Résilience et personnes âgées
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Résilience et personnes âgées

  1. 296 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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Résilience et personnes âgées

À propos de ce livre

L'anthropologue Germaine Tillion, résistante et déportée, travaillait encore à la veille de sa mort. Revenue de l'horreur, elle avait décidé de rire jusqu'à la dernière minute, suscitant autour d'elle un groupe d'amitié, d'entraide et de gaieté qui a duré jusqu'à ce qu'elle ait 101 ans. Pour beaucoup, la vieillesse fait tout perdre — la mémoire, la fraîcheur, le cerveau… Ce livre montre au contraire que la résilience est possible chez les personnes âgées. Réunissant des psychologues, des neurologues, un vétérinaire, des psychiatres et des gériatres, il fait comprendre comment interviennent dans ce processus vital les liens d'attachement, les interactions, la mémoire, mais aussi les émotions, la motivation ou encore l'humour et la musique. Louis Ploton est psychiatre, professeur émérite de gérontologie à l'université Lyon-II. Boris Cyrulnik est neuropsychiatre et directeur d'enseignement à l'université de Toulon. Avec Marie Anaut, Claude Béata, Alain Brossard, Michel Delage, Jacques Gaucher, Pascale Gérardin, Cyril Hazif-Thomas, Yves Kagan, Antoine Lejeune, Pierre Lemarquis, Jérôme Pellerin, Marion Péruchon, Jean-Pierre Polydor, Gérard Ribes, Serge Sirvain, Philippe Thomas, Mireille Trouilloud. 

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Informations

Éditeur
Odile Jacob
Année
2014
Imprimer l'ISBN
9782738130778
ISBN de l'eBook
9782738172211

Liberté, gestualité, personnes âgées

JEAN-PIERRE POLYDOR

Le temps apporte son lot de lumineux ravissements, mais aussi, et c’est inévitable, les cicatrices des chagrins qui sédimentent au fil des ans les malheurs extérieurs et intérieurs de l’insidieux vieillissement, les problèmes de santé et la perte de ce qui vous est cher. L’idéal de toute tentative de vivre longtemps est de bâtir une forme de bonheur. Et la résilience devient, pour bien vieillir, une nécessaire utopie. Le bonheur paraît si naturel quand on le vit, comme la satiété nous fait oublier l’idée même de la faim. Comte-Sponville1 nous dit : « Le bonheur n’est pas une chose ; c’est une pensée […] ; c’est une action » et, plus loin, il nous rappelle que, pour Aristote, ce serait une praxis. Les praxies, pour un neurologue, sont un corpus de savoir-faire gestuels, qui sont orientés vers un but, s’habiller ou saluer de la main par exemple. La résilience est classiquement liée à la mentalisation d’un état traumatique mais, chez les âgés, elle passe aussi par les gestes. Aristote a raison.

Les buts et les moyens de la communication

Dès 1969 Paul Eckman et Wallace Friesen parlent de « communication non verbale par fuites témoignant d’émotions non contrôlées », Dolto écrit en 1987 que « tout est langage » et Watzlawick (Palo Alto) affirme : « On ne peut pas ne pas communiquer. »
De fait, échanger est un acte capital, qui, sans être le propre de l’homme, est extraordinairement plus présent que dans les autres espèces animales. Communiquer est d’abord une activité égocentrée : se définir, se raconter, se présenter et se situer. C’est ensuite se saluer, reconnaître à l’autre la qualité d’interlocuteur, puis donner et recevoir des informations. Enfin, c’est collaborer et créer du lien social. De tout cela, nombre de personnes âgées ne voient plus l’utilité, la finalité, ni le plaisir.
On communique par les mots ou langage verbal et par une foule d’autres moyens qu’on appelle donc la « communication non verbale ».
La parole permet un flux abondant d’informations précises, une conceptualisation plus aboutie, donc des récits sur nos histoires de vie, des descriptions de l’environnement, des stratégies sociales et des stratégies de recherche de nourriture ou de partenaire sexuel plus fines, voire une spiritualité plus expressive et, bien sûr, de savants exposés, la transmission des savoirs. Si la richesse des mots amène la précision, le corpus des gestes du corps complète l’information transmise et dit l’essentiel dans des domaines différents, les plus importants dans la relation interpersonnelle quand elle exprime ce que nous ressentons.
Les chercheurs nord-américains se réfèrent souvent à Albert Mehrabian2, psychologue, qui s’est rendu célèbre pour avoir, en 1967, énoncé la « règle des 3V », quantifiant ainsi les trois modes de communication liés à l’affectivité : 7 % sont verbales, la signification des mots ; 38 % sont vocales, l’intonation, le rythme, le timbre de la voix et le niveau sonore, ce qu’il est convenu d’appeler le « paraverbal » ; 55 % sont visuelles, mimiques et langage du corps. « À moins qu’une personne ne parle de ses sentiments ou de ses états d’esprit, ces équations ne sont pas applicables », précise cet auteur.
D’autres chercheurs proposent 80 % pour la communication non verbale dont les deux tiers portés par l’expression du visage. Ces études prennent en compte non plus seulement les émotions, mais la totalité des échanges interpersonnels quelle qu’en soit la nature. Il est évident que la nature du matériel transmis va modifier la proportion des trois moyens principaux : si nous discutons de physique quantique, il est peu probable que la théâtralisation domine nos échanges. Dans la conversation courante, la conclusion est toujours la même : nous parlons surtout par des gestes (informatifs, illustratifs ou désignatifs). Ce qu’ont bien compris les Italiens.
Mais l’expression corporelle et le paraverbal ne résument pas la communication non verbale. Elle est diverse, multimodale, associant des attitudes, la distance (la proxémie), une communication d’objets et d’apprêts (la manière de se vêtir, de se coiffer, de se décorer de bijoux, de se farder), une communication olfactive (spontanée via les phéromones, ou manipulée par un parfum) et même le choix du lieu et du moment du dialogue. Enfin, l’aspect corporel porte lui-même de l’information : le « vieux » est identifié comme tel par les « autres » sur les stigmates du temps (rides, cheveux argentés, joues tombantes, dos voûté, etc.) et cela même chez les chimpanzés, qui changent d’attitude dès qu’ils voient quelques poils blancs sur un congénère, quand bien même s’agirait-il d’un leurre, de quelques coups de pinceau. De tout cela nous parlerons dans une autre histoire…
Dès que nous discutons, à des degrés divers, nous gesticulons sans y penser, dans toutes les cultures et à toutes les époques, ce qui est un indice de la place majeure des expressions corporelles dans les processus de communication. Dans le vieillissement normal, cette communication non verbale persiste. Même dans les affections comme la maladie d’Alzheimer, elle résiste jusqu’à des stades ultimes, noyau dur de la capacité à comprendre encore quelques bribes du monde. Ainsi que le dit Boris Cyrulnik, « la parole s’éteint, mais ils comprennent encore3 ». Le geste est ancré au plus profond de nous.
Les gestes intentionnels et ceux qui délivrent de façon involontaire des informations sont tous porteurs de sens. L’interactionnisme symbolique de l’école de Chicago propose qu’émetteur et receveur partagent un dictionnaire des codes gestuels. L’émetteur se fait une représentation de ce que perçoit le receveur, il formate les gestes conscients et certains autres dont il a moins conscience pour les rendre compréhensibles à cet interlocuteur particulier. Le receveur, via un processus d’interprétation, donne un sens à chaque geste. Quand on est « en phase », ainsi que le dit l’intuitive expression populaire, le courant passe : on se comprend.
Mais tout n’est pas si simple, mots et gestes ne sont pas isolés dans deux compartiments étanches. Selon Scherer, « l’étude de la conversation exige la prise en compte à la fois des relations structurales entre les signes verbaux et non verbaux utilisés dans la communication aussi bien que leur signification fonctionnelle pour la transmission de l’information4 ».
La dictature de la vision interfère parfois, le même exposé scientifique délivré par un brillant professeur à l’aspect de professeur ou par une brillante jeune femme aux vêtements et coiffure, mimiques, allures et postures de bimbo, ne sera pas reçu avec la même efficacité dans un public de mâles classiques et de femmes ironiques. L’image de l’orateur nous apporte cependant des précieux compléments d’information par exemple sur ses certitudes, sa crédibilité, sa sincérité et c’est le talent des bons communicants que de nous faire passer des messages, parfois des mensonges, par la séduction d’une mimique et d’une gestuelle très affirmatives. Gregory Bateson, un pilier du mouvement de Palo Alto5, propose le concept de « double contrainte ». On peut adresser simultanément, par les mots et les gestes, deux messages qui se renforcent ou se contredisent. Le discours du corps joue ainsi un rôle capital. La puissance des gestes peut même écraser la signification des mots. Si on hoche la tête de bas en haut pour emporter l’adhésion, en parlant joyeusement, avec conviction (paraverbal) et si on a un ascendant sur le sujet (le docteur versus le patient), on peut affirmer à son interlocuteur que la maison est en feu, mais qu’on va sauter du 3e étage : il retiendra le message positif et acceptera l’idée folle de cette évasion impossible.
Le métacontexte est la position de chacun. Il agit en changeant le sens de la relation. La position sociale, on l’a vu dans l’exemple ci-dessus, joue un rôle : certains âgés habitués à commander vont garder leurs manières de faire dans des contextes où ils n’ont nul droit à l’autorité, à la maison, dans leur immeuble, en institution surtout, d’où des conflits. Le même message émis par le père vers le fils ou le contraire n’aura pas la même signification. La dépendance liée à l’âge va inverser les rapports enfant-parent et introduire une complexité supplémentaire, parfois une contradiction entre mots et gestes.
Bien sûr, le même geste n’aura pas le même sens selon les circonstances dans lesquelles il est exprimé, le contexte, la nature de l’interlocuteur, sa répétition et sa rythmicité. Il est aussi entouré d’autres gestes qui lui donnent un cadre, l’enchaînement de ces éléments de langage porte du sens, on ne peut l’isoler de son contexte.

L’empire des sens

Au-delà de la catégorie des praxies, une foule d’autres gestes sont porteurs d’informations que toute personne qui vous observe sait décoder avec une marge d’erreur acceptable. Certains traduisent des émotions et tout le monde peut voir si vous avez peur d’un chien, y compris le chien. D’autres définissent votre position dans le groupe et on distingue bien le donneur d’ordre du serveur, du subalterne. Quelques gestes soulignent, renforcent ou contredisent ce que racontent vos mots. D’autres gestes vous racontent – autoritaire, maniéré, so British ou méditerranéen, appartenant à la tribu des révoltés ou des bobos… Chaque geste, conscient ou non, est marqué d’un code.
La classification des gestes n’est pas chose aisée ; la plus utilisée est celle de Paul Eckman et Wallace Friesen, qui distinguent cinq catégories :
1. « Les gestes emblématiques », intentionnels, remplacent un ou des mots, une phrase entière, et sont compréhensibles seulement par les membres d’un groupe auquel appartient la personne qui les pratique.
2. « Les gestes illustrateurs » sont directement liés au discours, parfois pour le souligner, parfois pour mimer une action ou pour désigner un objet présent, mais toujours centrés sur ce qui est dit.
3. « Les expressions affectives », surtout la mimique, expriment des émotions, certaines universelles, d’autres plus connotées par la culture.
4. « Les gestes régulateurs », souvent involontaires, peu conscients, régissent le déroulement de l’échange ; ils ne portent pas de messages, mais sont nécessaires pour maintenir le dialogue.
5. « Les gestes adaptateurs » ont pour but de satisfaire un besoin, de coordonner des actions corporelles (se maquiller, se laver, etc.) ou de réguler les rapports au monde (attaque/défense, affection).

Grand-père bouge encore

Les gestes de la vie en société évoluent au fil de la vie. Le bébé mime ses parents. L’adolescent imite ses copains, L’adulte tente de s’adapter au milieu dans lequel il évolue. La gestualité se modifie en vieillissant et elle peut participer à bâtir une forme nouvelle de bonheur résilient. Les dons d’imitateur sont moins fréquents chez les octogénaires que chez les enfants de 8 ans, ce qui ne veut pas dire que les « vieux singes n’apprennent plus à faire la grimace », mais ce ne sera pas leur mode de communication privilégié.
Derouesné, à propos des démences liées à l’âge, constatait en 2005 « la pauvreté de la littérature médicale sur la communication en général et la communication non verbale en particulier6 ». Quelle gageure que de vouloir en plus spéculer sur une gestuelle spécifique aux personnes âgées alors que la variété individuelle est si grande ?
Quelques grandes lignes vont guider cette quête. En premier lieu, la plupart des signifiants symboliques des âgés plongent leurs racines dans le terreau d’un passé dont seuls les proches connaissent la teneur précise, et certains de ces codes font référence à une cohorte de conventions aujourd’hui obsolètes, comme la manière de se tenir à table. Ensuite, la variation interindividuelle est grande, chacun peut réagir à des signes particuliers, renvoyant à des valeurs ou des épisodes de vie personnels, qui peuvent l’émouvoir, le vexer ou le brusquer de façon pérenne. Comme il est impossible de psychanalyser chaque sujet âgé, les fautes de communication sont inévitables d’autant que les codes portés par nos gestes appartiennent souvent au non-dit. Puis, considérons que chacun a ses handicaps sensoriels et des maladies différentes qui ne sont pas toutes mentales, mais vont interférer avec les mouvements du corps et avec ceux perçus chez l’autre. Enfin, l’environnement s’étiole et la négative attitude s’épanouit.
La réduction des événements, de la nouveauté et des opportunités de rencontres dans la vie des âgés diminue insidieusement le nombre et la richesse des récits, des échanges stimulants. Du fait de l’épure des gestes informatifs, des gestes qui accompagnent et soulignent la parole, les stéréotypes finissent par envahir la communication. Le verbe se fige et le geste s’efface. Il radote.
La zéro-motivation s’installe. Les échanges interpersonnels s’estompent avec le glissement dans le grand âge. Dégagées des obligations liées au travail, des enjeux de la vie sociale, certaines personnes âgées peuvent se demander à quoi bon discuter. Ceux que nous côtoyons sont les survivants de leur génération ; leur conjoint, leurs amis sont souvent partis vers le Grand Tout – au mieux (ou au pire), ils sont très malades, peu mobiles ou très déprimants par l’inexorable litanie de leurs problèmes de santé. L’ennui les gagne, le spleen les condamne. Ils conservent une relation avec leurs dernières figures d’attachement, le conjoint s’il est là, les enfants et petits-enfants, un aidant professionnel ou un ami, un animal de compagnie. La société a fait exploser ce schéma classique d’une cellule familiale géographiquement proche et affectivement soudée.
Qu’ils soient dépressifs, apathiques ou bons vivants, plus que les mots, ce sont les gestes qui dévoilent les états mentaux des âgés.
Nous parlerons peu ici des gestes accomplis dans le cadre d’un rituel, religieux, familial, corporatiste ou autre. Le partage des rituels au sein d’une communauté crée un agréable sentiment d’appartenance. Outre ceux qui ont toujours vécu une spiritualité, on voit souvent nos semblables dont la vie d’adulte a été captée par la quête ...

Table des matières

  1. Couverture
  2. Page de titre
  3. Copyright
  4. Table
  5. Résilience âgée ? - BORIS CYRULNIK
  6. Créativité, humour et résilience avec l’avancée en âge - MARIE ANAUT
  7. Du côté de l’animal âgé : résilience et vieillissement, un autre point de vue - CLAUDE BÉATA
  8. Famille et résilience dans le vieillissement - MICHEL DELAGE
  9. Les interactions tardives - ANTOINE LEJEUNE
  10. Vieillissement, musique et résilience - PIERRE LEMARQUIS
  11. Liberté, gestualité, personnes âgées - JEAN-PIERRE POLYDOR
  12. Ces oublis impossibles ou le désir d’oublier… - PASCALE GÉRARDIN
  13. Maladie d’idéalité et résilience : destins possibles - MIREILLE TROUILLOUD
  14. Motivation, résilience et avancée en âge - CYRIL HAZIF-THOMAS PHILIPPE THOMAS
  15. Les ressorts psycho-dynamiques de la résilience dans le vieillissement - MARION PÉRUCHON
  16. Le travail psychique de résilience chez l’âgé - La fonction des mécanismes de dégagement : relire et relier sa vie JACQUES GAUCHER et GÉRARD RIBES
  17. Vieillissement et résilience : quid de la théorie de l’esprit ? - ALAIN BROSSARD
  18. Grand âge, âgisme et résilience - YVES KAGAN et JÉRÔME PELLERIN
  19. En guise de conclusion - SERGE SIRVAIN et LOUIS PLOTON
  20. Les auteurs
  21. Quatrième de couverture