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Souvenirs Militaires d'un Officier Du Premier Empire (1792 – 1832)
- 228 pages
- French
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- Disponible sur iOS et Android
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Souvenirs Militaires d'un Officier Du Premier Empire (1792 – 1832)
À propos de ce livre
« Le colonel Noël a participé à la seconde campagne d'Italie, celle de 1809, sous les ordres de Macdonald (récit des batailles de la Piave, Tarvis, Raab), à l'expédition d'Espagne et du Portugal (Ciudad-Rodrigo, Torres-Vedras), aux campagnes de Russie, d'Allemagne et de France, à Waterloo enfin. Il a consigné impressions sur des carnets dont l'éditeur n'a publié que les récits militaires, coupant les réflexions d'ordre moral ou politique ce qui est dommage. A noter la critique adressée à Napoléon de n'être pas revenu en Espagne en 1810 pour prendre lui-même en main les opérations. » p 122-123 - Professeur Jean Tulard, Bibliographie Critique Sur Des Mémoires Sur Le Consulat Et L'Empire, Droz, Genève, 1971
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British HistoryCHAPITRE V — CAMPAGNE DE PORTUGAL (1810-1811).
D’Almeida à Busaco. — Almeida est la seule place forte du Portugal entre le Douro et le Tage. Sa position est déterminée par celle de Ciudad-Rodrigo, et aussi, sans doute, pour servir de dépôt à une armée agissant sur cette partie de la frontière, la seule par laquelle on puisse de ce côté envahir le Portugal ; mais elle a, pour remplir ce dernier but, trop peu d’étendue.
Le terrain est difficile pour l’assiégeant, et les environs offrent peu de ressources à son artillerie.
Le 30, je rentre à ma division, campée en avant d’Escarrigo et d’Almofalo. J’ai sous mes ordres la 11e compagnie du 8e d’artillerie à pied et la 8e du 6e d’artillerie à cheval, cette dernière bien commandée par le capitaine Coquard.
Le 4 septembre, j’accompagne le général Clausel dans une reconnaissance jusqu’à une lieue du Douro, et ensuite dans une autre sur Pinhel. Le but était de découvrir un passage pour l’artillerie. Jamais je n’ai vu de pays coupé et haché comme cette partie du Portugal. A peine si les chemins sont praticables pour des chevaux.
Les coteaux et les montagnes sont à pic. C’est un vrai pays de guerre de guérillas. Le Douro est fortement encaissé au coude qu’il fait à son entrée en Portugal.
Le 13, l’artillerie de la division se rend à Aldea del Obispo, village au pied du fort de la Conception, sur le territoire espagnol, pour se réunir à l’artillerie du corps d’armée. Les Anglais ont, fort heureusement pour nous, abandonné ce fort après en avoir fait sauter quelques ouvrages. On dit qu’ils manquaient d’artillerie pour le défendre ; il est probable aussi qu’ils craignaient de s’y faire prendre. Bien que ce fort fût susceptible de quelque défense, il ne pouvait longtemps nous résister, et la garnison eût infailliblement été prise ; cependant si nous eussions eu ce siège à faire après celui de Ciudad-Rodrigo, il eût consommé une partie de nos approvisionnements, retardé celui d’Almeida, et peut-être empêché notre entrée en Portugal.

Le 16 septembre. L’armée se met en mouvement. Le 8e corps, tenant la droite, se porte sur Pinhel ; le 6e, au centre, sur Alverca, et le 2e, formant la gauche, sur Guarda. L’avant-garde pousse jusqu’à Celorico. L’artillerie de la division bivouaque en avant de Pinhel sur le bord du ruisseau de la Pega, celle de la 2e division à côté, et le parc sur une hauteur en arrière. Pour arriver à Pinhel on passe la Pinhel, rivière fortement encaissée, comme tous les cours d’eau de ce pays montagneux, et on arrive à la ville par une montée très raide et pavée.
Pinhel est une petite ville bien située sur une hauteur, et qui serait agréable si les environs n’étaient pas incultes et hérissés de rochers. On y voit un beau palais épiscopal, qui renfermait à notre arrivée une belle bibliothèque presque toute française. Il est meublé avec goût. La ville renferme de remarquables maisons qui indiquent la richesse des habitants. Naturellement, la ville étant abandonnée, tout fut pillé et dévasté. Dans un vieux château en ruines, j’ai remarqué deux pièces de canon assez grosses, faites avec des douves de fer cerclées. Ce n’est pas avec cela que les Portugais nous feront beaucoup de mal.
Dans la nuit je reçois l’ordre de faire marcher ma réserve avec le parc ; mesure mauvaise, en ce qu’elle privait cette réserve, ou ce que j’avais avec moi, de la forge et des ouvriers, et que, dans les chemins difficiles que nous avions à parcourir, on exposait ou les uns ou les autres à laisser des voitures en arrière. On en sentit l’inconvénient ; mais, comme le commandement n’a jamais tort, on me laissa faire revenir ma réserve, dès le 18, sans me faire d’observations.
Le 17. Le 8e corps à Venta de Cego ; le 6e à Janlues, et le 2e à Celorico. L’avant-garde à Fornos, sur la rive droite du Mondego.
Nous passons près de la petite ville de Trancoso, fermée d’un mur flanqué de tours.
Tout ce pays est montagneux, rocheux ; il n’y a pas de routes, mais des chemins rocailleux, étroits, dangereux, que l’artillerie a toutes les peines du monde à franchir sans accidents. Ce ne sont que montées escarpées et descentes à pic. Je suis forcé de me faire précéder de canonniers armés de pics, de pioches, pour frayer le passage. Un soldat marche en avant, portant une barre de fer ayant la longueur de la voie de nos voitures, pour indiquer les passages à élargir. Aussi, comme en marche chaque arme ne s’occupe que d’elle-même, l’artillerie reste en arrière, dépassée par l’infanterie et la cavalerie ; elle n’arrive que très tard au gîte, fatiguée, éreintée, officiers et soldats ne pouvant songer à eux qu’après avoir soigné leurs chevaux, réparé leurs voitures, remisé leurs munitions, et lorsque les meilleurs ou les moins mauvais logements ont été pris et les vivres enlevés. En campagne, le fantassin est le moins malheureux, il n’a qu’à penser à lui. Le cavalier a de plus son cheval, et l’artilleur, outre sa bête, a encore ses canons, ses caissons à remettre en état.
Les Anglais en se retirant ont fait de tout le pays un désert, chassant devant eux les populations, enlevant, brûlant, détruisant tout ce qui peut nous être utile, fours et moulins, vivres et fourrages, coupant les ponts. Ils veulent nous affamer. Terribles moyens de guerre, qui leur coûtent peu et qui semblent ne pas être du goût des Portugais. Dès ce début nous pouvons prévoir ce qui nous attend dans un pays ainsi ruiné.
Nous marchons sur Viseu, en suivant les escarpements coupés de ravins de la Sierra-Caramula, qui encaisse à droite la profonde et belle vallée du Mondego, que nous apercevons par échappées. Nous marchons, l’artillerie presque toujours isolée, abandonnée par les autres troupes, ne sachant souvent quelle route suivre, le passage de l’armée ne laissant d’autre trace que quelques traînards, qui eux-mêmes ne savent pas la direction suivie ; pas d’habitants pour renseigner. Je n’ai, pour me diriger, que les cartes incomplètes de Lopes et de Mentelle que j’ai eu soin de me procurer.
Le 18, marchant ainsi isolé avec mes deux compagnies, nous parvenons vers le milieu du jour, après une montée de plus de deux heures, sur une des plus hautes montagnes bordant la rive droite du Taveres. De ce point la vue s’étend sur toute la contrée. Je suis épouvanté de l’aspect désolé du pays, du chemin que nous avons à parcourir. Une descente presque à pic, dans une vallée profonde, et en face une montée à perte de vue par un sentier tortueux. Impossible de franchir les montagnes avant la nuit, avec nos chevaux épuisés. Je prends donc le parti de bivouaquer dans le fond de la vallée, où nous trouvons quelques fourrages pour nos pauvres bêtes. Si, dans ces défilés, nous eussions été attaqués par les guérillas, dont on savait le chef le plus audacieux dans ces parages, il nous eût été impossible de nous défendre avec succès, ne pouvant faire usage de nos pièces ; ils nous eussent canardés tout à leur aise, à l’abri derrière les rochers.
Le 19, à quatre heures du matin, j’envoie en avant vingt canonniers, pour préparer et élargir le chemin, et à six heures nous nous mettons en route. Nous gravissons encore une montagne escarpée ; nous suivons les crêtes, et nous descendons dans une délicieuse vallée, fertile, bien cultivée, et peuplée de villages abandonnés pour le moment Cette vallée paraît d’autant plus belle qu’on sort d’un désert.
C’est un contraste qui se présente fréquemment dans cette partie du Portugal, où les montagnes, complètement arides et désertes, sont coupées de vallons charmants et ombreux. La végétation y est luxuriante sur les bords des cours d’eau, et le laurier-rose y abonde.
Après avoir ainsi franchi monts et vallées, nous perdons encore la trace de l’armée, et pendant qu’hommes et chevaux se reposent dans un joli vallon, je vais à la découverte suivi de quatre artilleurs à cheval. Toutes les maisons sont désertes. Je parviens pourtant à saisir un vieux paysan qui fuyait, et qui nous indique un chemin pour Viseu, où, depuis la veille, doit être arrivé notre corps d’armée. Mais le jour tombe bientôt, et à huit heures du soir, je fais bivouaquer mon monde sur un plateau, à l’entrée d’un pauvre village abandonné.
Le 20, j’envoie en reconnaissance le fourrier de la compagnie, et, en attendant, je laisse reposer les chevaux et fais réparer les voitures. Le fourrier et ses hommes reviennent vers midi, ils ont poussé jusqu’à Viseu. Ils sont reçus comme le corbeau dans l’arche.
Dans la matinée nous sommes rejoints par l’artillerie de la 2e division, qui, ayant suivi le même chemin, a couché au pied du plateau sur lequel nous avons passé la nuit. Tous ensemble nous prenons la direction de Viseu. Nous entrons dans un pays riant, bien cultivé, couvert de vignes, d’arbres fruitiers. Les villages, quoique abandonnés, paraissent moins pauvres que ceux d’Espagne, sont plus propres et mieux bâtis. Toutes les rivières et même les ruisseaux se passent sur de beaux ponts en pierre.
Nous rejoignons à Viseu le 8e corps.
Viseu est une très belle ville sur la pente d’un coteau, dans un pays charmant et très fertile. Ses maisons sont agréablement bâties, bien meublées, et dénotent une grande aisance. Leur tenue indique aussi plus de propreté et de goût que dans les villes d’Espagne.
Du 20 au 24, séjour et repos à Viseu.
A Viseu, comme à Pinhel, comme dans tous les villages depuis notre entrée en Portugal, les habitants ont fui. Forcée de se procurer des vivres par tous les moyens en son pouvoir, triste loi de la guerre, l’armée a pillé ; et, comme on ne se borne pas dans ces circonstances à prendre le nécessaire, les habitants ont beaucoup plus souffert que s’ils étaient restés chez eux. C’est pour l’armée aussi une cause du relâchement de la discipline, car le soldat prend l’habitude du pillage ; et malheureusement les officiers, et même ceux des états-majors, donnant le mauvais exemple, l’obéissance et le respect s’en ressentent.
A notre arrivée, la ville avait déjà été pillée, et sous le prétexte de chercher des vivres on avait tout dévasté.
Le 24, nous quittons Viseu, et tout le 8e corps va bivouaquer près de Sabugosa, en prenant deux routes différentes. Celle que suit la 1re division est la plus mauvaise. Dans ce court trajet, pour le passage de mes voitures, je suis, à la sortie d’un village, forcé de faire abattre des murs de clôture. A ce moment, le général Junot vient à passer, et en franchissant les-décombres son cheval s’abat et renverse son cavalier. Mauvais présage, dis-je au capitaine Coquard, qui est près de moi. Non, me répond-il, nous prenons possession du Portugal. Nous n’avions pourtant pas envie de rire.
Le 25, à Casal-de-Maria. Pays pittoresque, beau, sans être bien fertile. Les bas-fonds sont cultivés avec soin, les hauteurs sont incultes ou boisées de pins sylvestres.
Le 26, nous campons dans une large vallée en avant du village de Martigao, au pied des montagnes de la Sierra d’Alcoba. Le soir, le 6e corps, qui nous précède, rencontre l’armée anglo-portugaise dans la forte position de Moira, ainsi appelée par les Français, et Busaco par les Anglais.
Bataille de Busaco. — Au début de la campagne, l’armée anglaise était concentrée à Viseu ; et après le rude échec infligé par le maréchal Ney à son avant-garde, nous n’avons pas aperçu l’ombre d’un soldat anglais. Aussi le bruit courait-il dans notre armée que lord Wellington, abandonnant les Portugais comme il avait, après Talavera, abandonné les Espagnols, s’était rembarqué, et on se réjouissait d’aller bientôt se reposer dans les villes du littoral. Ce qui donnait encore plus de consistance à cette croyance, c’est que l’ennemi nous avait laissés franchir, sans s’y opposer, les abruptes montagnes du Portugal, où il eût suffi, pour nous arrêter, de quelques corps de guérillas alertes et bien commandés ; n’eussent-ils tué que nos chevaux d’artillerie, l’invasion du Portugal devenait pour nous impossible.
Nous étions donc loin de prévoir ce qui nous attendait encore de dangers, de misères et de souffrances.
Pour descendre dans les plaines du Portugal, il nous restait à franchir une dernière chaîne de montagnes, celle de la Sierra d’Alcoba. Cette chaîne de montagnes ferme complètement le côté droit de la vallée du Mondego que nous suivons. La rivière s’est frayé un passage à travers la montagne, tellement encaissée qu’une armée ne peut la suivre : il nous faut donc franchir la Sierra d’Alcoba, et l’armée anglo-portugaise s’est établie sur cette montagne pour nous en disputer le passage.
La position a été admirablement choisie ; et il est probable que si lord Wellington, très prudent et très avisé, nous a laissés franchir les montagnes sans nous en disputer le passage, c’est qu’il a préféré nous attendre dans cette position, fatigués et épuisés par dix jours de marches pénibles.
Le 26, le 8e corps est arrivé très tard dans ses cantonnements. Le 27, après une heure de marche, nous arrivons sur les hauteurs en face de la position ennemie, que les 2e et 6e corps attaquent. Nous formons la réserve. Du point où je suis, je puis me rendre parfaitement compte de l’action.
L’armée de lord Wellington est au moins aussi nombreuse que la nôtre. Si les soldats anglais sont moins agiles que les nôtres, ont moins d’entrain, ils ont, sur la défensive, une grande force de résistance, à la condition de ne manquer de rien. Cette armée occupe les plateaux qui s’étendent sur la Sierra d’Alcoba ; elle y a ses principales forces, toutes ses réserves, toute son artillerie. Elle occupe sur les pentes tous les points défendables, notamment un hameau ; elle est presque partout à l’abri de notre artillerie. Elle plane sur le pays, domine nos positions, et voit tous nos mouvements d’attaque gênés par des ravins, et peut porter ses renforts où il est nécessaire.
Il nous faut, pour nous frayer un passage, déloger les Anglais de leurs différentes positions ; et lorsque notre infanterie aura pu aborder le plateau sans canons, attaquer et repousser les principales forces anglaises, reposées, soutenues par toute leur artillerie, et qui auront eu le temps de se porter sur les points menacés. Il faut l’audace de Masséna et l’ardeur des Français pour oser entreprendre une pareille attaque. Mais quand on a vu enlever la position d’Ebersberg, on ne doute plus de rien.
Le 2e corps, formant notre gauche, attaque le premier. Il est quelque temps favorisé par un brouillard assez épais, et parvient à atteindre le sommet du plateau. Il repousse les premièr...
Table des matières
- Page titre
- TABLE DES MATIÈRES
- AVIS AU LECTEUR
- CHAPITRE Ier. - L’ENTRÉE DANS LA VIE MILITAIRE. LES PREMIERES ANNÉES DE SERVICE (1795-1799).
- CHAPITRE II - DIX ANNÉES EN FRANCE ET EN ITALIE (1799-1809).
- CHAPITRE III - CAMPAGNES D’ITALIE ET D’ALLEMAGNE (1809).
- CHAPITRE IV - MA PREMIÈRE CAMPAGNE D’ESPAGNE (1809-1810)
- CHAPITRE V - CAMPAGNE DE PORTUGAL (1810-1811).
- CHAPITRE VI - MA DEUXIÈME CAMPAGNE D’ESPAGNE (1811).
- CHAPITRE VII - CAMPAGNE DE RUSSIE (1812).
- CHAPITRE VIII - CAMPAGNE D’ALLEMAGNE (JANVIER-AOUT 1813).
- CHAPITRE IX - CAMPAGNE D’ALLEMAGNE [SUITE] (AOUT-OCTOBRE 1813).
- CHAPITRE X - FIN DE LA CAMPAGNE D’ALLEMAGNE (OCTOBRE-NOVEMBRE 1813)
- CHAPITRE XI - CAMPAGNE DE FRANCE (1814).
- CHAPITRE XII - LA PREMIERE RESTAURATION.-LES CENT-JOURS (1814-1815)
- ÉPILOGUE - LES ANNÉES DE PAIX. FIN D’UNE CARRIÈRE (1815-1832)
- ÉTAT DES SERVICES DU COLONEL NOËL (JEAN-NICOLAS-AUGUSTE)