
- 332 pages
- French
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- Disponible sur iOS et Android
La part de l'océan
À propos de ce livre
Alors qu'il est plongé dans la rédaction de Moby Dick, Herman Melville fait la connaissance de Nathaniel Hawthorne, une rencontre qui bouleversera le cours de sa vie et celui de son roman. De cette histoire vraie subsistent aujourd'hui une poignée de lettres qui ont servi de point d'ancrage à La part de l'océan, un livre comme une traversée sans carte et sans boussole.Au fil des pages, un deuxième échange se tisse entre celle qui retrace la création du grand roman américain et un compagnon mi-réel et mi-inventé, un homme qui est d'abord un poème. Car, en vérité, les écrivains sont faits de trois moitiés. La troisième part, têtue et fragile, est celle du rêve. C'est à elle que l'on doit ce récit éblouissant, traversé de fulgurances, qui raconte le plus beau des naufrages.
Foire aux questions
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Informations
Table des matières
- Couverture
- De la même auteure
- Titre
- Épigraphes
- Aux premières lueurs de l’aube
- Hawthorne and his Mosses – By a Virginian Spending July in Vermont
- Ce récit, cette rencontre authentique
- À l’été 1850, l’oncle d’Herman vient de se départir de Melvill House
- Il y a deux lignées de Melvill
- Chaque fois qu’arrive l’automne
- Né Hathorne, le jeune Nathaniel aussi ajoute une lettre à son nom
- La chair du requin est aussi salée que l’eau de l’océan où
- Simon est apparu dans ma vie en hiver
- Il est certains livres dont l’incipit est si frappant qu’il se grave
- J’aime bien cette tâche au début il me fallait infiniment d’attention je
- Le texte transcrit que vient déposer Lizzie sur le bureau de son
- Contrairement aux hommes qui marchent à la verticale et dorment couchés
- Aux premiers jours de notre correspondance
- Melville enchaîne les pages
- Comme un enfant qui s’essaie à différentes signatures afin de voir laquelle
- Les cachalots, qui sont les plus grands des carnassiers
- Dans les premières pages du roman
- Vingt-et-un décembre point de bascule de l’année nous avons fini de nous
- Si Melville tombait par hasard sur ces lignes tracées par sa femme
- Les anableps, ou poissons quatre yeux
- J’envoie à Simon des photographies tirées de Blind
- Les ciels d’hiver sont d’une blancheur aveuglante
- En même temps qu’il écrit son roman
- Un matin d’hiver, Hawthorne arrive à Arrowhead flanqué d’Una
- Parfois je me lève sans un bruit je descends les marches sur
- Le pire du froid finit par passer
- Sans savoir ce que je faisais ni pourquoi
- Un après-midi entier
- Les méduses n’ont ni poumons ni branchies
- Chaque fois que Hawthorne s’approche
- À la fin de leur vie
- Voulant parler d’autre chose mais ne trouvant pas les mots qu’il faudrait
- Les églantiers sont couverts de fleurs à chaque coup de vent une
- Melville qui n’a de sa vie jamais cuisiné un repas prépare un
- Avant l’adoption du papier en Occident
- Est-ce de Nathaniel Hawthorne qu’Herman Melville est tombé amoureux ?
- Les poissons peuvent se noyer
- Pour qu’il cesse d’être d’abord une voix
- Il y a non loin d’Arrowhead un petit verger où poussent de
- Il suffit de jeter les choses sur le papier pour qu’elles se
- De nombreux poissons plats
- Après l’encyclopédie
- Un soir, au téléphone
- Je ne comprends pas ce métier qui consiste à inventer des choses
- Hawthorne, ten times black
- Lorsque Melville va passer quelques semaines à New York
- Si je devais m’éteindre demain que resterait-il de moi à part mon
- Le mot « seiche » désigne non seulement un mollusque voisin du
- Ce matin, le ciel et la mer se confondent
- Melville écrit à Hawthorne avec toute la légèreté dont il est capable
- Dès qu’il entre à Arrowhead
- Chaque fois que nous nous voyons
- En arrivant à Lenox une dizaine de jours plus tard
- Le lendemain soir, il prend sa femme brusquement
- Enfant je ne rêvais que d’une chose quitter le village où j’étais
- Il se passe parfois des semaines sans qu’ils se voient
- Le silence de son ami est un poison lent
- Un matin, Simon m’écrit
- Les deux hommes marchent ensemble vers la rangée de hauts peupliers qui
- Quelques semaines plus tard
- La maison posée à l’orée de l’été est un navire échoué sur
- J’ai mis un temps fou à lire Moby Dick
- La maison est constamment pleine de monde
- Parmi les animaux bioluminescents
- À quelques dizaines de pages de la fin de son livre
- Simon me fait lire une suite de poèmes destinés au livre auquel
- Certaines semaines bénies
- Herman m’apprend en riant qu’a vécu au seizième siècle une poète du
- Les Duyckinck sont venus passer trois jours à Pittsfield
- Redoublant d’ardeur
- Melville est à un moment de sa vie où il n’a plus
- Je suis venue passer quelques jours à Montréal et Simon m’a donné
- Au dix-neuvième siècle
- Dans les livres de sa bibliothèque
- Il n’est pas tout à fait midi
- Assis devant ce manuscrit qu’il ne peut ni achever ni ne pas
- Les Hawthorne ont accepté de venir passer deux jours à Arrowhead
- Il ne me faut pas grand-chose
- Les époux Melville sont couchés côte à côte
- Il est certains poissons qui communiquent en frottant leurs arêtes les unes
- À quoi reconnaît-on qu’un livre nous est destiné ?
- Simon me rappelle ces mots de Kafka à son ami Oskar Pollak
- Au bureau de poste, son cœur commence à battre la chamade bien
- Une carcasse blanchie par la mer
- Que celui qui ne s’est jamais laissé happer par un livre
- La maison est tranquille
- Cette nuit j’ai rêvé que la ferme passait au feu tout flambait
- J’essaie de retourner vers le large mais l’océan me repousse sur le
- Melville travaille en forcené
- Le poisson-chat de verre
- Je ne peux pas dire ce qui s’est passé ce soir-là je
- Il n’avait pas d’ailes sous sa chemise
- Je suis enfin revenue au commencement de cette histoire
- Melville se réveille en pleine nuit comme il le faisait il y
- Quand il a remis la dernière moitié de son livre à l’imprimeur
- Assis en tailleur par terre dans le salon à la campagne
- À qui est ce visage qui me regarde quand je passe devant
- Lorsqu’il reçoit son roman imprimé
- 17 novembre 1851
- Qu’elles soient américaines ou anglaises
- Je suis chez toi, assise en tailleur sur ton lit
- Melville est debout, seul
- Un an jour pour jour après m’avoir écrit que tu avais rêvé
- Note de l’auteure
- Alto
- Déjà parus chez Alto
- Crédits