
- 192 pages
- French
- ePUB (adapté aux mobiles)
- Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub
À propos de ce livre
Ce livre " Et si la philosophie ", 89 textes répondra à toutes vos questions. Il est la synthèse de quatre ans d'animation-philo. Il est facile d'accès et n'a pas pour but de démontrer mais de vous donner des éléments de réflexion et de vous amener à réaliser vos propres échafaudages de pensée.Il sera le compagnon des étudiants, des animateurs et des enseignants en philosophie ou tout simplement des personnes animées par une saine et insatiable curiosité.
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Informations
1. Et si la réalité n’était pas une ...
Présentation :
Vérité absolue, relative, objective, subjective, qu’en est-il de tout cela ?
Surtout que la vérité est liée à la connaissance. Je dis : le soleil se couche, et il se couche, mais n’est-ce pas plutôt la terre qui tourne !
Texte :
Que ma vie soit réelle, j’ai du mal à en douter, mais la réalité est-elle vraiment ce que je vis ? L’expression, « il a perdu le sens des réalités », nous indique que la réalité ne serait pas une, mais multiple. Il y aurait donc autant de réalités que d’individus ? Oui, si l’on parle de réalité subjective, c’est-à-dire personnelle.
Je me souviens, au restaurant, d’un couple attablé non loin de moi, et dont la teneur en décibels de leur conversation était telle que je ne pouvais y échapper. Ils étaient en opposition, et leur discorde portait sur la qualité du vin qu’ils avaient commandé. L’un le qualifiait d’atroce jus de planche, et l’autre de délicieux nectar. Au lieu de se crêper le chignon, ils auraient pu simplement penser que leurs goûts étaient différents et que le vin n’a que le goût que l’on veut bien lui donner.
Ils ont, à mon avis, tous les deux raison.
Chacun de nos buveurs de vin est dans une réalité qui lui est propre, personnelle. Ce que je trouve bon est bon, c’est ma vérité, certes relative, parce qu’elle m’appartient, ce qui est goûteux pour moi est incontestablement goûteux pour moi, et ce qui est désagréable pour lui est incontestablement désagréable pour lui. Force est de constater que nous sommes, chacun de nous, dans une réalité personnelle, subjective, une vérité relative.
Par contre, notre couple était d’accord pour dire qu’ils étaient en train de boire une bouteille de vin, cette fois réalité objective, vérité absolue, quantifiable, mesurable, incontestable. Il y a donc là deux réalités ; l’une subjective et relative lorsqu’ils s’empoignent sur la qualité du vin, et l’autre réalité, cette fois objective, absolue, incontestable, lorsqu’ils s’accordent à dire qu’ils boivent du vin. Je m’amusais de leur différent en ne doutant pas qu’ils finiraient bien par trouver un terrain d’entente.
Mais laissons nos deux convives.
Il me semble que si nous prenions un peu plus en considération la réalité subjective de l’autre, il y aurait moins de mésententes engendrant des situations problématiques. On aurait tout à gagner à admettre que les choses ne sont pour nous que ce que nous pensons qu’elles sont pour nous, que nous avons raison, mais que pour autant l’autre n’a pas tort, puisqu’il est dans une réalité, une vérité qui lui appartiennent.
En fait, les conflits ne devraient pas pouvoir exister, et je propose le paradoxe suivant : on ne peut contester que ce qui est objectif, or, par définition, ce qui est objectif est incontestable.
Je dirais pour terminer la chose suivante.
Tâchons de ne pas prendre ce qui n’est pas pour ce qui est, et tant que cela ne bouleverse pas le monde, laissons dire.
En vérité que m’importe que tu trouves ce vin mauvais, si moi je m’en régale.
Voilà.
2. Et si l’espoir était de mauvais augure ...
Présentation :
Dans l’idée « la philosophie est un soin », si l’espoir vous interroge et si les princesses fans de pique-nique vous intéressent, le texte ci-après est pour vous.
Texte :
Il était une fois, mais pas plus, une jolie princesse, châtelaine, demeurant auprès de son papa Roi et de sa maman Reine. Elle est très jolie comme susdit. Son plaisir ? : les pique-nique, et puis s’admirer dans son miroir.
Lorsque l’obscurité de la nuit tombante enveloppe le château, Cléa, c’est son prénom, regarde par la fenêtre en murmurant, pourvu qu’il fasse beau demain, j’ai tellement envie de pique-niquer.
Et voilà notre jolie princesse Cléa angoissée, anxieuse, désormais dans la crainte qu’il pleuve le lendemain. Heureusement, souvent le soleil est au rendez-vous. Mais Cléa se demande s’il ne manquera rien pour le repas, encore une crainte pour notre princesse. Elle espère que tout ira pour le mieux, en attendant de voir les serviteurs préparer les festivités.
Alors, pour passer le temps, dans l’ombre épaisse d’un grand chêne, elle se détaille dans le miroir qu’elle a toujours soin de faire emporter avec elle. Elle est très jolie, et elle le sait, elle espère le rester à jamais. Elle craint qu’un jour sa beauté ne disparaisse. Il ne faudrait surtout pas que cela arrive avant d’avoir trouvé son Prince Charmant. Alors elle espère, encore et encore, pour combattre l’angoisse.
Cléa ne sait pas que l’espoir et la crainte sont l’avers et l’envers d’une même pièce. Cléa ne sait pas non plus qu’espérer pour que ce qui ne dépend pas de nous advienne n’a pas de sens. Ce qui arrive, arrive, nous ne pouvons pas nous promettre du beau temps, puisqu’il fera le temps qu’il fera. Cela ne dépend pas de Cléa, toute princesse qu’elle est, pour le beau temps son pouvoir s’arrête aux caprices du soleil et pour la beauté de son visage à la malveillante complicité des années qui passent.
Cléa espère que son Prince Charmant le sera vraiment, charmant. Elle a un peu peur qu’il ne ressemble par trop à son Roi de papa… Il sera beau ce Prince Charmant, d’ailleurs, se dit-elle, comment pourrait-on être laid si on est Prince Charmant ? Cléa n’a aucun doute mais elle doute quand même.
Sans s’en rendre compte, Cléa, d’espoir en espoir, vit dans une crainte, une angoisse, une anxiété perpétuelle. Elle voudrait pouvoir agir sur ce qui ne dépend pas d’elle. Ceci est rêve de princesse, naïveté de petite fille, méconnaissance du réel.
En voulant que les événements soient à l’image de ses désirs, au lieu de les accepter comme ils sont, Cléa se fait l’instrument de son malheur.
Si l’on devait tirer leçon de cette histoire, l’on pourrait dire qu’il ne sert à rien d’espérer ce qui ne dépend pas de nous, et que pour le reste, c’est-à-dire ce qui dépend de nous, il suffit d’agir.
Soyons sans crainte, sans espoir, et surtout, lorsqu’il le faut, relevons nos manches de chemise.
Voilà.
3. Et si l’inconscient freudien n’existait pas...
Présentation :
Comment faire pour qu’une légende ne devienne pas réalité ?
Comment dire que ce qui n’existe pas, n’existe pas ? Voici la difficulté.
Texte :
Je vous propose par ces quelques lignes de vous parler d’une sorte de gros parasite que l’on appelle inconscient freudien. Il est en nous depuis qu’un certain Sigmund l’y a trouvé. Sans douter que l’inconscient existe, je me permets toutefois de dire, au risque de déplaire ou de déranger, que l’inconscient freudien a fait son temps.
La neurologie, en particulier par les travaux de Lionel Naccache, est ferme sur ce point. D’autre part, et cela ne date pas de ce jour, Jean-Paul Sartre nous disait que l’inconscient freudien n’existe pas, et qu’il serait une modalité de la conscience.
L’inconscient est une partie de la conscience, une partie non accessible de la conscience, c’est ce que je nomme le non-conscient.
Je vais maintenant, si vous me le permettez, prendre un exemple pour expliquer ce qu’est l’inconscient que je nomme le non-conscient.
Vous regardez une statue, vous l’admirez tout en tournant autour. Vous allez de degré en degré en éprouver une multitude de points de vue. Ces points de vue sont uniques et solidaires entre eux parce qu’issus du même objet d’observation. Chaque point de vue est une modalité de cette statue.
Maintenant, imaginons que cette statue soit placée contre un mur, vous interdisant d’en faire le tour. Vous n’aurez donc plus la possibilité de contempler l’œuvre dans sa totalité. La partie de la statue cachée à votre regard, la partie non accessible à vos yeux, c’est cela le non-conscient.
Vous voyez, nous sommes bien loin de cette idée freudienne d’un inconscient jamais localisé, et toujours régnant en maître sur nous. Un mystérieux parasite dont seul le psychanalyste aurait les clefs pour l’empêcher de nuire, évidemment contre quelque monnaie sonnante et trébuchante. Il est facile à la psychanalyse de dire que ce qui n’existe pas, existe, c’est à dire l’inconscient freudien, et de faire croire que tous les maux viennent de là. Et après, par de savantes attitudes et de fumeux discours, prétendre que l’on nous soigne.
Il me semble que la philosophie, la psychologie, la psychiatrie, la neurologie, l’hypnothérapie ou tout simplement le bon sens, sont plus à même que la psychanalyse d’apporter une solution pour nous soulager.
Pour finir sur une note amusante, j’ai personnellement entendu Tobie Nathan lors d’une de ses conférences à Valence, et cela, entre autres, devant un parterre de psychanalystes, prononcer la phrase suivante: « L’inconscient, lorsque vous l’aurez trouvé, vous me le présenterez ! »
Voilà.
4. Et si les secrets n’étaient pas recommandables...
Présentation :
Accéder à la connaissance est pour le mieux, mais qu’en est-il si cette connaissance est un secret ?
Texte :
Je pense parfois à ces personnes détentrices de secrets, qui ne savent les garder qu’en les partageant. Méfions-nous bien d’elles. Lorsqu’elles nous approchent, fuyons ou fermons nos oreilles.
Imaginons un homme, nous l’appellerons Marc. Marc a un ami, Benoît, et un frère, Florian, et une charmante belle-sœur Claire.
Un jour Benoît dit à son ami Marc : « je voudrais partager avec toi un secret. »
Marc est un peu étonné, quel est donc ce secret qui semble si important ? Mais Marc est heureux de la confiance que lui accorde son ami.
Il attend avec impatience que le secret lui soit révélé. Il ne sera pas déçu ! Benoît, proche de l’oreille de Marc, lui susurre du bout des lèvres : « sais-tu que Claire a un amant ? »
« Non, ce n’est pas possible, s’insurge Marc. Sais-tu au moins qui c’est, peux-tu le prouver ? »
« Non, je ne sais pas, répond Benoît, mais j’ai mon idée. »
Marc n’en saura pas plus, il est désormais détenteur d’un secret dont il se serait bien passé.
Pour Benoît, la vie est belle, il a pu refiler la patate chaude. En faisant croire à de la confiance, Benoît s’est déchargé sur Marc de son fardeau. Cela faisait des mois que Benoît se demandait s’il devait dire à Florian que Claire le trompe. Maintenant la balle est dans le camp de Marc, et si Marc ne dit rien à son frère, ce n’est pas moi qui vais le faire, se dit Benoît!
Benoît considère qu’il est irréprochable, après tout, il n’a fait que dire la verité. Quoi de plus honnête, de plus moral, de plus franc !
Je mets ici en garde le lecteur, en effet, que peuvent demander de mieux les salauds qu’un paravent de vertus pour réaliser leurs coups bas, leurs néfastes entreprises, leurs mauvaises actions ! Ne dit-on pas avec quelque pertinence que l’enfer est pavé de bonnes intentions ! C’est souvent pour de so...
Table des matières
- Remerciements
- Sommaire
- Avant-propos
- 1. Et si la réalité n’était pas une
- 2. Et si l’espoir était de mauvais augure
- 3. Et si l’inconscient freudien n’existait pas
- 4. Et si les secrets n’étaient pas recommandables
- 5. Et si être était plus qu’exister …
- 6. Et si le confinement suspendait le temps…
- 7. Et si vouloir faire l’ange était faire la bête…
- 8. Et si nous ne pouvions pas être quelqu’un d’autre…
- 9. Et si la volonté ne suffisait pas
- 10. Et si faire vœu de pauvreté était une erreur
- 11. Et si le sourire n’était pas gentillesse
- 12. Et si le lapsus était une mine de perles…
- 13. Et si la culture était d’essence de nature
- 14. Et si le pouvoir était l’un des signes de l’impuissance…
- 15. Et si le suicide résultait de la déception
- 16. Et si en marge du cultuel, nous redéfinissions la grâce et la passion
- 17. Et si accepter une certaine laideur nous était utile
- 18. Et si nous parlions de l’empathisme et de la pitié
- 19. Et si moins était mieux que plus
- 20. Et si toutes valeurs procédaient du désir
- 21. Et si la morale était l’écart entre la réalité et l’idéal…
- 22. Et si la nature était sans vices et sans vertus
- 23. Et si la morale n’était pas si rigide…
- 24. Et si l’intention prévalait sur l’acte
- 25. Et si morale et philosophie étaient distinctes
- 26. Et si la perfection était de ce monde
- 27. Et si l’indifférence permettait la générosité
- 28. Et si demander pourquoi était une solution
- 29. Et si les noms d’oiseaux ne nous touchaient plus
- 30. Et si l’indifférence était son propre remède
- 31. Et si nous suspendions notre jugement
- 32. Et si nous étions l’autre
- 33. Et si intelligence et liberté était liées
- 34. Et si le sentiment océanique ne disparaissait pas toujours
- 35. Et si les apparences n’étaient pas aussi trompeuses qu’on le dit…
- 36. Et si en elle-même la mer n’existait pas
- 37. Et si notre expérience était incommunicable
- 38. Et si nous distinguions l’expérience esthétique de l’émotion esthétique…
- 39. Et si nous voyions le monde dans son passé
- 40. Et si nous vivions au présent
- 41. Et si nous étions en bout d’éternité
- 42. Et si passé et futur coloraient notre présent
- 43. Et si la morale ne suffisait plus
- 44. Et si la liberté naissait de nos sentiments
- 45. Et si la liberté était relative aux contraintes et à la conscience
- 46. Et si la liberté n’était qu’une idée
- 47. Et si vouloir ce que l’on veut était liberté…
- 48. Et si seule la sagesse apportait la liberté
- 49. Et si le trou m’était conté
- 50. Et si nous ne parlions que sans savoir…
- 51. Et si la mort était fiction…
- 52. Et si la conscience avait plusieurs niveaux
- 53. Et si la liberté avait un prix
- 54. Et si nous parlions du raisonné et du rationnel
- 55. Et si toutes passions étaient déraisonnantes
- 56. Et si le mensonge était nécessité
- 57. Et si mentir était ludique
- 58. Et si mensonge n’était pas sottise
- 59. Et si mentir était façons de dire
- 60. Et si une vérité était plus ou moins vraie
- 61. Et si Platon était censeur…
- 62. Et si nous réunissions intelligence et vérité
- 63. Et si pourquoi, comment, où, quand, qui, quoi
- 64. Et si omettre n’était pas toujours mentir
- 65. Et si les chirurgiens ne savaient pas parler
- 66. Et si nos questions étaient mal posées
- 67. Et si l’on se pardonnait
- 68. Et si le pardon n’était pas toujours possible
- 69. Et si l’on pardonnait par avance
- 70. Et si imaginaire et réalité se confondaient
- 71. Et si nous colorions le monde
- 72. Et si tristesse était l’expression d’un désir
- 73. Et si la philosophie était évidence
- 74. Et si l’on ne tuait pas
- 75. Et si vivre avec et vivre ensemble étaient aussi différents que l’immanence l’est de la transcendance
- 76. Et si le numérique modifiait les usages
- 77. Et si la culture nous rendait plus humains
- 78. Et si différence était complémentarité
- 79. Et si Valentine avait raison
- 80. Et si imagination et humain allaient de pair…
- 81. Et si le plaisir était premier…
- 82. Et si le sentiment de culpabilité était négatif…
- 83. Et si philosopher permettait d’optimiser mon régime…
- 84. Et si le repentir était une deuxième faute
- 85. Et si convaincre c’était vaincre les c
- 86. Et si Absurde et Logique étaient deux amies
- 87. Et si la connaissance ouvrait à la poésie
- 88. Et si l’obscurité était l’absence et non le contraire de la lumière
- 89. Et si rechercher le bonheur était inutile
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