J'ai un enfant quand je veux
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J'ai un enfant quand je veux

  1. 240 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
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J'ai un enfant quand je veux

À propos de ce livre

Devenir mère est désormais pour les femmes quelque chose qu'elles souhaitent contrôler et planifier, pour lequel elles s'organisent. Du chemin a été parcouru, mais tout n'est pas encore parfait, loin s'en faut. Ce qui manque encore trop souvent, ce sont des mesures qui permettent de concilier le temps du travail et le temps de la famille. Autrement, on crée des femmes acrobates, qui s'épuisent à force de bondir de la crèche au bureau, puis du bureau à la crèche et ensuite à la maison. Ce livre raconte de manière très illustrée le parcours de toutes ces femmes qui, aujourd'hui, utilisent les progrès de la science pour contrôler leur fertilité, mais aussi pour faire un enfant à un moment qui est décidé par elles, et non plus lorsque cela vient tout seul, par la nature. Reste toutefois à harmoniser le temps social et le temps biologique pour que la grossesse demeure une joie et l'enfant un bonheur. Willy Pasini est psychiatre, sexologue, psychothérapeute. Il est l'auteur de nombreux ouvrages qui sont de grands succès, parmi lesquels À quoi sert le couple ?, La Force du désir et, plus récemment, Libre et parfois effrontée. Il a vendu plus de 7 millions d'exemplaires dans le monde. 

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Informations

CHAPITRE 1

Des femmes acrobates qui jonglent entre plusieurs rôles


Passé et présent

Nos ancêtres ont longtemps suivi une chaîne d’événements. Les parents décidaient à la place des fiancés, les intérêts familiaux primant sur les sentiments des personnes. Les unions et les enfants se faisaient pour réunir des terres, voire des peuples. Le collectif l’emportait sur l’individuel. Les deux fiancés se mariaient avec l’accord des parents et du curé. Après la cérémonie religieuse venait la nuit de noces, au cours de laquelle ils avaient leur premier rapport sexuel. Rapidement naissait un premier enfant. Le temps du couple était bref, il devenait rapidement famille. Le rôle de la femme était bien défini : il s’agissait pour elle de s’occuper de la maison et surtout d’avoir des enfants. La stérilité était considérée comme une maladie ou une malédiction envoyée par les dieux. On mettait des oreilles de lapin au bord des lits et, dans les familles aisées, on offrait aux femmes des émeraudes censées favoriser la fertilité. Dans certaines cultures, une femme stérile pouvait même être répudiée. Pour la même raison, la ménopause était une sorte de fin de la vie pour les femmes. D’une certaine façon, on raisonnait encore en termes de survie, qu’il s’agisse de l’espèce, de la famille ou du patrimoine. Il fallait des enfants, et parfois beaucoup dans les milieux populaires pour compenser la forte mortalité infantile et fournir la main-d’œuvre nécessaire : avoir beaucoup d’enfants constituait une forme d’assurance vieillesse.
Aujourd’hui, chez les riches comme chez les pauvres, les choses ont bien changé. Vouloir un enfant est devenu un « bien » coûteux et parfois très fortement concurrencé – par le travail, les voyages, les vacances, une nouvelle voiture, etc. Le désir d’être parent est laissé à la volonté individuelle, ce qui explique l’ambivalence de certaines femmes et de beaucoup de couples. Plus précisément, disons que, depuis une cinquantaine d’années, on a assisté à un changement profond des mentalités et des comportements. Au lieu d’avoir un enfant très vite, les femmes prennent désormais du temps pour autre chose (sexe, carrière, argent, politique, etc.). Même si la télévision et les médias continuent parfois à les peindre comme des créatures soumises aux hommes, elles vivent dans un monde qui leur reconnaît plus de liberté. Est-ce à dire que les femmes sont désormais totalement libres ou, du moins, aussi libres que les hommes ?
Les avis divergent. En 2004, le prix Nobel de littérature a été attribué à Elfriede Jelinek, auteure autrichienne qui est, depuis toujours, du côté des femmes et contre les idéologies conservatrices. Pour autant, son livre Les Amantes est une fable cynique où la valeur de l’amour est éclipsée par les difficultés concrètes que rencontrent les protagonistes. Entre le travail en usine et la nécessité d’être mère, le destin des deux jeunes filles de province est tracé dès le départ : elles ne connaissent aucune autre manière que le mariage avec un homme souvent inférieur à elles. Ce roman surprend d’autant plus qu’il est signé par une féministe qui a œuvré pour faire voler en éclats les stéréotypes machistes, mais la réalité a-t-elle à ce point changé dans la vraie vie ? À côté de textes qui invitent la femme à être plus libre et à renforcer son estime de soi, d’autres éléments montrent l’inverse. Par exemple les journaux féminins continuent d’être remplis de conseils sur la façon d’être bien avec son compagnon et celle de continuer à le séduire après le mariage. De nombreuses statistiques indiquent par ailleurs que les femmes d’aujourd’hui passent toujours beaucoup de temps à penser à l’homme idéal, qu’elles souffrent davantage quand finit une histoire d’amour et qu’elles s’adressent plus fréquemment à un psychothérapeute dans ce cas. Cela étant dit, si amour, sexualité et procréation s’enchaînaient automatiquement par le passé, on observe chez les femmes d’aujourd’hui une double scission : non seulement le sexe est souvent séparé de la procréation, mais il l’est parfois également du cœur.

Le sexe et la procréation

Depuis la légalisation de la pilule contraceptive il y a une cinquantaine d’années, la femme et le couple jouissent d’une sexualité affranchie de la contrainte procréative. Cette contrainte créait des comportements sociaux et individuels qui protégeaient les sociétés plus que les femmes. Les mères célibataires étaient mises au ban ; la virginité était garante, pour sa famille et celle de son fiancé, que la jeune fille n’avait pas eu d’aventure cachée. Cette obsession pour la virginité vaut encore aujourd’hui dans certaines cultures. J’ai ainsi reçu au planning familial un couple de parents kosovars qui me demandaient un certificat de virginité. Ils avaient appris qu’un Français dans leur quartier se vantait auprès de ses copains d’avoir eu des rapports sexuels avec leur fille Haisha, âgée de 16 ans. Nous avons donc recousu cette jeune fille avant de faire le certificat aux parents pour qu’elle ne soit pas tuée. En 2018, la virginité de cette jeune fille appartenait encore à sa famille…
En Italie, on a longtemps mis les draps avec le sang de l’hymen à la fenêtre dans les rues de Naples et on disait aux filles d’être vierges (mais pas chastes) jusqu’au mariage. Je me rappelle, quand j’étais adolescent, ces jeunes filles qui acceptaient de flirter avec des hommes, mais qui protégeaient leur virginité au point de parfois proposer la sodomie comme alternative. Les rapports oraux réciproques, aussi, étaient possibles. On savait que tel professeur de lycée ou tel entraîneur de natation avaient ainsi des relations intimes avec certaines de leurs élèves de 16 ans.
La découverte, il y a vingt ans environ, de nouveaux traitements contre la stérilité atteste la même séparation entre sexualité et procréation, qu’il s’agisse de sperme concentré inséré par le gynécologue dans le vagin de la patiente, d’ICSI (insémination d’un ovule par micro-injection d’un spermatozoïde) ou d’autres techniques de FIV – notamment de la congélation d’ovules, fécondés ou pas. Cette séparation n’a pas nécessairement de séquelles psychologiques négatives. Conçus dans les cavernes, puis dans les chambres à coucher, les enfants sont désormais parfois conçus dans des laboratoires. Ce n’est pas un problème dramatique pour peu que, dans la tête de ses parents, il soit perçu comme un produit de l’amour et de leur désir de couple.
Au début, la liberté offerte par la pilule contraceptive a pu créer des excès de jalousie chez certains hommes, mais ceux-ci se sont vite adaptés, déléguant sans trop se faire prier le contrôle contraceptif aux femmes. Certains ont payé cher cet abandon. Ainsi Jérôme, 50 ans, marié et père de 3 enfants, qui avait en parallèle une aventure avec une collègue de travail avec laquelle il vivait une sexualité satisfaisante. Sa maîtresse lui a menti, disant qu’elle prenait la pilule ; après trois mois de grossesse, pour ne plus pouvoir avorter, elle lui a avoué qu’elle était enceinte. Jérôme n’a pas divorcé, mais il a dû reconnaître l’enfant et verser pendant vingt ans une pension alimentaire. Autre exemple : celui de cette jeune médecin de 30 ans qui voulait un enfant et a menti à son compagnon sur les dates de ses dernières règles. Elle est tombée enceinte. Dépassant son syndrome de Peter Pan, celui-ci s’est décidé à l’épouser après la naissance de l’enfant.
Le contrôle de leur fertilité a rendu la plupart des femmes occidentales heureuses, mais, dans certaines régions du sud de l’Europe, d’Amérique et d’Afrique, être mère reste encore la fonction principale de la femme. Pour les autres, au lieu d’une maternité imposée, on a abouti à une procréation responsable. On remarquera à ce sujet que le désir des individus peut rester longtemps en opposition avec la politique prônée par les institutions publiques. J’ai travaillé pendant de longues années pour la Fondation Ford sur les aspects psychologiques de la régulation des naissances et j’ai pu constater à plusieurs reprises que les pouvoirs publics ou l’Église continuaient d’intervenir sur les débuts de vie. Il suffit de mentionner la politique de l’enfant unique en Chine ou les nombreuses campagnes de l’Église catholique contre la pilule contraceptive et le préservatif.

Le sexe et le cœur

Désormais, et c’est l’autre séparation que je mentionnais, il ne faut plus être amoureux ou aimer pour avoir une sexualité active. J’ai longtemps pensé que les hommes allaient s’adapter au modèle féminin et rapprocher le sexe et le cœur ; en réalité, c’est l’inverse qui s’est produit : les femmes ont désormais une vie sexuelle même quand elles ne sont pas amoureuses. Ce qui entraîne chez tout le monde de nouveaux comportements…

Des adolescentes plus libres, mais plus vulnérables

Les ados d’aujourd’hui ont dissocié le sexe du cœur, et le danger n’est plus la grossesse indésirable, mais les MST et le sida. Le temps du flirt étant désormais très réduit, les jeunes filles peuvent aussi tomber plus fréquemment sur des hommes qui les violentent. Aux États-Unis, on a suivi dans une étude une population de jeunes filles à qui l’on avait appris que dire non ne se faisait pas quand on avait reçu une bonne éducation et on a constaté à cette occasion qu’elles étaient plus facilement la proie des hommes qui leur faisaient la cour… Les adolescentes qui aiment le soleil du printemps et se déshabillent sur les plages l’été subissent également les attaques de certains hommes pour qui cette nudité appelle à la sexualité. En Italie, plusieurs jeunes touristes allemandes en ont fait l’expérience…

La différence d’âge

C’est un tabou qui a sauté plus facilement que la différence de classe. Aujourd’hui, si certains footballeurs ou certaines showgirls arrivent à se hisser sur l’échelle sociale, dans la plupart des cas, la fable de Cendrillon reste une fable. En revanche, les différences d’âge dans les couples sont plus fréquentes, offrant des configurations variées1.
  • L’homme est plus âgé. C’est ce que l’on appelle traditionnellement le « syndrome de Mathusalem » (bien que ce dernier ait agi de la sorte pour donner des enfants à sa patrie, sa première femme étant ménopausée). Aujourd’hui, les hommes plus âgés cherchent une femme plus jeune parce que leur désir érotique renaît auprès d’elle, qu’ils se sentent rajeunir ou qu’ils peuvent développer leur côté Pygmalion.
  • La femme est plus jeune. Souvent celle-ci a eu des relations non satisfaisantes avec des hommes de son âge et cherche un aphrodisiaque dans le pouvoir ou la maturité d’un partenaire qui appartient à la génération de son père.
  • L’homme est plus jeune. Ce type masculin aime non pas les princesses, mais les reines. Victime d’une crise d’identité virile, il s’appuie parfois sur des femmes plus fortes ou plus accomplies dont il reçoit tendresse et attention.
  • La femme est plus âgée. Cette tendance est apparue publiquement avec des divas comme Tina Turner ou des stars comme Ursula Andress, Ornella Muti et Madonna. Ce genre d’union s’est notamment développé chez les « urbaines aisées ». L’explication en est double. Sur le plan social, comme un couple ne doit plus forcément faire d’enfant, l’affectif et le sexuel peuvent prendre le pas sur l’envie de devenir parent : les femmes un peu mûres s’en trouvent valorisées. Par ailleurs, compte tenu des progrès de la dermato-cosmétologie et de la chirurgie esthétique, à 50 ans, on fait facilement dix ans de moins. Ces femmes, qu’on nomme « cougars », fonctionnent avec les hommes comme les félins avec leurs proies, alors que, avant, c’était l’homme le prédateur et la femme la victime.
Telle est le cas d’Adrienne. Dotée d’un physique de sportive, cette femme de 57 ans a toujours voulu décider dans la vie, ce qui a longtemps fait fuir les hommes. Aujourd’hui, elle ne doit plus s’occuper de ses parents qui sont décédés en lui laissant beaucoup d’argent et elle a des relations sexuelles régulières avec son prof de golf âgé de 35 ans, avec qui elle participe à des compétitions. Tous deux semblent très contents.
Émilie, 53 ans, a, quant à elle, hérité de l’entreprise de ses parents. Elle en est à son cinquième époux plus jeune (elle a eu un enfant de chacun et tous sont obligés de vivre ensemble et de s’entendre). Elle choisit et abandonne les hommes comme les play-boys le faisaient par le passé. Très critiquée par les autres femmes, elle continue à s’entourer de jeunes, banquiers ou avocats. Bien différente est Marie, 41 ans, divorcée, qui a connu en vacances Mahldie, un Marocain de 23 ans, avec qui elle vit depuis un an et qu’elle regarde avec tendresse jouer au football avec ses enfants. Pour Marie, c’est un coup de foudre estival qui se poursuit. Avec Mahldie, elle se sent un peu mère et un peu amante.
Autre exemple : celui de Danielle, 52 ans, qui a épousé il y a huit ans Christophe, 38 ans. Ils vivent à la campagne, ont des goûts analogues, sont très complices, à la limite du fusionnel. La famille de Christophe prétend que Danielle a abusé de son immaturité, sa mère la traitant même de sorcière qui lui aurait jeté un sort. En réalité, si Christophe est très infantile, c’est justement à cause de sa famille et son mariage avec une femme très maternelle ne fait que le maintenir dans ce rôle. Il a été séduit par la fantaisie sexuelle d’une femme mûre capable de l’initier aux jeux de l’amour, tandis que Danielle n’a plus peur de la solitude et de finir veuve en épousant un homme plus âgé. Ils ont une vie sexuelle active, mais ce n’est pas cela qui les fait rester ensemble, c’est la tendresse et leurs passions communes. S’ils n’ont pas d’enfant, ils sont très liés au chien qu’ils ont adopté pour leur maison de campagne…
Dernière histoire : celle d’Agnès, 38 ans, qui vit avec Grégoire qui en a neuf de moins. Ils se sont rencontrés en discothèque et sont ensemble depuis presque trois ans. Agnès a menti sur son âge, ne révélant la vérité que douze mois plus tard. Il me semble que ce couple est complémentaire : elle est inventive et créative, mais manque de stabilité, tandis que lui est précis, à la limite de l’ennui. Agnès a peur qu’il voie les rides sur son visage, alors qu’il s’en fiche : ce dont il a besoin, c’est d’une femme traditionnelle à la maison. Les seuls qui protestent sont ses amis qui se moquent de lui au bistrot.
Bien sûr, ces couples où la femme est plus âgée connaissent des hauts et des bas, comme les autres couples, mais le bonheur à deux semble néanmoins être un objectif prioritaire. En cela, ils diffèrent des couples à l’ancienne qui mettent l’arrivée et le bonheur de l’enfant au centre de leur projet commun. Sur le plan physiologique, l’union entre un homme jeune et une femme plus âgée a un sens, même si la culture ne le voit pas ainsi. En effet, une femme vit en moyenne sept ans de plus, et si un homme atteint ses meilleures performances sexuelles à 20 ans, une femme trouve son épanouissement érotique dix ans plus tard. Du moins si on en croit les statistiques…

Bisexualité et homosexualité féminine

L’homosexualité féminine est en augmentation, tout comme l’homosexualité masculine. Les homosexuels disent avoir été les premiers à séparer le sexe de la procréation, et, aujourd’hui, avec les procréations médicalement assistées et la location d’utérus, ils demandent à accé...

Table des matières

  1. Couverture
  2. Titre
  3. Copyright
  4. Augmenter le choix des femmes
  5. Chapitre 1 - Des femmes acrobates qui jonglent entre plusieurs rôles
  6. Chapitre 2 - Quand les hommes réendossent la virilité à travers la paternité
  7. Chapitre 3 - Le couple ou la famille
  8. Chapitre 4 - L’adolescente enceinte
  9. Chapitre 5 - L’enfant imaginaire
  10. Chapitre 6 - Les mariages non consommés
  11. Chapitre 7 - Les causes psychologiques de la stérilité
  12. Chapitre 8 - Les vicissitudes des couples stériles
  13. Chapitre 9 - Maternités tardives et PMA
  14. Chapitre 10 - Utérus en location
  15. Conclusion - Chronos et Kairos
  16. Notes
  17. Table
  18. Du même auteur chez Odile Jacob