Les 20 plus gros bides de la presse française
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Les 20 plus gros bides de la presse française

Histoire des journaux éphémères ou mort-nés 1977-2015

  1. 230 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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Les 20 plus gros bides de la presse française

Histoire des journaux éphémères ou mort-nés 1977-2015

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Informations

Année
2016
ISBN de l'eBook
9791030201826

1. BILD FRANÇAIS : CINQ ANS TROP TARD !
(SEPTEMBRE 2006-AOÛT 2007)

Le projet de lancement en 2006-2007 d’une édition française du tabloïd allemand Bild-zeitung est la dernière tentative de sortie d’un grand journal populaire dans l’Hexagone. Outre Rhin, le titre d’Axel Springer doit son nom (Image dans la langue de Goethe) à son côté très visuel. Le second quotidien européen (après The Sun) vend 3,8 millions d’exemplaires à l’époque. En France, 600 000 exemplaires sont prévus, à un prix de 50 centimes : du jamais vu ! Dès 1975, les majors françaises des médias, Hersant et Hachette, ont caressé le rêve de faire émerger une troisième voie entre le poussiéreux Parisien libéré et le ringard France soir. Le quotidien d’Emilien Amaury, qui a subi de 1975 à 1977 la plus longue grève de l’histoire de la presse française (18 mois), a eu le plus grand mal à se remettre d’un mouvement ultra-violent mené de bout en bout par le syndicat du Livre CGT. Il est resté convalescent et a vu sa diffusion s’effondrer. Le Parisien libéré, qui approchait les 700 000 exemplaires en 1975, n’en vend plus qu’à peine la moitié deux ans plus tard. Il ne les récupèrera jamais, car les lecteurs ont perdu le chemin du kiosque et n’y reviendront plus. Philippe, le fils d’Emilien, a repris en 1983 les rênes d’un groupe qui compte également parmi ses pépites le quotidien sportif L’Equipe et Le Tour de France. Son père, qui a tenu bon face à la CGT, est mort en 1977… d’une chute de cheval. France soir a lui aussi perdu de sa superbe. Les 2,3 millions d’exemplaires vendus le 9 novembre 1970 à l’occasion de la mort du Général de Gaulle sont désormais un lointain souvenir. L’ancien quotidien dirigé par Pierre Lazareff, qui diffuse encore à 400 000 exemplaires au milieu des années 80, a commencé sa descente aux enfers. Elle s’achèvera en juillet 2012. Son dernier propriétaire, Alexandre Pugachev, fils d’un oligarque russe proche de Vladimir Poutine, a stoppé l’édition papier en décembre 2011. Le journal ne vendait plus que 30 000 exemplaires par jour. Six mois plus tard, le site Internet subira le même sort. Robert Hersant, qui détiendra France soir jusqu’en 1998, a toujours considéré la marque populaire comme obsolète et tente, en 1975, d’en dégainer une nouvelle. Ce sera le projet Paris star, tué dans l’œuf par le rachat du Figaro. A Levallois Perret, de l’autre côté du périphérique parisien, on s’active aussi chez Hachette Filipacchi Médias (HFM). Son patron de l’époque, Gérald de Roquemaurel, lance en 1986 le projet Omega. Numéro 1, son futur quotidien, complèterait l’un des fleurons du groupe, Le Journal du dimanche. Les deux chantiers, avortés avant d’être sortis de terre, se solderont par des échecs cinglants. Ils calmeront les ardeurs de lancements de quotidiens dans l’Hexagone pendant deux décennies, à l’exception d’InfoMatin et, bien plus modestement, de La Truffe et du Jour. Il fallait l’enthousiasme et l’esprit d’entreprise d’un éditeur outre-Rhin pour relancer un projet industriel de grand journal populaire en France au milieu des années 2000. L’affaire semble cette fois si sérieuse que les éditeurs hexagonaux se liguent contre lui. Pas question de se faire tondre la laine des annonceurs et des lecteurs sur le dos. Amaury, dont les deux quotidiens, Le Parisien et son édition nationale, Aujourd’hui en France, seront inévitablement les plus touchés face à Bild, dégaine une nouvelle fois un contre-feu au nom évocateur de Kill Bild. Aujourd’hui en France était déjà la réponse du groupe familial face au lancement en 1992 d’InfoMatin. Les barons de la presse régionale font également tout pour saboter le projet. Car Bild a immédiatement affiché des ambitions locales, propre à grignoter leurs prébendes. De Bordeaux, à Marseille, de Strasbourg à Lille, des salons feutrés des grands quotidiens régionaux aux imprimeries de presse de la région parisienne, bastions du Livre CGT, en passant par le ministère de la culture rue de Valois, l’émoi est à son comble. Ces diables d’allemands risquent d’une part d’exporter dans l’Hexagone un quotidien d’un genre entièrement nouveau, car avant tout basé sur la photo et les histoires qui en découlent. S’ils le taxent par principe de populiste, les éditeurs français ont surtout peur de voir leurs ventes décrocher. La venue de Bild pourrait d’autre part faire exploser le système de la distribution. A côté des Nouvelles messageries de la presse parisienne, devenues Presstalis en 2009, qui ont le monopole de fait de la diffusion des quotidiens nationaux, axel Springer compte utiliser dans l’Hexagone son propre réseau de points de vente de grandes et moyennes surfaces (GMS). Voire se servir des boulangeries et autres magasins d’alimentation pour vendre Bild. Impensable pour les patrons et ouvriers de la presse. Malgré leurs intérêts divergents, ils sont pour une fois unis face à l’intrus, afin de défendre une architecture de la presse obsolète, héritée de l’après-guerre.
***
Depuis 1981, axel Springer détient en France à l’époque un petit groupe méconnu de presse magazine bas de gamme, Publications grand public (PGP). Ce dernier publie des titres consacrés à la télévision, Télé magazine, à la santé, Vie pratique santé, ou encore à la cuisine, Vie pratique gourmand, vendus uniquement en GMS. Le mode de distribution, sans doute moins qualitatif et étendu que le réseau classique des quelque 30 000 marchands de journaux de l’Hexagone, a au moins deux vertus. Non seulement, son coût est moins onéreux, mais encore il permet de passer entre les gouttes des grèves, fréquentes dans la presse. En gestionnaire prudent, le sanglier allemand a pris ses précautions face à l’indiscipliné coq gaulois, toujours prêt à défiler dans la rue pour défendre ses acquis. La donne va changer avec le lancement en 1999 et 2002 par axel Springer des mensuels de Men’s health et Bien dans ma vie. Ces derniers sont diffusés en kiosques et permettent aux équipes de se former à cette alchimie délicate. Pour diffuser Bild, le président du groupe Mathias Döpfner et son adjoint Andreas Wiele, envisagent donc tout naturellement de faire cohabiter les deux réseaux et d’y ajouter des points de ventes supplétifs. L’échec en 1991 de Claro, la version espagnole du Bild, a certes laissé un mauvais souvenir aux deux dirigeants d’axel Springer. Fact, lancé à Varsovie en 2005, sera au contraire un succès. Pourquoi ne pas tenter l’expérience sur un territoire bien plus riche que La Pologne : La France. La personnalité du patron de leur filiale hexagonale les rassure de surcroît. Il leur semble l’homme idoine pour relever un tel challenge. Rémi Dessarts, qui a succédé en 2001 à Francis Morel (actuel PDG des Echos) à la tête de PGP, est une ancienne star de l’écurie Prisma presse. Au sein de cet autre géant allemand implanté en France, il a lancé en 1991 le mensuel économique à succès Capital avant de se voir confier le redressement de VSD cinq ans plus tard. Le patron de Prisma, Axel Ganz, vient de reprendre l’hebdomadaire à Jean-Dominique et François Siegel, les deux fils du fondateur du titre, Maurice, mort en 1985. Dessarts connaît à la fois la presse grand public et le marché des kiosques, où Prisma excelle depuis le lancement de Géo en 1979. Il ignore tout en revanche des arcanes de la presse quotidienne, lui l’homme de magazines. Didier Pourquery, à l’époque patron de la rédaction du jeune gratuit Métro, viendra pallier cette défaillance. Les deux journalistes se sont connus après l’aventure du quotidien InfoMatin. Quand Dessarts lui propose de le rejoindre et de devenir rédacteur en chef du projet Bild, Pourquery dit « banco ». Ils formeront le duo de tête d’une rédaction composé en juillet 2006 de deux maquettistes chevronnés et… d’eux-mêmes. La petite équipe s’installe dans des bureaux discrets, rue Pasquier, à deux pas des Champs-Elysées parisiens. Pas de plaque signalétique apposée en bas de l’immeuble, aucune information ne doit filtrer au dehors, surtout dans les médias. A bord du Bild français, attendu au bazooka par la concurrence qui ne s’est pas gênée pour taxer le futur quotidien de tabloïd de caniveau, c’est la paranoïa ! Dans quelques mois, lorsque la rédaction, étoffée, commencera à fournir des pages, les numéros zéros seront numérotés et enfermés dans un coffre-fort. Une mesure de précaution salutaire. Les cambrioleurs, qui, curieusement forceront la porte du Bild en janvier 2007, ne mettront la main que sur des ordinateurs sans données stratégiques.
Avant d’en arriver à la production, même fictive, Dessarts et Pourquery, ont évidemment fait le voyage au siège de la maison mère, à Hambourg. Ils sont frappés par le fonctionnement du quotidien. Contrairement à la plupart des autres titres européens, à l’exception des tabloïds britanniques, Bild est construit à partir des photos. Le texte vient ensuite raconter des histoires autour de ces images. « La conférence du matin était impressionnante, se souvient Didier Pourquery, qui visitera dans la foulée l’édition de Berlin et celle de Fact à Varsovie. A la rédaction centrale de Hambourg, le rédacteur en chef, escorté de son adjoint, fait le tour d’une immense table et choisit les clichés retenus, scrupuleusement rangés ensuite dans un classeur ». Le rayonnement de Bild, à la fois national et multi-régional, est l’autre particularité du journal. Les quelques 1000 journalistes de « la grosse Bertha » arrose ainsi quotidiennement l’ensemble du territoire allemand avec 25 éditions différentes au total. Toutes ont un fort tropisme pour le sport et les faits divers. Depuis sa création en 1946, axel Springer n’a jamais cessé d’inventer et de réinventer la presse populaire. Le groupe a toujours intégré son lecteur dans le processus d’information, alors que les médias français continuent à pratiquer l’interactivité du bout des lèvres en 2015. Ainsi, dès que les smartphones sont apparus au milieu des années 2000, le tabloïd a compris tout le parti qu’il pouvait en tirer. Il a aussitôt demandé à ses lecteurs de lui envoyer les photos réalisées à partir de leur portable. Il a même créé dans la foulée une agence de vente de ces clichés. La Success story de Bild, qui reste d’actualité, est enfin due au refus germanique des gratuits. Face au géant norvégien Schibsted (20 minutes) et à son homologue suédois Métro, éditeur du quotidien éponyme, les éditeurs allemands ont immédiatement opposé une résistance farouche. Les deux intrus ont finalement abandonné le terrain. 20 minutes s’implantera dans la foulée en Suisse alémanique. Rien à voir toutefois avec les perspectives publicitaires des grandes villes allemandes, munich, Hambourg et Berlin notamment.
Task force
Rentrée 2006. Les deux managers français rentrent donc remontés à bloc de leur voyage outre-Rhin et commencent à constituer leur équipe. Rémi Dessarts et Didier Pourquery ont carte blanche et un budget (presque) illimité. L’actionnaire est prêt à injecter plus de10 millions d’euros pour assurer le lancement. Ils vont débaucher quelques-uns des meilleurs journalistes et graphistes de la capitale pour mettre en musique le futur Bild français. Rapidement la troupe s’installe. Elle est composée de 25 journalistes et d’une dizaine de salariés sur les fonctions administratives et commerciales. Thierry Soave, patron de la rédaction de l’hebdomadaire automobile grand public Auto plus, arrive pour épauler Pourquery en tant que directeur adjoint de la rédaction. Fabrice Jouhaud a quitté le Centre de formation des journalistes, dont il est le directeur, pour rejoindre aussi l’aventure. L’ancien patron de la rédaction de L’Equipe pilotera les pages, ultra-stratégiques, consacrées au sport. Nadia Lebrun, ex rédactrice en chef de l’éphémère hebdomadaire people Bon week, cornaquera l’actualité des stars. Jacques Collin, un ex de Voici, est l’un des membres de son équipe. La politique est confiée à Christophe Deloire, ancien journaliste au Point et actuel directeur de l’oNG Reporter sans frontières (RSF). L’économie tombe, elle, dans le giron de Patrick Coquidé, ancien de La Lettre de l’Expansion. Deux poids lourds de la profession accompagnent également le projet côté technique. Joseph Maggiori, ancien directeur artistique de L’Express, rejoint la rue Pasquier comme patron de la maquette. Jean François Dessaint qui vient du Figaro, chapeautera la photo. Bild est par ailleurs parvenu à débaucher la directrice commerciale de 20 minutes France. Laurence Bridier fait elle aussi partie de la task force. Dans la grande tradition de Prisma presse, cette dernière commence sans attendre à réaliser les pages à la chaîne !
Rémi Dessarts s’attaque lui aux questions logistiques, à l’impression et à la distribution. Il rencontre rapidement l’homme sans qui aucun quotidien national ne peut être tiré en France. Bernard Riccobono. Le magnat de l’imprimerie a trois atouts clés en main pour un titre comme Bild. En premier lieu, ses rotatives tirent des journaux de bonne qualité. Le rendu des photos est notamment optimal chez Riccobono, contrairement à d’autres usines. D’autre part, la dizaine de sites du groupe irrigue l’ensemble du territoire. Pas question de refaire l’erreur d’InfoMatin 10 ans plus tôt. Le quotidien d’André Rousselet a été tué, notamment, à cause des coûts de distribution. Enfin, la paix sociale règne chez Riccobono où une sorte de « Gentlemen agreement » perdure depuis une décennie avec la CGT. Chez l’imprimeur, pas ou peu de grève : axel Springer applaudit. Côté distribution, l’équation est nettement plus compliquée à résoudre. Si l’Allemagne compte environ 70 000 points de vente de presse, le réseau des Nouvelles messageries de la presse parisienne en propose moins de la moitié. Avec le réseau de supermarchés des Publications grand public, on arrive péniblement à 30 000 kiosques. C’est bien trop peu pour permettre la diffusion du Bild dans de bonnes conditions. Il reste une solution : les points supplétifs (boulangeries, épiceries, cafés, etc.) utilisés directement par la presse quotidienne régionale sans passer par les NmPP. Ancien vice-président de M6, Robin Leproux entre dans la boucle en janvier 2007 et devient président d’axel Springer France. Avec le directeur général, Rémi Dessarts, le duo engage un tour de France des quotidiens régionaux. Objectif, les convaincre de mettre à disposition leur réseau « maison ». L’accueil est plutôt frais. Les groupes de PQR...

Table des matières

  1. Couverture
  2. 4e de couverture
  3. Copyright
  4. Titre
  5. Dédicace
  6. PRÉFACE – SOMBRE PALMARÈS, MAIS GUTENBERG N’EST PAS MORT !
  7. INTRODUCTION
  8. 1. BILD FRANÇAIS : CINQ ANS TROP TARD ! (SEPTEMBRE 2006-AOÛT 2007)
  9. 2. UN BAZAAR NOMMÉ HARPER’S (JUIN-DÉCEMBRE 2013)
  10. 3. IL : N’EST PAS ELLE QUI VEUT (MARS-DÉCEMBRE 1999)
  11. 4. INFOMATIN : VIE ET MORT D’UN OVNI DE PAPIER (1994-1996)
  12. 5. LE WASHINGTON POSTÀ LA FRANÇAISE FAIT PSCHITT (SEPTEMBRE-DÉCEMBRE 1977)
  13. 6. POURQUOI LA TRUFFEA MANQUÉ DE NEZ (OCTOBRE-NOVEMBRE 1991)
  14. 7. LE JOUR LE MOINS LONG (MARS À NOVEMBRE 1993)
  15. 8. FLOPS EN STOCK POUR CLAUDE PERDRIEL (LE NOUVEAU CINÉMA SEPTEMBRE 1999-OCTOBRE 2000) (TRIBA SEPTEMBRE-NOVEMBRE 2001)
  16. 9. QUAND EMMANUELLI JOUAIT AU PATRON DE PRESSE (17 AU 28 NOVEMBRE 1997)
  17. 10. LE SPORT BATTU À PLAT DE COUTURE PAR L’EQUIPE (SEPTEMBRE 1987-JUIN 1988)
  18. 11. LES DEUX VIES RATÉES DE L’EUROPÉEN (MARS 1998-JANVIER 1999 – JUIN-SEPTEMBRE 2009)
  19. 12. MAGAZINE HEBDO : HARO SUR LA GAUCHE ! (1983-1985)
  20. 13. NEWBIZ : LA BULLE INTERNET M’A TUER (JUIN 2000-2002)
  21. 14. OMEGA : HACHETTE RATE SON EUROPE 1 DE PAPIER (NOVEMBRE 1986-DÉCEMBRE 1987)
  22. 15. OH LA ! ET ALLO : LA GUERRE DES PEOPLE EST DÉCLARÉE (OCTOBRE 1998-JUILLET 2005)
  23. 16. PARIS HEBDO : JLSS N’A PAS TOUJOURS EU LA BARAKA (9 JANVIER AU 30 MARS 1980)
  24. 17. QUO : LA CORRIDA D’HACHETTE TOURNE AU FIASCO (OCTOBRE 1996-JANVIER 2001)
  25. 18. TÉLÉMAX : 13 PETITS NUMÉROS ET PUIS S’EN VA(MARS-MAI 1998)
  26. CONCLUSION
  27. Cahiers photos