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Atteindre nos objectifs malgré nos peurs, nos doutes et nos limites

  1. 196 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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Atteindre nos objectifs malgré nos peurs, nos doutes et nos limites

À propos de ce livre

Dans un langage inspirant et coloré, Jean-François Latendresse raconte comment il est parvenu à bâtir son entreprise d'organisation d'événements et à développer son talent de communicateur en dépit d'un important problème de bégaiement. Il vous fera rire et réfléchir tout en vous prodiguant des conseils pratiques pour atteindre vos objectifs et provoquer votre destin. Nombreux sont ceux qui souhaitent se lancer en affaires, changer d'emploi, perdre du poids, s'entraîner, publier un livre ou s'accomplir de quelque autre façon. Pourtant, seul un petit nombre d'entre nous parvient à atteindre ses buts. Pourquoi n'avançons-nous pas avec assurance vers nos buts et nos rêves malgré nos handicaps, nos peurs et nos doutes? Serait-ce parce que : – nous attendons le bon moment pour passer à l'action? – nous cherchons à atteindre la perfection avant de nous lancer? – nous tentons de tout faire seul, sans jamais nous faire aider? – nous n'avons ni objectif précis, ni plan d'action concret? – nous ne sommes pas prêts à nous engager à fond pour parvenir à nos fins? « Je vous souhaite sincèrement de trouver l'inspiration qui vous propulsera vers la vie dont vous rêvez tant. Si j'avais attendu le moment idéal pour me lancer, j'en serais encore à attendre d'arrêter de bégayer! »

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MON SECONDAIRE 1 EN TROIS TEMPS

« On devient vieux
quand le regret supplante nos rêves. »
– John Barrymore
Je n’ai jamais été classé parmi les meilleurs à l’école. À vrai dire, ce n’est pas que je n'avais pas de talent, c’est que je ne prenais pas les études au sérieux. Mes classes me procuraient simplement de bonnes occasions pour pratiquer mes blagues et faire rire la galerie.
Durant un cours de mathématiques, je racontais tellement de blagues que le professeur s’est fâché et m’a lancé un défi. Il m’a dit que nous aurions congé de classe, tant et aussi longtemps que je pourrais tenir à raconter des blagues et que lorsque je manquerais d’inspiration, on reprendrait le cours illico de façon sérieuse. Il était tombé sur la mauvaise personne, car moi répondre à un défi, ça m'énergise. J’ai fait un stand-up de quarante-cinq minutes sans arrêt, et cela, au grand bonheur de mes camarades.
Je me souviens d’avoir reçu une note de 23 % en mathématiques dans mon bulletin. Le pire, c’était que je trouvais ce résultat drôle. Durant l’été, ce qui devait arriver arriva. J’ai reçu une lettre par la poste qui m’annonçait que je devais recommencer mon secondaire 1.
Je crois que je n’ai pas compris sur le coup à quel point cette nouvelle était désastreuse pour moi. Je perdais une année de ma vie! Je crois que je n’ai pas vraiment réalisé la tuile qui me tombait sur la tête, car je me disais que malgré cette reprise, qu’à l’automne, je retrouverais tous mes amis. Même si je restais en secondaire 1, je continuerais à faire des blagues et à m’amuser avec mes copains. C’est ce qui comptait pour moi à l’époque.
Tel que je l'avais prévu, lorsque l’automne est arrivé, ma vie était toujours belle. J'ai retrouvé tous mes amis, et les spectacles de blagues ont recommencé de plus bel durant toute l’année scolaire. J’ai continué de recevoir des notes toujours aussi désastreuses.
J’étais rendu un peu trop à l’aise. J’apportais mon harmonica dans les classes et, chaque fois que le professeur écrivait au tableau, j’en profitais pour jouer une mélodie ou avec des complices de la classe, nous nous levions pour danser. Je ne comptais plus les heures que je passais en retenue. À nouveau, je voyais le tout comme un jeu. Je ne prenais pas l’école au sérieux, je blaguais, je jouais de l’harmonica, je dansais, je m’amusais! J’agissais en incorrigible optimiste.
Durant l’été, j’ai reçu une autre lettre par la poste qui m'avisait que je redoublais une fois de plus mon secondaire 1, mais cette fois-ci, il y avait un bonus. On ne me faisait pas simplement recommencer mon année scolaire, mais j’allais être intégré dans une classe spécialisée avec des étudiants qui avaient tous des troubles d’apprentissage. C’était une classe réduite d’environ vingt élèves. Là, je trouvais la situation moins drôle. Je me retrouverais dans la même classe que les « pires » élèves de l’école pour toute une année. Même si, à mon avis, je n’étais pas si mal à l’école, il fallait que je décide de cesser les blagues et de faire le clown et que je me concentre sérieusement sur mes études et mes travaux scolaires.
Cette année-là, j’ai vraiment voulu m’en sortir. Si je m’en souviens bien, ma moyenne générale était toujours autour des 90 %. Je voulais à tout prix prouver que je pouvais réintégrer une classe normale et quitter celle des cas particuliers. Malgré tout, j’ai créé de très belles amitiés avec des élèves de cette classe, mais mon vrai groupe d’amis, je les retrouvais toujours lors des récréations et à l’heure du lunch pour continuer de blaguer et d’agir en bouffon.
Quand l’été est arrivé cette année-là, j’ai reçu une autre lettre par la poste mentionnant que j’allais être réintégré au groupe régulier. Mes cours avec ceux qui avaient un trouble d’apprentissage étaient terminés. J’avais fait mes preuves, et j’en étais très fier.
Il n’y avait qu’une seule chose à laquelle je n’avais pas pensé, une chose très importante à mes yeux et qui a eu un impact énorme sur ma vie d’adolescent.
Mon école n’acceptait que les niveaux 1, 2 et 3 du secondaire. Pour les classes des secondaires 4 et 5, il fallait aller dans une autre école. J’allais donc perdre tous mes amis et me retrouver seul avec d’autres jeunes en secondaire 2. Tous mes amis iraient dans une autre école en secondaire 4, et moi, le vieux coq, je restais encore en secondaire 2 dans une classe de jeunes poussins. Je ne riais plus du tout.
Dans la classe des étudiants ayant des troubles d'apprentissage, je m’étais lié d’amitié avec Isabelle, l’une des rares élèves avec laquelle j’ai créé des liens. Elle était assise juste derrière moi dans la classe. Comme nous avions toujours les mêmes sièges, nous avons vite fait connaissance et nous sommes devenus de bons amis.
La seule fois où nous avons vécu un froid durant l’année scolaire, c’est quand elle a eu l’idée de faire un test. Étant assise derrière moi, elle voyait l’arrière de ma tête chaque jour. Dû à mon surplus de poids, j’ai toujours eu un petit bourrelet au bas du crâne. Un jour, elle a eu la brillante idée de tester si son crayon pouvait tenir dans ce bourrelet. Quelle idée géniale (sarcasme)! Nous ne sommes pas restés fâchés longtemps et, aujourd’hui, ça me fait une histoire cocasse de plus à raconter.
Elle a finalement été forcée de changer d’école à cause du déménagement de sa famille. Je suis alors passé du gars cool qui joue de l’harmonica, au gars qui mange seul dans un coin à la cafétéria.
Les premières semaines ont été très difficiles. J’essayais de me trouver des amis, mais ils avaient déjà tous leur groupe d’amis. Je me trouvais « loser » de tenter de m’y faufiler. Il fallait que je trouve une solution rapidement pour occuper mes pauses et l’heure du lunch qui devenaient interminables et infernales.
Avec le recul, la phrase que ma mère adorait répéter à l’effet qu’il n’y avait rien qui arrivait pour rien prenait tout son sens. Je ne voulais plus rester seul à l’heure du lunch, il fallait que je m’éloigne des regards curieux. C’est alors que la radio étudiante m’a été présentée. Une annonce passa à l’intercom de l’école disant qu’on cherchait des élèves qui voulaient faire de la radio. Il fallait aimer parler et écouter de la musique, ce qui constituait un travail idéal pour moi.
Je passais tout mon temps disponible dans un petit studio. Je faisais jouer la musique que j’aimais, et je pouvais recommencer à faire quelques blagues à l’occasion. La radio m’a également donné la piqûre de l’animation. À force d’en faire, je prenais de plus en plus confiance en moi et j’adorais cette profession qui est devenue mienne par la suite. C’est probablement dans ce studio que j’ai vécu mes premiers rêves d’animation à plus grande échelle qui, plus tard, se sont réalisés.
Au cours de cette année scolaire, les choses ont fini par se replacer. Je me suis fait d’autres amis, dont Samuel et Jessie. Nous ne le savions pas encore, mais nous étions sur le point d’écrire une page de l’histoire de notre école secondaire. Un événement marquant allait se produire l’année suivante (décrit au prochain chapitre), et j’allais être au cœur de cette petite « révolution ».
LES LEÇONS QUE J’AI APPRISES DE CETTE HISTOIRE
Rien n’arrive pour rien dans la vie.
Si je n’avais pas doublé mon secondaire 1 deux fois, en plus de me retrouver seul lors des récréations et à l’heure du lunch, je n’aurais jamais commencé à animer à la radio et ainsi découvrir ma nouvelle passion.
Je ne suis pas en train de dire qu’il ne faut pas prendre l’école au sérieux comme je l’ai fait au début, mais lorsque vous vous retrouvez dans une situation difficile qui vous déstabilise et que vous sentez que vous perdez vos repères, faites confiance à la vie. Elle a probablement un plan pour vous. Il faut parfois quitter le rivage pour découvrir de nouveaux horizons.
Jumelez-vous à des partenaires de défi.
Ce que je n’ai pas mentionné dans mon histoire, c’est que j’ai quand même continué d’avoir de bonnes notes en classe (à l’exception du français écrit).
J’ai continué d’avoir de bonnes notes, car je m’étais trouvé une partenaire de défi qui était alors ma copine. Elle était dans presque tous mes cours, et je me faisais un malin plaisir d’étudier comme un forcené pour simplement avoir le plaisir de lui faire un petit sourire moqueur quand j’avais de meilleures notes qu’elle (ce qui la rendait dingue chaque fois).
Avoir un complice en affaires ou pour vous remettre en forme physique ou tout autre défi, c’est plus motivant lorsque nous nous jumelons à quelqu’un qui a des buts semblables aux nôtres et qui peut nous aider à repousser nos limites.

LA GRÈVE DE 1999

« Notre pire décision est toujours
celle que nous n’avons pas prise. »
– Zig Ziglar
Les expériences de mon enfance m’ont, jusqu’à maintenant, prouvé qu’il était important de prendre des risques, d’écouter mon instinct et de ne pas me préoccuper de ce que les autres pouvaient penser.
S’il y a une expérience dans mon adolescence qui a vraiment tracé un chemin vers mon futur d’adulte, c’est bien la fameuse grève de 1999 à l’École secondaire d’Oka.
Je lui attribue le qualificatif de « fameuse », car j’en ai entendu parler durant au moins dix ans par la suite. Vous n’avez sûrement pas été mis au courant par les médias de votre quartier, mais dans notre coin de pays, c’était quelque chose de gros. Je vous remets en contexte. En 1999, le gouvernement voulait couper les salaires des professeurs qui voulaient organiser des activités parascolaires. Cette option étant refusée par les enseignants, la décision du gouvernement signifiait alors que nous n'aurions plus aucune activité après nos heures de classe.
Pour plusieurs élèves, cette coupure voulait dire ne plus avoir de pratiques de musique en prévision d’un éventuel spectacle, plus de pratiques de sports pour un championnat. Bref, ce ne serait plus que des heures d’école plates!
J’étais dans le groupe de musique de l’école et nous avions des pratiques après les heures de classe pour scénariser la comédie musicale Grease. C’était quand même un spectacle audacieux, car la troupe de théâtre s’occupait des acteurs, la troupe de musique assurait la trame musicale de chaque chanson (et il y en avait beaucoup) et, finalement, le groupe des arts plastiques créait les décors. C’était une énorme somme de travail pour des jeunes de quinze-seize ans.
Donc, vous êtes en mesure de comprendre qu’on ne pouvait pas faire tout ce travail à l’intérieur de l’horaire normal des classes, qu’il fallait en faire les soirs après l’école. Nos professeurs nous aimaient bien, mais de là à rester bénévolement, ce n’était pas plausible. En discutant de cette situation avec quelques-uns de mes amis, nous nous sommes entendus pour dire que c’en était assez et que nous voulions nous rebeller et faire la grève. Rien de moins!
Au début, c’était davantage une blague, une espèce de menace, mais nous étions curieux de voir où nous mènerait notre stratégie. Nous étions quatre ou cinq copains dont mon ami Samuel. En fin d’après-midi, dans le stationnement des autobus scolaires, nous nous sommes mis à crier :
– Demain, nous venons à l’école, mais nous faisons la grève! »
À partir de cet instant, le processus venait de s’enclencher.
En arrivant à la maison, ma mère m’a avisé que deux ou trois personnes avaient téléphoné pour savoir s’il y aurait réellement une grève à l’école le lendemain. Je lui ai donné des explications rapides en lui disant que ce n'était qu'une blague, que nous ne voulions que mettre un peu de pression pour ramener les activités parascolaires, que ce n’était rien de sérieux.
Le lendemain matin, j’ai pris place à bord de l’autobus comme à l’habitude. Durant le trajet, ce qui m’attristait le plus, c'était qu’on arrivait à l’école toujours juste avant la lecture de mon horoscope à la radio avec l’astrologue, Jacqueline Aubry. Je n’y ai jamais vraiment cru, mais j’ai toujours été curieux de ce qu’elle dirait en ce qui concernait mon signe astrologique.
En arrivant à l’école, je dois vous avouer que j’avais un peu oublié l’histoire de la grève et, sans le savoir, j’allais vivre une journée mémorable. En sortant de l’autobus, je me sentais comme une star traquée par des paparazzis. Plusieurs jeunes venaient me voir pour me demander si l'on faisait la grève ou pas. L’air un peu amusé et surpris de la situation, je répondais que c’était effectivement le cas.
Finalement, la cloche signifiant l’heure du début du premier cours a sonné, mais presque personne n’a bougé. Les élèves restaient simplement là à nous regarder, mon groupe d’amis et moi, attendant nos directives.
Tous les élèves de mon groupe étaient un peu surpris que notre « blague » ait si bien fonctionné. Comme c’était moi qui avait le timbre de voix le plus fort de mon groupe, j’ai grimpé sur un module du « skate park » de l’école pour être bien entendu.
– Allooooo, heuuu… tous ceux qui veulent faire la grève… suivez-nous. »
Franchement, je croyais qu’il n’y aurait qu’un petit groupe d’élèves qui nous suivrait et que la plupart d’entre eux retourneraient gentiment en classe pour ne pas recevoir une conséquence. Je me trompais royalement. Lorsque je me suis retourné pour évaluer le nombre d’élèves qui nous suivait, je me suis rendu compte que presque la majorité marchait avec nous!
Ce que je ne vous ai pas encore souligné, c’est que cette école contenait mille quatre cents élèves. J'ai estimé qu’il devait y en avoir au moins mille qui suivaient mon groupe de joyeux lurons qui n’avait que fait une blague la veille. Je fa-bu-lais, mais dans le bon sens. J’étais étonné que nous ayons réussi à réunir autant d’élèves pour une simple cause, pas très évidente pour la majorité d’entre eux, mais le groupe dégageait une énergie et une détermination incroyables.
Nous avons vécu une journée vraiment étrange et mémorable. Dès ce moment, je me suis retrouvé un peu comme le chef. Un rôle que je trouvais particulier, mais que j’ai tout de même assumé.
Rendus au terrain de football, nous avons voulu leur expliquer notre plan de match de la journée parce que nous avions fait sortir tous les élèves de l’école. Il fallait leur faire part de notre stratégie pour les tenir occupés et les faire patienter jusqu’au retour des autobus scolaires, plusieurs heures plus tard.
Lorsque tous les élèves ont finalement été réunis, l’une de mes enseignantes, Annie, que j’appréciais beaucoup, était présente à la manifestation et soutenait notre cause. Elle a pris un porte-voix pour s’adresser à la foule et a tenté de dire que...

Table des matières

  1. Couverture du livre
  2. Titre
  3. Droit d’auteur
  4. Table des matières
  5. Préface de Martin Latulippe
  6. Remerciements
  7. Avant-propos
  8. Introduction
  9. Le dépanneur
  10. Le balayeur de rue
  11. Je b-b-bé-g-gaie
  12. La première fois
  13. The Piano Guys
  14. Mon secondaire 1 en trois temps
  15. La grève de 1999
  16. Mon premier vrai emploi d’animateur
  17. Mon premier mentor
  18. Ne jamais abandonner devant un refus
  19. Un peu plus haut
  20. Dans la cour des grands
  21. Mes débuts à la radio
  22. Le 281 Montréal
  23. C’est le temps du changement
  24. Suivre son instinct
  25. Les écoles primaires et ma chasse au trésor
  26. Mon logo
  27. Mes débuts difficiles
  28. Noël chez mon grand-père
  29. Mon entraînement avec Monsieur Canada
  30. Ma rencontre avec Dominic
  31. La vérité, c’est que… je ne suis pas un robot!
  32. Un chemin inattendu
  33. Un souper avec ma mère
  34. Le hasard fait bien les choses
  35. Le décès précoce de mon père
  36. En conclusion
  37. Couverture arrière