui, pour se faire absoudre, aient besoin des miens ? Enfin, tu l'as deviné, Natalie, et peut-être vaut-il mieux que tu saches tout : oui, ma vie est dominée par un fantôme, il se dessine vaguement au moindre mot qui le provoque, il s'agite souvent de lui-même au-dessus de moi. J'ai d'imposants souvenirs ensevelis au fond de mon âme comme ces productions marines qui s'aperçoivent par les temps calmes, et que les flots de la tempête jettent par fragments sur la grève. Quoique le travail que nécessitent les idées pour être exprimées ait contenu ces anciennes émotions qui me font tant de mal quand elles se réveillent trop soudainement, s'il y avait dans cette confession des éclats qui te blessassent, souviens-toi que tu m'as menacé si je ne t'obéissais pas, ne me punis donc point de t'avoir obéi.
« Si pour loyer de ma confession, je trouvais ton amour amoindri, je ne survivrais pas plus à la perte de mon dernier bonheur que les jeunes gens ne survivent à la ruine de leurs espérances. Mais fou que je suis ! l'amour est-il soucieux d'un crime ? Je voudrais que ma confidence redoublât tes tendresses. Pourquoi suis-je aujourd'hui à la merci d'un peut-être ? Les gens de trente ans sont lâches, ils ne font pas de conditions, ils en reçoivent. Ah ! l'on ne connaît l'amour qu'en traversant les profondeurs du dernier amour ; nos vraies passions naissent à quarante ans, âge auquel nous savons mesurer l'étendue de nos pertes, tandis que, jeunes, nous ignorons les bénéfices de la vie. Pardonne-moi, chère, ces paroles, derniers grondements d'un orage qui se tait.

« A ce soir.

« FELIX. »
Paris, 8 août 1827.

Chapitre premier – Les deux enfances

A quel talent nourri de larmes devrons-nous un jour la plus émouvante élégie, la peinture des tourments subits en silence par les âmes dont les racines tendres encore ne rencontrent que de durs cailloux dans le sol domestique dont les premières frondaisons sont déchirées par des mains haineuses, dont les fleurs sont atteintes par la gelée au moment où elles s'ouvrent ? Quel poète nous dira les douleurs de l'enfant dont les lèvres sucent un sein amer, et dont les sourires sont réprimés par le feu dévorant d'un œil sévère ? La fiction qui représenterait ces pauvres cœurs opprimés par les êtres placés autour d'eux pour favoriser les développements de leur sensibilité, serait la véritable histoire de ma jeunesse. Quelle vanité pouvais-je blesser, moi nouveau-né ? Quelle disgrâce physique ou morale me valait la froideur de ma mère ? étais-je donc l'enfant du devoir, celui dont la naissance est fortuite, ou celui dont la vie est un reproche ?
Mis en nourrice à la campagne, oublié par ma famille pendant trois ans, quand je revins à la maison paternelle, j'y comptai pour si peu de chose que j'y subissais la compassion des gens. Je ne connais ni le sentiment, ni l'heureux hasard à l'aide desquels j'ai pu me relever de cette première déchéance : chez moi l'enfant ignore et l'homme ne sait rien. Loin d'adoucir mon sort mon frère et mes deux sœurs s'amusèrent à me faire souffrir. Le pacte en vertu duquel les enfants cachent leurs peccadilles et qui leur apprend déjà l'honneur, fut nul à mon égard ; bien plus je me vis souvent puni pour les fautes de mon frère sans pouvoir réclamer contre cette injustice ; la courtisanerie, en germe chez les enfants, leur conseillait-elle de contribuer aux persécutions qui m'affligeaient pour se ménager les bonnes grâces d'une mère également redoutée par eux ? était-ce un effet de leur penchant à l'imitation ? était-ce besoin d'essayer leurs forces ou manque de pitié ? Peut-être ces causes réunies me privèrent-elles des douceurs de la fraternité. Déjà déshérité de toute affection, je ne pouvais rien aimer et la nature m'avait fait aimant ! Un ange recueille-t-il les soupirs de cette sensibilité sans cesse rebutée ? Si dans quelques âmes les sentiments méconnus tournent en haine, dans la mienne ils se concentrèrent et s'y creusèrent un lit d'où plus tard ils jaillirent sur ma vie. Suivant les caractères, l'habitude de trembler relâche les fibres, engendre la crainte et la crainte oblige à toujours céder. De là vient une faiblesse qui abâtardit l'homme et lui communique je ne sais quoi d'esclave. Mais ces continuelles tourmentes m'habituèrent à déployer une force qui s'accrut par son exercice et prédisposa mon âme aux résistances morales. Attendant toujours une douleur nouvelle, comme les martyrs attendaient un nouveau coup, tout mon être dut exprimer une résignation morne sous laquelle les grâces et les mouvements de l'enfance furent étouffés, attitude qui passa pour un symptôme d'idiotie et justifia les sinistres pronostics de ma mère. La certitude de ces injustices excita prématurément dans mon âme la fierté, ce fruit de la raison qui sans doute arrêta les mauvais penchants qu'une semblable éducation encourageait.
Quoique délaissé par ma mère, j'étais parfois l'objet de ses scrupules, parfois elle parlait de mon instruction et manifestait le désir de s'en occuper ; il me passait alors des frissons horribles en songeant aux déchirements que me causerait un contact journalier avec elle. Je bénissais mon abandon, et me trouvais heureux de pouvoir rester dans le jardin à jouer avec des cailloux, à observer des insectes, à regarder le bleu du firmament. Quoique l'isolement dût me porter à la rêverie, mon goût pour les contemplations vint d'une aventure qui vous peindra mes premiers malheurs. Il était si peu question de moi que souvent la gouvernante oubliait de me faire coucher. Un soir, tranquillement blotti sous un figuier, je regardais une étoile avec cette passion qui saisit les enfants, et à laquelle ma précoce mélancolie ajoutait une sorte d'intelligence sentimentale. Mes sœurs s'amusaient et criaient, j'entendais leur lointain tapage comme un accompagnement à mes idées. Le bruit cessa, la nuit vint. Par hasard, ma mère s'aperçut de mon absence. Pour éviter un reproche, notre gouvernante, une terrible mademoiselle Caroline légitima les fausses appréhensions de ma mère en prétendant que j'avais la maison en horreur ; que si elle n'eût pas attentivement veillé sur moi, je me serais enfui déjà ; je n'étais pas imbécile, mais sournois ; parmi tous les enfants commis à ses soins, elle n'en avait jamais rencontré dont les dispositions fussent aussi mauvaises que les miennes. Elle feignit de me chercher et m'appela, je répondis ; elle vint au figuier où elle savait que j'étais.
— Que faisiez-vous donc là ? me dit-elle.
— Je regardais une étoile.
— Vous ne regardiez pas une étoile, dit ma mère qui nous écoutait du haut de son balcon, connaît-on l'astronomie à votre âge ?
— Ah ! madame, s'écria mademoiselle Caroline, il a lâché le robinet du réservoir, le jardin est inondé.
Ce fut une rumeur générale. Mes sœurs s'étaient amusées à tourner ce robinet pour voir couler l'eau ; mais, surprises par l'écartement d'une gerbe qui les avait arrosées de toutes parts, elles avaient perdu la tête et s'étaient enfuies sans avoir pu fermer le robinet. Atteint et convaincu d'avoir imaginé cette espièglerie, accusé de mensonge quand j'affirmais mon innocence, je fus sévèrement puni. Mais châtiment horrible ! je fus persiflé sur mon amour pour les étoiles, et ma mère me défendit de rester au jardin le soir. Les défenses tyranniques aiguisent encore plus une passion chez les enfants que chez les hommes ; les enfants ont sur eux l'avantage de ne penser qu'à la chose défendue, qui leur offre alors des attraits irrésistibles. J'eus donc souvent le fouet pour mon étoile. Ne pouvant me confier à personne, je lui disais mes chagrins dans ce délicieux ramage intérieur par lequel un enfant bégaie ses premières idées, comme naguère il a bégayé ses premières paroles. A l'âge de douze ans, au collège, je la contemplais encore en éprouvant d'indicibles délices, tant les impressions reçues au matin de la vie laissent de profondes traces au cœur.
De cinq ans plus âgé que moi, Charles fut aussi bel enfant qu'il est bel homme, il était le privilégié de mon père, l'amour de ma mère, l'espoir de ma famille, partant le roi de la maison. Bien fait et robuste, il avait un précepteur. Moi, chétif et malingre, à cinq ans je fus envoyé comme externe dans une pension de la ville, conduit le matin et ramené le soir par le valet de chambre de mon père. Je partais en emportant un panier peu fourni, tandis que mes camarades apportaient d'abondantes provisions. Ce contraste entre mon dénuement et leur richesse engendra mille souffrances. Les célèbres rillettes et rillons de Tours formaient l'élément principal du repas que nous faisions au milieu de la journée, entre le déjeuner du matin et le dîner de la maison dont l'heure coïncidait avec notre rentrée. Cette préparation, si prisée par quelques gourmands, paraît rarement à Tours sur les tables aristocratiques ; si j'en entendis parler avant d'être mis en pension, je n'avais jamais eu le bonheur de voir étendre pour moi cette brune confiture sur une tartine de pain ; mais elle n'aurait pas été de mode à la pension, mon envie n'en eût pas été moins vive, car elle était devenue comme une idée fixe, semblable au désir qu'inspiraient à l'une des plus élégantes duchesses de Paris les ragoûts cuisinés par les portières, et qu'en sa qualité de femme, elle satisfit. Les enfants devinent la convoitise dans les regards aussi bien que vous y lisez l'amour : je devins alors un excellent sujet de moquerie. Mes camarades, qui presque tous appartenaient à la petite bourgeoisie, venaient me présenter leurs excellentes rillettes en me demandant si je savais comment elles se faisaient, où elles se vendaient, pourquoi je n'en avais pas. Ils se pourléchaient en vantant les rillons, ces résidus de porc sautés dans sa graisse et qui ressemblent à des truffes cuites ; ils douanaient mon panier, n'y trouvaient que des fromages d'Olivet, ou des fruits secs, et m'assassinaient d'un : — Tu n'as donc pas de quoi ? qui m'apprit à mesurer la différence mise entre mon frère et moi.
Ce contraste entre mon abandon et le bonheur des autres a souillé les roses de mon enfance, et flétri ma...

Table des matières

  1. Pages de titre
  2. AVANT-PROPOS
  3. - LA COMÉDIE HUMAINE ÉTUDES DE MŒURS SCÈNES DE LA VIE PRIVÉE -
  4. LA MAISON DU CHAT-QUI-PELOTE
  5. LE BAL DE SCEAUX
  6. LA BOURSE
  7. LA VENDETTA
  8. MADAME FIRMIANI
  9. UNE DOUBLE FAMILLE
  10. LA PAIX DU MÉNAGE
  11. LA FAUSSE MAÎTRESSE
  12. ÉTUDE DE FEMME
  13. ALBERT SAVARUS
  14. MÉMOIRES DE DEUX JEUNES MARIÉES
  15. UNE FILLE D'ÈVE
  16. LA FEMME ABANDONNÉE
  17. LA GRENADIÈRE
  18. LE MESSAGE
  19. GOBSECK
  20. AUTRE ÉTUDE DE FEMME
  21. LA FEMME DE TRENTE ANS
  22. I – Premières fautes
  23. II – Souffrances inconnues
  24. III – A trente ans
  25. IV – Le doigt de Dieu
  26. V – Les deux rencontres
  27. VI – La vieillesse d'une mère coupable
  28. LE PÈRE GORIOT
  29. Chapitre I – Une pension bourgeoise
  30. Chapitre II – L'entrée dans le monde
  31. Chapitre III – Trompe-la-mort
  32. Chapitre IV – La mort du père
  33. LE COLONEL CHABERT
  34. LE CONTRAT DE MARIAGE
  35. LA MESSE DE L'ATHÉE
  36. BÉATRIX
  37. Première partie – Les personnages
  38. Deuxième partie – Le drame
  39. Dernière partie
  40. LA GRANDE BRETÈCHE
  41. MODESTE MIGNON
  42. HONORINE
  43. UN DÉBUT DANS LA VIE
  44. - LA COMÉDIE HUMAINE ÉTUDES DE MŒURS SCÈNES DE LA VIE DE PROVINCE -
  45. URSULE MIROUËT
  46. Première partie – Les héritiers alarmés
  47. Deuxième partie – La succession Minoret
  48. EUGÉNIE GRANDET
  49. Chapitre I – Physionomies bourgeoises
  50. Chapitre II – Le cousin de Paris
  51. Chapitre III – Promesses d'avare, serments d'amour
  52. Chapitre IV – Chagrins de famille
  53. Chapitre V – Ainsi va le monde
  54. PIERRETTE
  55. LE CURÉ DE TOURS
  56. LA RABOUILLEUSE
  57. L'ILLUSTRE GAUDISSART
  58. LA MUSE DU DÉPARTEMENT
  59. Dédicace
  60. LE LYS DANS LA VALLÉE
  61. Dédicace - 1
  62. Préface de l'édition de 1836
  63. Envoi à madame la comtesse Natalie de Manerville
  64. Chapitre premier – Les deux enfances
  65. Chapitre II – Les premières amours
  66. Chapitre III – Les deux femmes
  67. Chapitre IV – Fin du récit
  68. Réponse à l'envoi
  69. ILLUSIONS PERDUES 1 – LES DEUX POÈTES
  70. ILLUSIONS PERDUES 2 – UN GRAND HOMME DE PROVINCE A PARIS
  71. ILLUSIONS PERDUES 3 – LES SOUFFRANCES DE L'INVENTEUR
  72. LES RIVALITÉS 1 – LA VIEILLE FILLE
  73. LES RIVALITÉS 2 – LE CABINET DES ANTIQUES
  74. - LA COMÉDIE HUMAINE ÉTUDES DE MŒURS SCÈNES DE LA VIE PARISIENNE -
  75. HISTOIRE DES TREIZE
  76. Préface
  77. HISTOIRE DES TREIZE 1 – FERRAGUS
  78. Chapitre I – Madame Jules
  79. Chapitre II – Ferragus
  80. Chapitre III – La femme accusée
  81. Chapitre IV – Où aller mourir ?
  82. Conclusion
  83. HISTOIRE DES TREIZE 2 – LA DUCHESSE DE LANGEAIS
  84. Chapitre I – La sœur Thérèse
  85. Chapitre II – L'amour dans la paroisse de Saint Thomas d'Aquin
  86. Chapitre III – La femme vraie
  87. Chapitre IV – Dieu fait les dénouements
  88. HISTOIRE DES TREIZE 3 – LA FILLE AUX YEUX D'OR
  89. Chapitre I – Physionomies parisiennes
  90. Chapitre II – Singulière bonne fortune
  91. Chapitre III – La force du sang
  92. FACINO CANE
  93. SARRASINE
  94. HISTOIRE DE LA GRANDEUR ET DE LA DÉCADENCE DE CÉSAR BIROTTEAU
  95. Préface - 1
  96. Chapitre I – César à son apogée
  97. Chapitre II – César aux prises avec le malheur
  98. LA MAISON NUCINGEN
  99. PIERRE GRASSOU
  100. LES SECRETS DE LA PRINCESSE DE CADIGNAN
  101. LES EMPLOYÉS OU LA FEMME SUPÉRIEURE
  102. SPLENDEUR ET MISÈRES DES COURTISANES
  103. A S. A. le Prince Alfonso Serafino di Porcia
  104. LES PARENTS PAUVRES 2 – LA COUSINE BETTE
  105. UN PRINCE DE LA BOHÈME
  106. UN HOMME D'AFFAIRES
  107. GAUDISSART II
  108. LES COMÉDIENS SANS LE SAVOIR
  109. LES PETITS BOURGEOIS
  110. Avertissement de l'éditeur
  111. Dédicace - 2
  112. Première partie
  113. Deuxième partie
  114. L'ENVERS DE L'HISTOIRE CONTEMPORAINE
  115. Fragment inédit : Les Précepteurs en Dieu
  116. Page de copyright