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Les Tracts d'un pur laine nègre - Tome 1
À propos de ce livre
« [...] Combien
Combien de fois raide mort
Faudrait-il encore tomber
Pour que leurs restes soient ramassés?
Combien encore faut-il tuer?
Empoisonner emprisonner enchaîner
Loin de l'arbre de l'arbre de la liberté
Qui se fait tant piétiner
Aux yeux des lois des rois [...] »
Des poèmes comme des tracts, des rimes en guise de missives, du slam comme des uppercuts. Du sexe à la religion, de l'amour à la politique, des ancêtres bafoués d'hier aux tyrans d'aujourd'hui, Pierre Junior Lefèvre juge notre monde d'une plume crue ou exaltée, toujours sans concession.
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Informations
Table des matières
- Couverture
- Titre
- Les porteuses
- À la nation dehors qui grandit encore
- Une maison. Une belle maison sans toi
- Mourir est un voyage sans retour fixe
- C’est dans la nuit que le jour se fond
- Sur un vague terrain
- Parfum du vent
- J’ai une tête d’oreiller
- Je m’excuse, je m’excuse tout le temps
- Je suis cette maladie
- Ma vie. Une femme m’a poussé
- Je suis parti loin chercher minuit
- Je te ferai l’amour dans le couloir de la mort
- À vous. Merveille de mon pays
- Je voulais fuir l’amour dans ses miel bras
- Comme la plus sombre des insomnies
- Il a traversé les pires barrières
- Dans la soirée comme à tous les petits matins
- Entre elle et moi
- Ici la liberté est presque totale
- Au point G de ma !
- La serveuse
- Sous le drap d’autres femmes
- C’est terrifiant
- Pourquoi ? Toutes ces contradictions ?
- J’ai arrêté d’écouter les hommes qui parlent
- Comment as-tu pu être ma mère ?
- Je ne parle pas souvent de ce que je vois le jour
- Africa. Tu es ma croix
- Mes grèves de faim, je les fais souvent pour ceux
- Je me lève, je me mets debout.
- Viens dans mon templier
- La vie est aussi noire que la limite
- Quand j’ai besoin de visiter
- Tous, tous les saisis du gouvernement
- Mes mauvais souvenirs rongent mon cerveau
- Quand je suis à l’extase de mes pensées
- Ma liberté
- Je faisais l’amour avec la malédiction
- Quand je pars la nuit
- Le doigt sur la bouche
- À grands pas de géant, le temps file.
- La secousse de mes points morts
- Le dimanche à l’église, quand j’embrasse ma mère
- J’ai passé ma vie à me faire voler
- Comme un oiseau
- Dans ma promenade, j’avais l’impression
- Konbit
- L’amour, toi qui es fait pour aimer
- Les amputés d’esprit
- L’annonce
- Arrêtez d’attrister la croûte de la terre
- Assis sur les jambes de ma patrie
- Allumer des bougies
- Montrez-moi vos visages
- Avec l’âge, j’ai laissé sans précaution pousser ma barbe
- Les hommes habillés de blanc
- Depuis tout ce temps
- Rare prose
- Trop handicapé par la servitude
- Taper le tambour, frappé pour entrer
- À tes pieds, Africa
- Par accident, j’ai failli brûler
- Ma table est une porte
- Mon bonheur, c’est ma liberté.
- Dans la sacoche près de mon lit
- Je ne sais pas comment je suis né.
- Envoyez-moi, envoyez-moi
- Allumer trois fois une bougie
- Quand je déchire mon visage
- Tu me manques
- Que peut-on faire
- Kanjanwou
- Qu’est-ce que j’ai pu faire
- Dans mes journées privées de taxe
- Des jours bondés de tout
- Le fruit de la pensée
- J’aurais aimé pouvoir aimer
- La vie me joue tellement de mauvais tours
- As-tu déjà pris le temps
- Entre Marie Madeleine et Mère Teresa
- Par la gourmandise des heures
- Sous ma tonnelle, j’ai revu
- Reviens encore, petit oiseau noir
- Si tu me permets
- Je te mettrai des fourmis dans les jambes
- Sacrifice
- Aux funérailles de mes amours
- J’aurais aimé que ce soit elle
- Je suis parti avec ton odeur sur mon corps.
- La première fois que j’ai gagné un pari
- J’ai toujours rêvé
- Plein de gens souhaitent ma défaite
- J’ai toujours été un jeune homme tourmenté
- Noir
- Ayiti, dans tes yeux, j’allume mon feu
- Un mois
- Ce courant d’air frais
- Mon image. Fleur sauvage
- Tout nu
- Les malheureux, les gens blessés
- L’art
- À ces mille millions de gens
- Les jours joyeux que l’on se souhaite
- Mon lit n’est jamais arrangé.
- Seulement
- Jamais, jamais je ne partirai avec une autre
- L’objet de ce bas monde
- À Mont-Royal la nuit
- Quand les malheurs que les grandes puissances ont lancés
- Je suis un alpiniste de la langue.
- Ta dépression, tes sentiments
- Toutes ces nations rangées
- J’ai eu des femmes
- Pauvre, longue et si mince petite paille
- Testament
- Partir dans plein d’autres directions
- Nous mangeons tous de la terre.
- Combien de câbles encore
- Aux seigneurs, aux voleurs
- Dans la nausée des soirées jusqu’au matin
- Petite annonce
- Tout à vendre, à prendre, tout à donner
- Dans ce dessin fait de quelques mots
- Quand la cruelle volonté de la vie m’a exilé
- Ça prend plus qu’une grenade explosée
- Malgré toute l’eau que peut contenir un corps
- C’est l’hiver
- Il a allumé, sans feu, une chandelle
- Parti à la guerre
- Ramasser
- J’aime un homme
- Chercher parmi ses pas laissés par milliers
- L’Asie, l’Europe, l’Océanie, l’Amérique
- Qui, il suit ?
- À nue. Tout habiller, toute nue
- Rêver de peu
- J’aurais voulu être un artiste
- Ils l’ont sucé copieusement, mangé
- Il y a. Il y en a qui trempent le beurre dans la mayonnaise
- À chaque instant où l’on s’envoie en plein air
- Solitude Dans sa chambre à double tour cloîtré
- Jeune comme la nuit
- Monsieur
- La femme de ce Colomb de Christophe
- Ma patrie. Mon pays est l’un des plus grands trottoirs
- Elle avait l’air d’une femme
- Sur ses talons hauts
- Si le monde pouvait savoir
- Sur l’unique page d’un miroir en cage
- On est tous poètes
- Couché dans le rêve d’un autre monde
- Va-t’-en, va-t’-en, si tu le veux
- Rêve d’oiseau
- Depuis qu’il vit
- Il est. Le vent au pays des oiseaux
- Déprimé de tout
- Au creux de mon nombril à la machette amputée
- J’étais parti pour toi
- Il regarde sa montre
- Je voudrais faire jaillir des boules de cristal de lumière
- Je te ferai l’amour avec les tambours
- Tu es qui toi ?
- Quand je serai ougan
- Baise-moi
- Lachouvolonter ?
- Apofolips
- A, E. Assis dans la pénombre d’une journée
- Résigner, pas lâche, pas lâcher
- Paysan
- Sans nom
- Je danse
- Au treizième
- Pendant
- Montréal
- Je vais
- Dilemme
- En secret
- Laisse-moi. Quand loin vient me chercher l’inconnue
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