La loi des seigneurs
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La loi des seigneurs

  1. 336 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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La loi des seigneurs

À propos de ce livre

Ce document, basé sur les éléments d'un dossier judiciaire et médiatique complexe, rapporte la quotidienneté violente parfois pathétique, d'une affaire qui a amené l'un des géants de la bande dessinée, Albert Uderzo, à connaître une situation qu'aucun druide n'aurait pu prédire. Ce que Jules César n'avait pas réussi, des acteurs industriels, protégés par de larges réseaux d'influence, l'ont fait: le village d'Astérix n'appartient plus à ses créateurs.

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Informations

Année
2014
ISBN de l'eBook
9782368473689

ÉPISODE 1

CITATION DIRECTE
QUAND LA JUSTICE ENTRE DANS LE PLAN DE COM’
Il est quinze heures le lundi 2 décembre 2013, lorsque mon mobile résonne. Nicolas Huc-Morel, notre avocat, cherche à nous joindre… Y aurait-il du nouveau dans notre vaste dossier que l’on tente de présenter, depuis quelques années, comme opposant l’un des génies de la bande dessinée du XXe siècle, Albert Uderzo, à sa fille unique, Sylvie ?
« Bernard, commence Nicolas, je n’arrive pas à joindre Sylvie… je viens de recevoir un acte d’huissier émanant de vos beaux-parents… Il s’agit d’une citation directe devant le tribunal correctionnel… » La voix de Nicolas est mal assurée. Il est, sonorement, mal à l’aise et désolé. S’il me lit très rapidement les quelques lignes essentielles qu’il découvre avec moi, j’encaisse plus lentement, tant l’attaque est violente. Les mots retenus pas les rédacteurs de l’acte sont choisis pour faire mal et mouche : il nous est reproché d’avoir commis des « violences psychologiques » contre les personnes d’Ada et d’Albert Uderzo en étant, en prime, animés d’une volonté maligne, celle d’« abréger leurs jours » !
La sidération qui tétanise mes neurones ne m’empêche pas de comprendre qu’« ils » ont franchi, cette fois définitivement, le Rubicon de la décence minimum, qu’« ils » ont piétiné des valeurs qu’on ne devrait jamais transgresser. Il n’y a donc plus rien qui « les » arrête. C’est l’art de la guerre selon Sun Zi, appliqué maintenant à la vie privée, à la famille même : la guerre totale que mènent aujourd’hui, plus souvent que le citoyen ne le croit, des puissants pour atteindre les objectifs qu’ils se sont fixés. Des « hommes gris », sur lesquels nous reviendrons plus loin, ont pris, c’est notre certitude, le contrôle absolu de l’esprit de mes beaux-parents. Pourtant, après plus de six ans de combat judiciaire et médiatique, je n’arrive toujours pas à l’accepter. Cela dépasse mon entendement ! Et je devine que c’est ce qui empêchera encore longtemps l’opinion de saisir la réalité de ce « dossier ». Seuls le temps, la patience et une détermination sans faille nous permettront de reconstituer ce puzzle dont les pièces ont été volontairement éparpillées. C’est la raison de notre lutte, à Sylvie et à moi, depuis ce mois de décembre 2007 où Albert, à 80 ans, a cautionné, « à l’insu de son plein gré », le licenciement de sa fille adorée sans motif légitime et sérieux.
Mais, aujourd’hui, je n’ai pas le temps de raisonner plus longtemps, mon mobile est déjà en double appel, cette fois c’est Sylvie qui tente de me joindre. Je termine ma conversation avec l’avocat qui n’a, pour le moment, plus d’objet – je crois que j’ai compris l’intention –, pour avertir Sylvie du dernier rebondissement de l’affaire… Mais elle sait déjà. « Je referme la porte sur un huissier », me dit-elle. La voix de ma femme est assez neutre, je connais cette voix où je devine la nouvelle charge émotionnelle qui s’est invitée dans son système nerveux, venant s’ajouter au poids de tous ces instants où il lui a fallu assumer des agressions aussi fantaisistes que réelles, aussi incongrues que grossières, aussi incroyables que vulgaires. Sylvie ne sait pas plus que moi à quoi cette « citation directe » correspond vraiment. Je la rassure à peine en lui proposant que nous la lisions ensemble, si elle pouvait me rejoindre à mon bureau dès que possible… Il n’est pas quinze heures quinze quand je raccroche. Je sens confusément que la dizaine de minutes qui vient de s’écouler va peser lourd dans notre avenir immédiat… Je ne peux que difficilement me concentrer sur l’email que j’étais en train d’expédier. Je le laisse à l’état de brouillon de peur que la nouvelle décharge d’adrénaline ne me fasse écrire des mots qui auraient perdu leur sens. À l’instar de tout ce que nous vivons depuis le début de cette affaire.
En attendant que Sylvie me rejoigne, je recommence à raisonner. Je relève que, pour la première fois depuis 2007, début des hostilités, Sylvie et moi sommes poursuivis conjointement…
À quoi peut réellement correspondre cette attaque venue de l’espace et dénuée du moindre début de réalité ? « Des violences psychologiques » ? Depuis l’origine, Sylvie a toujours tenu à ne rien faire contre son père, ses parents, espérant qu’à chaque carrefour judiciaire, un ange serait venu remettre de l’ordre entre l’équerre et le compas jetés à la manière d’un autiste sur le tapis vert du dossier. Puis, en 2011, lorsqu’elle a eu des soupçons précis et avérés que nous révélerons, elle s’est décidée à entamer une action en abus de faiblesse afin de protéger ses parents des prédateurs qui les entouraient… Jamais elle n’a agi « contre » ses parents. Contrairement à ce que certains médias savamment intoxiqués ont pu écrire ici ou là… Où seraient donc les « violences psychologiques » ?
Mais un texto de Nicolas Huc-Morel m’avertit que BFM TV souhaite interviewer Sylvie… Comment seraient-ils déjà au courant ? Sylvie me rejoint enfin avec une copie de la citation directe… Elle en a lu la première page et cela lui suffit bien pour le moment : une irrépressible nausée semble n’attendre qu’un paragraphe de plus pour concrétiser ses sombres projets. L’acte rédigé par les avocats de mes beaux-parents, Jean-Alain Michel et Pierre Cornut-Gentille, est un nouvel épisode de la saison 4 du feuilleton Main basse sur le village gaulois.
La prise de contrôle du trésor culturel que constitue Astérix et ses amis, inventés par René Goscinny et Albert Uderzo en 1959, ressemble à s’y méprendre à une série télévisée écrite par une triste équipe que l’on nommera plus loin « Comité Central », pour faciliter la lecture. Comme un previously, résumé des épisodes précédents, la citation directe reprend en plus trash tout ce que les storytellers (avocats, communicants) autour de mon beau-père ont inlassablement rabâché depuis six années, espérant que cela puisse devenir une vérité. Afin d’intéresser les spectateurs, les scénaristes ont été parfois renouvelés, multipliés, la production ne lésinant pas sur les moyens.
Cette fois, il a apparemment fallu aller plus loin, à la fois pour ne pas perdre l’audience et, surtout, pour tenter, avec violence, de passer en force, à l’instant où la situation devenait critique pour eux… (Pour le savoir, le lecteur devra aller au bout de l’ouvrage, naturellement.) Nous n’oublions pas que l’ennemi n’est jamais aussi agressif que lorsqu’il se sent en danger. L’artifice est si grossier à nos yeux que Sylvie et moi demeurons incrédules. Cette opération s’apparente à du bluff pour créer un nouvel écran de fumée… Mais il nous manque encore une petite information… Un CQFD expliquant les raisons de l’action en justice sans objet où nous risquons jusqu’à « 1 euro » de dommages et intérêts !
Un bandeau s’affiche soudain en boucle sur BFM TV et sur i>Télé : sous la rubrique « Showbizz », les télévisions rapportent : « Albert Uderzo, cocréateur d’Astérix, porte plainte contre sa fille et son gendre pour violences psychologiques. » Il y a moins d’une heure que l’huissier sonnait à notre domicile pour nous délivrer l’acte et les chaînes d’information sont déjà au courant… Mais, en réalité, ce n’est pas seulement les chaînes d’information qui ont été mises au courant : Albert et Ada Uderzo ont carrément tenu une mini conférence de presse devant sept ou huit médias sélectionnés. Pour leur annoncer, à 15 heures précises, c’est-à-dire au moment où nous allions la découvrir, la dernière trouvaille des vedettes du barreau parisien : cette citation directe pour violences psychologiques ! Ce n’est plus de la justice, c’est de la communication ou mieux encore du spectacle, comme l’a noté, à bon droit, BFM TV.
LE CHOIX D’AGIR
Sylvie ne veut pas croire que ses parents aient accepté de se prêter à ces nouvelles affabulations, à un tel travestissement de la vérité. Et pourquoi s’acharnent-ils contre nous ? Qui sommes-nous, après tout, pour déclencher un tel ouragan médiatique ? Qui sommes-nous pour essuyer depuis soixante-douze mois les salves de cette armada de puissants, de coquins qui nous ont pris pour boucs émissaires. « Ils » sont nombreux à s’aligner, chacun à son tour : des avocats puissants, des groupes industriels et des médias, une agence de communication de crise, un célèbre ex-procureur de Nanterre proche de l’Élysée, auxquels vient s’ajouter un entourage de petits notables (notaire, expert-comptable, entrepreneur, etc.). Ferions-nous de la paranoïa galopante ? C’est le diagnostic rêvé pour eux, mais, humblement, l’explication est plus prosaïque.
Il ne s’agit pas de nous pris en tant qu’individus, mais d’un simple couple pris dans une tourmente judiciaire, simplement parce qu’il se trouvait là, au mauvais endroit, au mauvais moment : c’est-à-dire à l’instant de l’histoire où une conjonction d’intérêts avait décidé d’annexer le petit village d’Astérix. Un groupe industriel, Lagardère, avait inscrit à son tableau de chasse le village d’Astérix. Pour atteindre leur objectif quasi militaire, il leur fallait se garantir à la fois la confiance de l’auteur vivant d’Astérix alors qu’il atteignait l’âge de 80 ans et écarter ceux qui pouvaient contrecarrer leur victoire totale : la fille unique, directrice générale de la société créée par Albert Uderzo, et son mari, en charge de tout le développement des activités autour du petit Gaulois.
Toute la raison de cette « affaire » est ici résumée. Simple, froide, médiocre, une comédie humaine si contemporaine où le mensonge tient lieu de vérité dès lors qu’il est prodigué par une élite s’adressant à elle-même, en parfaite consanguinité, sans que quiconque ne pense à s’en offusquer. Tout le reste n’est que construction d’un récit dédié à masquer une réalité cynique, la version Dark Vador du capitalisme que nous avons décidée de dénoncer.
C’est exactement ce qui nous a décidés à nous lever et à dire « ça suffit ! », ya basta ! L’intérêt d’en raconter l’histoire est de démontrer les processus de corruption et de forfaiture auxquels nous avons assisté. Il est de plus en plus difficile, surtout en période de crise, de s’y opposer. Et les possibilités que la loi actuelle laisse aux plus pervers et puissants sont très larges et peu connues du grand public. Personne n’est à l’abri, nous en témoignons, de se faire noyer dans cet océan de connexions, de connivences incomplètes, c’est-à-dire soit sourdes, soit aveugles, soit muettes où plus personne ne croit être responsable de rien et où tout le monde détourne le regard.
Se taire ? Voilà la solution la plus commode, la plus dans l’air du temps, lâche, dans laquelle nous faisons grandir nos enfants. Ce n’est pas notre choix. Car trop de questions n’ont pas été posées, trop de questions n’ont pas trouvé de réponses satisfaisantes, trop de manipulations grossières ont été entérinées par le simple fait qu’il s’agissait d’une histoire qui se passe à Neuilly, soi-disant à l’intérieur d’une famille dont le patriarche a été l’un des plus talentueux auteurs du neuvième art… C’est la raison pour laquelle nous invitons le lecteur à s’interroger sur la nature des faits suivants…
UNE LONGUE SUITE DE FAITS TROUBLANTS
Est-il bien normal qu’un père de 80 ans convoque sa fille, directrice générale de la société familiale depuis plus de quinze ans, à un entretien préalable sous des prétextes fallacieux (qui seront rejetés ultérieurement par la justice), pour lui dire qu’il voulait simplement lui faire peur et que l’affaire en resterait là ? Et qu’elle ne serait pas licenciée ! N’y avait-il pas d’autres manières d’agir ? Est-il normal que, pour finir, dans les semaines qui suivront, sans qu’un autre événement ne se soit produit, Albert ait finalement procédé au licenciement pour faute lourde de sa fille, et ce, un vingt-quatre décembre ?
Est-il bien normal, alors qu’Albert me proposait un accord amiable pour que je cesse, en octobre 2007, mes activités pour le petit Gaulois que je reçoive, quinze jours plus tard, une assignation pour avoir à lui rembourser plus de cent vingt mille euros de frais tombés du ciel (affabulation que la justice rejettera ensuite), laissant sous-entendre que j’aurais commis des abus de biens sociaux ? Bienvenue chez les gentils Gaulois ou bien chez les prédateurs capitalistes formés à l’américaine ? Ce ne pouvait être la volonté du dessinateur d’Obélix ! L’objectif évident était dans les deux cas de brouiller les messages entre le père et la fille, les relations entre les générations.
Est-il bien normal, après que Sylvie ait alerté son père par courrier, en janvier 2008, sur des erreurs matérielles graves découvertes dans la gestion de la société familiale, que les avocats d’Albert Uderzo l’aient assignée au tribunal de commerce afin de couvrir leur incurie ?
Est-il bien normal qu’ainsi, dès le début du conflit, par trois fois, l’entourage d’Albert ait décidé de nous traîner devant les tribunaux ? Pour ensuite faire dire à Albert et faire passer le message à certains médias complaisants que nous n’étions que des procéduriers, les méchants, en somme… À l’intérieur d’une famille, s’il n’y a pas de lâcheté, il y a beaucoup d’autres solutions qui évitent ainsi d’étaler les différends sur la place publique.
Est-il bien normal que l’entourage d’Albert lui ait fait engager l’agence de communication la plus chère de Paris, dirigée par Stéphane Fouks, pour lutter contre… sa fille et son gendre ? Ne serait-ce pas trop d’honneurs, mes seigneurs ?
Est-il bien normal que lors de la dernière assemblée générale de la société familiale (père, mère, fille depuis l’origine) à laquelle Sylvie ait pu assister, il se soit passé le fait suivant ? Au moment de procéder au vote des membres du nouveau conseil d’administration, Albert se penche vers son avocat historique, Yves Sicard, pour lui demander s’il est bien nécessaire d’en écarter sa fille. L’avocat, intraitable éminence, insiste : « oui, Albert, c’est nécessaire. » Albert vote, alors, contre sa fille, les yeux baissés… Comment peut-on définir une telle attitude ? Si ce n’est par la sujétion de l’avocat sur un homme âgé alors de 81 ans…
Est-il simpleme...

Table des matières

  1. Couverture
  2. 4e de couverture
  3. Titre
  4. Copyright
  5. Citations
  6. Préam-bulle
  7. 7 ans de malheur !
  8. Épisode 1 - Citation directe
  9. Épisode 2 - La famille italienne et le gendre
  10. Épisode 3 - Le départ de feu
  11. Épisode 4 - Un faux départ ?
  12. Épisode 5 - Le casus belli
  13. Épisode 6 - Les extraterrestres
  14. Épisode 7 - Le comité central
  15. Épisode 8 - La guerre est déclarée
  16. Épisode 9 - Tragédie grecque
  17. Épisode 10 - Testaments et tapis rouge
  18. Épisode 11 - La forfaiture
  19. Épisode 12 - La partie de poker
  20. Épisode 13 - La vengeance du Cardinal
  21. Épisode 14 - L’outsider
  22. Épisode 15 - La cession sinistre
  23. Épisode 16 - Le coup d’État réussi
  24. Épisode 17 - John Wayne quitte Fort Alamo
  25. Épisode 18 - Au tribunal, face au géant
  26. Épisode 19 - Des victoires
  27. Épisode 20 - Pot de fer vs pot de terre
  28. Épisode 21 - L’accident de l’album n°34
  29. Épisode 22 - Des masques tombent
  30. Épisode 23 - Une fin d’histoire ?
  31. Épisode 24 - Le début de l’enquête
  32. Épisode 25 - La communication de crise
  33. Épisode 26 - Un été 2011
  34. Épisode 27 - La découverte des abus
  35. Épisode 28 - Et l’expertise
  36. Épisode 29 - Ils sont fous ces seigneurs !
  37. Épisode 30 - Rupture ou connivence
  38. Épisode 31 - Sous les auditions, la plage
  39. Épisode 32 - Rapetou fait son solo
  40. Épisode 33 - Sylvie est entendue…
  41. Épisode 34 - Cabinet Metzner
  42. Épisode 35 - La chute de Rastapopoulos
  43. Épisode 36 - Les prémices de la fin ?
  44. Épisode 37 - Les dernières pièces du jeu
  45. Épisode 38 - La résolution de l’énigme ?
  46. Table des matières