La parole et la topologie
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La parole et la topologie

Pourquoi et comment la parole implique-t-elle la topologie ?

  1. 180 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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La parole et la topologie

Pourquoi et comment la parole implique-t-elle la topologie ?

À propos de ce livre

"Qu'elle se veuille agent de guĂ©rison, de formation ou de sondage, la psychanalyse n'a qu'un mĂ©dium: la parole du patient. L'Ă©vidence du fait n'excuse pas qu'on le nĂ©glige. Or tout parole appelle rĂ©ponse » (Écrits, p. 247). Il n'y a de vĂ©ritable rĂ©ponse que dans l'autrement dit et l'autrement entendu. « Qu'on dise reste oubliĂ© derriĂšre ce qui se dit dans ce qui s'entend » (Autres Écrits, p. 449). L'autrement dit et entendu implique le dire oubliĂ©, enjeu de la topologie.

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Informations

Éditeur
EME Editions
Année
2012
ISBN de l'eBook
9782806607294

Discussion

CH. Est-ce qu’on pourrait dire que ce point-lĂ  de sidĂ©ration de l’ab-sens correspondrait au moment oĂč un point de capiton est touchĂ© ?
CF. Dans quel sens ?
CH. Dans l’analyse, dans la sĂ©ance.
CF. Je pense que le terme de point de capiton est ambigu. Et je pense que ta question implique cette ambiguĂŻtĂ©. Le point de capiton, on peut le comprendre comme le point de capiton qui se joue Ă  la fin d’une phrase oĂč la phrase trouve son sens et sa signification dĂ©finitive, alors qu’ici, dans la façon dont tu introduis les choses, ce serait plutĂŽt le point de capiton oĂč le sens s’écroule.
CH. Il y a un vide, une sorte de vide.
CF. Oui, c’est ça.
MD. C’est un dĂ©capitonnage.
PN. Hier, Christian, tu parlais de la parole neutre, et je me souvenais de ce que chez Blanchot, puisque ça venait de lĂ , le neutre est, Ă  la fin de son Ɠuvre, associĂ© Ă  trois autres termes (parce que ce n’est pas seulement la parole neutre, c’est d’abord le neutre, et puis il y aura de la parole neutre, mais depuis la question du neutre). Et les trois autres termes sont — et ça rejoint, je pense, l’espace que tu essaies d’ouvrir lĂ  — le dĂ©sastre, le dĂ©soeuvrement et le dehors. Il y a toute une construction de l’espace littĂ©raire blanchotien sur ces quatre termes-lĂ  : le neutre, le dehors, le dĂ©soeuvrement et le dĂ©sastre, et quand est-ce que la parole ne nous protĂšge pas de ça ? Mais au contraire, quand est-ce que la parole, l’exercice de la parole nous expose Ă  ça ? Nous expose Ă  autre chose ? Donc une parole qui ne fait pas Ɠuvre, une parole qui ne fait pas astre, qui ne fait pas intĂ©rioritĂ©, qui ne fait pas non plus diffĂ©renciation et ne nous introduit pas Ă  une logique de la contradiction.
CC. Ce que Pascal vient de dire par rapport Ă  ce que tu disais ce matin, ça me fait Ă©galement penser que, dans l’opĂ©ration que tu montres, il y a la transformation entre une surface qui contient un intĂ©rieur qui est un intĂ©rieur absolu, c’est-Ă -dire complĂštement sĂ©parĂ© de l’extĂ©rieur et une autre surface oĂč il y a une certaine ouverture qui devient possible, donc qui est effectivement la bande de Moebius et puis la construction du cross-cap. C’est ce point oĂč moi je serais d’accord avec le terme de capiton, c’est-Ă -dire oĂč il y a quelque chose de l’ordre de cet ab-sens qui d’une certaine maniĂšre se donne Ă  Ă©prouver, mais ce qui me paraissait intĂ©ressant par rapport Ă  la question du dehors, c’est qu’il y a une Ă©quivalence par rapport Ă  une certaine ouverture.
CF. Au fond, le dehors de Blanchot ne serait naturellement pas le dehors ordinaire.
PN. Ah oui, voilĂ  ! Avec la remarque : et si on continue lĂ -dessus, parce que tu dis l’idĂ©e, l’idĂ©e comme invisible, oui et non, parce que l’idĂ©e, c’est peut-ĂȘtre mĂȘme la visibilitĂ© par excellence. Eidos, c’est le voir absolu, le voir de l’idĂ©e. Et pour tenir ton propos, alors il faut s’intĂ©resser davantage Ă  la question de la nĂ©gation, c’est ça et c’est pas ça, et au fond tu proposes d’ouvrir, ce qui me paraĂźt tout Ă  fait freudien et lacanien, d’ouvrir l’espace de la question, mais qu’est-ce que c’est qu’une nĂ©gation qui n’est pas dialectique ?
CH. Vous me faites beaucoup penser Ă , chez Lewis Carroll on est en permanence dans cette question du non-sens, mais qui est un dĂ©sastre Ă  chaque fois en fait. C’est presque la question de la sidĂ©ration comme tu le disais, Christian, j’entendais tout de suite le terme de dĂ©sastre tout Ă  l’heure, c’est-Ă -dire Ă  chaque fois qu’il y a notamment le « et » et le « pas », autant ce que dit la Reine rouge, la Reine blanche, etc., et on a l’impression qu’à chaque fois, c’est des microdĂ©sastres qui se prĂ©sentent et que, Ă  chaque fois, Alice est Ă©jectĂ©e de quelque chose, c’est-Ă -dire elle serait toujours mise dehors, en dehors de quelque chose et, Ă  ce moment-lĂ , il faut recoller et j’ai l’impression que Lewis Carroll savait sans le savoir, sans le savoir au sens analytique.
JMV. Il Ă©crit dans une fiction, il fait de la logique d’un cĂŽtĂ© et il Ă©crit Alice
 c’est de la littĂ©rature, c’est un artifice qu’il prend pour introduire, justement, tout ça : c’est des modalitĂ©s. J’ai proposĂ© d’appeler ça, Ă  partir de Lacan, des « modifications », parce que ce n’est pas les mĂȘmes modalitĂ©s que celles des logiciens quand ils parlent de logique modale d’Aristote et des stoĂŻciens. Lacan nous explique comment, lui, il introduit la modalitĂ© en logique. Il dit ça dans Les non-dupes errent. C’est la septiĂšme leçon des Non-dupes errent, et lĂ , il dit comment Aristote dĂ©rape dans De l’interprĂ©tation. C’est connexe Ă  ce qu’il dit dans la derniĂšre leçon de L’identification, oĂč il parle de Blanchot justement. Il dit qu’Aristote a une notion d’Universel qui vient du fait que tout ce qui n’est pas hĂ©risson est pour lui non hĂ©risson.
Lacan il note ça, et oppose Ă  ça : « tout ce qui brille n’est pas en or » ; c’est ce qu’il choisit comme exemple pour s’opposer Ă  Aristote. Mais il dit une chose extraordinaire, il dit : « ça fait qu’Aristote, du coup, a une certaine notion d’universel qui le conduit Ă  considĂ©rer que le dieu de la nature, le grand Pan, sait lire ; c’est encore vrai de Kant, qui a dit que toute la logique Ă©tait sortie toute faite de la tĂȘte d’Aristote ».
Goethe ramasse le crĂąne sur le Lido de Venise et dit que, quand il l’a ramassĂ© et regardĂ©, tout Wilhelm Meister est sorti tout Ă©crit de ce crĂąne. Ça c’est le ruissellement, c’est la rupture du semblant, il y a des gens, Proust par exemple, il se met au lit et il Ă©crit jusqu’à la mort, rupture du semblant, lĂ .
Notre Ă©pistĂ©mologie, notre philosophie est nĂ©o-kantienne et prĂ©-hĂ©gĂ©lienne ; nous sommes dans un monde plutĂŽt Ă©pistĂ©mologiquement jungien, c’est-Ă -dire avec la magie ; et c’est Freud qui reprĂ©sente la raison par rapport Ă  ça. Et c’est pour ça que Lacan dit, dans Les non-dupes errent, qu’il faut nous montrer comment faire rentrer la modalitĂ©. Comment passer de la logique syntaxique, avec nĂ©gation, Ă  la question de dessiner des ronds, passer Ă  des diagrammes ? Le point de capiton, c’est un trĂšs bon exemple, il y a la bande de Moebius. La premiĂšre fois qu’il en parle, c’est dans ProblĂšmes cruciaux pour la psychanalyse, deuxiĂšme leçon, en relation avec le S1 S2 (schĂ©ma L), c’est une surface bilatĂšre, le tore, la transformation en tore feint, la feinte, il appelle ça le tore pliĂ©, la bande de Moebius feinte, ça c’est une feinte, et quand on la coupe, et qu’on la recolle, ça devient une bande de Moebius vraie. Il commence, tout de suite aprĂšs Les quatre concepts, Ă  l’École normale, et Ă  l’École normale chaque annĂ©e, il fait une leçon sur cette question. Dans L’objet de la psychanalyse, il consacre toute la leçon – je m’en souviens parce que c’est mon anniversaire le 12 janvier ! — ’66, donc il fait le 12 janvier un exposĂ©, L’objet de la psychanalyse, le 5 fĂ©vrier dans La logique du fantasme et, lĂ , il l’appelle « involution signifiante », et il dĂ©finit cette involution signifiante : « c’est la copule qui unit l’identique avec le diffĂ©rent ». Alors, pour montrer la question de la logique des diagrammes d’Euler-Venn et des diagrammes, je vous propose un petit exercice extrĂȘmement simple qui va vous montrer ce qu’il y a derriĂšre le point de capiton de Lacan, c’est un truc qu’il n’a pas dĂ©veloppĂ©, je ne comprends pas pourquoi, c’est d’une richesse incroyable, et il y a effectivement de l’évidement, du vide, on peut le lire comme capitonnage aussi bien que comme dĂ©capitonnage et je vais vous montrer comment.
Quelle est la diffĂ©rence qu’il y a entre les diagrammes, entre deux disques qui sont disjoints, et les diagrammes d’Euler-Venn oĂč il y a une intersection ? Lacan s’intĂ©resse Ă  ça en tant que ça bouge. Donc s’il fait bouger ça, il peut superposer les deux disques. Et il peut mĂȘme faire rentrer l’un dans l’autre, ici, entre ces deux-lĂ  il y a le point de capiton, parce qu’avant de faire rentrer l’un dans l’autre, on peut les faire ĂȘtre tangents, ça c’est le point de capiton du graphe, c’est la tangence. Les deux disques, on peut les faire rentrer l’un dans l’autre de cette maniĂšre-lĂ , une intersection a deux points comme dans le diagramme d’Euler-Venn, ensuite on peut avoir ce type de capitonnage-lĂ , il y en a un qui est tangent Ă  l’autre et puis Ă  la fin on peut les avoir comme ça bien sĂ©parĂ©s. Ça, c’est de la gĂ©omĂ©trie, c’est un mouvement des disques l’un par rapport Ă  l’autre, ils sont lĂ , les disques, vous pouvez prendre des disques en carton, ou en plastique, et il fait ça avec des disques trouĂ©s de couleur. Ceci va nous conduire Ă  une nouvelle lecture du schĂ©ma L et du schĂ©ma R et mĂȘme du schĂ©ma I de Schreber, avec les disques trouĂ©s. C’est un truc qui vient lentement. Mais comment peut-on rendre ça Ă  la maniĂšre d’Euler-Venn-Caroll (parce que Caroll a aussi fait des schĂ©mas comme ça) ? Euler, Venn, Caroll. On peut faire un dessin d’Euler-Venn pour chacune des Ă©tapes, pour la premiĂšre Ă©tape ici il n’y a pas d’intersection. Une Ă©criture algĂ©brique de Boole nous permet d’écrire cette petite gĂ©omĂ©trie des disques qui se superposent et ces diagrammes vont nous conduire Ă  une lecture des schĂ©mas de Lacan. Donc petit Ă  petit, on s’aperçoit qu’il y a quelque chose qui se tisse chez Lacan du fait que les dessins de graphe, de surface, ensuite avec la bande de Moebius et les nƓuds, c’est une Ă©criture diagrammatique. Il n’est pas seul Ă  faire ça. C’est ce que font les mathĂ©maticiens, c’est devenu trĂšs net depuis 1945, avec la thĂ©orie des catĂ©gories. RenĂ© Guitart qui est catĂ©goricien, et Grothendieck en France ; le premier article, c’est Eilenberg et Mac Lane, deux AmĂ©ricains qui ont Ă©crit un article sur la maniĂšre de faire de l’algĂšbre. Tu parlais des petites lettres de l’algĂšbre. Les algĂ©bristes, ce sont des gens qui auraient tendance Ă  rĂ©duire la topologie Ă  l’algĂšbre ; mais il y a toujours un grain de topologie qui rĂ©siste, c’est pas ça. D’ailleurs, Lacan ne dit mĂȘme pas « c’est pas ça » ; il dit « c’est ça, mais Ă  la gomme jamais aux petits oignons ». C’est une autre formule. Je pense que le sexe c’est ça, mais Ă  la gomme jamais aux petits oignons, c’est-Ă -dire que c’est toujours ratĂ©, mais c’est ça quand mĂȘme, c’est d’ailleurs pour ça que c’est youpie ! On peut dĂ©nigrer le sexe, comme le fait remarquer Freud, dĂ©gradation de la vie sexuelle chez l’homme, on dit que c’est des saloperies, c’est obscĂšne, etc., parce que c’est ça, mais Ă  la gomme, c’est jamais aux petits oignons, mais c’est ça quand mĂȘme. Bon. C’est pour ça qu’il y a un rejet de la jouissance.
Je suis d’accord, je suis trĂšs surpris que tu notes que le terme de dĂ©sir disparaisse du discours lacanien et chez ses hĂ©ritiers ; c’est Ă©vident, on ne parle plus du dĂ©sir, on ne parle que de la jouissance d’une maniĂšre nĂ©gative pour l’exclure. Or moi, je suis dĂ©solĂ©, mais le dĂ©sir, la structure du dĂ©sir et la jouissance, ça a Ă  voir avec cette involution signifiante. Avec cette copule qui unit l’identique avec le diffĂ©rent. Quelque chose qui va donner toujours « c’est ça, mais Ă  la gomme ». Ça, c’est trĂšs intĂ©ressant parce que vous voyez, ceci, on peut considĂ©rer que c’est le point de capiton, dĂ©jĂ  parce que si cette zone-lĂ , mĂ©diane, vous la mettez (en gros) comme ça, vous la mettez comme un cercle et que vous avez l’autre partie ici du dessin, cette zone, un cercle et ce cercle vous le rĂ©duisez Ă  un point, Ă  un gros point, lĂ  vous avez la tangente. En logique, il n’y a pas d’intersection non (p et q), ça veut dire vous hachurez, vous videz ça. C’est vide, au sens ensembliste par exemple. Quand c’est disjoint, quand ça capitonne, c’est la mĂȘme chose. En logique, ça s’écrit pareil. Il n’y a pas d’intersection. Parce que s’il y a une intersection ici, ici il y a p et non p, p et q et dans les deux ronds comme ça p et q sont prĂ©sents dans l’intersection, l’intersection est prĂ©sente, mais ceux-lĂ , elle est absente. Mais par contre, si vous repassez ici, qu’est-...

Table des matiĂšres

  1. Introduction
  2. La parole neutre
  3. Discussion
  4. Exercice de lecture
  5. Discussion
  6. Des raisons de la topologie
  7. Discussion
  8. De la connexité
  9. Discussion
  10. Que vient faire la topologie ?
  11. Discussion
  12. Annexe Ă  la communication de Cyril Veken
  13. Dans la collection « Lire en Psychanalyse »