CHAPITRE 1
GEOBIOLOGIE de L’HABITAT
Les énergies de la terre pour avoir un habitat sain.
Le cancer est une prolifération anarchique de cellules.
Chaque fois qu’une cellule de tissu humain meure ou est détruite, un ordre, par neurotransmetteur interposé, est envoyé au cerveau, et en retour une nouvelle cellule de remplacement est créée. Cette cellule doit être la même que la précédente, sinon le tissu change de nature. C’est ce qui se passe lors d’un cancer. Une altération dans la transmission ou dans la création de cellules se produit et des cellules anarchiques, différentes, prolifèrent en remplacement des précédentes. Tout a été essayé pour palier à cette défaillance, et les meilleures méthodes « scientifiques » actuelles demeurent celles d’enlever la zone affectée où se produit la prolifération anarchique de cellules ou encore de la brûler par une irradiation, en particulier avec des rayons de type Gamma. La recherche bat son plein...
Un médecin s’est aperçu un jour, dans un immeuble, que toutes les personnes dormant dans le même coin, les uns au-dessus des autres, étaient toutes atteintes du même "cancer", puis, un autre s’est aperçu que, dans un même logement, tous les habitants successifs mouraient les uns après les autres du même "cancer". D’autres observations du même genre ont eu pour résultat de faire penser qu’il existe des maisons à cancer, des lieux qui affectent la santé de l’homme très fortement, au point même de le tuer. C’est ainsi qu’est née la notion moderne de géobiologie, c’est à dire de : sciences de la nature (biologie), appliquées au lieu géographique (géo).
Pour faire des recherches en ce domaine, on a commencé par se poser la question : Que faisaient nos ancêtres vis-à-vis de leurs habitations ? Connaissaient-ils des méthodes pour choisir le meilleur lieu ou pour en définir les dangers éventuels ?
Nos ancêtres les « Celtes » pensaient que leurs connaissances étaient vieilles de 12 000 ans. Ce qui correspond à la période décrite par Platon comme étant celle de l’Atlantide, dont la fin a été occasionnée par un gigantesque bouleversement terrestre.
Les Celtes n’ont pas laissé d’écrits mais des traditions orales, légendes et dictons, transmis de générations en générations et souvent confirmés par les recherches archéologiques et scientifiques. Ils connaissaient bien les secrets de la nature, ne vénéraient pas de statues représentant des dieux mais plutôt des endroits ou des êtres terrestres, des cercles de pierres, des menhirs, des dolmens, des arbres très anciens, en particulier des chênes, et des esprits de la nature régissant les éléments (la terre, l’eau, de feu et l’air). Ils semblaient ressentir les lieux et leurs énergies. En particulier les hauts-lieux terrestres où ils fondaient leurs temples. C’est sur ces mêmes points que furent édifiés par la suite les autres hauts-lieux spirituels, églises et cathédrales notamment. Ils connaissaient et maîtrisaient les énergies de la terre, mais on ne sait pas (officiellement) quelles méthodes ils employaient, outre leur sensibilité personnelle.
Par la suite arrivèrent les romains. Ce sont eux qui nommèrent le sol où nous sommes « la Gaule » et ses habitants les « Galli », qui devinrent les gaulois dans nos livres d’histoire. Les romains n’étaient pas aussi « sensibles » aux énergies terrestres que les celtes, mais ils étaient plus « scientifiques ». Pour sélectionner un lieu où serait construit un village puis une ville, ils y faisaient paître un troupeau de moutons, puis, au bout d’un certain temps, ils tuaient les animaux et en étudiaient les organes et surtout le foie. S’ils ne connaissaient pas l’origine et la nature des énergies terrestres, en revanche, ils savaient que celles-ci affectent tous les êtres vivants qui résident sur le lieu, de manière positive ou négative. Ils avaient donc déterminé les schémas d’affections possibles du foie d’un animal, et après étude de celui-ci, décidaient si le lieu était bénéfique, donc constructible et habitable, ou à éviter, car dangereux pour la santé.
Puis les villes se développèrent, et on oublia petit à petit d’étudier les lieux avant d’y construire les résidences pour l’homme. A part dans les campagnes où on utilisait diverses méthodes comme celle du test de l’œuf. Si, on constatait qu’à un endroit de la ferme les animaux étaient plus souvent malades qu’ils le devraient, on testait le lieu pour savoir si l’origine du mal était terrestre. Sachant qu’un œuf reste frais plus de 15 jours, on plaçait des œufs frais sur toute la zone du sol à tester puis, 15 jours après (avant de les manger), on regardait dans quel état ils étaient. Si les œufs étaient toujours frais, c’est qu’ils étaient dans un lieu normal. Si plusieurs d’entre eux étaient déjà pourris, noirs, décomposés etc. c’est qu’ils étaient affectés par le lieu et par une énergie négative qui serait donc aussi négative pour tout être vivant y séjournant. Le test de l’œuf peut être fait en tous lieux. Il n’est pas onéreux (car on mange l’œuf à l’issue, s’il est bon) et très efficace quant à la détection des énergies terrestres négatives qui affectent les êtres vivants. Il a été réalisé aussi sous les lits des personnes.
Les radiesthésistes et sourciers se sont aussi aperçus que là où passe l’eau en sous-sol, c’est à dire à l’aplomb des rivières souterraines, les « ondes » perçues par les baguettes et pendules étaient des ondes perturbatrices. Les animaux séjournant sur ces lieux étaient affectés et malades. En outre, sur les points les plus négatifs testés, on trouvait d’énormes fourmilières ou termitières, et dans les habitations, ils correspondaient aux endroits de séjour favoris des chats.
Puis, la religion s’est immiscée dans tout, considérant arbitrairement les chercheurs comme hérétiques et sorciers. Elle a étiqueté tous les phénomènes comme diaboliques ou angéliques, allant même jusqu’à tuer ou détruire tout ce qui allait à l’encontre du dogme religieux, ou simplement n’était pas compris de ses représentants « divins ».
Au fil du temps, l’homme s’est plus axé sur la recherche de l’argent que celle du bien-être naturel. Si bien que les habitations ont été construites n’importe où, y compris à la campagne, que ce soit sur des rivières souterraines, sur d’anciennes décharges ou d’anciens cimetières. De nouvelles maladies inexpliquées comme le cancer, sont apparues, affectant l’homme sans que celui-ci ne comprenne pourquoi « scientifiquement ». Même les hôpitaux, qui sont supposés mettre en œuvre toutes les sciences de l’humanité, sont impuissants à maîtriser les maladies dites « nosocomiales » qui affectent et rendent malades encore plus, ceux qui l’étaient déjà avant. Un tiers des maladies sont des maladies nosocomiales, et comme pour le cancer, restent inexpliquées et difficiles à maîtriser. Cela durera tant que les scientifiques ignoreront les lois qui régissent la nature et l’homme sur le plan énergétique.
Les énergies qui affectent l’homme en son habitat sont classées en 3 catégories : les énergies naturelles (rivières, magnétisme), celles émises par les inventions de l'homme (pollution, électricité, micro-ondes radio) et les phénomènes métaphysiques (âmes en peine, mémoires, magie).
I - Les affections par les énergies naturelles.
La Terre comprend 9 sources naturelles affectant l’homme : le magnétisme, le tellurisme, les blessures de la terre (verts négatif), les émanations (radioactivité, radon...), les rivières souterraines, les failles géologiques, les cheminées cosmotelluriques, les ondes de forme et les énergies cosmiques (solaires, lunaires et autres).
Le magnétisme :
La terre dispose d’un pôle-nord et d’un pôle-sud. C’est une masse entourée d’un halo de flux magnétiques. Elle comprend en son cœur un ensemble de métaux en fusion (70 % de fer et 20 % de nickel) et comme tout métal chauffé émet un rayonnement magnétique, la surface de la terre est recouverte d’autant de grilles magnétiques qu’il y a de différents métaux en fusion dans le magma. Ces émanations se présentent à la surface de la terre, comme des grilles qui s’élèvent sur plusieurs centaines de mètres, voire des kilomètres, et traversent les bâtiments.
Par facilité, on les classe en trois catégories : les flux magnétiques négatifs pour l’homme, les flux neutres et les flux positifs. Inutile, de parler des réseaux neutres qui n’affectent pas l’homme. Quant aux réseaux positifs, ils proviennent des métaux précieux : or, argent, platine et cuivre.
Le flux magnétique le plus négatif est celui du NICKEL.
Redécouv...