UNIVERSITE DE KINSHASA A L'ERE DU PARTENARIAT EDUCATIF (L')
eBook - ePub

UNIVERSITE DE KINSHASA A L'ERE DU PARTENARIAT EDUCATIF (L')

  1. 141 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub

UNIVERSITE DE KINSHASA A L'ERE DU PARTENARIAT EDUCATIF (L')

À propos de ce livre

Le livre questionne le mécanisme de financement de l'Université de Kinshasa, son originalité, ses effets pervers ainsi que les arrangements et l'idéologie qui organisent et légitiment les rapports entre acteurs universitaires dans le cadre de systématisation d'un État concessionnaire. Il propose, dans son dénouement, des alternatives pour rationaliser ce mécanisme devenu vital pour cette institution universitaire.

Foire aux questions

Oui, vous pouvez résilier à tout moment à partir de l'onglet Abonnement dans les paramètres de votre compte sur le site Web de Perlego. Votre abonnement restera actif jusqu'à la fin de votre période de facturation actuelle. Découvrez comment résilier votre abonnement.
Pour le moment, tous nos livres en format ePub adaptés aux mobiles peuvent être téléchargés via l'application. La plupart de nos PDF sont également disponibles en téléchargement et les autres seront téléchargeables très prochainement. Découvrez-en plus ici.
Perlego propose deux forfaits: Essentiel et Intégral
  • Essentiel est idéal pour les apprenants et professionnels qui aiment explorer un large éventail de sujets. Accédez à la Bibliothèque Essentielle avec plus de 800 000 titres fiables et best-sellers en business, développement personnel et sciences humaines. Comprend un temps de lecture illimité et une voix standard pour la fonction Écouter.
  • Intégral: Parfait pour les apprenants avancés et les chercheurs qui ont besoin d’un accès complet et sans restriction. Débloquez plus de 1,4 million de livres dans des centaines de sujets, y compris des titres académiques et spécialisés. Le forfait Intégral inclut également des fonctionnalités avancées comme la fonctionnalité Écouter Premium et Research Assistant.
Les deux forfaits sont disponibles avec des cycles de facturation mensuelle, de 4 mois ou annuelle.
Nous sommes un service d'abonnement à des ouvrages universitaires en ligne, où vous pouvez accéder à toute une bibliothèque pour un prix inférieur à celui d'un seul livre par mois. Avec plus d'un million de livres sur plus de 1 000 sujets, nous avons ce qu'il vous faut ! Découvrez-en plus ici.
Recherchez le symbole Écouter sur votre prochain livre pour voir si vous pouvez l'écouter. L'outil Écouter lit le texte à haute voix pour vous, en surlignant le passage qui est en cours de lecture. Vous pouvez le mettre sur pause, l'accélérer ou le ralentir. Découvrez-en plus ici.
Oui ! Vous pouvez utiliser l’application Perlego sur appareils iOS et Android pour lire à tout moment, n’importe où — même hors ligne. Parfait pour les trajets ou quand vous êtes en déplacement.
Veuillez noter que nous ne pouvons pas prendre en charge les appareils fonctionnant sous iOS 13 ou Android 7 ou versions antérieures. En savoir plus sur l’utilisation de l’application.
Oui, vous pouvez accéder à UNIVERSITE DE KINSHASA A L'ERE DU PARTENARIAT EDUCATIF (L') par Jean-Pierre Mpiana Tshitenge en format PDF et/ou ePUB ainsi qu'à d'autres livres populaires dans Sciences sociales et Éducation générale. Nous disposons de plus d'un million d'ouvrages à découvrir dans notre catalogue.

Informations

Chapitre 1

RESSORTS ET ENJEUX DE L’ÉTUDE

1.1. CONTEXTE ET ÉNONCÉ DU PROBLÈME

Questionner le fonctionnement du champ universitaire congolais après vingt ans du partenariat éducatif pour en saisir le(s) ressort(s), le progrès réalisé et ouvrir les perspectives, telle se résume l’ambition de cette étude. Dans ce champ, en effet, le partenariat éducatif a émergé comme alternative à la situation sinistrée provoquée par la coupe drastique des financements publics. Confronté à la contraction de ses ressources et, pour ce fait, soumis dès l’année 1982 à la cure d’amaigrissement des PAS, l’État zaïrois (congolais) avait quasi interrompu à partir de 1990, l’allocation des subsides à l’ensemble du secteur éducatif. Il en est résulté que la part de l’éducation dans le budget national est passée de 25 % à 7 % entre 1980 et 1986 jusqu’à atteindre le fond de moins 1 % pendant toute la décennie 1990 (Poncelet, André et De Herdt, 2010 : 24).
Durant ces longues années, l’État ne versait plus de frais de fonctionnement aux établissements d’enseignement, bref l’« investissement ne relevait simplement plus des pratiques politiques gouvernementales dans ce secteur » (Maindo Ngonga, 2012 : 184b). Et, simultanément, s’arrêtait la coopération avec les principaux bailleurs de fonds, en représailles aux tentatives mobutistes de contournement et/ou de récupération du processus de démocratisation.1 Il en a résulté plusieurs conséquences, notamment la suppression des bourses d’études pour les étudiants, la réduction drastique des salaires, des frais de fonctionnement, d’investissement et d’équipement, des grèves à répétition, des années blanches, etc., augurant l’arrêt de l’offre éducative universitaire, pourtant attendue.
C’est dans ce contexte que s’est négocié le partenariat éducatif dans les établissements d’enseignement supérieur et universitaire. Les autorités académiques, les enseignants et les étudiants avaient convenu d’un nouveau mode de financement du fonctionnement de leurs établissements. Les étudiants devaient désormais financer eux-mêmes leur formation en payant des frais qualifiés de « primes de sauvetage ».
Sur le plan institutionnel, le partenariat éducatif répondait à l’impératif de la pérennisation de l’université congolaise menacée de disparition par le désinvestissement de l’État. Dans le vocabulaire de l’époque, il s’agissait de « sauver les années académiques » afin d’éviter de compromettre l’avenir de la jeunesse zaïroise (congolaise).
Sur le plan socio-économique, il a été conçu comme une alternative aux salaires de misère payés irrégulièrement par l’État et un remède à la crise socio-économique qui battait son plein au pays. Politiquement, il s’interprétait comme une résistance populaire contre le pouvoir mobutiste décidé de formater toutes les couches sociales qui en contestaient la légitimité pendant la « transition démocratique », particulièrement les milieux universitaires qui se montraient plus rétifs.
Sans consacrer la privatisation totale de l’enseignement supérieur et universitaire, ce mode de financement a contribué à la survie de l’université congolaise. Il a permis à l’université de « perpétuer la lumière de la science au cœur des ténèbres de la crise congolaise » (Rubbers et Petit, 2009 : 650). Sous ce régime, une importante partie de la forte et croissante demande de la formation universitaire a été épongée, entraînant par-devers lui une prolifération desdits établissements, si bien qu’en 2010, il a été dénombré 1 578 établissements d’enseignement supérieur et universitaire (publics et privés) gérant plus ou moins 200 000 étudiants (MINESU, Rapport d’audit, 2010). Ce mode de financement a, enfin, servi à l’entretien de toute la bureaucratie administrative de l’enseignement supérieur et universitaire congolais et, dans certains cas, à l’érection des infrastructures académiques.
Ainsi, à en croire Willy Bongo-Pasi et Télesphore Tsakala Munikengi (2004 : 99), c’est grâce à l’engagement, au sacrifice, au pragmatisme et au dévouement des professeurs ainsi qu’à l’aide financière des étudiants et de leurs familles que l’université congolaise a été sauvée si bien que, selon les auteurs précités, le système éducatif est parmi les rares services publics du pays qui, pour ne pas disparaître, s’est organisé avec les moyens de bord, sans pour autant trahir sa vocation.
Mais au fil des ans, le déploiement du partenariat éducatif transforme les institutions universitaires, pour parler comme Jean Pierre Olivier De Sardan (1995 : 58-59), en un « marché » et une « arène ». Un marché parce que son institutionnalisation s’est accompagnée de la « vénalisation » de toutes les prestations tant académiques qu’administratives. Une arène parce que ces institutions sont devenues « une scène où s’affrontent divers acteurs sociaux autour d’enjeux de pouvoir, d’influence, de prestige, de notoriété, de contrôle ». Qu’on en juge par la présence de multiples corporations qui ont émergé dans le champ universitaire, s’opposant autour des intérêts divergents sur fond des logiques de castes et revendiquant de nouvelles légitimités.
Ainsi, l’université devient-elle un « lieu d’analyse des logiques et des stratégies sociales et politiques » (Ela, 1990 : 254) des acteurs qui président à sa fonctionnalité au point que, pour paraphraser une fois de plus Jean Pierre Olivier De Sardan (1995 : 59), ni la rhétorique salvatrice, ni les évocations patriotiques – aussi réelles que respectables – ne peuvent occulter la logique marchande et les luttes de pouvoir qui sous-tendent le partenariat. C’est au dévoilement de cette logique et de ces jeux du pouvoir, versant souvent oublié sinon méconnu des analyses institutionnelles, que nous consacrons ces réflexions. Une telle perspective permet, pour emprunter les termes de Laurence Proteau (2002 : 14), de rompre avec les interprétations du sens commun qui attribuent les pénuries du système scolaire à la seule récession économique et de préciser les dynamiques de transformation et/ou de reproduction des institutions en leur sein.
Au fond, l’étude du partenariat éducatif présente un intérêt à plus d’un égard. Elle offre un cadre pertinent d’analyse des changements en cours dans le champ universitaire congolais et de différents problèmes qui le minent. En même temps, elle est révélatrice « des formes de domination à l’œuvre dans toutes les sociétés » (Bianchini, 2004 : 241) et de tous les soubresauts subséquents. Enfin, parce que l’enseignement supérieur n’est qu’un sous-système de la société globale et que sa crise dépasse le seul cadre académique et renvoie à celle de la société tout entière (Verhaegen, 1978 : 6), la compréhension des avatars de l’université à l’ère du partenariat est susceptible de renseigner sur le fonctionnement de l’ensemble des institutions de la société congolaise où les normes pratiques prévalent sur celles juridico-légales.

1.2. VISÉES DE L’ÉTUDE

Nous voulons montrer qu’en dépit de ses effets pervers sporadiquement dénoncés lors des liturgies officielles, le partenariat éducatif en milieu universitaire congolais fait l’objet d’un consensus politique. Aujourd’hui, même si les voix s’élèvent timidement et progressivement pour en dénoncer les méfaits, le partenariat éducatif en milieu universitaire, que d’aucuns croyaient provisoire, continue son bonhomme de chemin. Il s’est imposé comme le mode de fonctionnement qui garantit le déroulement « normal » des années académiques et arrange tous les partenaires éducatifs. Si les enseignants y trouvent une garantie de l’autonomie vis-à-vis de l’État, une stratégie de protection de leur emploi et de résorption des effets de la crise, les étudiants en profitent pour conquérir dans une « médiocrité tranquille et heureuse » (Elikia M’Bokolo, 2007 : 13) des diplômes tandis que l’État se fait la bonne conscience d’être déchargé de ses responsabilités et à l’abri des pressions de la communauté universitaire. C’est la raison pour laquelle les appels renouvelés au début de chaque année académique aussi bien par le gouvernement congolais, les enseignants que par les étudiants et leurs parents, pour abroger ce mode de fonctionnement de l’université, n’ont jamais trouvé un début d’exécution.
Par ailleurs, il s’agit de scruter dans le contexte d’un « État concessionnaire » (Poncelet, André et De Herdt, 2010 : 39), les formes de négociations auxquelles sont soumises les règles institutionnelles au niveau local. Ces règles tout en étant en vigueur, informent moins le fonctionnement des institutions que les normes pratiques qui donnent accès à la rationalité de la praxis dans le champ universitaire congolais.
Cependant, cette ambition aurait peu d’importance, et serait moins instructive, si elle se réduisait à une entreprise pamphlétaire en mettant à nu des « pratiques peu recommandables » du champ universitaire congolais. Ses lettres de noblesse lui viennent du fait qu’elle permet la compréhension du fonctionnement de l’institution universitaire et de consolider les acquis actuels du modèle partenarial pour faire de l’université un véritable fer de lance du développement national.
Ainsi, à l’objectif analytique sus-évoqué s’arrime un objectif opérationnel : interroger l’efficacité, les contraintes et les issues possibles de ce mode de financement de l’enseignement supérieur et universitaire de manière à évaluer les pratiques actuelles et les enjeux du partenariat éducatif ; à formuler des principes susceptibles de l’améliorer et, enfin, à simuler les possibilités et les conditions d’extension du partenariat éducatif à d’autres acteurs étatiques et non étatiques, nationaux et internationaux.
Sous ce double objectif couvent quatre principaux enjeux. Il s’agit, en premier lieu, de produire une réflexion sur le fonctionnement de l’université congolaise afin de comprendre les mécanismes et les bases de reproduction du système éducatif en l’absence des politiques publiques efficaces en matière d’éducation.
En deuxième lieu, il est question d’esquisser un modèle de partenariat dans l’optique de la prise en charge globale des problèmes qui s’accumulent et assaillent l’enseignement supérieur et universitaire congolais.
En troisième lieu, la vulgarisation de ce nouveau modèle de partenariat auprès d’autres établissements d’enseignement supérieur et universitaire pourrait concourir à l’amélioration des conditions de travail et de vie au sein desdits établissements.
Enfin, en quatrième lieu, faire prendre conscience aux uns et aux autres du fait que dans un contexte socio-économique en mutation, le partenariat entre l’université et les différents secteurs est plus que nécessaire pour gagner le pari de l’innovation et de la compétitivité, valeurs cardinales du nouvel espace mondial d’enseignement supérieur et universitaire.

1.3. POSTURE MÉTHODOLOGIQUE

Le regard sur le champ universitaire congolais se projette à partir de l’UNIKIN, la plus ancienne université du pays (créée en 1954), la première en termes des effectifs des enseignants et des étudiants, la première à avoir mis en train le partenariat éducatif au niveau national. L’analyse se base sur une large enquête qui a touché les autorités académiques, les membres des corps académique, scientifique et administratif ; les responsables de différentes corporations ainsi que les étudiants. La démarche est essentiellement qualitative fondée sur des entretiens individuels. Elle prend également appui sur l’exploitation en profondeur des documents ayant trait au partenariat éducatif, à l’évolution de l’université et au cadre d’analyse.
La perspective adoptée dans ce travail est de longue durée à l’effet de relativiser nombre d’impressions et de stratégies discursives très trompeuses produites par l’incessante évocation d’une crise, d’un abandon, d’un âge d’or fondateur, etc. Non pour enchâsser la réalité étudiée dans des catégories abstraites, mais pour l’articuler dans des relations génétiques concrètes qui revêtent inévitablement un caractère individuel propre (Weber, 1985 : 44). Nous remontons ainsi le filon pour repérer les premières traces des pratiques partenariales dès l’aube de l’institution scolaire, puis à la création de l’université congolaise qui s’est réalisée sur fond d’une crise comme en témoignent les analyses de Benoît Verhaegen (1978).

1.4. NIVEAUX D’ANALYSE

L’étude repose sur une approche non normative centrée sur les effets du partenariat et de la « négociation » des services pédagogiques et administratifs. Elle questionne de ce fait deux niveaux.
Le premier relève de la sociologie des institutions universitaires pour en saisir la dimension néo-corporatiste, à travers l’étude de nouveaux acteurs collectifs, leur structuration et leurs rapports avec l’instance étatique. Le second relève d’une sociologie politique visant plutôt à interroger les orientations contemporaines du politique africain à partir des stratégies des acteurs dans les institutions « non politiques » à proprement parler. Il s’agit d’interroger l’approche néo-patrimonialiste reformulée par Jean François Bayart (1989, 2006) autour des notions de « politique du ventre » et « d’instrumentalisation de l’extraversion » en essayant de construire la notion d’« État concessionnaire » dans la foulée d’une problématique qui interroge le mode d’administration des services publics dans les États fragiles (Châtaigner et Magro, 2007).
De la sorte, il sera restitué à l’UNIKIN, en particulier, et à l’enseignement supérieur et universitaire congolais, en général, sa propre historicité souvent occultée par une version locale de l’école dépendantiste qui renvoie toutes les transformations du paysage universitaire aux incursions politiques. Pourtant, c’est à l’aune de cette double détermination que se dévoile le mieux l’intelligence des dynamiques qui affectent le champ universitaire congolais.
Ce positionnement heuristique interdit donc d’envisager la contribution des usagers sans référence à d’autres éléments de contexte ou de stratégie comme l’absence de capitalisation susceptible de garantir les retraites des professeurs, la « panne » du renouvellement académique et la quasi-disparition d’une sanction du diplôme par le marché de l’emploi formel lui-même effondré2, l’autonomisation des administrations assurant leur propre reproduction en l’absence des politiques publiques efficaces.

1.5. FILIATION THÉORIQUE

Les concepts structurants de l’étude ont été empruntés à la fois aux dispositifs théoriques bourdieusiens (champ, capital, marché) et desardiens (marché, arène). Leur usage simultané appelle des justifications pour vider d’entrée de jeu les malentendus dans l’appréhension des argumentations développées aux différents stades de l’analyse.
Sans ignorer la différence des sensibilités paradigmatiques auxquelles ils renvoient, nous avons assigné à ces concepts le même statut heuristique dans la construction de cette étude. Ainsi, nous conférons la même portée sémantique aux concepts champ et arène dans une perspective plus souple pour indiquer à la fois les rapports de force du champ universitaire et les espaces de négociations et de contournement de la domination exploités par les acteurs sociaux. De même, le concept de marché est utilisé, dans son acception desardienne, pour désigner l’espace où circulent et se commercialisent les biens matériels et symboliques et, au sens bourdieusien, pour mettre en évidence les investissements nécessaires au captage et à la rentabilité de quatre ordres de capital : économique, social, culturel et symbolique.
Cette triangulation nous a paru plus enrichissant que ne le seraient les deux paradigmes considérés indépendamment. Elle nous a permis de nous mettre en garde contre l’appréhension plus contraignante des structures (hiérarchies académiques) tel qu’il peut résulter d’une application mécanique de la théorie du champ dans sa version bourdieusienne, de même qu’elle nous prévient contre une inclinaison à une conception trop labile des cadres institutionnels (certains parlent de la société liquide) très ouverte à toutes les stratégies d’acteurs telle que laisserait penser une interprétation malencontreuse de la perspective desardienne.
De même, elle offre l’avantage de privilégier une approche processuelle et factuelle du fonctionnement de l’institution universitaire ici considérée, à savoir : l’UNIKIN. C’est donc fort de ce mixage que nous avons déniché les logiques sous-jacentes au partenariat éducatif dans le champ universitaire congolais. Au clair, il s’agit de relever les effets de ce qu’Antony Giddens appellerait la dualité du structurel en éclairant les contraintes que la faillite des institutions un...

Table des matières

  1. Couverture
  2. 4e de couverture
  3. Dans la même collection
  4. Titre
  5. Copyright
  6. LISTE DES SIGLES ET ACRONYMES
  7. PRÉFACE
  8. ÉPIGRAPHE
  9. CHRONOLOGIE DES ÉVÉNEMENTS POLITIQUES ET ÉDUCATIFS
  10. AVANT-PROPOS
  11. Chapitre 1. RESSORTS ET ENJEUX DE L’ÉTUDE
  12. Chapitre 2. TRAJECTOIRES ET PRATIQUES DU PARTENARIAT ÉDUCATIF EN RDC
  13. Chapitre 3. MARCHANDISATION DES SERVICES PÉDAGOGIQUES, ACADÉMIQUES ET ADMINISTRATIFS À L’ÈRE DU PARTENARIAT ÉDUCATIF
  14. Chapitre 4. L’ARÈNE ACADÉMIQUE KINOISE1
  15. Chapitre 5. PERSPECTIVES POUR LE PARTENARIAT À L’UNIKIN
  16. CONCLUSION GÉNÉRALE
  17. BIBLIOGRAPHIE
  18. TABLE DES MATIÈRES