L' Enfant doué
eBook - ePub

L' Enfant doué

L’Intelligence réconciliée

  1. 352 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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L' Enfant doué

L’Intelligence réconciliée

À propos de ce livre

Comment aider un surdoué à utiliser ses capacités hors du commun ? Comment l'accompagner au quotidien, dès l'enfance ? Comment le guider, adolescent, à l'école, au lycée ? Comment faire pour qu'il s'épanouisse dans sa vie d'adulte ? Exhaustif et pratique, cet ouvrage répond aux questions sur les tests, les rapports avec l'institution scolaire, la fratrie, les autres. Et, surtout, il propose des solutions, donne des techniques, ouvre des perspectives.- Comment, que l'on soit parent, enseignant ou thérapeute, identifier un enfant, un adolescent, un adulte doué ? - Comment l'aider à apprivoiser son potentiel, à le gérer, à l'optimiser ? - Comment lui rendre sa confiance en lui, quand sa différence l'incline à s'extraire de la communauté ? - Comment le réconcilier avec lui-même et lui redonner le goût, la fierté de son intelligence ? - Comment accompagner les adultes, ces enfants doués non reconnus qui ont un jour la révélation de leur potentiel et sont amenés à revoir toute leur existence sous un angle nouveau ?Arielle Adda est l'une des premières psychologues à s'être intéressée en France aux enfants doués. Elle travaille depuis plus de trente ans avec des enfants comme avec des adolescents et des adultes. Hélène Catroux est psychopédagogue, consultante à Paris, où elle reçoit beaucoup d'enfants en difficulté scolaire ; enseignante et formatrice, elle participe à la mise en place d'une pédagogie personnalisée à l'école La Garanderie, à Lausanne, qui accueille des enfants doués.

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Informations

Éditeur
Odile Jacob
Année
2003
Imprimer l'ISBN
9782738113597
Troisième partie
Les désarrois
de l’enfant doué
Un chemin personnel
(Arielle Adda)
L’explorateur qu’est l’enfant doué n’aura pas besoin de s’abriter derrière une pensée toute faite ni de se protéger par des citations d’auteurs connus et reconnus qu’il suffit de copier pour avoir l’air d’un connaisseur averti, cultivé et à l’esprit ouvert. Le risque n’est jamais bien grand quand on suit une pensée socialement correcte, même si elle se pare de quelques oripeaux en apparence provocateurs ou iconoclastes.
L’enfant doué ne se laisse pas détourner : il suit sa propre route, même quand il souffre de son isolement, mais il parvient mal à se plier aux normes fixées par une pensée couramment admise, qu’il conteste, comme malgré lui, par son existence même. Il veut avoir le droit de lire les livres qui le passionnent, sans attendre l’âge prescrit, il veut apprendre tout ce que la science a découvert au sujet des animaux préhistoriques, des champignons, des météorites, des glaces polaires, sans pour autant se sentir un être à part, un peu fou avec son goût surprenant pour un sujet si ardu. Il est attiré vers un domaine d’étude, avec l’élan intense qui le caractérise, et il admet mal de devoir se freiner ; il s’irrite des stupides délais qu’on lui impose sous le prétexte qu’il doit préférer jouer, parce que c’est une obligation de profiter de son âge heureux, encore ignorant des contraintes et des devoirs. Il désire plus que tout « apprendre ». Alors doit-il s’imposer une frustration, bien plus pénible à supporter que les longues heures d’études austères qu’il souhaite vivre en paix, sans être aussitôt considéré comme un déviant à ramener d’urgence à la norme ?
Adulte comme enfant, il est ardu de persévérer dans son obstination, de faire front, souvent dans la plus complète des solitudes, parce qu’on éprouve une passion ou qu’on s’est fixé un idéal qu’on se refuse à oublier. La petite lueur subsistant au fond de ceux qui ont fini par se faire une raison peut toujours être ranimée s’ils en retrouvent l’audace : elle est la marque des individus doués, même quand ils se sont consciencieusement et longtemps appliqués à l’oublier et à se comporter le plus normalement du monde.
On ne doit pas laisser s’éteindre cette lumière chez les enfants doués, porteurs de tant de promesses.
Une extrême sensibilité
Son affectivité est tout aussi incomprise et malmenée. Aussitôt, on évoque cette fameuse immaturité affective, qui compense dans l’esprit de la société un surcroît de dons intellectuels, afin qu’une juste répartition des qualités soit assurée.
Ce soi-disant manque de maturité reflète, en réalité, une extrême sensibilité. Certains de ces enfants paraissent désarmés, démunis face à l’agressivité. Ils sont très facilement blessés et ne tardent pas à se sentir perpétuellement écorchés, parce qu’ils n’ont pas eu le temps de cicatriser entre deux attaques. On pourrait les penser susceptibles ou détestant les critiques ; en réalité, ils souffrent de n’être pas tels qu’on les espère et prêtent aux critiques les plus anodines le pouvoir de mettre cruellement en évidence leurs défauts.
Cette sensibilité exacerbée est difficile à concevoir : on ne peut imaginer à quel point ils sont démunis de carapace, on pense que leurs phrases bien construites, leur vocabulaire si riche rendent compte d’une personnalité bien affirmée, bien protégée, solide et capable d’affronter remontrances et jugements.
Pierre, qui n’a pas 5 ans, dit : « Le courage, c’est quand on domine sa peur. »
Cette phrase est admirable pour plusieurs raisons : c’est, tout d’abord, une des meilleures définitions du courage que l’on puisse donner ; mais elle met aussi en évidence la concision, la précision et la capacité de synthétiser la pensée des enfants doués. L’élégance de la phrase et le choix du mot juste sont naturels : Pierre s’exprime comme il pense, avec rigueur et sobriété. De surcroît, il donne une réponse réfléchie, approfondie, il ne parle pas en l’air, il recherche la meilleure façon d’exprimer sa pensée. Ces quelques mots suffisent à démontrer le fossé qui sépare l’enfant indifférent et encore immature de celui qui ne ménage pas ses forces dès qu’il s’agit de rechercher la perfection.
Dans cette définition, il y a aussi l’expression d’une autre recherche, celle de la maîtrise de ses sentiments. Pierre sait qu’il faut se montrer courageux dans de multiples occasions de la vie quotidienne. On tombe ? On ne pleure pas, même si on a eu très peur. On doit affronter une situation inconnue ? On refoule son angoisse pour ne pas donner l’image d’un petit garçon terrorisé, qui ferait honte à ses parents. On doit rencontrer des enfants dont on ne sait rien – et Pierre a déjà une grande expérience des enfants agressifs et brutaux ? On ne montre pas son appréhension, de crainte que ces enfants ne devinent cette faiblesse et profitent de l’occasion pour en rire un peu.
Pierre a déjà appris la maîtrise de soi, le stoïcisme, il s’entraîne à l’exercice de la virtus, la force d’âme des Anciens. Pourtant, à son âge encore si tendre, on penserait qu’il a bien le droit de manifester sa peur, on lui pardonnerait volontiers cette défaillance : il est si petit, si faible, encore tellement ignorant de la vie. Cependant, lui sait déjà qu’il faut apprendre à « dominer sa peur ».
La sensibilité des enfants doués est encore accrue par la conscience à la fois aiguë et indéfinissable de n’être pas exactement semblables à leurs camarades. Ce sont de subtiles, mais constantes, différences qui créent vite une impression de mise à l’écart à l’occasion d’infimes événements : une réaction à une plaisanterie dont ils sont seuls à rire, ou à ne pas rire, une manifestation de générosité qui pourrait sembler incongrue, des larmes intempestives à l’écoute d’une histoire émouvante que leurs camarades ont écoutée comme ils auraient écouté d’autres contes… Comment un jeune enfant, soucieux de conformisme par goût de l’ordre et de l’harmonie, va-t-il supporter ce constant décalage ? Il se pensera un peu marginal, voire idiot – ce que les autres ne se privent pas toujours de lui confirmer –, ou bien, plus grave, franchement fou et donc destiné à vivre à l’écart, enfermé dans un univers peuplé d’individus « bizarres » qui lui ressembleront.
Les « difficultés d’intégration »
Il existe des remèdes à ce malaise, appliqués par la force des choses quand les « difficultés d’intégration » – objets de si nombreuses consultations – deviennent trop importantes. Avec le manque de maturité, ces difficultés seraient le signe incontestable du caractère compliqué et même tortueux de l’enfant doué. Or elles s’aplanissent comme par miracle quand cet être complexe se trouve dans la compagnie d’enfants d’âge différent.
Avec les plus jeunes, il peut parler comme il le désire : ses cadets l’admirent de toute façon et ne s’étonnent pas de ne pas tout comprendre ; il leur enseigne ce qu’il sait et il est écouté, c’est un « grand », mais particulièrement patient et attentif avec les petits. Il peut se laisser aller à la tendresse, abandonner pour un temps ses défenses, à l’ordinaire indispensables, et il savoure comme il convient cette trêve. L’unique inconvénient de cette situation apaisante sera de s’entendre décrire comme tellement immature qu’il ne se trouve bien que dans la compagnie d’enfants plus jeunes, des « bébés » auxquels il ressemble.
Avec les plus âgés, il écoute de toutes ses oreilles parler d’un monde qu’il connaît encore à peine, et qui l’attire ; son humour est apprécié, et, comble de bonheur, il peut être chouchouté en tant que benjamin sans pour autant être considéré comme un bébé sans intérêt. Pour une fois, il n’est pas obligé de surveiller son langage et son vocabulaire, des enfants seulement un petit peu plus âgés que lui ne s’étonnant pas de l’entendre parler comme eux : ils n’ont pas encore eu le temps d’intégrer les normes émises par des pédagogues soucieux de classement bien ordonné.
Ces « difficultés d’intégration » sont donc prêtées à un enfant délicat, sensible, parfois poète, doté d’une intuition lui permettant de comprendre ses émotions et les sentiments de son entourage sans qu’il soit besoin de la moindre explication. C’est pourquoi, d’ailleurs, il réagit si douloureusement à l’agressivité : il en perçoit toute la violence et la méchanceté bornée et jalouse. Rien d’étonnant alors à ce qu’il se sente profondément blessé. Il ne sait pas relativiser les manifestations d’une fureur dirigée contre lui sans qu’il comprenne ce qui l’a fait naître, mais il sait discerner l’intention perfide, cachée sous la raillerie, et l’écrasant sentiment de supériorité de ceux qui évoluent à leur aise dans un monde fait pour eux.
Tant d’assurance chez les autres le conforte dans l’idée qu’il lui manque un mode d’emploi que tous les enfants, certainement plus intelligents, plus savants et mieux armés que lui, maîtrisent habituellement depuis longtemps. Il lui paraît si naturel de saisir les intentions cachées, les sentiments obscurs, que les autres ne s’avoueraient même pas, qu’il n’y voit aucune supériorité, mais, au contraire, une faiblesse de plus, faisant de lui une victime désignée. Il a parfois l’impression de n’avoir pas suivi les mêmes cours, d’avoir appris d’autres leçons ou encore d’avoir tout compris de travers. Il est le seul à se sentir pétrifié par une violence qu’il perçoit au-delà des mots énoncés, tandis que d’autres n’y verraient qu’une maladresse dans l’expression ; ce n’est donc pas tout à fait le même langage qui est employé, puisqu’il entend au-delà du sens ordinaire et qu’il réagit à ce qu’il a entendu, non à ce qui a été formellement exprimé.
À quel moment y a-t-il eu une erreur ? Manifestement, l’enfant doué souffre d’une carence, d’un déficit qu’il faut détecter afin de le traiter avec efficacité. Son métabolisme est différent, mais à son âge tout peut encore rentrer dans l’ordre. Comme certains doivent se soigner en prenant du calcium, du magnésium ou de complexes molécules pharmaceutiques, lui devra prendre une dose de conformisme tous les matins avant d’aller à l’école, et il verra comme il sera alors heureux.
On doit tout de même rappeler que cette faculté d’entendre non ce qui est dit, mais ce qui s’exprime par-delà le langage permet des échanges enivrants quand deux individus pareillement doués peuvent se comprendre à demi-mot ou sans mots du tout, d’un simple regard, d’un bref sourire. Fortifiés par cette complicité, ils laissent alors les autres trahir leurs sentiments néfastes, heureux de découvrir qu’ils ne sont pas seuls à parler ce langage subtil et pudique.
C’est, bien entendu, tout le bonheur qu’on leur souhaite, et on peut les aider à le savourer en leur donnant l’opportunité de rencontrer des semblables. Il ne faut pas s’imaginer que la confiance s’établira d’emblée – ces enfants sont prudents –, mais peu à peu ils découvriront le savoureux plaisir de la complicité.
L’échec paradoxal
des enfants doués
(Arielle Adda)
Les enfants doués surprendront toujours leur entourage, même quand celui-ci pense avoir déjà tout vu et tout connu.
Il en va ainsi quand on voit avec étonnement un enfant plonger subitement dans un profond désespoir ou bien exploser sous l’emprise d’une colère effrayante pour un motif qui semble vraiment dérisoire : une construction qui vacille, un dessin maladroit, enfin une défaillance d’une importance si minime que personne n’y aurait prêté attention si la réaction disproportionnée de l’enfant doué n’avait dramatisé l’affaire.
Chassé du paradis
Tout a pu commencer très tôt, dès la maternelle : les enfants doués, qui attendent tant de l’école, y vivent parfois un drame, avec une intensité difficile à concevoir quand on oublie la passion qui les mène en toute occasion.
Au début, tout va bien : la maîtresse est gentille, elle apprend à faire des choses intéressantes, et puis, un jour, cela se dégrade, sans cause apparente. En fait, il ne s’agit que d’un fait insignifiant, négligeable : une tâche mal accomplie, et la maîtresse dit : « Ce n’est pas bien, tu as mal travaillé. » Pour l’enseignante, il ne s’agit que d’une remarque ponctuelle, tout à fait anodine, qui sera vite oubliée ; mais elle a été comprise par l’enfant comme un jugement définitif. Lui qui s’appliquait, qui voulait réussir, faire plaisir et en être complimenté se sent rejeté dans les ténèbres extérieures : il n’est pas bien, donc mauvais, il ne vaut plus rien, il a déçu, il est « fini », comme on le dit des sportifs vieillissants qui ratent leur ultime prestation.
Cet enfant a basculé dans ce qui lui semble un enfer sans que personne se doute de quoi que ce soit. Désormais, il ne veut plus retourner à l’école, il en est malade, il pleure, il a mal au ventre ; il ne revit un peu qu’au moment des vacances. Pour lui, la vie sera une longue suite de perspectives grises, tout accomplissement glorieux lui étant maintenant interdit : il n’est pas bien, il est nul, bon à jeter.
Pour comprendre ce mécanisme, qui semble bien compliqué et surtout hors de proportion, il faut savoir que, jusqu’à cette terrible catastrophe, on lui disait toujours « C’est bien ! », approuvant son application et sa bonne volonté. Un enfant tellement attentif, et que sa facilité comble, en outre, de multiples grâces, mérite bien tout l’amour qu’on lui porte. Il sait que « C’est bien ! » comporte surtout un jugement moral et « Ce n’est pas bien ! » une désapprobation du même ordre. Il a donc mal agi, comme s’il avait volé, menti, délibérément accompli une mauvaise action. Il est un vilain enfant, ou bien la maîtresse le considère comme tel – ce qui revient au même, la parole de la maîtresse étant sans appel.
Une fois l’événement compris, on peut essayer de remettre un peu d’ordre dans la confusion du jugement de valeur, en prenant un exemple concret et éclairant : pour un gâteau raté ou brûlé, on ne va pas mettre la cuisinière à la porte et lui retirer toute reconnaissance de son travail – d’autant plus que cette cuisinière accidentellement maladroite est généralement aussi la mère de famille et que personne ne songerait à la priver d’une parcelle d’amour parce qu’elle a oublié un plat dans le four.
Reste à convaincre un enfant affligé et ...

Table des matières

  1. Couverture
  2. Titre
  3. Copyright
  4. Avant-propos
  5. Première partie - Qu’appelle-t-on un enfant doué ?
  6. Deuxième partie - Les ressources de l’enfant doué
  7. Troisième partie - Les désarrois de l’enfant doué
  8. Quatrième partie - Le rôle des parents
  9. Cinquième partie - L’adulte doué : trouver son chemin
  10. Épilogue
  11. Questions fréquentes
  12. Adresses utiles
  13. Bibliographie
  14. Remerciements
  15. Index