Lumière
  1. 238 pages
  2. French
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  4. Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub

À propos de ce livre

Elles sont auteures, thérapeutes, conférencières, femmes d'affaires, coach PNL, enseignantes, yogis, moniale zen. Il est auteur et philosophe. Ils honorent, chacun à leur façon, la Lumière du Temple du Coeur.Dix porteurs du flambeau de l'amour et de la liberté se relient et irradient, inspirés par la voie de Nelson Mandela lorsqu'il nous dit que « notre peur la plus profonde n'est pas d'être inaptes, notre peur la plus profonde est d'avoir un pouvoir extrêmement puissant. C'est notre propre lumière et non notre noirceur qui nous effraie le plus. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Cette gloire n'est pas en quelques-uns, elle est en nous et si nous laissons notre lumière briller, nous donnons inconsciemment aux autres la permission que leurs lumières brillent. Si nous sommes libérés de notre propre peur, notre présence suffit alors à libérer les autres. »Ces femmes solaires et cet homme lumineux, tous amoureux de la sagesse, prennent la plume et partagent avec vous leur vision, telles des sources de lumière vivante.Réflexions, enseignements et pratiques font de cet ouvrage un guide de croissance personnelle et spirituelle accessible à tous. Un livre limpide et lumineux pour apprendre le métier de vivre.

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Chapitre 1
L’Appel : féconder les âmes
Catherine Agostini-Salembier
Il y a vingt-cinq siècles, le Bouddha Gautama et le maître Jain Mahavira naissaient en Inde, Lao-Tseu et Chuang-tseu en Chine, Zarathustra en Perse, Socrate, Platon, Héraclite en Grèce, faisant don à cette planète de tant de Lumière, une Lumière qui allait féconder les âmes. J’aime étancher ma soif à la source de ces éveilleurs qui me transforment, pour qu’à mon tour je puisse féconder d’autres âmes.
La philosophie, voie d’éveil et d’émerveillement
Dès l’adolescence, rapidement, j’ai été marquée par les figures emblématiques de la philosophie. Le mot philosophie, composé de philein : « aimer » ; et de sophia : « sagesse » ou « savoir », signifiant littéralement « amour de la sagesse », m’apparut rapidement comme une voie permettant le discernement. Cette démarche de réflexion critique et de questionnement sur le monde, la connaissance et l’existence humaine semblait m’ouvrir la porte d’un monde passionnant. À cette vision je souhaitais ajouter l’expérience, cette Lumière qui, selon Lao-Tseu, n’éclaire que soi, afin de forger mon âme plutôt que de la meubler, sage précepte emprunté à Montaigne. Ainsi j’allais m’immerger dans cette pratique que je concevais comme une activité de création, de méditation, de définition et d’analyse de concepts tels que le bien, le mal, la beauté, la justice, l’âme, la mort et la Lumière. Je l’envisageai alors comme une quête de vérité, de liberté, de sens, de conscience, en somme, une quête du bonheur.
Certaines pensées fragmentaires d’Héraclite jalonnent mon parcours. Ses énoncés m’enseignent que la mort ne va pas sans la naissance, le conflit sans la réconciliation, le silence sans la voix, l’oubli sans la mémoire, la joie sans la douleur, le bien sans le mal, le jour sans la nuit, ni la lumière sans les ténèbres. Voilà donc la voie philosophique et mystique que je choisis d’emprunter. Cette quête d’une vérité existentielle, celle du mouvement et du changement, du devenir perpétuel de toutes choses et de l’unité des contraires, sculpte ma vision de la vie.
Ainsi, la formule « Panta rhei », signifiant littéralement « toutes les choses coulent », « tout se meut selon un certain rythme », évoquant l’impermanence et la danse ou la ronde, traça les contours d’un monde en mouvement tel un flux perpétuel, une éternelle vague. Je garde ancrée en moi la citation suivante : « On ne peut entrer deux fois dans le même fleuve. » Oui, tout passe. Et Platon de rajouter avec sagesse que « ce monde a toujours été et il est et il sera un feu toujours vivant, s’alimentant avec mesure et s’éteignant avec mesure ».
Très tôt, deux œuvres de Platon retinrent particulièrement mon attention : L’allégorie de la caverne et Le Banquet.
L’allégorie est exposée dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une « demeure souterraine », par opposition au « monde d’en haut », qui tournent le dos à l’entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d’objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés les conditions d’accession de l’homme à la connaissance du bien, au sens métaphysique du terme, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance.
Ce texte majeur m’invita à tenter de percer les mystères, m’incitant à aller au-delà du visible, me dévoilant un monde d’illusions.
Le Banquet, quant à lui, est constitué principalement d’une longue série de discours portant sur la nature et les qualités de l’amour. Dans cette œuvre magistrale, Diotime, maîtresse de vérité, prophétesse d’amour, mettant au monde la sagesse et la vertu, revêt les atours de la « fécondeuse d’âmes ».
Elle allait indubitablement dessiner les prémices d’une voie que j’allais ancrer dans ma vie en tant qu’enseignante et guide spirituelle. Et c’est ainsi, riche de ces apprentissages que j’allais répondre à l’Appel. Car féconder, n’est-ce pas également répondre à un Appel ?
L’Appel du désert
Cette année 1983, alors que je répondais à l’Appel du Sahara, je reçus le baptême du désert. J’allais cheminer sur les traces lumineuses de deux mythes du xxe siècle, de deux prophètes qui ont défriché et éclairé mon existence à cette époque, deux êtres qui ont fait pleuvoir sur moi quelque chose qui ressemble à un chant grégorien, « deux fils de la Terre et enfant du Ciel », selon la formule empruntée à Teilhard de Chardin : Charles de Foucauld et Antoine de Saint-Exupéry. L’un croyait au Ciel, l’autre y croyait presque. J’allais les suivre sur « les chemins de l’individuation », selon Carl Gustav Jung, m’éveillant à une vie de l’esprit, menant à l’ineffable dévoilement de l’âme. J’allais marcher sur leurs traces, non seulement dans le désert, mais j’allais retrouver le bienheureux père en pèlerinage en Terre sainte, la terre où vécurent le Christ et St-Ex sur la Voie de l’aéropostale en Terre de Feu, alors que, chargé de la création de la ligne de Patagonie, il avait l’intention de rallier, lors d’un raid, New York à Punta Arenas en 1938. J’irai à Punta Arenas, quelque quatre-vingts ans plus tard, et j’admirerai, émue, l’Aguja Saint-Exupéry, l’aiguille Saint-Exupéry, ce sommet situé à proximité du Fitz Roy dans le parc national Los Glaciares en Patagonie, en Argentine. J’adhère à sa vision lorsqu’il déclare : « nous habitons une planète errante ».
J’avais senti se refermer sur moi la « chrysalide du désert », mais c’est durant cette nuit de Noël, durant cette nuit de la Grande Prière, dans la lumière de l’Assekrem où le « marabout français », le saint ermite, cette lampe que la main de Dieu a allumée au seuil du siècle atomique, a passé les dernières années de sa vie, que je me laisse alors happer par l’Appel du désert.
Dans sa terrible aridité, le désert fut source de vitalité dans ma vie, comme pour les deux hommes phares. Mon monde en mouvement, avec ses champs de force mystérieux, où chaque étoile allait se polariser, m’indiquerait le chemin d’un voyage vers une destination sacrée. Un terreau à l’apparence hostile, mais pourtant propice à la découverte du libre Royaume de la vie intérieure. J’allais découvrir que le brasier de mes rebellions passées allait, grâce à cette alchimie, se révéler ferveur mystique, empire où règnent le mystère, la poésie, le miracle et surtout l’Amour, abreuvant les forces desséchantes de l’égoïsme et du matérialisme, et que j’allais ainsi être Source. Le repli au désert s’avère désormais fréquemment un réflexe de défense dans ma vie, une bulle d’oxygène pour mon âme menacée d’essoufflement. J’y retourne encore, et encore. Le désert fut un révélateur spirituel et c’est ici que je reçus la grâce du désert et que j’y rencontrai, éblouie, « plus Grand que Soi ». Le désert rend mystique, il prédispose à une foi intense et intuitive, il nous initie à une union entre l’homme et la divinité. Avec cette poussière de sable d’or, j’allais dès lors, selon l’expression de saint Matthieu, me confectionner des trésors célestes qui ne seraient dévorés ni par les mites ni par la rouille.
Le désert est un retour à la source des mondes, un retour à l’essentiel, un retour au sacré, à un état originel. Parce que le désert est Vérité alors que la ville est facilement cupide, tapageuse et boulimique.
Le désert sera mon voyage initiatique, à l’instar de ce chevalier du ciel et du bienheureux Père. J’avais donc trouvé deux explorateurs fraternels pour me guider, pour m’aider à extraire l’essentiel et à traverser « le désert » de mon existence. Le propre de la paternité spirituelle est d’éveiller au désir de vie et de bonheur qui habite au plus profond de nous. Désir de vivre, désir d’aimer les hommes si souvent contrarié par de sombres forces intérieures. J’allais partir à la rencontre de ce que saint Pierre appelait « l’homme caché du cœur » et saint Paul « l’homme intérieur ».
Le désert, lieu spirituel, lieu de révélation pour Moïse, Élie, Jésus, Mahomet, doit être lu comme « un texte ésotérique », et « vécu comme une lévitation »… selon Yasmina Khadra.
Afin de finir de dresser le tableau de ce cercle d’âmes fécondes qui ensemencèrent ma Voie, il me semble essentiel d’évoquer la découverte du mythe et du don d’Isis, révélant l’accomplissement et l’élévation par l’Amour. Dans le mythe d’Isis et d’Osiris, la déesse rassembla le corps dépecé de son époux et enveloppa la dépouille de bandelettes, participant ainsi à la création de la première momie. Puis elle lui insuffla le souffle de vie. Isis détient le mystère sacré de la vie et de la mort. Elle est celle dont la parole ranime « celui qui ne respire plus » grâce à son don d’Amour. Elle est, selon l’écrivain Romain Apulée : « Mère des étoiles, parente des saisons, maîtresse du monde entier ». Une reine mythique fertilisant la vie, ma vie, à n’en pas douter.
La nuit de feu
Comme Pierre, par trois fois j’ai été secouée par la révélation, comme on secoue le blé, et par trois fois je l’ai presque reniée, la jetant dans l’oubli. Alors que nombreux sont ceux qui cherchent à vivre l’expérience directe avec plus Grand que Soi, alors que certains y consacrent leur vie entière sans jamais la frôler, la grâce m’a marquée de façon répétée avant que je ne cède totalement à l’Appel.
Enfant, il y eut cette toute première fois, avec le souvenir de la furtive apparition de la Vierge Marie, à la suite d’une prière. Vision que je négligeai rapidement. Puis l’appel du désert me livra cette dimension mystique qui s’instaura de manière sous-jacente, comme le filet d’eau irriguant une rizière, sans vraiment métamorphoser ma destinée. La troisième fois s’avéra d’une extrême intensité et sa manifestation transfigura mon existence, laissant émerger ma mission de vie. Mais ce n’est que la quatrième fois, en retraite au monastère de Lamayuru, au Ladakh, dans la partie indienne de l’Himalaya, que j’embrassai la voie du bouddhisme zen, souhaitant y dédier ma vie. Mariée depuis presque quarante magnifiques années, je savais alors que j’étais amenée à épouser plus qu’un homme.
C’est donc lors de cette troisième fois que le voile s’est levé, me révélant une certaine vérité. À la suite du décès d’un être cher, j’étais accablée. Si je rends hommage fréquemment à cette personne, c’est parce qu’il est essentiel d’honorer la mémoire des messagers, des éveilleurs qui peuplent notre sanctuaire. Comme il y avait eu la bombe A, la bombe atomique, à fission, la bombe H, à hydrogène, à fusion, la bombe N, à neutrons, à rayonnement renforcé, des bombes issues de la fission nucléaire des noyaux atomiques, il y eut, dans ma vie, l’explosion de la bombe R (le préfixe re indique principalement le retour à un état antérieur), la bombe du renouveau, de la renaissance, de la révélation, de la résurrection, issue de la fission de mon noyau, de mon cœur et de la fusion avec cette énergie sans nom. J’allais revenir du trou noir, du néant de l’au-delà, et ainsi être propulsée dans la Vie. Les cicatrices laissées par la bombe R, j’allais les porter en majesté. Mon cœur s’émietta, mais c’est mon cœur de pierre qui s’ébrécha. Comme stipulé dans les écritures, on me donna un cœur nouveau et on mit en moi un esprit nouveau, on ôta de mon corps le cœur de pierre et on me donna un cœur de chair… En écrivant ces mots, vingt ans plus tard, je reste presque incrédule. Par quel mystère insondable la chamane que j’ai rencontrée dans les Laurentides, au Canada, cette petite femme toute simple, a-t-elle pu intercéder en ma faveur ? En détresse, en quête, j’étais allée la rencontrer afin de trouver des réponses. Y avait-il un sens à cette vie, ou s’avérait-elle absurde ?
L’homme mage est alchimiste. Cette femme allait me guérir de certaines blessures et m’offrir un élixir qui permettrait d’adoucir le passage, « la transe ».
Cette nuit-là s’avéra la dernière de mon ancienne vie et je ne le savais pas.
L’écrin de verdure qu’est le sanctuaire de notre maison transformée en Centre de Ressourcement depuis le départ de nos filles, nos reines de cœur, devenues femmes, est agrémenté d’un large « karesensui », jardin minéral japonais, et de pas japonais dessinant un chemin de pierre. Très inspirée par la vision amérindienne, qui nous révèle que l’âme du monde réside dans la moindre parcelle de matière, et éprise de liberté, j’ai fréquemment évité d’imaginer l’enfer d’une âme enfermée dans l’une de ces pierres. Et c’est cette nuit-là, en plein cœur de l’obscurité, éveillée, que j’eus la sensation d’étouffer sous le poids de toute la misère du monde. J’agonisais dans un caveau de pierre. Ma prison était plus ténébreuse que l’obscurité glaciale enchâssée dans la roche. J’étais non pas emmurée mais « pétrifiée », au sens littéral. J’étais asphyxiée au cœur même de la pierre. Mourir, voilà ce qui m’attendait ! En cette funeste nuit, je mourais de ce que l’on nomme une mort spirituelle, une « mort mystique ». La peur de l’anéantissement me poussa à demander secours et je prononçai ces mots, « aide-moi », d’une voix d’outre-tombe.
C’est alors que mon cœur pétrifié, mon cœur de pierre se fissura et se brisa. Il n’y eut pas de tremblement de terre, ni de montée de magma, ni d’éruption, ni d’explosion apocalyptique. Il y eut une grâce d’En-Haut, comme une substance de feu qui s’infiltra, fragmentant et fissurant, tout en douceur, le cœur de pierre. Il fallut le feu de l’amour afin de surmonter la résistance de ma prison, de mon tombeau, de ce cœur en béton armé. Un feu de joie embrasant mon cœur, puis tout mon être, m’unifia au Grand Tout, immergée dans ce que Romain Rolland nomme le « sentiment océanique ». Au cœur du brasier, je fusionnais. Il y eut un grand silence, un silence de mort, noir, suivi d’une lumineuse résurrection. Épousant la Lumière, je revenais à la vie après la mort. L’amour s’engouffra irrésistiblement, m’élevant dans la plénitude, vers une dimension si vaste et si bienveillante que les mots ne peuvent la décrire. J’étais sans limites, et m’abandonnant, je disais oui, un grand OUI. Je répondais à l’Appel de l’Amour par le verbe divin : oui, sans savoir de quoi il s’agissait exactement, comme lorsque j’épousais, quarante ans plus tôt, l’homme de ma vie, pour toujours. Un oui non pas enthousiaste mais passionné, brûlant et fer...

Table des matières

  1. Couverture
  2. Page de titre
  3. Copyright
  4. Permets que je chemine dans la beauté
  5. Éros et Thanatos
  6. Chapitre 1: L’appel : féconder les âmes
  7. Chapitre 2: Libérer sa lumière
  8. Chapitre 3: La symphonie de la vie
  9. Chapitre 4: Mélodie céleste
  10. Chapitre 5: Nelson Mandela et le petit prince discutent sous le baobab
  11. Chapitre 6: Parcelles d’infinies étoiles
  12. Chapitre 7: J’aime ma vie !
  13. Chapitre 8: Pleins feux dans l’obscurité
  14. Chapitre 9: En route vers notre cœur
  15. Chapitre 10. Écho entre l’ego et la liberté
  16. Remerciements
  17. Les auteurs
  18. Autres ouvrages chez Béliveau éditeur