
- 318 pages
- French
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eBook - ePub
À propos de ce livre
RÉSUMÉ :
"Han d'Islande" est le premier roman de Victor Hugo, publié en 1823. Ce récit romantique et gothique se déroule dans la Norvège du XVIIe siècle, où l'on suit les aventures de plusieurs personnages dont le destin est lié par des circonstances dramatiques et mystérieuses. Au coeur de l'intrigue se trouve Han, un personnage énigmatique et terrifiant, souvent décrit comme une créature monstrueuse vivant en marge de la société. Le roman explore les thèmes de la vengeance, de l'amour et de l'honneur, tout en peignant un tableau sombre et captivant de la nature humaine. Hugo utilise la figure de Han pour symboliser la lutte entre le bien et le mal, mais aussi pour critiquer la société de son temps. Les paysages nordiques, décrits avec une grande précision, ajoutent une dimension épique et sauvage à l'histoire. Les personnages principaux, tels que Ordener Guldenlew, un jeune noble, et Ethel, une belle et innocente jeune femme, sont pris dans un tourbillon d'événements qui les pousse à confronter leurs propres peurs et désirs. À travers un style riche et poétique, Hugo parvient à captiver le lecteur tout en posant des questions profondes sur la nature de l'homme et la société. "Han d'Islande" est une oeuvre marquante qui annonce déjà les thèmes et les préoccupations qui seront chers à Hugo tout au long de sa carrière littéraire.
L'AUTEUR :
Victor Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon, est l'un des plus grands écrivains français du XIXe siècle. Auteur prolifique, il a marqué la littérature par ses romans, poèmes et pièces de théâtre. Fils d'un général de l'Empire, Hugo a grandi dans une époque de bouleversements politiques et sociaux qui influenceront profondément son oeuvre. En 1822, il publie son premier recueil de poèmes, "Odes et poésies diverses", qui lui vaut une reconnaissance immédiate. "Han d'Islande", publié en 1823, est son premier roman, dans lequel il explore déjà les thèmes de l'amour, de la justice et de la rédemption. Tout au long de sa carrière, Hugo s'engage politiquement, notamment en faveur de l'abolition de la peine de mort et pour la défense des droits de l'homme. Son exil volontaire à Guernesey, après le coup d'État de Napoléon III, est une période prolifique durant laquelle il écrit certaines de ses oeuvres les plus célèbres, comme "Les Misérables" et "Les Travailleurs de la mer". Victor Hugo est également connu pour son engagement en faveur de la République et son opposition à la monarchie.
Foire aux questions
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Informations
XII
… L’homme qui est en ce moment assis près de lui, qui rompt avec lui son pain et boit à sa santé la coupe qu’ils ont partagée ensemble, sera le premier à l’assassiner.
SHAKESPEARE,
Timon d’Athènes.
Timon d’Athènes.
Que le lecteur se transporte maintenant sur la route de Drontheim à Skongen, route étroite et pierreuse qui côtoie le golfe de Drontheim jusqu’au hameau de Vygla, il ne tardera pas à entendre les pas de deux voyageurs qui sont sortis de la porte dite de Skongen à la chute du jour, et montent assez rapidement les collines étagées sur lesquelles serpente le chemin de Vygla.
Tous deux sont enveloppés de manteaux. L’un marche d’un pas jeune et ferme, le corps droit et la tête levée ; l’extrémité d’un sabre dépasse le bord de son manteau, et, malgré l’obscurité de la nuit, on peut voir une plume se balancer au souffle du vent sur sa toque. L’autre est un peu plus grand que son compagnon, mais légèrement voûté ; on voit sur son dos une bosse, formée sans doute par une besace que cache un grand manteau noir dont les bords profondément dentelés annoncent les bons et loyaux services. Il n’a d’autre arme qu’un long bâton dont il aide sa marche inégale et précipitée.
Si la nuit empêche le lecteur de distinguer les traits des deux voyageurs, il les reconnaîtra peut-être à la conversation que l’un d’eux entame après une heure de route silencieuse, et par conséquent ennuyeuse.
– Maître ! mon jeune maître ! nous sommes au point d’où l’on aperçoit à la fois la tour de Vygla et les clochers de Drontheim. Devant nous, à l’horizon, cette masse noire, c’est la tour ; derrière nous ; voici la cathédrale, dont les arcs-boutants, plus sombres encore que le ciel, se dessinent comme les côtes de la carcasse d’un mammouth.
– Vygla est-il loin de Skongen ? demanda l’autre piéton.
– Nous avons l’Ordals à traverser, seigneur ; nous ne serons pas à Skongen avant trois heures du matin.
– Quelle est l’heure qui sonne en ce moment ?
– Juste Dieu, maître ! vous me faites trembler. Oui, c’est la cloche de Drontheim, dont le vent nous apporte les sons. Cela annonce l’orage. Le souffle du nord-ouest amène les nuages.
– Les étoiles, en effet, ont toutes disparu derrière nous.
– Doublons le pas, mon noble seigneur, de grâce.
L’orage arrive, et peut-être s’est-on déjà aperçu à la ville de la mutilation du cadavre de Gill et de ma fuite. Doublons le pas.
– Volontiers. Vieillard, votre fardeau paraît lourd ; cédez-le-moi, je suis jeune et plus vigoureux que vous.
– Non, en vérité, noble maître ; ce n’est point à l’aigle à porter l’écaille de la tortue. Je suis trop indigne que vous vous chargiez de ma besace.
– Mais, vieillard, si elle vous fatigue ? Elle paraît pesante. Que contient-elle donc ? Tout à l’heure vous avez bronché, cela a résonné comme du fer.
Le vieillard s’écarta brusquement du jeune homme.
– Cela a résonné, maître ! oh non ! vous vous êtes trompé. Elle ne contient rien… que des vivres, des habits. Non, elle ne me fatigue pas, seigneur.
La proposition bienveillante du jeune homme paraissait avoir causé à son vieux compagnon un effroi qu’il s’efforçait de dissimuler.
– Eh bien, répondit le jeune homme sans s’en apercevoir, si ce fardeau ne vous fatigue pas, gardez-le.
Le vieillard, tranquillisé, se hâta néanmoins de changer la conversation.
– Il est triste de suivre, la nuit, en fugitifs, une route qu’il serait si agréable, seigneur, de parcourir le jour en observateurs. On trouve sur les bords du golfe, à notre gauche, une profusion de pierres runiques, sur lesquelles on peut étudier des caractères tracés, suivant les traditions, par les dieux et les géants. À notre droite, derrière les rochers qui bordent le chemin, s’étend le marais salé de Sciold, qui communique sans doute avec la mer par quelque canal souterrain, puisque l’on y pêche le lombric marin, ce poisson singulier qui, d’après les découvertes de votre serviteur et guide, mange du sable. C’est dans la tour de Vygla, dont nous approchons, que le roi païen Vermond fit rôtir les mamelles de sainte Étheldera, cette glorieuse martyre, avec du bois de la vraie croix, apporté à Copenhague par Olaüs III, et conquis par le roi de Norvège. On dit que depuis on a essayé inutilement de faire une chapelle de cette tour maudite ; toutes les croix qu’on y a placées successivement ont été consumées par le feu du ciel.
En ce moment un immense éclair couvrit le golfe, la colline, les rochers, la tour, et disparut avant que l’œil des deux voyageurs eût pu discerner aucun de ces objets. Ils s’arrêtèrent spontanément, et l’éclair fut suivi presque immédiatement d’un coup de tonnerre violent, dont l’écho se prolongea de nuage en nuage dans le ciel, et de rocher en rocher sur la terre.
Ils levèrent les yeux. Toutes les étoiles étaient voilées, de grosses nues roulaient rapidement les unes sur les autres, et la tempête s’amassait comme une avalanche au-dessus de leurs têtes. Le grand vent sous lequel couraient toutes ces masses n’était point encore descendu jusqu’aux arbres, qu’aucun souffle n’agitait, et sur lesquels ne retentissait encore aucune goutte de pluie. On entendait en haut comme une rumeur orageuse qui, jointe à la rumeur du golfe, était le seul bruit qui s’élevât dans l’obscurité de la nuit, redoublée par les ténèbres de la tempête.
Ce tumultueux silence fut soudain interrompu, près des deux voyageurs, par une espèce de rugissement qui fit tressaillir le vieillard.
– Dieu tout-puissant ! s’écria-t-il en serrant le bras du jeune homme, c’est le rire du diable dans l’orage, ou la voix de…
Un nouvel éclair, un nouveau coup de tonnerre lui coupèrent la parole. La tempête commença alors avec impétuosité, comme si elle eût attendu ce signal. Les deux voyageurs resserrèrent leurs manteaux pour se garantir à la fois de la pluie qui s’échappait des nuages par torrents, et de la poussière épaisse qu’un vent furieux enlevait par tourbillons à la terre encore sèche.
– Vieillard, dit le jeune homme, un éclair vient de me montrer la tour de Vygla sur notre droite ; quittons la route et cherchons-y un abri.
– Un abri dans la Tour-Maudite ! s’écria le vieillard, que saint Hospice nous protège ! songez, jeune maître, que cette tour est déserte.
– Tant mieux ! vieillard, nous n’attendrons pas à la porte.
– Songez quelle abomination l’a souillée !
– Eh bien ! qu’elle se purifie en nous abritant. Allons, vieillard, suivez-moi. Je vous déclare qu’en une pareille nuit je tenterais l’hospitalité d’une caverne de voleurs.
Alors, malgré les remontrances du vieillard, dont il avait saisi le bras, il se dirigea vers l’édifice, que les fréquentes lueurs des éclairs lui montraient à peu de distance. En approchant, ils aperçurent une lumière à l’une des meurtrières de la tour.
– Vous voyez, dit le jeune homme, que cette tour n’est pas déserte. Vous voilà rassuré, sans doute.
– Dieu ! bon Dieu ! s’écria le vieillard, où me menez-vous, maître ? Ne plaise à saint Hospice que j’entre dans cet oratoire du démon !
Ils étaient au bas de la tour. Le jeune voyageur frappa avec force à la porte neuve de cette ruine redoutée.
– Tranquillisez-vous, vieillard ; quelque pieux cénobite sera venu sanctifier cette demeure profanée, en l’habitant.
– Non, disait son compagnon, je n’entrerai pas. Je réponds que nul ermite ne peut vivre ici, à moins qu’il n’ait pour chapelet une des sept chaînes de Belzébuth.
Cependant une lumière était descendue de meurtrière en meurtrière, et vint briller à travers la serrure de la porte.
– Tu viens bien tard, Nychol ! cria une voix aigre ; on dresse la potence à midi, et il ne faut que six heures pour venir de Skongen à Vygla. Est-ce qu’il y a eu surcroît de besogne ?
Cette question tomba au moment où la porte s’ouvrait. La femme qui l’ouvrait, apercevant deux figures étrangères, au lieu de celle qu’elle attendait, poussa un cri d’effroi et de menace, et recula de trois pas.
L’aspect de cette femme n’était pas lui-même très rassurant. Elle était grande, son bras élevait au-dessus de sa tête une lampe de fer dont son visage était fortement éclairé. Ses traits livides, sa figure sèche et anguleuse, avaient quelque chose de cadavéreux, et il s’échappait de ses yeux creux des rayons sinistres pareils à ceux d’une torche funèbre. Elle était vêtue depuis la ceinture d’un jupon de serge écarlate, qui ne laissait voir que ses pieds nus, et paraissait souillé de taches d’un autre rouge. Sa poitrine décharnée était à moitié couverte d’une veste d’homme de même couleur, dont les manches étaient coupées au coude. Le vent, entrant par la porte ouverte, agitait au-dessus de sa tête ses longs cheveux gris à peine retenus par une ficelle d’écorce, ce qui rendait plus sauvage encore l’expression de sa farouche physionomie.
– Bonne dame, dit le plus jeune des nouveaux-venus, la pluie tombe à flots, vous avez un toit et nous avons de l’or.
Son vieux compagnon le tirait par son manteau, et s’écriait à voix basse :
– Ô maître ! que dites-vous là ? Si ce n’est pas ici la maison du diable, c’est l’habitacle de quelque bandit. Notre or nous perdra, loin de nous protéger.
– Paix ! dit le jeune homme ; et tirant une bourse de sa veste, il la fit briller aux yeux de l’hôtesse, en répétant sa prière.
Celle-ci, revenue un peu de sa surprise, les considérait alternativement d’un œil fixe et hagard.
– Étrangers ! s’écria-t-elle enfin, comme n’ayant pas entendu leur voix, vos esprits gardiens vous ont-ils abandonnés ? que venez-vous chercher parmi les habitants maudits de la Tour-Maudite ? Étrangers ! ce ne sont point des hommes qui vous ont indiqué ces ruines pour abri, car tous vous auraient dit : Mieux vaut l’éclair de la tempête que le foyer de la tour de Vygla. Le seul vivant qui puisse entrer ici n’entre dans aucune demeure des autres vivants, il ne quitte la solitude que pour la foule, il ne vit que pour la mort. Il n’a de place que dans les malédictions des hommes, il ne sert qu’à leurs vengeances, il n’existe que par leurs crimes. Et le plus vil scélérat, à l’heure du châtiment, se décharge sur lui du mépris universel, et se croit encore en droit d’y ajouter le sien. Étrangers ! vous l’êtes, car votre pied n’a pas encore repoussé avec horreur le seuil de cette tour ; ne troublez pas plus longtemps la louve et les louveteaux ; regagnez le chemin où marchent tous les autres hommes, et, si vous ne voulez pas être fuis de vos frères, ne leur dites pas que votre visage ait été éclairé par la lampe des hôtes de la tour de Vygla.
À ces mots, indiquant la porte du geste, elle s’avança vers les deux voyageurs. Le vieux tremblait de tous ses membres, et regardait d’un air suppliant le jeune, lequel, n’ayant rien compris aux paroles de la grande femme, à cause de l’extrême volubilité de son débit, la croyait folle, et ne se sentait d’ailleurs nullement disposé à retourner sous la pluie, qui continuait de tomber à grand bruit.
– Par ma foi, notre bonne hôtesse, vous venez de nous peindre un personnage singulier, avec lequel je ne veux pas perdre l’occasion de faire connaissance.
– La connaissance avec lui, jeune homme, est bientôt faite, plus tôt terminée. Si votre démon vous y pousse, allez assassiner un vivant ou profaner un mort.
– Profaner un mort ! répéta le vieillard d’une voix tremblante et se cachant dans l’ombre de son compagnon.
– Je ne comprends guère, dit celui-ci, vos moyens, au moins très indirects ; il est plus court de rester ici. Il faudrait être fou pour continuer sa route par un pareil temps.
– Mais bien plus fou encore, murmura le vieillard, pour s’abriter contre un pareil temps dans un pareil lieu.
– Malheureux ! s’écria la femme, ne frappez pas au seuil de celui qui ne sait ouvrir d’autre porte que celle du sépulcre.
– Dût la porte du sépulcre s’ouvrir en effet pour moi avec la vôtre, femme, il ne sera pas dit que j’aurai reculé devant une parole sinistre. Mon sabre me répond de tout. Allons, fermez la tour, car le vent est froid, et prenez cet or.
– Eh ! que me fait votre or ! reprit l’hôtesse ; précieux dans vos mains, il deviendra dans les miennes plus vil que l’étain. Eh bien, restez donc pour de l’or. Il peut garantir des orages du ciel, il ne sauve pas du mépris des hommes. Restez ; vous payez l’hospitalité plus cher qu’on ne paie un meurtre. Attendez-moi un instant ici, et donnez-moi votre or. Oui, c’est la première fois que les mains d’un homme entrent ici chargées d’or sans être souillées de sang.
Alors, après avoir déposé sa lampe et barricadé la porte, elle disparut sous la voûte d’un escalier noir, percé dans le fond de la salle.
Tandis que le vieillard frissonnait, et, invoquant, sous tous ses noms, le glorieux saint Hospice, maudissait de bon cœur, mais à voix basse, l’imprudence de son jeune compagnon, celui-ci prit la lumière, et se mit à parcourir la grande pièce circulaire où ils se trouvaient. Ce qu’il vit en approchant de la muraille le fit tressaillir, et le vieillard...
Table des matières
- Sommaire
- Chapitre I
- Chapitre II
- Chapitre III
- Chapitre IV
- Chapitre V
- Chapitre VI
- Chapitre VII
- Chapitre VIII
- Chapitre IX
- Chapitre X
- Chapitre XI
- Chapitre XII
- Chapitre XIII
- Chapitre XIV
- Chapitre XV
- Chapitre XVI
- Chapitre XVII
- Chapitre XVIII
- Chapitre XIX
- Chapitre XX
- Chapitre XXI
- Chapitre XXII
- Chapitre XXIII
- Chapitre XXIV
- Chapitre XXV
- Chapitre XXVI
- Chapitre XXVII
- Chapitre XXVIII
- Chapitre XXIX
- Chapitre XXX
- Chapitre XXXI
- Chapitre XXXII
- Chapitre XXXIII
- Chapitre XXXIV
- Chapitre XXXV
- Chapitre XXXVI
- Chapitre XXXVII
- Chapitre XXXVIII
- Chapitre XXXIX
- Chapitre XL
- Chapitre XLI
- Chapitre XLII
- Chapitre XLIII
- Chapitre XLIV
- Chapitre XLV
- Chapitre XLVI
- Chapitre XLVII
- Chapitre XLVIII
- Chapitre XLIX
- Chapitre L
- Conclusion
- Page de copyright