Oeuvres complètes de Sénèque
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Oeuvres complètes de Sénèque

  1. 2,408 pages
  2. French
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Oeuvres complètes de Sénèque

À propos de ce livre

Découvrez ou redécouvrez toutes les oeuvres du philosophe Sénèque dans cette édition complète.Les lettres à Lucilius, De la colère, De la vie heureuse, Des Bienfaits, Du ReposLes consolations à Marcia, à Helvia et Polybe, De la Providence, Les Fragments, Questions naturelles, De la Brièveté de la vie, De la Constance du sage, De la tranquillité de l'âme, De la clémence, Apocoloquintose, Petites pièces de vers, Les tragédies mythologiques comme Médée, Hercule furieux, Thyeste, Hippolyte, les Troyennes, Oedipe, les Phéniciennes, Agamemnon, Hercule sur l'oeta, Octavie.

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Informations

I.

Plus d'une fois, mon excellente mère, l'élan de mon cœur m'a porté à vous consoler ; chaque fois je l'ai contenu. Bien des motifs m'engageaient à oser. D'abord, il me semblait que j'allais déposer tout le faix de mes ennuis, si j'essuyais au moins vos larmes, dussé-je n'en pas tarir le cours ; ensuite je me flattais d'avoir un ascendant plus fort pour vous tirer de votre abattement, quand je me serais relevé le premier ; enfin j'appréhendais que la fortune, n'ayant pu triompher de moi, ne triomphât de quelqu'un des miens. Ainsi je m'efforçais de mon mieux, une main sur ma blessure, de me traîner jusqu'à vous pour panser les vôtres. Mais d'autres considérations ajournèrent mon projet. Je savais qu'il n'est pas bon de toucher à une plaie toute vive et encore saignante ; les consolations pouvaient l'enflammer et l'aigrir ; et dans les maladies mêmes du corps, rien n'est plus dangereux que les remèdes prématurés. J'attendais donc que la violence même du mal l'eût brisé, qu'ainsi préparé pour la cure et mûri par le temps, il se laissât toucher et manier à loisir. D'ailleurs en compulsant tout ce que les plus beaux génies ont laissé de monuments écrits sur les moyens d'apaiser et de modérer les chagrins, je n'y trouvais aucun exemple d'homme qui se fît consolateur des siens, quand lui-même était pleuré d'eux. Dans cette situation nouvelle, j'hésitais, je craignais d'ulcérer au lieu de guérir. Et puis, ne fallait-il pas un langage tout neuf, pris loin des formes journalières et banales de consolation, à un homme qui, pour raffermir ses proches, soulevait sa tête pour ainsi dire du milieu même de son bûcher ? Les grandes douleurs en outre, toutes celles qui passent la mesure commune, interdisent le choix des paroles ; car elles étouffent souvent jusqu'à la voix. N'importe ; je ferai effort, non par confiance en mon propre génie ; mais ce qui peut le mieux vous consoler, c'est de m'avoir moi-même pour consolateur. Vous qui ne me refuseriez aucune chose, vous ne refuserez pas, je l'espère, bien que tout chagrin soit rebelle, d'agréer les soins d'un fils qui veut adoucir vos regrets.

II.

Voyez combien je me suis promis de vous trouver facile : je compte obtenir sur vous plus d'empire que la douleur, toute-puissante chez les malheureux. Je ne veux point d'abord l'attaquer de front, mais lui aider plutôt, lui fournir de nouveaux stimulants ; je veux rompre tout appareil et rouvrir ce qui déjà peut s'être fermé. « Quel genre de consolation est-ce là ? dira-t-on : faire revivre des maux effacés, et placer l'âme en face de toutes ses infortunes, lorsqu'à peine elle suffit à une seule ! » Mais qu'on y réfléchisse : tout mal assez pernicieux pour s'accroître en dépit des remèdes le plus souvent cède à la méthode contraire. Oui, je remettrai sous vos yeux toutes les afflictions, toutes les scènes lugubres de votre vie ; je n'agirai pas mollement avec vous, j'emploierai le fer et le feu, et par là qu'obtiendrai-je ? Que votre âme, déjà victorieuse de tant d'assauts, rougira d'endurer si mal une dernière, une seule atteinte après tant de cicatrices. Laissons les pleurs et les gémissements sans fin à ses âmes timides, qui amollies au sein d'une longue prospérité s'affaissent au choc de la moindre disgrâce ; mais ceux dont chaque pas dans la vie fut marqué par une infortune, doivent essuyer les plus rudes attaques avec une ferme et inébranlable constance. La continuité du malheur a du moins cet avantage, qu'à force de tourments elle finit par endurcir. La fortune vous a sans relâche accablée de maux inouïs : elle n'a pas même excepté l'heure de votre naissance. Vous perdîtes votre mère dès que vous fûtes arrivée au jour, ou plutôt même en y arrivant, exposée pour ainsi dire sur le seuil de la vie. Élevée sous les lois d'une marâtre, votre soumission, il est vrai, votre piété toute filiale l'ont obligée à se montrer mère pour vous ; mais une bonne marâtre coûte toujours cher. L’oncle le plus tendre, le meilleur et le plus courageux des hommes vous est ravi alors que vous attendiez sa venue ; et le destin, craignant que des rigueurs moins rapprochées ne vous soient trop légères, vous enlève dans le même mois un époux chéri qui vous a rendue mère de trois enfants. Quand vous pleuriez votre oncle, cet autre sujet de larmes vous est annoncé, et tous vos fils se trouvent absents ; comme si vos maux s'étaient à dessein accumulés sur le même moment pour que vous n'eussiez pas où reposer votre douleur. Pour ne point parler des périls, des alarmes sans nombre qui n'ont cessé de vous assaillir sans vous vaincre, naguère sur ce même sein qu'ils venaient de quitter, vous avez recueilli les cendres de trois petits-fils. Vingt jours après que mon fils expiré dans vos bras eut avec vos derniers baisers reçu de vous les honneurs funèbres, vous apprenez que je vous suis ravi. Il vous manquait jusque-là de porter le deuil des vivants.

III.

La plus grave, la plus pénétrante de toutes les atteintes qui vous aient frappée, ce fut la dernière, je l'avoue ; elle n'a point rompu seulement l'épiderme, elle a déchiré le cœur et les entrailles. Mais si la moindre blessure arrache de longs cris au soldat novice qui redoute plus la main de l'opérateur que le fer de l'ennemi, le vétéran, fût-il percé de part en part, voit trancher ses chairs sans s'émouvoir et sans gémir, comme si c'étaient celles d'un autre : opposez même courage au traitement qu'il vous faut subir. Loin de vous ces lamentations, ces accents plaintifs, et tout ce fracas ordinaire de douleur féminine. Vous auriez perdu le prix de tant de souffrances si elles ne vous avaient appris à souffrir. Eh bien ! vous semblé-je procéder timidement avec vous ? Je ne vous ai rien voilé de vos misères, je les ai toutes amoncelées sous vos yeux. Je l'ai fait dans un digne but ; car je veux vaincre vos chagrins, et non pas seulement les restreindre.

IV.

J'y parviendrai, je l'espère, si je vous montre d'abord que rien dans mon sort ne doit faire juger malheureux ni moi, ni à plus forte raison les miens, qui souffriraient de mon malheur ; et si, passant à votre destinée particulière, laquelle dépend toute de la mienne, je vous prouve qu'elle n'est point au-dessus de vos forces. Je commencerai par ce que votre tendresse est le plus impatiente d'ouïr, et vous dirai que je n'éprouve aucun mal. Quand je ne pourrais vous en convaincre, je vous démontrerai du moins que le faix sous lequel je vous parais fléchir peut se supporter. Que si encore vous ne m'en croyez pas, je m'applaudirai davantage de me trouver heureux dans une situation qui ne fait presque que des misérables. Ne jugez point sur ouï-dire ; c'est moi qui, pour empêcher que des préjugés ne vous troublent, vous déclare que je ne suis pas malheureux. J'ajouterai, pour vous tranquilliser plus encore qu'il est impossible que je le sois jamais.

V.

Heureux l'homme tel que l'a créé son auteur, s'il n'abdique pas sa destinée ! Grâce à la nature, il ne lui faut pas grands apprêts pour bien vivre : chacun peut se faire son bonheur. Les choses du dehors n'ont qu'une mince importance : leur poids est faible dans la balance des biens et des maux : et ni les succès n'exaltent le sage ni les revers ne l'abattent. Car il s’est toujours efforcé de placer en lui le plus qu'il peut de ses biens, de puiser dans son âme toutes ses joies. Est-ce donc que je me donne pour sage ? Je n'ai garde. Si j'avais droit à ce titre, non content de nier que je fusse à plaindre, je me dirais le plus fortuné des hommes et l'égal presque de Dieu même. Jusqu'ici, ce qui suffit déjà pour adoucir toute amertume, je me suis mis à la suite des sages ; trop faible encore pour me défendre seul, je me suis réfugié dans le camp de ces hommes qui savent se protéger eux et les leurs. Ils m'ont prescrit de veiller sans cesse comme à un poste militaire, et de prévoir bien à l'avance les tentatives et les coups de main de la Fortune. Elle accable l'homme qu'elle surprend ; elle est facile à repousser pour qui l'attend toujours. Ainsi l'arrivée de l'ennemi renverse ceux qu'elle trouve au dépourvu ; mais si avant la guerre on s'est préparé à la guerre, en bon ordre et dispos, on soutient aisément le premier choc, toujours le plus étourdissant. Jamais je ne me suis fié à la Fortune, lors même qu'elle semblait en paix avec moi : toutes ses faveurs, dont elle me comblait si libéralement, richesses, honneurs, célébrité, j'ai su les tenir assez loin de moi pour qu'elle pût les retirer sans m'entraîner du même effort. Entre ces choses et moi, j'ai mis un grand intervalle : elles disparurent, elles ne me furent point arrachées. L’adversité ne brise que les âmes qu'avait leurrées la prospérité. Ceux qui s'affectionnent aux dons de la Fortune comme à des biens personnels et permanents, qui veulent s'en faire des titres à la considération, tombent dans l'abattement et le désespoir dès que leurs vains et puérils esprits, incapables de toute solide jouissance, ont vu fuir ces hochets menteurs et passagers. Mais quand la bonne fortune n'enfle point l'homme, la mauvaise ne le rapetisse point, il est pour toujours invincible à toutes deux, il a fait ses preuves de courage, il s'est assuré pendant le calme de toutes ses ressourcés contre la tempête. Pour moi, j'ai toujours cru que ces objets après lesquels tous soupirent ne renferment pas la moindre parcelle du vrai bien : je les ai trouvés vides de substance, parés d'un vernis brillant mais trompeur, et n'ayant rien au fond qui répondit aux apparences. Dans ce qu'on appelle mal, je ne vois rien de si effrayant ni de si dur que me le faisait craindre l'opinion au vulgaire. Le mot en lui-même, par une sorte de préjugé et de convention, frappe désagréablement l'oreille ; il semble sinistre et d'odieux augure ; ainsi l'a voulu le peuple : mais les arrêts du peuple se cassent souvent au tribunal des sages.

VI.

Laissant donc l'opinion commune qu'entraîne la première vue des choses telle qu’on l'a cru saisir, voyons ce que c'est que l'exil. Rien au fond qu'un changement de lieu. Pour ne point sembler circonscrire la portée du mot et dissimuler les rigueurs qu'il comporte, j'ajoute que ce changement de lieu est suivi d'inconvénients, tels que la pauvreté, l'ignominie, le mépris, épouvantails que je combattrai plus tard. Je ne veux tout d'abord traiter que cette question : Quelle amertume ce changement apporte-t-il en soi ? Vivre expatrié, dit-on, est une chose insupportable. Eh bien ! voyez toute cette population à laquelle suffisent à peine les demeures de notre immense capitale : la plupart ont quitté leur patrie. Des municipes, des colonies, de tous les points du globe ils sont accourus en foule. Les uns y sont amenés par l'ambition, par les devoirs d'un emploi public, par la charge d'une ambassade, par l'amour du plaisir qui cherche, où la fortune abonde, un lieu commode à la corruption ; certains s'y rendent par goût pour les beaux-arts ou pour les spectacles ; tel y est entraîné par l'amitié, tel autre par ses talents, qu'il trouve à produire dans tout leur éclat sur ce grand théâtre ; celui-ci vient y vendre sa beauté, celui-là son éloquence. Toute espèce d'hommes afflue dans cette ville qui propose de riches salaires aux vertus comme aux vices. Faites comparaître devant vous tous ses habitants ; demandez à chacun d'où il est ; vous verrez que la plupart ont déserté leur pays natal pour la ville, il est vrai, la plus grande et la plus belle du monde, mais qui pourtant n'est point la leur. Après cette Rome, que l'on peut dire la commune patrie, passez en rev...

Table des matières

  1. Œuvres complètes de Sénèque
  2. DE LA COLÈRE
  3. Livre I
  4. Livre II
  5. Livre III
  6. CONSOLATION A MARCIA
  7. I.
  8. II.
  9. III.
  10. IV.
  11. V.
  12. VI.
  13. VII.
  14. VIII.
  15. IX.
  16. X.
  17. XI.
  18. XII.
  19. XIII.
  20. XIV.
  21. XV.
  22. XVI.
  23. XVII.
  24. XVIII.
  25. XIX.
  26. XX.
  27. XXI.
  28. XXII.
  29. XXIII.
  30. XXIV.
  31. XXV.
  32. XXVI.
  33. PETITES PIÈCES DE VERS
  34. I. A la Corse
  35. II. Sur la même
  36. III. Plainte
  37. IV. Autre plainte
  38. V. Autre
  39. VI. Autre
  40. VII. A un ami
  41. VIII. Puissance du temps
  42. IX. Un vœu
  43. X. A la ville de Cordoue
  44. CONSOLATION A HELVIA
  45. I. - 1
  46. II. - 1
  47. III. - 1
  48. IV. - 1
  49. V. - 1
  50. VI. - 1
  51. VII. - 1
  52. VIII. - 1
  53. IX. - 1
  54. X. - 1
  55. XI. - 1
  56. XII. - 1
  57. XIII. - 1
  58. XIV. - 1
  59. XV. - 1
  60. XVI. - 1
  61. XVII. - 1
  62. CONSOLATION A POLYBE
  63. XX. - 1
  64. XXI. - 1
  65. XXII. - 1
  66. XXIII. - 1
  67. XXIV. - 1
  68. XXV. - 1
  69. XXVI. - 1
  70. XXVII.
  71. XXVIII.
  72. XXIX.
  73. XXX.
  74. XXXI.
  75. XXXII.
  76. XXXIII.
  77. XXXIV.
  78. XXXV.
  79. XXXVI.
  80. XXXVII.
  81. DE LA VIE HEUREUSE
  82. I. - 2
  83. II. - 2
  84. III. - 2
  85. IV. - 2
  86. V. - 2
  87. VI. - 2
  88. VII. - 2
  89. VIII. - 2
  90. IX. - 2
  91. X. - 2
  92. XI. - 2
  93. XII. - 2
  94. XIII. - 2
  95. XIV. - 2
  96. XV. - 2
  97. XVI. - 2
  98. XVII. - 2
  99. XVIII. - 1
  100. XIX. - 1
  101. XX. - 2
  102. XXI. - 2
  103. XXII. - 2
  104. XXIII. - 2
  105. XXIV. - 2
  106. XXV. - 2
  107. XXVI. - 2
  108. XXVII. - 1
  109. XXVIII. - 1
  110. DU REPOS
  111. XXVIII. - 2
  112. XXIX. - 1
  113. XXXI. - 1
  114. XXXII. - 1
  115. DE LA CONSTANCE DU SAGE
  116. I. - 3
  117. II. - 3
  118. III. - 3
  119. IV. - 3
  120. V. - 3
  121. VI. - 3
  122. VII. - 3
  123. VIII. - 3
  124. IX. - 3
  125. X. - 3
  126. XI. - 3
  127. XII. - 3
  128. XIII. - 3
  129. XIV. - 3
  130. XV. - 3
  131. XVI. - 3
  132. XVII. - 3
  133. XVIII. - 2
  134. XIX. - 2
  135. DE LA PROVIDENCE
  136. I. - 4
  137. II. - 4
  138. III. - 4
  139. IV. - 4
  140. V. - 4
  141. VI. - 4
  142. DE LA TRANQUILLITÉ DE L’ÂME
  143. Lettre de Sérénus à Sénèque
  144. Réponse de Sénèque
  145. APOCOLOQUINTOSE
  146. Présentation
  147. I. - 5
  148. II. - 5
  149. III. - 5
  150. IV. - 5
  151. V. - 5
  152. VI. - 5
  153. VII. - 4
  154. VIII. - 4
  155. IX. - 4
  156. X. - 4
  157. XI. - 4
  158. XII. - 4
  159. XIII. - 4
  160. XIV. - 4
  161. XV. - 4
  162. DE LA CLÉMENCE
  163. Livre I - 1
  164. Livre II - 1
  165. DE LA BRIÈVETÉ DE LA VIE
  166. I. - 6
  167. II. - 6
  168. III. - 6
  169. IV. - 6
  170. V. - 6
  171. VI. - 6
  172. VII. - 5
  173. VIII. - 5
  174. IX. - 5
  175. X. - 5
  176. XI. - 5
  177. XII. - 5
  178. XIII. - 5
  179. XIV. - 5
  180. XV. - 5
  181. XVI. - 4
  182. XVII. - 4
  183. XVIII. - 3
  184. XIX. - 3
  185. XX. - 3
  186. DES BIENFAITS
  187. Livre I - 2
  188. Livre II - 2
  189. Livre III - 1
  190. Livre IV
  191. Livre V
  192. Livre VI
  193. Livre VII
  194. LETTRES A LUCILIUS
  195. Lettre I. Sur l'emploi du temps
  196. Lettre II. Des voyages et de la lecture
  197. Lettre III. Du choix des amis
  198. Lettre IV. Sur la crainte de la mort
  199. Lettre V. De la philosophie d'ostentation et de la vraie philosophie. — La crainte et l'espérance
  200. Lettre VI. De la véritable amitié
  201. Lettre VII. Fuir la foule.
  202. Lettre VIII. Travail du sage sur lui-même. — Mépris des biens extérieurs
  203. Lettre IX. Pourquoi le sage se fait des amis
  204. Lettre X. Utilité de la retraite. — Vœux et prières des hommes
  205. Lettre XI. Ce que peut la sagesse contre les défauts naturels. — Il faut se choisir des modèles
  206. Lettre XII. Avantages de la vieillesse. — Sur la mort volontaire
  207. Lettre XIII. Sur la force d'âme qui convient au sage. — Ne pas trop craindre l'avenir
  208. Lettre XIV. Jusqu'à quel point il faut soigner le corps
  209. Lettre XV. Des exercices du corps. — De la modération dans les désirs
  210. Lettre XVI. Utilité de la philosophie. — La nature et l'opinion
  211. Lettre XVII. Tout quitter pour la philosophie. — Avantages de la pauvreté
  212. Lettre XVIII. Les Saturnales à Rome. — Frugalité du sage
  213. Lettre XIX. Quitter les hauts emplois pour le repos
  214. Lettre XX. Même sujet. — Inconstance des hommes
  215. Lettre XXI. Vraie gloire du philosophe — Éloge d'Épicure
  216. Lettre XXII. Manière de donner les conseils. — Quitter les affaires. — Peur de la mort
  217. Lettre XXIII. La philosophie, source des véritables jouissances
  218. Lettre XXIV. Craintes de l'avenir et de la mort. — Suicides par dégoût de la vie
  219. Lettre XXV. Dangers de la solitude. — Se choisir un modèle de vie
  220. Lettre XXVI. Éloge de la vieillesse
  221. Lettre XXVII. Il n'est de bonheur que dans la vertu. — Ridicules de Sabinus
  222. Lettre XXVIII. Inutilité des voyages pour guérir l'esprit
  223. Lettre XXIX. Des avis indiscrets. — Que le sage plaise à lui-même, non à la foule
  224. Lettre XXX. Attendre la mort de pied ferme, à l'exemple de Bassus
  225. Lettre XXXI. Dédaigner les vœux même de nos amis et l'opinion du vulgaire
  226. Lettre XXXII. Compléter sa vie avant de mourir
  227. Lettre XXXIII. Sur les sentences des philosophes. — Penser à son tour par soi-même
  228. Lettre XXXIV. Encouragements à Lucilius
  229. Lettre XXXV. Il n'y a d'amitié qu'entre les gens de bien
  230. Lettre XXXVI. Avantages du repos. — Dédaigner les vœux du vulgaire. — Mépriser la mort
  231. Lettre XXXVII. Le serment de l'homme vertueux comparé à celui du gladiateur
  232. Lettre XXXVIII. Les courts préceptes de la philosophie préférables aux longs discours
  233. Lettre XXXIX. Aimer mieux la médiocrité que l'excès
  234. Lettre XL. Le vrai philosophe parle autrement que le rhéteur
  235. Lettre XLI. Dieu réside dans l'homme de bien. — Vraie supériorité de l'homme
  236. Lettre XLII. Rareté des gens de bien. — Vices cachés sous l'impuissance. — Ce qui est gratuit coûte souvent bien cher
  237. Lettre XLIII. Vivre comme si l'on était sous les yeux de tous. — La conscience
  238. Lettre XLIV. La vraie noblesse est dans la philosophie
  239. Lettre XLV. Sur les subtilités de l'école
  240. Lettre XLVI. Éloge d'un ouvrage de Lucilius
  241. Lettre XLVII. Qu'il faut traiter humainement ses esclaves
  242. Lettre XLVIII. Que tout soit commun entre amis. — Futilité de la dialectique
  243. Lettre XLIX. La vie est courte. Ne point la dépenser en futilités sophistiques
  244. Lettre L. Que peu d'hommes connaissent leurs défauts
  245. Lettre LI. Les bains de Baïes. Leurs dangers, même pour le sage
  246. Lettre LII. Sages et philosophes de divers ordres
  247. Lettre LIII. Des maladies de l'âme. — La philosophie veut l'homme tout entier
  248. Lettre LIV. Sénèque attaqué de l'asthme. — Préparation à la mort
  249. Lettre LV. Description de la maison de Vatia. — L'apathie ; le vrai repos
  250. Lettre LVI. Bruits divers d'un bain public. — Le sage peut étudier même au sein du tumulte
  251. Lettre LVII. La grotte de Naples. — Faiblesses naturelles que la raison ne saurait vaincre
  252. Lettre LVIII. De la division des êtres selon Platon. — La tempérance, le suicide
  253. Lettre LIX. Leçons de style. — La flatterie. — Vraies et fausses joies
  254. Lettre LX. Vœux imprévoyants. — Avidité des hommes
  255. Lettre LXI. Se corriger, se soumettre à la nécessité
  256. Lettre LXII Même au sein des affaires on peut étudier
  257. Lettre LXIII. Ne point s'affliger sans mesure de la perte de ses amis
  258. Lettre LXIV. Éloge du philosophe Q. Sextius. — Respect dû aux anciens, instituteurs de l'humanité
  259. Lettre LXV. Opinions de Platon, d'Aristote et des stoïciens sur la cause première
  260. Lettre LXVI. Que tous les biens sont égaux et toutes les vertus égales
  261. Lettre LXVII. Que tout ce qui est bien est désirable. — Patience dans les tourments
  262. Lettre LXVIII. La retraite : n'en point faire vanité
  263. Lettre LXIX. Que les fréquents voyages sont un obstacle à la sagesse
  264. Lettre LXX. Du suicide. Quand peut-on y recourir ? Exemples mémorables
  265. Lettre LXXI. Qu'il n'y a de bien que ce qui est honnête. — Différents degrés de sagesse
  266. Lettre LXXII. Tout abandonner pour embrasser la sagesse
  267. Lettre LXXIII. Que les philosophes ne sont ni des séditieux ni de mauvais citoyens. — Jupiter et l'homme de bien
  268. Lettre LXXIV. Qu'il n'y a de bien que ce qui est honnête
  269. Lettre LXXV. Écrire simplement et comme on pense. — Affections et maladies de l'âme. — Trois classes d'aspirants à la sagesse
  270. Lettre LXXVI. Sénèque, quoique vieux, prend encore des leçons. Il prouve de nouveau que l'honnête est le seul bien. — N'estimer dans l'homme que son âme
  271. Lettre LXXVII. La flotte d'Alexandrie. — Mort volontaire de Marcellus. — Juger d'une vie par son dénouement
  272. Lettre LXXVIII. Le mépris de la mort, remède à tous les maux. — L'opinion, mesure des biens et des maux
  273. Lettre LXXIX. Scylla, Charybde, l'Etna. — La gloire est l'ombre de la vertu
  274. Lettre LXXX. Futilité des spectacles. — Certains grands comparés à des comédiens
  275. Lettre LXXXI. Des bienfaits, de l'ingratitude, de la reconnaissance
  276. Lettre LXXXII Contre la mollesse. — Subtilités des dialecticiens
  277. Lettre LXXXIII. Dieu connaît toutes nos pensées. — Exercices et régime de Sénèque. — Sophisme de Zénon sur l'ivresse
  278. Lettre LXXXIV. La lecture. Comment elle sert à la composition. — Les abeilles
  279. Lettre LXXXV. Que le sage s'interdise même les passions les plus modérées
  280. Lettre LXXXVI. Maison de campagne et bains de Scipion l'Africain. Bains modernes. — Plantation des oliviers
  281. Lettre LXXXVII. Frugalité de Sénèque. — Du luxe. — Les richesses sont-elles un bien ?
  282. Lettre LXXXVIII. Des arts libéraux
  283. Lettre LXXXIX. Division de la philosophie. — Du luxe et de l'avarice
  284. Lettre XC. Éloge de la philosophie. — Les premiers hommes. — La philosophie n'a pas inventé les arts mécaniques
  285. Lettre XCI. Sur l'incendie de Lyon, l'instabilité des choses humaines et la mort
  286. Lettre XCII. Contre les épicuriens. Le souverain bien n'est pas dans la volupté
  287. Lettre XCIII. Sur la mort de Métronax. — Mesurer la vie sur l'emploi qu'on en fait, non sur sa durée
  288. Lettre XCIV. De l'utilité des préceptes. — De l'ambition, de ses angoisses
  289. Lettre XCV. Insuffisance des préceptes philosophiques. Il faut encore des principes généraux. — Sur l'intempérance
  290. Lettre XCVI. Adhérer à la volonté de Dieu. — La vie est une guerre
  291. Lettre XCVII. Du procès de Clodius. — Force de la conscience
  292. Lettre XCVIII. Ne point s'attacher aux biens extérieurs. — L'âme, plus puissante que la Fortune, se fait une vie heureuse ou misérable
  293. Lettre XCIX. Sur la mort du fils de Marullus. — Divers motifs de consolation
  294. Lettre C. Jugement sur les écrits du philosophe Fabianus
  295. Lettre CI. Sur la mort de Sénécio. — Vanité des longs projets. — Ignoble souhait de Mécène
  296. Lettre CII. Sur l'immortalité de l'âme. — Que l'illustration après la mort est un bien
  297. Lettre CIII. Comment l'homme doit se méfier de l'homme. — Ne point rompre avec les usages reçus
  298. Lettre CIV. Une indisposition de Sénèque. — Tendresse de sa femme pour lui. — Les voyages ne guérissent point les maux de l'âme. — Vivre avec les grands hommes de l'antiquité
  299. Lettre CV. Ce qui fait la sécurité de la vie. — Des mauvaises consciences
  300. Lettre CVI. Si le bien est corps. — Fuir les subtilités
  301. Lettre CVII. Se préparer à toutes les disgrâces. — Suivre sans murmurer les ordres de Dieu
  302. Lettre CVIII. Comment il faut écouter les philosophes. — Attalus, Sotion, Pythagore. — Tout rapporter à la vie pratique
  303. Lettre CIX. Si le sage est utile au sage, et comment
  304. Lettre CX. Vœux et craintes chimériques de l'homme
  305. Lettre CXI. Le sophiste. Le véritable philosophe
  306. Lettre CXII. Difficulté de réformer les mauvaises habitudes
  307. Lettre CXIII. Si les vertus sont des êtres animés : absurdes questions. — Suivre la vertu sans espoir de récompense
  308. Lettre CXIV. Que la corruption du langage vient de celle des mœurs. — Mécène écrivain. — Salluste
  309. Lettre CXV. Que le discours est le miroir de l'âme. — Beauté de la vertu. — Sur l'avarice
  310. Lettre CXVI. Qu'il faut bannir entièrement les passions
  311. Lettre CXVII. Quelle différence les stoïciens mettaient entre la sagesse et être sage. — Du suicide
  312. Lettre CXVIII. Des élections à Rome. — Du bien et de l'honnête
  313. Lettre CXIX. Qu'on est riche quand on commande à ses désirs
  314. Lettre CXX. Comment nous est venue la notion du bon et de l'honnête. — L'homme est rarement semblable à lui-même
  315. Lettre CXXI. Que tout animal a la conscience de sa constitution
  316. Lettre CXXII. Contre ceux qui font de la nuit le jour. — Le poète Montanus
  317. Lettre CXXIII. Mœurs frugales de Sénèque. — Fuir les apologistes de la volupté
  318. Lettre CXXIV. Que le souverain bien se perçoit non par les sens, mais par l'entendement
  319. QUESTIONS NATURELLES
  320. Livre I – Étude de Dieu et de la nature, la plus grande de toutes. Météores ignés. Arc-en-ciel. Miroirs. Verges. Parhélies.
  321. Livre II – L'air. Les nuages. Les éclairs. La foudre. – Doctrine des Toscans sur les augures. – Ne pas plus craindre la foudre que tout autre danger de mort.
  322. Livre III – Les eaux terrestres : d'où elles se forment. – La terre, pareille au corps humain. – Les poissons. Le rouget. – Luxe des tables. – Déluge final.
  323. Livre IV – Éloge de Lucilius. – Dangers de la flatterie. – Origine et description du Nil. – Phénomènes de la grêle, de la neige, de la glace, de la pluie. – La glace, comme consommation de luxe.
  324. Livre V – Ce que c'est que le vent. Diverses sortes de vents. Leurs avantages. Comment l'homme en a fait des instruments de malheurs.
  325. Livre VI – Des tremblements de terre. Pompéi. – Système de Thalès. – Sources du Nil. Aristote, Théophraste, Callisthène tué par ordre d'Alexandre. – La philosophie nous aguerrit contre tous les fléaux.
  326. Livre VII – Des comètes.
  327. FRAGMENTS
  328. Sur la superstition
  329. De l'amitié
  330. Sur la vie de son père
  331. Épitaphe de Sénèque
  332. LES TRAGÉDIES DE SÉNÈQUE
  333. INTRODUCTION AUX TRAGÉDIES
  334. HERCULE FURIEUX
  335. Personnages
  336. Argument
  337. Acte Premier
  338. Acte Second
  339. Acte Troisième
  340. Acte Quatrième
  341. Acte Cinquième
  342. THYESTE
  343. Argument - 1
  344. Acte Premier - 1
  345. Acte Second - 1
  346. Acte Troisième - 1
  347. Acte Quatrième - 1
  348. Acte Cinquième - 1
  349. LES PHÉNICIENNES
  350. Personnages - 1
  351. Argument - 2
  352. Acte Premier - 2
  353. Acte Second - 2
  354. Acte Troisième - 2
  355. Acte Quatrième - 2
  356. HIPPOLYTE
  357. Argument - 3
  358. Acte Premier - 3
  359. Acte Second - 3
  360. Acte Troisième - 3
  361. Acte Quatrième - 3
  362. Acte Cinquième - 2
  363. ŒDIPE
  364. Argument - 4
  365. Acte Premier - 4
  366. Acte Second - 4
  367. Acte Troisième - 4
  368. Acte Quatrième - 4
  369. Acte Cinquième - 3
  370. LES TROYENNES
  371. Argument - 5
  372. Acte Premier - 5
  373. Acte Second - 5
  374. Acte Troisième - 5
  375. Acte Quatrième - 5
  376. Acte Cinquième - 4
  377. MÉDÉE
  378. Argument - 6
  379. Acte Premier - 6
  380. Acte Second - 6
  381. Acte Troisième - 6
  382. Acte Quatrième - 6
  383. Acte Cinquième - 5
  384. AGAMEMNON
  385. Personnages - 2
  386. Argument - 7
  387. Acte Premier - 7
  388. Acte Second - 7
  389. Acte Troisième - 7
  390. Acte Quatrième - 7
  391. Acte Cinquième - 6
  392. HERCULE SUR L’ŒTA
  393. Personnages - 3
  394. Argument - 8
  395. Acte Premier - 8
  396. Acte Second - 8
  397. Acte Troisième - 8
  398. Acte Quatrième - 8
  399. Acte Cinquième - 7
  400. OCTAVIE
  401. Personnages - 4
  402. Argument - 9
  403. Acte Premier - 9
  404. Acte Second - 9
  405. Acte Troisième - 9
  406. Acte Quatrième - 9
  407. Acte Cinquième - 8
  408. Page de copyright